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Un stage un peu spécial...

Chapitre 1

Erotique
L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a peu. Je m’appelle Maude, j’ai 20 ans et je suis actuellement étudiante en IUT techniques de commercialisation. Grande, brune, de corpulence normale, dotée d’une paire de fesses rondes et d’une poitrine ferme et sensible (95D) je suis jolie sans pour autant être un sexy symbole. Même si en apparence, je semble être une sainte ni touche innocente, je suis en réalité une grande amatrice de baise, une chasseuse aguerrie qui aime collectionner les hommes. Depuis la perte de mon pucelage à 15 ans, je me suis découverte une attirance prononcée pour les hommes plus âgés que moi. Pour raconter l’ensemble de mes expériences il me faudrait plusieurs dizaines de chapitres. C’est pourquoi j’ai décidé de seulement vous raconter celle qui m’arrive en ce moment.Au cours de ma formation, je suis amenée à effectuer plusieurs stages en entreprise. Pour celui de ma dernière année, j’ai déniché une petite entreprise située en campagne à une demi-heure de mon domicile.
Il est 8h30 j’arrive avec un de mes collègues pour mon premier jour (nous faisons du covoiturage). Il m’accompagne jusqu’au bureau de celui qui va être non tuteur, Mr gratin. Lorsque j’entre, je découvre un homme grand et charismatique qui doit avoir une petite quarantaine d’années. Quelques cheveux gris parsèment ses cheveux et sa barbe noirs. Une paire de lunettes encadre des yeux chocolat. Il me fait la bise et je hume son parfum mixte qui fait se dresser la pointe de mes seins.Nous nous installons à nos postes. Il est dos à moi, ce qui me permet d’admirer son dos musclé qui saille sous sa chemise. Nous faisons connaissance tout en commençant à travailler. J’apprends qu’il a vécu quelques années en Nouvelle-Zélande et qu’il est de retour en France depuis peu.Sans pour autant me le dire, je comprends qu’il est également célibataire. La journée, puis la semaine s’écoule. Au fur et à mesure de nos conversations je pense de façon de plus en plus virulente qu’il ferait un beau trophée de chasse. J’imagine des scènes ou il me sauterait dessus. Des parties de baise bestiales sans préliminaires, ou il me pencherait sur son bureau et me pénétrerait sans plus attendre, ou il me prendrait par devant ou par la rondelle en en forçant l’entrée… Je m’imagine sous son bureau pendant qu’il tape sur son clavier. Je lui sucerais la queue jusqu’aux couilles tout en me caressant… A chaque fois que j’imagine ces moments avec mon maitre de stage je sens ma chatte s’ouvrir et tremper ma petite culotte. Une petite voix me répète que je fantasme pour rien, qu’il a le double de mon âge, qu’il est mon maître de stage...Mais ce côté supérieur me rend folle et je ne peux cesser de m’imaginer des choses torrides. Je veux qu’il soit en moi. Qu’il me baise de partout qu’il me traite comme une soumise.
Je tente des petites approches :Je m’assois sur son bureau. Je croise et décroise mes jambes. Je l’effleure des que j’en ai l’occasion. Cependant, il reste de marbre et je ne perçois aucun geste ou parole qui trahirait que mes avances ne le laisse pas insensible.Aux départs banals, nos conversations s’orientent quant à elles vers des sujets plus légers. Nous évoquons nos expériences sexuelles et il semble étonner de tout Ce que j’ai pu faire étant donné mon âge. Quand je lui confesse avoir déjà couché avec mon maitre de stage l’an passé, il ne relève pas mais revient tout de même plusieurs fois sur le sujet en demandant des détails, toujours plus indiscrets comme ou l’avons-nous fait, est ce qu’il était bien monté, qu’est ce qu’il m’a fait…
Voyant la fin de mon stage arrivée, je me dis que je n’ai rien à perdre et me décide à lui faire des avances plus directes.
Lundi matin je débarque au boulot. Bien décidée à lui faire comprendre ce que j’ai en tête, j’ai revêtu une tenue très étudiée:

Un petit haut noir cache-cœur très moulant avec un décolleté vertigineux qui dévoile ma poitrine pâle. J’ai complété la tenue d’une jupe cintrée à la taille qui s’évase jusqu’à mi-cuisse et qui cache une paire de bas retenus par un porte-jarretelle en dentelle noire. Mes jambes sont mises en valeur par une paire de hauts talons. En entrant dans notre bureau, je surprends une étincelle de surprise dans son regard. Il reprend bien vite contenance et me donne un nouveau travail.
La journée s’écoule lentement sans que je trouve l’occasion de m’approcher de lui.
Un peu avant 17h, il me demande de venir voir quelque chose:
-"Tu comprends quelque chose à ce mail toi?"
Je m’avance et me perche sur son bureau. Je me penche en avant pour regarder ce qu’il veut me montrer (et lui offrir l’occasion de se rincer l’œil dans mon profond décolleté) et croise mes jambes. Je sens ma jupe remontée et un léger souffle sur ma cuisse m’indique que monsieur Gratin peut voir le haut de mes bas. Je frotte mes jambes l’une contre l’autre pour faire crisser mes bas mais rien n’y fait, il garde les yeux rivés sur son écran, concentré:
Je passe derrière lui et pose mes mains sur le dossier de sa chaise.
-"Tu sais comment on pourrait traduire ça toi?" me demande-t-il.
-"Attends je vais vous montrer." lui répondis-je en passant mes mains autour de lui pour saisir la sourie.
Mes seins effleurent son dos. Je le sens frissonner. N’ayant plus besoin de moi, il me demande, d’une voix molle, de retourner à ma place et me remercie pour mon aide.
Un léger sourire aux lèvres, je reprends ma place.

L’heure tourne. Les autres passent nous dire en revoir avant de rentrer chez eux.
Il est maintenant 19:30. Le patron passe la tête dans le bureau. Il est le dernier (à part nous) à partir:
-"A demain. Vous penserez à fermer en partant."
J’entends la porte se refermer et un moteur de voiture qui vrombit, quelques secondes plus tard.
Quelques minutes passent. Seul le bruit des claviers et le ronflement des ordinateurs viennent perturber le silence. Mr Gratin remuât sur sa chaise. Je l’entends se lever et s’approcher de mon bureau.
-"Tu fais quoi jeune fille?"
Je le sens s’appuyer contre moi. Du coin de l’œil je remarque qu’il frotte doucement son entre jambe dans mon dos, les yeux rivés sur mon PC comme si de rien n’était.
Je regarde quelques instant la bosse qui s’est formé dans son pantalon. J’imagine une bite large, de taille moyenne avec un gros champignon… Un sexe viril qui me remplirait la bouche, la chatte et le cul…Excitée, je finis par rentrer dans son jeu, et, toujours en lui expliquant les dossiers que je suis entrain de traiter, je me tourne légèrement et pose ma main sur la bosse qui grossit à vue d’œil devant mes yeux.
Je le branle doucement à travers son jean. Je sens son sexe se durcir. Il a l’air de bonnes dimensions. Mon tangua se trempe peu à peu alors que nous continuons notre conversation comme si de rien était.
Il finit par s’éloigner, et, un sourire aux lèvres me dit:
-"tu joues à un jeu dangereux ma chère stagiaire... très dangereux..."
Excitée par ce qu’il vient de se passer, je décide d’aller dans la cuisine ranger un peu pour me calmer.
Pensive sur ce qu’il vient de se passer, j’essuie machinalement la vaisselle. Si il était resté à côté de moi quelques instants de plus j’aurais pu ouvrir son pantalon, sortir sa queue… J’aurais pu lui tailler une pipe, avaler sa semence…
Encore plus excité que 10 min auparavant je pose une de mes mains sur mes seins. Ils ont durci et sont presque douloureux tellement mon désir est fort.
Mon autre main se dirige sous ma jupe et touche mon sexe à travers le tissu.
Mon clito est gonflé, mes lèvres grandes ouvertes et ma mouille a commence à couler sur mes cuisses.
Ne pouvant me retenir, je glisse un, puis deux, puis trois doigts en moi.
La main posée sur mes seins descend rejoindre l’autre et pince mon bouton. Un de mes doigts va forcer l’entrée de ma rondelle.
Je murmure entre mes dents :-« S’il vous plaît Monsieur Gratin… Enculer moi. Prenez mon cul avec votre belle bite d’homme mûre, sodomisez-moi comme une chienne… Et jouissez au plus profond de moi… Aahhh c’est bon…Hum oui»Je commence à gémir, je sens l’orgasme arrivé. J’imagine mon tuteur, les mains agrippées à mes hanches, me labourant le cul… Ah que c’est bon… Je sens mon vagin se contracter autour de mes doigts… Ah ça va venir… Oh oui Mr Gratin… Je serre les dents pour ne pas crier trop fort. Je termine mon affaire et me remet au travail en essayant de songer à autre chose. Mais alors que je me baisse pour attraper une fourchette, je sursaute et pousse un cri.
Deux mains viennent de se poser sur mes hanches. Elles descendent rapidement sur le haut de mes cuisses et soulèvent ma jupe.
-" Dit donc, c’est que c’est une fameuse coquine la stagiaire..." murmure Monsieur Gratin, derrière moi.
Surprise par ce contact inattendu, je me reprends bien vite. Chaque parcelle de mon corps demande du sexe et si je n’en ai pas avant ce soir je sais très bien que je serais incapable de m’endormir. Je cambre donc un peu plus mon cul pour faire remonter ma jupe et ressortir mes deux belles fesses rondes.
Il se remet à frotter son bas-ventre contre moi, ou plutôt contre mes fesses. La bosse de son pantalon semble encore plus grosse que tout à l’heure et je me retiens de ne pas lui demander de me prendre tout de suite sans plus de préambule.
Je me relève et lui demande de me suivre dans notre bureau. Je le fais asseoir. Je m’installe à croupi devant lui en le regardant dans les yeux. Je recommence à caresser sa brin guette qui gonfle à vue d’œil d’une main, et je dégage mon tangua de l’autre pour lui montrer mon sexe dégoulinant de cyprine.
Il regarde mon majeur tourné lentement puis de plus en plus rapidement sur mon bouton… Il frissonne lorsqu’il me voit plonger deux de mes doigts dans la chatte, un autre dans l’anus…
J’arrête de m’occuper de moi afin de me consacrer à lui. Un à un, je fais lentement sauter les boutons de son pantalon. Un beau gland rose et charnu s’échappe. Il suinte le liquide pré-séminal. Tellement apetissant…Peu à peu émerge une verge de dimensions normales mais d’une largeur époustouflantes… Enfin une belle paire de couilles, un rien poilue sort de son caleçon.
Je reste un instant en admiration devant ce sexe. J’ai envie de m’asseoir dessus … Qu’il me transperce… Mais je préfère attendre encore un peu afin de montrer mes autres talents notamment celui de suceuse…
Je le fais coulisser de bas en haut. Il vibre dans ma main qui coulisse de plus en plus rapidement. J’admire son gland disparaître et réapparaître au gré de mes mouvements.
L’expression sur le visage de mon supérieur a changé. Au départ moqueur, il prend maintenant son pied.
Je donne quelques coups de langue sur sa queue tout en continuant de l’astiquer.
Je descends progressivement mes lèvres sur cette bite dont je rêve depuis pas mal de temps. Je caresse ses couilles d’une main experte en lui procurant une gorge profonde. Je sens son gland taper dans le fond de ma gorge… Ma langue tourne autour de son gland et insiste sur son frein…
-" Tu es comme même une sacrée allumeuse… Mais tu ne suces pas trop mal... D’ailleurs si tu continues comme ça je vais finir par venir dans ta bouche..."
C’est sur ses mots qu’il enfonce ma tête sur son sexe. Je repars de plus belle, mettant tout mon savoir faire de suceuse en œuvre.
Il ne tarde pas à pousser de longs râles:
-"Oh Maude vas y avales tout, oui je viens..."
Trois longs jets de foutre explosent dans ma bouche. Je les avale goulûment, satisfaite.
Je m’assois sur son bureau, jambes écartées attendant ses asseaux. Je tente de l’attirer vers moi l’attrapant par le sexe mais il se réinstalle tranquillement devant son PC et lâche d’un ton froid:
-"Retournes travailler, je n’ai plus besoin de toi pour le moment."
Je retourne donc à mon poste, bouillonnante. Pour qui il se prend ce connard? Il pense vraiment qu’à sa foutue grande gueule... S’il croit que je vais rester sagement assise à attendre qu’il daigne m’accorder un peu d’intérêt...Encore plus motiver qu’avant de le sucer, je me fais la promesse intérieure de me le faire, et pas qu’une fois...
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