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Un stage de rêve

Chapitre 1

Hétéro
Un stage de rêve
C’est ma première histoire, merci de votre indulgence !
Nous étions au mois de mai et j’avais été pris en stage à la bibliothèque pour 3 semaines. Il faisait vraiment chaud et je ne m’en plaignais pas. En effet, dans la bibliothèque où j’étais affecté, il n’y travaillait que 3 femmes, mais force était de reconnaître qu’elles étaient très belles. Sylvaine, ma maîtresse de stage était une brune d’une quarantaine d’années, elle mettait souvent un chemisier blanc qui moulait sa grosse poitrine de façon très sexy ; il y avait aussi Claire, la responsable du secteurs ados, d’une quarantaine d’années, brune aux yeux verts, qui possédait des fesses magnifiques mises en valeur par des pantalons moulants, et enfin, il y avait Emilie, une autre stagiaire qui était âgée d’une vingtaine d’années, rousse, elle portait souvent un débardeur qui moulait ses seins et laissait apparaître un joli décolleté. Ce jour là, en arrivant à la bibliothèque, je saluais Sylvaine qui était en train de ranger des livres et je filais dans la salle de repos déposer ma sacoche. Claire y était occupée à l’ordinateur, une fois prêt, j’allais me mettre à mon poste, lorsqu’une envie me prît. Je me plaçais derrière elle, de façon à avoir une vue plongeante sur son décolleté et je me mis à la mater. Il se passa quelques secondes, quand claire se retourna :— Je peux savoir ce que tu fais ?Je bafouillais :— R…Rien !— Attends, tu ne regardais pas mon décolleté quand même !— Heu, non, non !— Ne me mens pas, tu es tout rouge. Je ne le crois pas, espèce de pervers.Elle paraissait furieuse, qu’est-ce qui m’avait pris ? Je me dirigeais vers la porte, honteux, lorsqu’elle m’arrêta :— Attends !Je me retournais, elle se leva, s’approcha de moi et à ma grande surprise, elle se mit à me caresser le visage du bout des doigts. Je sentais ses doigts fins passer sur ma joue, mes tempes, puis, du bout de l’index, elle effleura mes lèvres :— Emmanuel, dis-moi la vérité, tu essayais bien de voir mes seins n’est-ce pas ?Hésitant, je la regardais :— Ecoutez, je suis désolé, je ne voulais pas vous offenser.Elle me sourit :— Tu n’as pas à t’excuser. Je dois bien t’avouer que ça me fait plaisir que tu veuilles les voir, d’autant, que je suis plutôt plate, j’aurais pensé que tu materais Sylvaine, ses seins sont plus gros !Waouh ! Je n’aurais jamais cru qu’elle le prendrait aussi bien. Puis-je aller plus loin ?— C’est vrai que j’aimerais voir les seins de Sylvaine mais les vôtres me plaisent autant. La taille m’importe peu, mais j’ai toujours rêvé de voir des seins.— Dans ce cas, je vais réaliser ton rêve ! Emmanuel, je vais te montrer ma poitrine.— Vous êtes sérieuse ?Claire se recula et posa ses mains sur les boutons de son chemisier et commença à les défaire un à un. Sa chemise s’écartait de plus en plus, et je pus enfin découvrir son soutien-gorge et son joli ventre ; une fois la chemise ouverte, claire l’ôta et la posa derrière elle, sur la table, puis elle fit glisser la bretelle droite de son soutien-gorge sur son épaule et fit de même avec la gauche. Ensuite, elle le dégrafa et le déposa lui aussi sur la table. Puis, elle me regarda, souriante ; moi je regardais ses seins, ils étaient petits et tombaient mais ils avaient du volume et les tétons rouges qui pointaient légèrement m’excitaient beaucoup ! Claire s’approcha, passa ses bras autour de mon cou et commença à m’embrasser dans le cou. Elle déposait des baisers du bout de ses lèvres chaudes sur mes joues, alors je n’hésitais plus et à mon tour, je la pris dans mes bras : je posais une main sur son dos nu et la caressais avant de placer mon autre main sur ses fesses qui m’avait tant fait fantasmer. Claire cessa ses baisers, me mît torse nu et commença à m’embrasser sur le torse, puis elle descendit le long de mon ventre et elle s’agenouilla :— Qu’est-ce que vous faites ?
Elle se contenta de me sourire, puis elle déboutonna mon pantalon et me le baissa ainsi que mon caleçon. Elle posa ses mains sur mes fesses et se mit à embrasser ma queue, puis elle ouvrit sa bouche et d’un seul coup avala ma bite et se mit à me sucer. La bouche de Claire montait et descendait et je sentais sa langue qui léchait mon sexe et Claire gémissait de plaisir. Sa main droite me massait les couilles et je sentais que j’allais jouir. — Claire, arrêtez ou je vais jouir !— J’espère bien, je veux que tu éjacules dans ma bouche, d’accord ?— D’accord !Claire se remit à me sucer et sentant que j’allais venir, je posais mes mains sur ses cheveux et tout en plaquant sa tête contre ma queue, j’accompagnais Claire avec mes hanches.— Oh ça y est, je jouis ! Je jouissais dans sa bouche et elle continuait à lécher mon sexe jusqu’à ce que mon éjaculation s’achève. Claire, à genoux, se recula, je vis alors qu’elle avait du sperme, mon sperme qui lui coulait sur le menton. Elle me regarda, sourit et s’essuya la bouche d’un revers de main. Puis, s’appuyant sur la table, elle se releva et commençait à se rhabiller, ne sachant pas trop quoi dire, je me rhabillais à mon tour. Une fois prêt, hésitant, je me préparais à quitter la pièce :— Emmanuel, attends s’il te plaît ! Je crois qu’on doit parler. Je m’attendais à ce qu’elle me dise un truc du genre « c’était une erreur » ou « pas un mot à personne !».— Ne vous inquiétez pas, je n’ai pas l’intention de recommencer.— Pourquoi ? Tu n’as pas aimé ?— Si, évidemment ! Mais je pensais que …— Ne t’inquiètes pas ! En plus, tu m’as dis toi-même tout à l’heure que tu voulais voir les seins à Sylvaine et je parie qu’Emilie t’intéresse aussi.— Quel est le rapport ?— Réponds-moi franchement, Emmanuel, est-ce que oui ou non tu aimerais coucher avec moi, Sylvaine ou Emilie et même toutes les trois en même temps, te faire sucer, nous toucher là où les femmes ne se font tripoter que par leur mecs, savoir que tu peux tout demander à n’importe laquelle de nous trois sans risquer un refus. Cela te plairait?— Bien sûr !— C’est ce que j’espérais, bon écoute, je vais essayer de convaincre Sylvaine ; toi, en attendant, tu bosses comme d’habitude, OK ?— D’accord, vous pensez vraiment qu’elle acceptera ?— Je ne sais pas, mais je l’espère ! Bon, allons-y, Sylvaine va se demander ce qu’on fait !Claire me sourit et s’en alla, je la suivis et me mis à mon poste. L’après-midi passa, j’étais très occupé et je pensais à tout ce qui s’était passé dans la salle de repos. A 17H30, une fois la bibliothèque fermée, je m’apprêtais à prendre ma sacoche, quand je vis Claire qui s’en allait, elle me fit un clin d’œil et fila. Avait-elle parlé à Sylvaine ? Je pris ma sacoche, quand Sylvaine entra :— Tu t’en vas ?— Heu, oui !Elle croisa ses bras sur son opulente poitrine et me regarda :— Tu es sûr de ne pas vouloir rester avec moi, espèce de pervers !— Bon, apparemment, Claire vous a parlé.— Exact, elle m’a dit qu’elle t’avait taillé une pipe dans le bureau et que tu aimerais te constituer une sorte de harem avec moi, Claire et Emilie pour nous faire tout ce qui te passe par la tête en matière de sexe, c’est ça ?— Euh, oui mais …— Et donc, tu penses qu’Emilie et moi, on va accepter parce que pour toi toutes les femmes sont des salopes !— Non, pas du tout, vous ne comprenez pas !— Alors, vas-y explique-moi !— Ce que Claire a proposé, ce harem, ce serait un paradis pour moi ; surtout que je fantasme sur vous trois depuis mon arrivée…— Je fais partie de tes fantasmes ! Ca veut dire que tu te branles en pensant à moi, c’est ça ?— Heu…— Et je suis efficace ?— Quoi ?— Quand tu penses à moi en te touchant, ça te fais jouir ?— Heu, oui !— Je n’aurais jamais pensé que je te faisais de l’effet. Évidemment, là…Sylvaine se jeta sur moi, et me plaqua contre l’étagère et me roula la pelle du siècle, avec sa langue dans ma bouche, son corps contre le mien et ses bras autour de mon cou. Je posais une main sur ses fesses et l’autre main dans son dos, sur l’attache de son soutien-gorge. Elle s’arrêta, me sourit et recommença son roulage de pelle, ce qui était loin de me déplaire. Nous nous embrassions fougueusement, lorsque Sylvaine s’écarta :— Alors, manu, ça t’a plu ?— Oh oui !— Tu sais, je pense souvent à toi, quand je suis chez moi ! Et, c’est loin d’être chaste, en fait, j’ai souvent rêvé que tu me baisais, ici, à la bibliothèque.— Si vous êtes d’accord, on pourrait le faire en vrai !— Bien sûr que je suis d’accord, et tu sais, j’adorerais qu’on le fasse sur le bureau de prêt ! — Alors, allons-y, je bande !— Si tu savais à quel point j’ai envie de toi, Emmanuel !Nous nous dirigeâmes vers le bureau de prêt, une fois là-bas, elle me dit :— J’aimerais que ce soit toi qui te déshabilles en premier, manu, ça fait longtemps que j’ai envie de te voir nu, d’accord ?— Avec plaisir, Sylvaine !Elle s’assit sur le bureau, et je débutais mon strip-tease. J’enlevais montres, chaussures et chaussettes ; et j’ôtais mon polo. J’étais torse nu devant Sylvaine et je continuais en enlevant mon pantalon et mon caleçon, exhibant ma bite dure à ma maîtresse de stage qui avait écarté ses cuisses et se caressais entre les jambes.— Manu, déshabilles-moi et tripotes-moi !Je m’approchais et commençais à lui caresser les seins, et je déboutonnais son chemisier dévoilant son ventre, mais surtout, je dévoilais un soutien-gorge qui avait du mal à soutenir une énorme poitrine dont les globes étaient des invitations permanentes au pelotage, et j’ôtais son soutif. Ebahi, je regardais Sylvaine :— Sylvaine, tes seins, ouah ! Elle me sourit :— Ils te plaisent, hein ?— Oh oui, ils sont énormes ! C’est quoi ton tour de poitrine ?— C’est du 95E ! Et si tu veux, à l’avenir, tu pourras me les toucher quand tu le voudras !Je lui baissais son pantalon et à genoux, je l’embrassais entre les cuisses sur sa culotte, pendant qu’elle me caressait les cheveux. Je posais mes mains sur ses hanches et je lui ôtais sa culotte, pour la première fois, je voyais une chatte. Je m’apprêtais à lui lécher le sexe, quand elle m’interrompit :— Inutile, mon cœur, je mouille déjà ! Baises-moi !Elle s’allongea sur le bureau et écarta ses cuisses :— Vas-y, manu, prends-moi !Je m’approchais et posais ma bite sur le vagin trempé de Sylvaine et je m’introduisis en elle, j’avais les mains sur ses cuisses et je la baisais à fond. Ses seins majestueux bondissaient alors que je la bourrais de coups de reins, je continuais à lui faire l’amour, en sentant que j’allais bientôt jouir :— Oh manu ! Vas-y, oui, continues !— Sylvaine, je vais jouir ! Ah, ça y est, oui !!!J’éjaculais enfin :— Manu, oui, c’est bon, moi aussi, je jouis !Je souris d’aise en me déchargeant dans la moule de ma maîtresse de stage et je sentais son jus qui coulait sur le bureau :— Ah, manu, quel pied, ça fait longtemps que j’avais pas jouis comme ça ! C’était la 1ère fois que tu faisais l’amour ?— Oui, vous avez vraiment aimé ?— Oh oui, c’était très agréable !Puis, elle regarda sa montre :— Merde, déjà 18H30, retires-toi, on se rhabille, on nettoie et je vais devoir filer, tu veux que je te raccompagne ? — Non, merci, je prendrais mon bus. Je me retirais du sexe de Sylvaine, et nous nous rhabillâmes. Après quoi, elle prit une éponge dans la salle de repos et nettoya le bureau de prêt que j’essuyais, je filais remettre le torchon aux toilettes pendant que Sylvaine verrouillais la biblio.— Manu, Claire et moi, on a parlé de la façon dont Emilie allait être prévenue et on pense que la meilleure solution, c’est que ce soit toi qui lui explique, puisque c’est toi qui va la baiser ; enfin si elle accepte, bien sûr !— Et vous avez une idée, non parce que moi, je ne vois pas !— A la pause de midi, va la voir et fais-lui un truc osé.— Attendez, je n’ose pas inviter une fille au resto et vous voudriez que je lui sorte ma bite, comme ça !— Pas forcément, tripotes-lui les seins, tu dois en avoir envie, non ?— Ah, ça oui ! Mais c’est hyper risqué, elle peut aussi bien mal le prendre, se plaindre et me faire virer !— Ecoute, manu, si tu m’as baisé ce soir, c’est parce que JE t’ai fait des avances, si Claire ne t’avait pas chopé à la mater et qu’elle ne t’avais pas retenu pour te dire qu’elle aimait que tu la regardes, tu ne te serais jamais fais sucé ! Tu dois faire ta part, si tu oses, peut-être que demain, tu nous baiseras toutes les 3, mais il faut tenter le coup !— OK, tu as raison, demain à midi, j’irais !— Bravo !Nous nous quittâmes et le lendemain, la pause de midi arriva enfin. Je filais dans la salle de repos où Emilie se trouvait déjà, elle n’avait pas commencé à manger. En temps normal, je n’aurais jamais osé peloter une fille comme je m’apprêtais à le faire, mais après la journée de rêve de la veille… Je me lançais, m’approchais dans son dos et je posais mes mains sur ses seins. Sa réaction ne se fît pas attendre, elle se leva et me décocha la baffe du siècle ; elle me fixait alors que ma joue me brûlait : — Qu’ y a-t-il ?Claire et Sylvaine arrivaient, elle s’approcha d’Emilie :— Viens avec moi, tu vas me dire ce qui s’est passé.Elles sortirent.Claire s’approcha de moi et me caressa la joue :— Elle t’a giflé ?— Oui, elle y a été franchement, vous aviez prévu ça ?— Non, on a pensé que vu comme vous vous entendiez, et la façon dont elle s’habille, elle serait plus . . . ouverte.— C’est loupé, et elle ne voudra même plus me voir !— Espérons que sylvaine réussira à la convaincre !— Ca m’étonnerait !— Moi aussi, mais bon, au moins tu as pu lui toucher les seins !Je souris :— C’est vrai !Claire me passa soudain les bras autour du cou et déposa un léger baiser sur mes lèvres :— Ne t’inquiètes pas, mon chéri, sylvaine et moi sommes toujours d’accord pour coucher avec toi. En plus, après ce que sylvaine m’a raconté sur votre séance d’hier, je dois avouer que j’ai vraiment hâte que tu me baises !— Moi aussi, j’ai vraiment envie !La porte s’ouvrit soudain sur émilie et sylvaine :— Alors ? demanda claire.Emilie me fixait dans les yeux et je n’arrivais pas à savoir ce qu’elle pensait, lorsqu’elle se rapprocha de moi :— Emmanuel, je te prie de bien vouloir m’excuser de t’avoir giflé, j’ai réagi sous le coup de la surprise et je n’aurais pas dû, tu veux bien me pardonner ?Incroyable, émilie s’était non seulement excusée, mais en plus elle me demandait de lui pardonner :— Bien sûr que je te pardonne et tu es toute excusée, je n’aurais pas dû te toucher comme je l’ai fait !— Au contraire, sylvaine et claire ont eut raison de te conseiller de m’aborder de cette manière, aucun discours ne m’aurait convaincue de baiser avec toi. Alors que là, j’ai vraiment pu apprécier la chaleur et la douceur de tes mains sur mes seins et du coup, une fois la surprise retombée, j’ai regretté la gifle et tout ce que je voulais c’était que tu me touches encore.Claire intervint :— Est-ce que cela veut dire que tu acceptes qu’emmanuel et toi . . . — Si il veut toujours de moi, oui, bien sûr, j’en serais ravie !— Evidemment que je te veux encore, aucun doute là-dessus !Emilie se tourna vers claire et sylvaine :— Accepteriez-vous de nous laisser seuls, manu et moi ?— Bien sûr, claire et moi déjeunerons dehors pour vous laisser un peu d’intimité mais, Emilie, n’oublie pas que manu n’est pas ton petit copain, nous aussi pouvons baiser avec lui !— Je le sais, et ça ne me dérange pas, mais comme c’est notre première fois . . . — Pas de soucis, si vous n’avez pas fini à 14 h, ne vous inquiétez pas, on s’occupera du public et comme la pièce est insonorisée, vous serez tranquille. Prenez tout le temps que vous voudrez.Les deux femmes sortirent et je me retrouvais seul avec la jolie rousse. — Alors, je te plais ?— Oh oui, je t’ai toujours trouvé très belle !— Et qu’est-ce que tu aimes chez moi ?— Tout, tes magnifiques yeux, ton visage et … ton physique !— Ah oui, pourtant, je ne mets pas de minijupe ni de grand décolleté !— Non, mais tu t’habilles moulant alors …— Alors, tu en profites pour me reluquer, c’est ça ?— Je, euh, oui, mais …— Ne t’inquiètes pas, emmanuel, ça ne m’a jamais dérangé et puis tu sais, c’est toujours agréable de se sentir désirée !Je la fixais, ébahi d’entendre qu’elle aimait que je la regarde ! Elle me fixait aussi, quand elle décida de passer à l’action. Elle ôta son débardeur, dévoilant son ventre plat et un très sexy soutien-gorge rose en dentelle.— Wow ! Attends tu fais quoi là ?— Je me disais que tu voudrais peut-être voir mes seins, tout à l’heure, tu n’as fais que les toucher ! Tu ne veux pas ?— Oh si, alors !-Tant mieux ! Elle baissa l’une de ses bretelles, lorsqu’elle s’interrompît :— Dis, manu, et si tu venais enlever mon soutien-gorge toi-même ?— Avec plaisir !Je m’approchais d’elle et je fis glisser ses bretelles le long de ses épaules, puis je passais mes mains dans son dos. Emilie, toujours souriante, posa ses mains sur mes hanches, sans me quitter des yeux. Je dégrafais son soutien-gorge et lui ôtais, dévoilant une poitrine menue, mais qui m’excitait au plus haut point.— J’espère que mes seins te plaisent, mon chéri !— Oh oui, ils me plaisent beaucoup, tu fais combien en tour de poitrine ? — 80B.— Et je peux les toucher ?— Bien sûr !Je posais mes deux mains sur ses seins ronds et fermes, je pouvais sentir les tétons qui faisaient un léger relief sous mes doigts. Je posais mes pouces sur ses tétons et je me mît à les caresser.-Mmmh ! C’est bon ! Tu fais ça très bien, manu, c’est très agréable !-J’adore te caresser les seins, j’en ais tellement rêvé !-Sans me l’avouer, moi aussi, j’avais envie de te les montrer pour que tu puisses les toucher. Tu as remarqué que je mettais souvent des débardeurs ?-Oh oui ! J’essayais de te mater discrètement !— J’adorais tes regards sur mes seins, emmanuel, tu pouvais me les reluquer franchement. Tu sais, tant que tu te contentais de me regarder, ça allait ! En fait, les débardeurs, c’était pour te montrer mon décolleté ! Je n’osais pas admettre que j’aimais ça et que je voulais aller plus loin, que tu me caresses !-Si tu savais combien de fois j’ai rêvé que tu me dises ça !Emilie se mit à me caresser tendrement le visage, alors que sa main me caressait le dos.-J’ai envie de toi, emmanuel, tu veux ?-Oh oui ! Bien sûr, tu es tellement belle !Je lâchais sa poitrine, puis je posais mes mains sur ses reins.-Emilie, j’ai envie de t’embrasser !-Alors, vas-y, mon chéri !Je sentis une main d’Emilie se poser sur ma nuque et elle me tendît ses lèvres. J’approchais mon visage du sien, et posais mes lèvres sur sa bouche. Nos langues s’unirent, je sentais le goût de pêche des lèvres douces d’Emilie. L’une des mains d’Emilie se déplaça soudain de ma hanche jusqu’à mon entrejambe et commença à me caresser le sexe.-Dis donc, manu, on dirait que je te fais de l’effet !-Oh oui, alors !-Tu bandes fort ! -Faut dire que tu m’excites beaucoup !-Et si tu te déshabillais, après tout, moi je t’ai montré mes seins !-D’accord, et ensuite tu te mettras complètement nue, que je puisse enfin te regarder !-Je vais tout te montrer, mon cœur ! Mais toi d’abord !Je me reculais et ôtais mes vêtements, lorsque apparut mon caleçon qui laissait voir mon érection, je le baissais, dévoilant mon sexe à Emilie :-Eh bien, mon manu, je savais que j’avais bien fait d’accepter de baiser avec toi ! T’es vraiment joli garçon et quelle belle queue ! -Merci ! Je suis content que tu apprécies !-Alors, à moi ! Emilie ôta son collier, et dénoua ses cheveux qui retombèrent en cascade sur ses épaules, puis elle s’agenouilla pour ôter ses chaussures et enfin, se redressa et déboutonna son pantalon. Au fur et à mesure qu’elle enlevait les boutons, je découvrais son joli string rose et le pantalon glissa le long de ses hanches fines, de ses longues jambes fuselées :-Alors, mon cœur, et si tu venais m’enlever mon string ?Je m’agenouillais devant elle, posais mes mains sur ses hanches et lui baissais son string, dévoilant une jolie petite chatte complètement rasée. N’y tenant plus, j’approchais mes lèvres de son sexe et commençais à lui lécher. Emilie gémissait, je sentais ses mains sur mes cheveux se raidirent, elle mouillait abondamment, me faisant goûter pour la première fois au jus féminin dont je me délectais, mes mains avaient quitté ses hanches pour se poser sur fesses bien fermes. Emilie gémissait de plus en plus fort, lorsque je la sentît jouir, inondant ma bouche de sa cyprine. -Manu, haleta-t-elle, tu m’a bien fait jouir, mais rassure toi, je n’ai pas encore eut ma dose de sexe et maintenant, c’est à moi de te faire du bien !Hyper excité, je la laissais me caresser doucement la queue de ses mains si douces. Puis, elle s’agenouilla et commença à me sucer doucement d’abord puis plus vite, elle s’interrompît et à mon plus grand plaisir, se mît à me lécher les couilles avant de revenir s’occuper de ma queue, elle me suçait si bien que mon sexe fût bientôt recouvert de sa salive, moi, j’étais à deux doigts de jouir. Emilie dût le sentir, car elle s’interrompît, se releva et s’allongea sur le bureau de la salle de repos, les jambes écartées :-Viens t’occuper de moi !Obéissant à sa supplique, je m’approchais et la pénétrais avec une incroyable facilité tant elle mouillait. Ses jambes se posèrent sur mes épaules, je lui agrippais les cuisses et je me mît à la baiser. Emilie hurlait de plaisir, jouissant à n’en plus finir. Nous nous cramponnions l’un à l’autre comme soudés par une envie commune de ne plus former qu’un seul être, une seule âme à la recherche du même plaisir ultime. Je sentais son vagin compresser ma queue à chaque pulsation, et mes coups de rein ne cherchaient qu’à me faire plus profondément entrer en elle, dans sa si douce intimité.-Emilie, aaaaaah, je …vais jouir !-Vas-y, ouiiiiii ! Remplis-moi ! Inonde mon ventre de ton foutre !Libéré par ses paroles, j’éjaculais copieusement dans son sexe, comme je n’avais encore jamais jouis. Emilie, dont je sentais tous les muscles se relâcher, passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa avec fougue alors que j’étais encore en elle. Lorsque nous nous séparâmes, nous étions encore abasourdis, mon sexe pendait à présent recouvert de sperme, de salive et de mouille, le vagin d’Emilie ruisselait aussi. Nous étions en sueur et comblés par cette puissance sexuelle qui nous avait submergés. J’aidais émilie à se relever, et nous nous rhabillâmes :-Manu, j’ai adoré, tu m’as vraiment donné du plaisir, c’était incroyable ! Il faudra que l’on recommence, d’accord, mon cœur ?-Avec plaisir, ma chérie, quand tu voudras ! Pour moi aussi, c’était extraordinaire !-La prochaine fois, emmanuel, tu accepteras que ce soit moi qui sois dessus, j’aimerais te chevaucher et tu auras une meilleure prise sur mes seins, qu’en dis-tu ?-Ce sera avec plaisir !-Au fait, manu, à partir de maintenant, tu ne dois plus hésiter à me proposer du cul ou des trucs sexuels, d’accord ?-Que veux tu dire ?-Simplement, que si tu veux me caresser les seins, tu peux, cette fois je ne te giflerais pas, bien au contraire, je t’encouragerais et si tu veux que je te suce tu sors ta bite et tu me la donnes, dès que tu voudras faire quelque chose avec moi tu me le dis je serais toujours d’accord !-Avec plaisir, ma chérie ! Mais, n’hésites pas toi non plus, d’accord ?-Promis, mon coeur ! On retourne travailler ?J’acquiesçais et nous sortîmes, la bibliothèque n’avait pas encore rouvert, aussi tôt Sylvaine et Claire s’approchèrent :-Alors Emilie ?-C’était incroyable, je n’avais jamais connu de tels orgasmes, j’en viens à me demander comment j’ai pu prendre mon pied avec mes ex, avec manu, c’est très largement supérieur !-A ce point là ?-Oh oui, à un point tel que si il n’avait pas été prévu que je le partage avec vous, je vous l’aurait proposé.Claire s’approcha, passa un bras autour de mes épaules et déposa un baiser sur mes cheveux :-Et bien, ça me démange de plus en plus, manu ! Va falloir qu’on se voie très vite tous les deux.
La suite bientôt, si vous voulez !
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