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stage, secrétaire et factures

Chapitre 1

Hétéro
Tout commença dans l’entreprise où j’effectuais mon stage dans le cadre de ma formation.J’avais trouvé cette boite de BTP pas loin de chez moi dans le sud de la France.
Quand je suis rentré dans les bureaux le premier jour, j’étais un peu perdu mais existé à l’idée de bosser dans un domaine qui me plaisait et qui me plait toujours.J’ouvre la porte, longe un long couloir puis tombe dans un bureau où une femme d’âge mûre était en train de taper à l’ordinateur. moi : "Bonjour "Elle lève les yeux, me dévisage derrière ses petites lunettes ovales et me répond avec un sourire malicieux :" bonjour , en quoi puis-je vous aider ? ""Je suis thomas, le stagiaire ici pour 2 mois." réponds-je avec le même sourire."" Ah oui, on attendait ton arrivée ! Viens, je t’amène voir le directeur de l’agence."C’est fou le passage du "vous" au "tu" quand on sait que vous êtes un stagiaire et non un représentant ou un client, m’amusais-je à penser.Après une présentation des locaux, du personnel et des projets en cours, je me mets au travail. Vers 16h, tout le monde avait rendez vous à la machine à café, histoire de prendre la pause et de plaisanter un coup. Je peux ainsi me familiariser avec mes nouveaux collègues. L’effectif y était réduit mais très amical. La femme qui m’avait accueilli s’appelait Vanessa. Elle est la secrétaire de l’agence depuis 10 ans. Elle avait la cinquantaine, mais était très bien conservée, avec une poitrine assez généreuse et des fesses bien fermes, le tout dissimulé sous un ensemble tailleur gris, des bas noirs et des escarpins de la même couleur au pied. Le tout restant très sobre mais sexy.Pour être franc, j’avais vu des femmes du même âge plus belle mais pour je ne sais quelle raison, je lui trouvais un charme certain qui ne me laissait pas insensible. A la fin de la pause, nous étions les deux seuls restant à la machine à café à discuter de mes études ou du boulot à faire ici. Puis elle me dit en souriant :" tu sais, tu peux me tutoyer, j’ai peut-être l’âge de ta mère, j’ai un fils du même âge que toi, mais ce n’est pas une raison. En plus , ça fait vieille !"Je luis réponds qu’il n’y a pas de problème et qu’elle ne fait pas vieille du tout. Elle me lance un regard aguicheur :*" Merci c’est gentil...".Elle tourne les talons et retourne à son bureau. Je ne peux m’empêcher de lui mater ses fesses qui oscillées à chacun de ses pas.Sur ce, je retourne aussi à mon bureau. C’est une fois installé que je me suis rendu compte que j’avais une érection à m’en faire mal. Pendant la semaine qui suivit, j’écoute les conversations des autres. Les blagues salaces que racontait le directeur à Vanessa la laisser de marbre. Elle, par contre, parlait que son mari l’a faisait chier, que son travail la soulait,...
Le lendemain matin à la première heure, mon chef me dit que Vanessa m’a sollicité pour l’aider à régler certaines factures. Il quitte le bureau avec tout le reste de l’équipe pour aller sur un gros chantier dans une ville voisine, nous laissant Vanessa et moi seuls à nos occupations. Je rentre dans son bureau. Vanessa m’interpelle : "Ah te voilà, très bien on va pouvoir travailler. Installe toi ici ".Elle m’indique une chaise juste à côté d’elle. Sur la table était disposé des factures qui ne demandaient qu’à être traitées. "Oui je sais c’est chiant mais l’argent est le nerf de la guerre" me fit elle.Le travail commença et au bout de 10 minutes, mon esprit vagabonda. Je fixais discrètement les jambes de Vanessa qui se pliaient, dépliaient et croisaient avec beaucoup d’élégance, me donnant un début d’érection. A ce moment là, elle se penche vers moi pour récupérer une feuille dans le carton à proximité de mes pieds, s’appuyant d’une main sur le haut de ma cuisse. La réaction est immédiate : mon pénis déformait mon jean. Vanessa le remarque en se relevant, me fait un sourire, et me dit :" c’est moi qui te fait cet effet, mon mignon ? "
Bien que gêné, je bandais toujours autant. Mais je n’osais dire quoique soit."Qui ne dit rien acquiesce...Ne t’inquiètes pas, je vais arranger ça" me dit elle d’une voix sensuelle et amusée. Elle recule son siège, s’agenouille entre mes jambes, ouvre doucement ma braguette et abaisse mon pantalon. Je suis terriblement excité par la situation, ma queue ne réclame qu’une chose : se redresser fièrement ! Comme si Vanessa lisait mes pensée, elle libère ma queue de mon caleçon. La voici bien raide, ce qui la réjouissa : "Whaow, un beau blond avec une aussi grosse bite, c’est mon jour de chance ! " La voyant s’humecter les lèvres et me branler, je lui dis :" c’est aussi mon jour de chance, tomber sur une secrétaire aussi cochonne ! "." Et tu n’as encore rien vu... " rétorqua-t-elle.Elle me donne quelques coups de langue sur mon gland gonflé de sang, lèche la base de ma bite puis remonte lentement jusqu’à son sommet. C’est là qu’elle engouffre mon gland dans sa bouche et s’affaire à le lécher et le pomper. Whaow, quelle pipe ! Je suis aux anges... Je la vois la mine ravie, les yeux gourmands, ses lunettes sur le nez, enfoncer ma bite de plus en plus dans sa bouche, centimètre par centimètre... Ma queue était toute gonflée et reluisante de bave à présent. C’était divin. Cette gourmandise dura 10 bonnes minutes de jouissance jusqu’à ce que la sève commence à monter.
Ca y est, le point de non-retour est arrivé ! Mon cœur s’emballe et propulse un sang bouillant dans toutes les veines de mon corps. Je suis complètement désinhibé ! Je laisse libre court à mes instincts et pulsions et ne répond plus de rien !
Je lui saisi violemment les cheveux, me lève promptement et lui gicle plusieurs jets de sperme dans la bouche et sur les lunettes. Elle toussota un peu en avalant ma semence chaude. Une fois avoir déglutiné, elle cria :" Salaud ! tu ne m’as pas averti, j’en ai partout ! "." Dis que ça ne t’as pas plu, tant que tu y es ! " rétorquais-je directement.Faisant d’abord la moue, très théâtralement, elle se lèche les lèvres pour récupérer les dernières gouttes avec délice :" j’ai adoré ! Mais je crois que j’ai besoin d’une pause... et puis les autres ne vont pas tarder à rentrer...".Moi, scandalisé : " Une pause ?! Et puis quoi encore, j’en ai pas fini avec toi ! Et ne t’inquiètes pas pour les autres, on va accélérer le pas !".D’un geste de bras, je fais valdinguer les factures du bureau, plaque Vanessa la poitrine contre la table d’une main et de l’autre main lui maintient fermement la croupe."Qu’est ce que tu fais ?!" : hurle-t-elle. " Je m’apprête à te défoncer, quelle question ! ": lui dis-je avec mon sourire le plus vicieux." Reste tranquille, on va prendre notre pied !".Je lui relève la jupe et y découvre, pour mon plus grand plaisir, un magnifique porte-jarretelles noir recouvrant un joli string de soie de la même couleur :" Tu as un bon goût vestimentaire à ce que je vois, voyons voir celui de chatte".Je m’agenouille au niveau de ses fesses et lui écarte le string afin d’avoir sa chatte bien en évidence et à ma merci. N’y tenant plus, je lui enfourne ma langue gesticulante. Je tourne, retourne, m’amuse à lui titiller le clitoris et lécher la mouille qui dégouline de son sexe. Vanessa gémissait, se tortillait, roulait des fesses tant bien que mal puisque j’avais mes mains fermement calées dessus : " Aaahh... mon salaud... nom de dieu, je vais jouir ! Aaah...Continue ! ". Il ne fallut que quelques léchouilles de plus pour qu’elle ne jouisse sa cyprine chaude dans ma bouche. Essoufflée, elle a du mal à tenir sur ses jambes après cet orgasme. Je lui colle alors une paire de fessées et la tracte sans ménagement par son string, ce qui à pour effet de lui faire relever le postérieur et de se cambrer. "Thomas, Baise moi ! Je n’en peux plus d’attendre...Mets moi ta grosse bite" me fit elle d’une voix suppliante. Dans cette position, il est normal que Vanessa réclame son dû et je me dois de lui donner. Ma queue, n’ayant pas débandé depuis sa vidange, se dirige inexorablement vers l’orifice désiré.Je pose mon gland sur son vagin trempé, et d’un coup sec, y pénètre dans toute ma longueur. La conséquence se fait sentir immédiatement : Vanessa arrache un hurlement de douleur terrible :"AAaah ! T’es malade ! T’as failli me déchirer la chatte !".Paroles inutiles, je ne l’écoute plus. Seuls mes assauts m’importent.La taille fermement tenu, je lui assène de grands coups de butoir, la faisant jouir quand j’entrais et mourir de plaisir quand je me retirais. Cette chevauchée épique nous pris bien 20 minutes. N’y tenant plus, j’accélère mes coups de rein, tous mes muscles me font mal, nos souffles courts et nos gémissements sont maintenant à l’unisson, ma vue se trouble ! Ca y est, nous jouissons en même temps ! J’ai l’impression de flotter, j’oublie tout...Je mis un moment à retrouver mes esprits et à redescendre sur terre. Une fois sorti de Vanessa, je contemple la scène : Elle est toujours couchée sur le bureau, haletante, prise de petits spasmes, la chatte dégoulinante de mouille et de semence. Je l’aide à se relever et la tourne face à moi. Elle se tient à mon cou, fragile et instable. Je la tiens par taille pour ne pas qu’elle tombe. Quand elle retrouve ses esprits, son regard était devenu intense et brillant. Elle m’embrasse alors tendrement, puis me dit d’une voix douce : " ça fait longtemps que je n’avais pas joui autant... Il faudra remettre ça ". J’acquiesce avec grand sourire. M’apprêtant à remettre mon caleçon en place, Vanessa me stoppa net en s’alarmant : " Attends malheureux ! Il te reste du jus sur le gland, tu vas tacher ton caleçon." Elle s’abaisse et me nettoie délicatement la bite avec sa langue tout en me regardant droit dans le yeux. " hop et voilà le travail ! " ponctue-t-elle avec un petit coup de langue sur mon méat. A ce moment-là, nous entendons la porte d’entrée s’ouvrir au loin... En quatrième vitesse, nous nous rhabillons. Je m’installe au bureau tandis que Vanessa ramassait les dernières factures par terre. Je lui fais vite remarquer qu’il lui reste du sperme sur l’un de ses verres de lunette. Elle l’essuie du doigt furtivement, avant de le mettre à bouche, faisant disparaitre toute trace du forfait. Le groupe passa devant notre bureau, ne prêtant pas attention à nous, à l’exception de mon chef qui me demande si nous avions fini. " Il en reste pas mal encore à faire." répond Vanessa. " Bon, on a des réunions avec toute l’équipe toute la semaine comme ce matin, ça te dérange pas filer un coup de main à Vanessa pendant ce temps-là Thomas ? " demande-t-il.
" S’il le faut, je veux bien lui filer un coup de main." réponds-je.
Et quelques coups de bite, tant qu’on y est....
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