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En stage de soumission

Chapitre 7

Un week-end en chantier

SM / Fétichisme
Elle se retrouva seule et nue dans la pièce, entourée par les trois hommes. Tout comme le propriétaire, il n’était guère du genre à être patient. Très vite, trois paires de mains parcoururent tout son corps, ses seins, ses fesses, son sexe. Ils s’esclaffèrent en constatant à quel point elle était déjà trempée.Rapidement, ils la mirent à genoux, sortant leurs trois sexes tendus qu’elle s’empressa de sucer alternativement, tout en branlant les deux autres. Là aussi, les quolibets pleuvaient sur ses talents de suceuse, et les trois hommes ne se gênaient pas pour enfoncer leur sexe au plus profond de sa gorge, s’amusant de la voir saliver et baver à chaque intromission poussée.L’un d’eux sembla se lasser de sa bouche et il fit le tour, contemplant un instant ses fesses. Il s’agenouilla derrière elle « Il est temps de vérifier si c’est vrai qu’elle aime bien se faire enculer à sec la demoiselle ! », dit-il à l’adresse de ses deux amis.Sans qu’elle ait le temps de réagir, la jeune fille sentit un gland épais venir se poser contre sa rondelle et entrer sans aucune forme de préparation dans son petit trou. Heureusement pour elle, son cul était encore ouvert de la sodomie précédente et le sperme du propriétaire, qui enduisait tout son anus, servit de lubrifiant pour faciliter cette pénétration qui n’en restait pas moins brutale. L’homme s’enfonça quasiment d’une traite entre ses fesses tandis qu’elle grimaçait de douleur tout en poursuivant ses fellations. Quand il fut bien au fond d’elle, il lui asséna une claque sonore sur la fesse droite « On rentre dans son cul comme dans du beurre les gars ! cria-t-il avec satisfaction. Elle a l’air toute timide en apparence, mais je pense en fait qu’on est tombé sur une bonne chienne qui doit aimer se faire défoncer le cul régulièrement ! ». Sans plus attendre, il se mit à aller et venir vigoureusement dans son cul, claquant régulièrement ses fesses au rythme de sa pénétration. Il sortait son sexe de tout son long avant de rentrer à nouveau en elle avec vigueur, la forçant à chaque nouveau coup de boutoir à creuser davantage les reins. Elle avait de plus en plus de mal à se concentrer sur les deux queues dressées face à elle. Elle les masturbait et les prenait parfois en bouche, mais désormais de longs gémissements sortaient en continu de ses lèvres sous l’effet de la sodomie sauvage que lui infligeait le maçon. Elle sentait la mouille couler entre ses cuisses et le plaisir irradier dans tout son cul à chaque nouvelle poussée violente dans son fondement. Les trois hommes ne manquèrent pas de remarquer son plaisir croissant. « Vous entendez comme elle couine les gars ? dit l’un d’eux. Çà doit être la première fois qu’elle se fait enculer par un vrai mec ; elle prend son pied la petite salope. On va bien s’amuser à la démonter durant tout le week-end, et je crois qu’elle va bien aimer çà aussi cette chienne ».Loin de lui déplaire, ces mots ne firent qu’accroitre encore son excitation ; son anus se contractait de plus en plus autour de la queue qui la labourait, elle la sentait comme jamais et elle sentait surtout son orgasme monter et monter encore. Elle ne pouvait plus résister et soudain elle explosa. Tout son corps se cabra, elle tressauta de tous ses membres en criant de plaisir tandis que la queue allait et venait en elle.Ses hurlements de plaisir déclenchèrent à leur tour l’orgasme des trois maçons. Alors qu’elle jouissait encore, elle sentit des giclées de foutre crémeux venir s’abattre sur son visage, la couvrant du front au menton. Le troisième homme qui la sodomisait depuis plusieurs minutes sortit à son tour son sexe et se branla vigoureusement pour éjaculer sur ses fesses qui furent à leur tour couvertes de sperme chaud.
« Ce n’est pas tout cela, mais il va falloir qu’on se mette au travail, dit le chef alors qu’elle reprenait ses esprits. Nous avons promis d’avoir fini pour lundi ; on va en avoir pour tout le week-end !— Tu as raison, répondit un deuxième, allons-y !— J’ai une idée, enchérit le troisième, si on l’emmenait avec nous ? Elle nous tiendra compagnie et pas besoin de redescendre quand on aura une petite « envie ».— Super ! » Répondirent en chœur les deux autres. Sur ces paroles, un des hommes la prit sous le bras pour la relever et la conduire vers l’entrée. Les deux autres avaient déjà franchi la porte et commençaient à monter les escaliers. Elle voulut attraper son peignoir, mais il l’en empêcha, lui expliquant qu’elle n’en aurait pas besoin là où ils allaient. Elle se retrouva donc nue, couverte de sperme, à monter les étages. Elle priait à chaque palier pour ne croiser personne et ce fut le cas. Il n’y avait d’ailleurs que deux étages à monter. Les trois maçons travaillaient à la réfection d’un deux-pièces à peu près similaire au sien. À peine arrivés, ils aménagèrent un petit espace dans la pièce principale avec un matelas. Ils l’installèrent dessus, lui disant de se mettre à quatre pattes, de ne pas bouger et de se « tenir prête ».Ils se mirent ensuite à travailler tout en discutant bruyamment. Ils ne manquaient pas de la regarder et de commenter sa posture à chaque fois qu’ils passaient devant elle.« Tiens, tu n’as qu’à te branler pendant qu’on travaille, çà nous fera un peu de distraction ! », lui dit l’un des hommes.Sans chercher à discuter, elle passa sa main entre ses cuisses ; sa chatte était toujours aussi trempée qu’au début. Elle commença à caresser lentement sa vulve brulante et son clitoris érigé. Très vite, la pièce résonna de ses gémissements tandis que les trois hommes poursuivaient leurs travaux sans pour autant perdre une miette du spectacle de cette superbe fille qui se masturbait frénétiquement sous leurs yeux.Très vite, l’un d’eux fut suffisamment excité par ses cris et il vint se positionner derrière elle, saisissant sa taille avant de s’enfoncer brutalement dans son cul. C’était la troisième sodomie de la journée pour elle et le passage commençait à devenir totalement ouvert. Il la prit jusqu’à la garde en quelques poussées seulement.L’homme besognait son cul tandis que ses deux collègues poursuivaient leurs activités ; ils s’arrêtaient parfois pour regarder ou l’encourager vivement : « Vas-y, défonce-lui bien son petit cul de chienne ! », « Plus fort, fais la bien crier comme la petite salope qu’elle est ! ». Elle se sentait totalement utilisée, soumise au bon vouloir de ces hommes et leurs commentaires salaces ajoutaient encore à son excitation. Elle était à nouveau toute proche de la jouissance et son anus palpitait de plus belle. Elle n’eut toutefois pas le temps de jouir car l’homme qui allait et venait entre ses fesses poussa soudain un cri rauque et elle sentit sa verge se tendre et déverser un flot de sperme au plus profond de son cul. Il se retira aussitôt, il se rhabilla, lui asséna une belle claque sur la fesse droite en murmurant « Bonne chienne », et il reprit son activité comme si de rien n’était.

Les deux autres maçons vinrent également « prendre leur dû » à tour de rôle ; l’un lui prit le cul avec une facilité déconcertante tandis que l’autre pénétra sa chatte tandis qu’elle continuait de se masturber. Elle jouit bruyamment à trois reprises suite à ces deux nouvelles saillies vigoureuses.L’heure du repas approchait et les trois hommes décidèrent d’aller déjeuner dans la rue. Avant de partir, l’un d’eux fouilla dans leur boite à outil. Il en sortit une longue chaine qu’il passa autour du cou de la jolie stagiaire. Il l’enroula ensuite à plusieurs reprises au pied d’un meuble tout proche et il ferma avec un cadenas. Elle était désormais enchainée au meuble, la tête maintenue au sol. « Même docile, une chienne çà s’attache, on ne sait jamais, crut-il bon d’expliquer à ses deux amis. Vu comme elle a l’air en rut, elle risque de se sauver pour aller se faire mettre par tous les mâles du quartier ! ». Les trois hommes éclatèrent de rire et partirent déjeuner.Ils revinrent plus d’une heure après, guillerets ; ils avaient sans doute bu durant le repas. Elle n’avait pas bougé, elle en était de toute façon incapable avec la chaîne. L’un des hommes vint ôter le cadenas, laissant la chaîne autour de son cou, mais lui permettant de bouger plus librement. Il tenait dans sa main un sandwich. Il allait le lui donner quand un de ses collègues l’arrêta.« Attends ! dit-il.— Quoi, répondit l’autre homme, elle doit quand même avoir faim.— Oui, mais je propose qu’on lui rajoute des protéines ; elle va avoir besoin de prendre des forces ! »L’homme saisit alors le sandwich ; de son autre main, il baissa son pantalon et sortit son sexe qu’il commença à masturber rapidement. Les deux autres le regardaient faire, étonnés. Après quelques minutes, il jouit en criant, et il déversa son sperme sur le sandwich. Il le tendit ensuite à ses collègues d’un air entendu. Les deux hommes avaient compris, et, à tour de rôle, ils se mirent eux aussi à se branler sur le sandwich qui fut bientôt couvert d’une belle dose de sperme. Ils lui tendirent à nouveau le pain ; son ventre gargouillait, elle avait faim, très faim, et surtout pas le choix. Elle prit le sandwich et elle commença à mordre dedans. Il était au poulet mais c’était surtout le gout du foutre des trois hommes qui l’emportait sur tout le reste. Elle mangea sous l’œil attentif des trois hommes. « Çà va ? Tu t’es régalée ? Lui dit l’un des maçons quand elle eut fini. Tant mieux ; allez, remets-toi en position, on va te baiser avant de reprendre le boulot, çà nous détendra ». Sans hésitation, elle se mit à quatre pattes sur le matelas, écartant les cuisses, espérant ainsi les inciter à délaisser son petit trou pour sa chatte. C’était cependant mal les connaitre… L’un après l’autre, ils se succédèrent entre ses fesses, la sodomisant toujours avec autant de brutalité que durant la matinée. Son cul chauffait comme jamais et une douleur sourde se mêlait de plus en plus au plaisir. Cela ne l’empêcha toutefois pas de jouir deux fois de plus sous les assauts des trois hommes. Tour à tour, ils éjaculèrent au plus profond d’elle, déversant leur foutre chaud dans son anus. L’un d’eux fixa à nouveau la chaîne au pied du meuble, la maintenant ainsi au sol dans sa position de levrette. Ils se remirent ensuite au travail tandis qu’elle restait immobile, telle une chienne docile attendant la prochaine saillie ; elle sentait le sperme qui s’échappait de son petit trou et qui coulait lentement le long de ses fesses et de ses cuisses.
Elle passa le reste de l’après-midi dans cette position. Les trois hommes venaient la prendre dès qu’ils le souhaitaient. Elle avait la tête posée sur le matelas, et elle sentait alors un gland venir se poser, parfois à l’orée de sa chatte, mais le plus souvent contre son anus. Son cul chauffait comme jamais, mais il était désormais parfaitement ouvert et ils pouvaient lui prendre l’anus sans difficulté désormais, s’enfonçant au plus profond d’elle dès la première poussée.Elle avait la sensation de ne plus être qu’une poupée, un objet, un trou, à disposition des maçons. Ils se relayaient quasiment en continu en elle, ne lui laissant que peu de répit entre chaque pénétration. Son anus était désormais rempli de foutre qui dégoulinait sans relâche sur sa peau nue.Elle ne fut détachée qu’une seule fois : un des maçons défit la chaine et la fit se retourner, à genoux. Elle prit son sexe en bouche immédiatement, mais c’était de sa poitrine dont il avait envie. Il cala sa queue tendue entre ses seins et il lui intima de le masturber avec ses deux globes de chair. Une fois de plus elle obtempéra sans discuter tandis que l’homme se servait de la chaîne autour de son cou pour la diriger et dicter son rythme. Il profita un long moment de la caresse avant enfin de jouir en déversant son plaisir sur sa poitrine offerte.En fin d’après-midi, on sonna à la porte de l’appartement. Elle resta « en position » et elle comprit, en écoutant les voix, qu’un fournisseur venait apporter du matériel pour le chantier. Ils laissèrent l’homme entrer pour déposer sac marchandise, sans se soucier qu’elle soit ainsi exposée à sa vue. Elle n’osa pas bouger, mais elle pouvait sentir le regard de l’homme se poser sur elle. « C’est qui elle ????, finit-il par demander.— Elle ? répondit l’un des trois hommes avec une pointe d’ironie dans la voix. Apparemment, c’est la petite chienne du propriétaire de l’appartement ; il nous la prête pour la journée pour nous détendre.— Elle te plait ? enchérit un autre. Si c’est le cas, il y a moyen que tu te détendes aussi un peu…— Qu’est-ce que vous voulez dire, demanda le fournisseur, avec un ton intéressé.— C’est simple : si tu veux, elle peut te sucer avant de retourner faire tes livraisons ! tu es un brave type, on peut partager avec toi !— Vous êtes sérieux ? s’exclama l’homme qui semblait ne pas en revenir. Mais elle va être d’accord ?— Elle est là pour obéir, alors si on lui dit de te sucer, elle te sucera ! Hein, petite chienne que tu suces quand on te le dit ? dit-il en s’adressant à elle.— Oui monsieur, répondit-elle sans hésiter.— Tu vois : dressée à obéir comme une bonne salope, poursuivit le maçon. C’est le genre de fille qui ouvre la bouche dès qu’elle voit une queue de toute façon. Intéressé alors ?— Et comment ! s’esclaffa le fournisseur.— Parfait alors ! Allez, viens sucer notre ami toi ! ».Elle se redressa et se tourna tant bien que mal malgré la chaîne autour de son cou. Le fournisseur s’avança vers elle, le sourire aux lèvres. Il baissa son pantalon et sortit son sexe déjà en érection. Il n’était pas très long, mais en revanche très large, un des plus larges qu’elle ait vu. Il vint se positionner devant elle et, sans qu’il n’ait rien à dire, elle commença à lécher doucement son sexe de bas en haut, s’arrêtant plus particulièrement sur le gland. L’homme semblait apprécier cette caresse. « Vous aviez raison, elle ouvre la bouche dès qu’elle voit un sexe ! commenta-t-il. Elle lèche ma queue comme une glace cette petite chienne ! Mais il va falloir passer à autre chose ma belle… ». D’un geste, il empoigna sa chevelure tout en tirant de l’autre main sur la chaîne et il vint forcer l’entrée de ses lèvres avec son sexe volumineux. Elle parvint à le prendre en bouche non sans quelques difficultés, mais grâce aux séances matinales avec le gode, elle réussit à happer entièrement le large chibre ; intérieurement, elle en fut reconnaissante à son maître de stage. Elle commença alors un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide, pressant même ses lèvres toujours plus loin, pour enfin venir toucher le pubis du fournisseur et sentir le gland énorme buter contre sa glotte. L’homme n’en revenait pas.« Waoww ! s’exclama-t-il Vous avez vu çà les gars ? La petite demoiselle aime la gorge profonde, on dirait ; elle a pris mon gros calibre tout entier sans rechigner ! Une vraie petite traînée ! ». Il prit alors sa tête entre ses mains et il se mit à accélérer le mouvement de va et vient tout en s’enfonçant à chaque fois tout au fond de sa bouche. Tout allait bien tant qu’elle avait encore le contrôle, mais là elle était totalement soumise au coup de boutoir du sexe énorme qui allait et venait entre ses lèvres, forçant à chaque fois sa gorge de toute sa largeur. Elle gargouillait et salivait abondamment, peinant à chaque fois pour reprendre son souffle entre chaque nouvelle poussée vigoureuse.L’homme baisait sa bouche avec de plus en plus de force, faisant aller sa tête sur sa queue en accélérant sans cesse. Il se ficha finalement au fond de sa gorge et elle sentit le sexe se tendre et gonfler encore plus, lui coupant quasiment la respiration ; il maintint la pression sur son crâne pour rester bien au fond d’elle tandis qu’il jouissait enfin. Son éjaculation semblait interminable ; il ne devait pas avoir joui depuis longtemps. Des rasades successives de sperme coulaient directement au fond de sa gorge et elle déglutissait tant bien que mal pour les avaler une à une. Il relâcha finalement sa pression et elle se dégagea, bavant sur le matelas tout en reprenant son souffle avec difficulté. « C’était super, merci les gars ! dit le fournisseur en se rhabillant. À bientôt et au plaisir mademoiselle ! ». Sur ces derniers mots, il sortit et les trois hommes se remirent à leurs activités.
La journée de travail prit fin vers dix-huit heure ; ils décidèrent de la sodomiser une dernière fois « pour se dire au revoir ». Ils partirent en riant, heureux de cette belle aubaine. Elle resta un instant sur le matelas, reprenant ses esprits. Elle se leva enfin, se rappelant qu’elle n’était pas chez elle ; il fallait qu’elle descende deux étages pour regagner son appartement. Elle guetta le bruit dans l’escalier ; tout paraissait silencieux, elle se mit donc à descendre les marches quatre à quatre. Alors qu’elle descendait la dernière volée de marche qui la menait à son palier, elle tomba nez à nez avec un jeune couple, ses voisins en fait, qui montait dans le sens inverse. Ils restèrent tous les deux interdits en la voyant, nue et couverte de plaques de sperme séchées. Elle se rua sur sa porte, tourna la clé et entra chez elle, rouge de honte.
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