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En stage de soumission

Chapitre 9

Dernier avertissement

SM / Fétichisme
Elle pénétra dans le hall de l’entreprise en courant ; elle était presque en retard. Son réveil avait sonné, mais elle s’était rendormie malgré elle, épuisée par son week-end. Après s’être faite sauvagement prendre par les sept hommes durant une partie de la nuit, les trois maçons l’avaient réveillée dès huit heure le lendemain, la tirant sans ménagement du lit pour l’emmener dans l’appartement en réfection. Là, tout comme le samedi, elle avait littéralement servi de trou, ou plutôt de trous avec un « s », livrée à toutes les envies des trois hommes. Il l’avait prise encore et encore, profitant de sa bouche, de sa chatte et de son cul autant qu’ils le souhaitaient. Ils l’avaient quitté en début de soirée, à nouveau couverte de foutre ; elle s’était effondrée dans son lit mais la nuit n’avait pas été suffisante pour récupérer. Elle s’était réveillée in extremis et elle avait dû courir pour espérer arriver à l’heure.Elle entra dans le bureau de son maître de stage, passablement essoufflée. Sans attendre, elle passa sous son bureau, ouvrant sa braguette et sortant son sexe pour le sucer tandis qu’il travaillait sur un dossier. Elle se rendait compte à quel point elle avait progressé : elle arrivait désormais à prendre son chibre entièrement dans sa bouche, l’enfonçant au plus profond de sa gorge sans rechigner. Elle parvenait même à le garder ainsi pendant de longues secondes avant de le relâcher, les larmes aux yeux.Il semblait apprécier ses nouveaux talents car il éjacula très vite entre ses lèvres. Comme à chaque fois, elle avala avec délectation le fruit de son plaisir ; plus elle le suçait et plus elle aimait sentir son foutre crémeux tapisser sa gorge et son palais. Elle décida d’innover un peu et elle se redressa sous le bureau, le regardant droit dans les yeux : elle ouvrit alors grand la bouche pour qu’il voit son sperme chaud qu’elle n’avait pas encore avalé, jouant avec sa langue à le faire couler encore et encore.Il lui sourit, l’air satisfait de son geste. Elle se releva alors et elle prit, sans qu’il ait à le lui dire, le gode et le nécessaire qui l’accompagnait. Quelques instants plus tard, elle était à genoux contre le mur, l’énorme sextoy coulissant entre ses lèvres avec plus de facilité encore que les autres jours. Les dix minutes s’écoulèrent bien plus rapidement que les fois précédentes.
Quand elle eut fini, elle commença à défaire le dispositif, mais son maitre de stage l’interrompit.« Fixe le gode un peu plus bas et enfonce-le-toi dans le cul ; tu me fais des va et vient pendant cinq minutes, et pas des petits, c’est compris ? » lui ordonna-t-il.Elle regarda un instant l’énorme sextoy, ne sachant pas si elle parviendrait à le faire entrer entre ses fesses. Il sentit son hésitation.« Mon neveu me parle de plus en plus de ton cul, lui expliqua-t-il. Je pense qu’il a bien envie de te sodomiser ; à ta place, je commencerais par m’entrainer avec le gode si tu veux que tout se passe bien… ». Elle repensa alors en frémissant au sexe volumineux de son collègue… Jamais elle n’arriverait à encaisser un tel monstre… Mieux valait en effet se préparer.Elle fixa alors le gode ventouse un peu plus bas et elle se mit à quatre pattes, dos au mur. Avec beaucoup de précaution, elle vint appuyer le gland de latex contre son anus. Il avait été fort sollicité durant tout le week-end et elle le sentit s’ouvrir à ce simple contact. Le sextoy était couvert de salive et elle n’estima pas nécessaire d’ajouter plus de lubrifiant. Elle serra les dents et lentement elle poussa vers l’arrière pour faire entrer le jouet. L’introduction fut lente et pénible ; elle s’arrêtait souvent pour reprendre son souffle et se détendre. Elle avait l’impression d’être entièrement écartelée par le pieu de latex qui s’enfonçait à chaque mouvement un peu plus dans son fondement. Elle n’était qu’à mi-chemin mais cela lui paraissait déjà énorme et elle ne voyait pas comment aller plus loin. Elle commença alors quelques allers-retours timides« J’ai dit de beaux va et vient, tu es sourde ? La tança vertement son maitre de stage. Et prends le plus dans ton cul, tu ne dois rien sentir là ! ».Obéissante, elle tenta d’enfoncer davantage le gode en elle ; cela fut encore plus dur et plus pénible, mais elle y parvint progressivement tout en allant et venant plus rapidement et plus vigoureusement. Elle se sodomisait elle-même avec l’énorme sextoy et petit à petit une immense chaleur l’envahissait, des vagues de plaisir irradiaient sans discontinuer de son cul vers tout son corps. La gêne et la douleur avaient laissé la place à un plaisir qui allait croissant, tellement croissant qu’elle se sentait au bord d’un orgasme terrible. Elle serrait désormais les dents pour ne pas jouir, et chaque nouvelle poussée de son bassin vers le pieu de latex la rapprochait un peu plus d’une extase qu’elle savait interdite. Tous ses sens étaient complètement affolés et son cerveau peinait à garder le contrôle tellement elle n’avait plus qu’une envie : ruer comme une chienne pour empaler son cul encore et encore. Elle se sentit profondément soulagée quand son maitre de stage lui annonça que les cinq minutes étaient écoulées car elle ne pensait plus pouvoir tenir plus longtemps ; soulagée mais aussi immensément frustrée…
Elle se releva péniblement, et elle remit l’ensemble des accessoires en place. Elle allait partir quand son maitre de stage l’interpela.« Comment s’est passé ton week-end ? Lui demanda-t-il— Bien, répondit-elle hésitante.— C’est un peu court comme réponse…— Je… » Elle hésitait, ne sachant si elle devait dire la vérité. Son maitre de stage la regardait avec insistance, ses yeux la transperçaient. Elle avait l’impression qu’il savait, qu’il était au courant qu’elle avait joui un nombre de fois incalculable durant le week-end malgré son interdiction. Elle se remémora sa dernière punition, mais elle craignait d’être punie encore plus sévèrement si elle mentait. « J’ai joui malgré votre interdiction, dit-elle, préférant la vérité. Je suis vraiment désolée.— Tu as joui ? s’étonna-t-il. Tsss… Décidément tu es incorrigible, mais il va falloir tout de même que je te corrige… En tout cas tu n’as pas cherché à cacher la vérité, c’est bien. Dis m’en plus sur ce qui s’est passé ! ».
Elle lui raconta alors l’ensemble de son week-end, répondant à toutes ses questions et lui livrant les détails les plus intimes et les plus salaces. Elle avait l’impression que parler l’éloignait encore pour quelques instants du châtiment qu’elle allait subir et qu’elle anticipait comme terrible.« Se faire pardonner avec son cul… En fait çà ne m’étonne pas de toi. J’avais décelé dès les premiers jours que tu étais une petite salope soumise qui ne demandait qu’à être révélée, c’est désormais chose faite… Toutefois, tu ne sembles toujours pas avoir compris que ta jouissance n’était plus de ton ressort ; en fait plus rien de ce qui a trait à ta sexualité n’est de ton ressort ! Tu es maintenant là pour te faire baiser selon mon bon vouloir et tu ne jouis que si je le décide, c’est la dernière fois que je te le dis, compris ?— Oui monsieur, répondit-elle humblement. Je suis vraiment navrée de vous avoir désobéi.— J’accepte tes excuses, mais cela ne te dispense pas d’être châtiée comme il se doit, est-ce que tu le comprends ?— Oui monsieur, répondit-elle à nouveau. Je le comprends et je mérite d’être punie, je n’aurais pas dû vous désobéir ».Elle n’en revenait pas de tenir ses propos et de l’emprise qu’il avait pris sur elle en quelques jours ; car elle pensait réellement ce qu’elle disait, elle appelait en fait la punition de tous ses voeux pour pouvoir expier sa faute.
Son maitre de stage la prit par le bras et il la mena au centre de la pièce, comme lors de sa première punition. Cette fois, il fixa une paire de menottes à ses poignets et il les attacha à l’aide d’une chaine au crochet suspendu au plafond. Elle se retrouva ainsi les bras entravés et tendus vers le haut. Il fixa à nouveau la barre d’écartement à ses chevilles.Satisfait de son oeuvre, il envoya un message via son téléphone. Quelques instants plus tard, une des trois assistantes entrait dans le bureau. Elle salua le maitre de stage avant de regarder à nouveau la jeune fille avec un mépris affiché.« Alors petite pétasse, tu as encore fait des bêtises ? Soupira-t-elle.— Tout à fait, répondit le directeur. J’ai tout de suite pensé à vous pour la corriger comme il se doit.— Vous pouvez compter sur moi monsieur, répondit l’assistante avec un sourire carnassier.— Parfait dans ce cas. Combien de fois as-tu joui ce week-end ? demanda-t-il en se tournant vers la stagiaire.— Je ne saurais dire monsieur, je ne sais plus… bredouilla-t-elle.— Et bien tâche de te souvenir ! cria le maitre de stage.— Je dirais au moins quinze fois monsieur, dit-elle.— Quinze fois ???? s’exclama l’assistante. Si je puis me permettre monsieur, ce n’est pas une stagiaire que vous avez là, mais plutôt une chienne en rut. Je comprends que vous ayez besoin de la dresser à mieux se comporter.— Tout à fait, acquiesça l’homme. Ce sera deux coups par orgasme, enchérit-il en tendant une badine à l’assistante.— Je reconnais votre mansuétude, monsieur. Si cela n’avait tenu qu’à moi, cette petite catin aurait reçu plus que trente coups, croyez-moi.— Je n’ai pas dit qu’elle n’aurait que trente coups, ce n’est que le début de la punition , répondit le directeur d’un air énigmatique. Allez-y ! ».À peine eut-il prononcé ces mots que la badine s’abattit brutalement sur les fesses de la jeune stagiaire, lui arrachant un cri aigu. L’assistante ne lui laissa aucun répit et la longue tige de bois frappa à nouveau son cul offert. Elle essayait tant bien que mal de se tortiller, de se cramponner aux menottes, mais elle ne pouvait rien faire pour éviter les coups qui se mirent à pleuvoir sur ses fesses.La femme prenait un malin plaisir à zébrer son postérieur avec son instrument ; la stagiaire criait et elle avait la sensation que chaque coup était plus violent que le précédent. Elle serrait les dents dès qu’elle entendait le sifflement de la badine, se préparant tant bien que mal à la morsure cuisante qui suivait. L’assistante ne jouait pas cette fois-ci, les coups tombaient méthodiquement, un par un.Lorsque le trentième coup arriva, ses fesses étaient en feu, couvertes des traces de badine. Malgré la douleur, elle ne pouvait s’empêcher à nouveau de ressentir une profonde excitation. Dans cette position particulièrement exposée, elle n’avait qu’une envie : se faire prendre par son maitre de stage.
Celui-ci sembla entendre ses voeux, car il s’approcha d’elle, massant d’abord délicatement ses fesses meurtries. Très vite, il les écarta avec fermeté et elle sentit avec délice son gland venir se poser contre son anus frétillant. Il allait la sodomiser et elle en mourrait d’envie. Du bout de ses doigts, il joua lentement à exciter ses tétons, tandis que son sexe restait à l’orée de son cul.Elle ferma les yeux, profitant de la douce caresse, gémissant de plaisir… Quand soudain elle sentit une vive morsure sur son téton droit ; elle cria de douleur et de surprise. Elle avait reconnu la sensation : c’était la pince à sein de la dernière fois. Elle se prépara à ce qui allait suivre et son cri fut moins aigu quand son téton gauche subit le même sort.C’est ce moment-là qu’il choisit pour s’enfoncer en elle ; il y parvint sans difficulté tant elle était prête et excitée. Il la prit jusqu’à la garde. Il avait passé la chaine des pinces non pas devant mais derrière elle ; et il se mit à utiliser cette chaine d’une main pour la guider dans ses assauts. Il tirait sur la chaine pour la forcer à mieux se cambrer, ou à venir encore plus à la rencontre de son chibre qui labourait son cul. Chaque traction renforçait la sensation de morsure sur ses seins et il en jouait d’une manière diabolique. Malgré tout cela, la sensation de sa queue entre ses fesses était divine ; elle criait de plus en plus son plaisir et elle sentait à nouveau l’orgasme tout proche. Lui aussi devait le sentir, et il fit un geste de la main à l’assistante. Immédiatement, celle-ci se plaça face à la stagiaire, et elle envoya un coup de badine sec et précis sur son sexe. Tout son corps trembla sous le choc alors qu’elle poussait un râle de douleur. Elle voulut refermer ses jambes, mais la barre l’en empêchait, maintenant ses cuisses grandes ouvertes et son sexe totalement offert.Le directeur n’arrêta pas pour autant ses va et vient, il redoubla même d’intensité dans ses coups de boutoir, tirant plus fort sur la chaine. Malgré la douleur encore vivace dans son clitoris, elle sentait à nouveau le plaisir monter et elle savait très bien ce qui l’attendait ; en effet, alors qu’elle se mettait à gémir à nouveau, un deuxième coup s’abattit sur sa vulve, la faisant crier de plus belle.Son maitre de stage semblait infatigable et imperturbable. Il lui baisa le cul ainsi avec une régularité impressionnante, la faisant à chaque fois tutoyer des sommets de plaisir, immédiatement sanctionnés par un coup vif sur son sexe trempé. Plaisir et douleur se mêlaient désormais sans relâche, l’amenant au bord d’une extase telle qu’elle n’en avait jamais connue.Ses jambes la soutenaient à peine, seules les mains du directeur qui tenaient fermement ses hanches, et les menottes qui la maintenaient entravée, l’empêchaient de s’écrouler au sol. Elle en arrivait à un stade où même les coups de badine sur son clitoris faisaient monter son plaisir d’une manière qu’elle n’aurait jamais cru possible. Elle ne voyait désormais plus comment elle pourrait résister à l’orgasme qui menaçait d’exploser dans tout son corps.Heureusement pour elle, son maitre de stage jouit enfin ; il se retira de ses fesses et éjacula abondamment sur son cul et ses reins tandis que l’assistante semblait accompagner chaque nouvelle giclée qui atteignait sa peau par un coup de badine sur sa chatte.
Ils la détachèrent doucement, la guidant vers le canapé pour qu’elle s’assoit et reprenne ses esprits. Tous ses muscles tremblaient encore de ce qui venait de se passer et son sexe et son anus palpitaient comme jamais, criant après le plaisir qui lui avait été refusé. Elle finit par reprendre son souffle.« J’espère que cette fois tu as compris la leçon ? Lui dit son maitre de stage.— Oui monsieur, répondit-elle ; elle se sentait totalement matée cette fois.— Parfait, répondit-il avec satisfaction. C’est ce que nous allons voir dans les prochains jours… Pour commencer, tu m’accompagneras demain : j’ai un rendez-vous avec un fournisseur qui nous a causé des problèmes et je pourrais avoir besoin de toi dans la négociation. Ensuite, pour expier définitivement ta faute, j’ai décidé que tu servirais de premier prix pour le prochain concours de nos équipes commerciales : celui qui aura réalisé le meilleur chiffre d’affaires du mois te recevra en récompense pour une journée entière. Cela devrait en motiver plus d’un ! ».Elle l’écoutait parler avec incrédulité… Premier prix pour le prochain concours de nos équipes commerciales ? Elle en était donc là… Un prix qu’on offrait en récompense, tout comme son propriétaire l’avait offerte à ses ouvriers. Elle frémissait à cette seule pensée, et en même temps, elle en ressentait une excitation encore accrue. Sa chatte était en feu, elle mourait d’envie de se caresser pour enfin jouir.L’assistante l’observait du coin de l’oeil, elle semblait hésitante ; elle finit par se racler la gorge.« Monsieur, si je puis me permettre, dit-elle à l’adresse du maitre de stage. Je ne sais pas si on peut faire confiance à une traînée pareille. Regardez là : elle est en chaleur ! J’ai peur que dès que nous ayons le dos tourné, elle n’en profite pour se branler…— Non, cria la jeune fille, je vous jure que je ne ferai rien, vous pouvez…— Tais-toi, lui intima son maitre de stage, pensif. Vous n’avez pas tort, dit-il à l’adresse de l’assistante. Il est peut-être encore un peu tôt pour lui faire totalement confiance… Lève-toi ! » ordonna-t-il à la jeune femme.
Elle obtempéra, tout en lançant un regard noir à l’assistante. Elle le regretta immédiatement, car celle-ci s’approcha d’elle, menaçante. Elle agrippa sa chevelure, la tirant violemment vers l’arrière.« Qu’y a-t-il petite pétasse ? Lui dit-elle méchamment. Tu as quelque chose à me dire ???— Non madame, je suis désolée madame, je…— Tu n’as toujours pas appris ce qu’était le respect on dirait, rugit l’assistante. Je t’avais repérée dès le premier jour : une petite pimbêche qui faisait du lèche-cul à tous les responsables pour arriver à ses fins… Je savais qu’on allait finir par te dresser ! — Je suis vraiment désolée madame, pleurnicha la jeune fille.— Arrête d’être désolée ! Tu aimes lécher des culs ? Et bien tu vas me montrer que tu es réellement désolée en léchant le mien ! Tu as intérêt à t’appliquer petite pétasse ! ».La femme relâcha alors sa poigne dans ses cheveux ; elle remonta sa jupe, baissa sa culotte et s’appuya contre le bureau, tendant sa croupe. Effrayée par la brutalité de son ton, la jeune stagiaire s’agenouilla immédiatement et elle écarta les fesses de la femme, dévoilant sa rosette. Timidement, elle approcha sa langue et elle la passa doucement sur l’orée de son anus.L’assistante réagit immédiatement en gémissant. Toutefois, ce traitement ne lui parut pas suffisant ; d’une main, elle saisit à nouveau la badine qu’elle avait posée sur le bureau et elle cingla au hasard, heurtant le haut du dos de la jeune fille qui poussa un cri étouffé entre les fesses de la femme. La stagiaire se mit alors à lécher plus avidement le cul offert, insistant plus fortement sur le petit trou qu’elle pénétrait parfois du bout de sa langue.La femme réagit positivement et son autre main vint se positionner entre ses cuisses pour masturber son clitoris. Elle ne cessa pas pour autant de cingler l’air de sa badine, trouvant petit à petit ses repères pour atteindre à chaque fois les fesses de la jeune femme qui subissait sans jamais arrêter son anulingus.Elle jouit rapidement sous le double effet de ses caresses et de la petite langue qui fouillait son intimité. Elle poussa un hurlement de plaisir tandis qu’elle abattait une dernière fois la baguette de bois sur les fesses de la stagiaire avec une violence proportionnelle à son plaisir.
Le maitre de stage avait observé toute la scène sans rien dire. Quand l’assistante se fut rhabillée, il intima à la jeune fille de se redresser et d’écarter les jambes. Elle obéit à nouveau sans discuter. Il se rapprocha d’elle et elle sentit un objet passer entre ses cuisses et remonter vers son entre-jambe.Elle sentit un contact presser contre son sexe et son clitoris puis un cliquetis. Elle osa baisser la tête pour voir de quoi il s’agissait : il avait passé une sorte de ceinture de cuir autour de sa taille et de son entre-jambe qui recouvrait entièrement sa chatte. Un petit cadenas verrouillait la ceinture sur le coté. Elle ne comprenait pas… Son maitre de stage vérifia que tout était en place.« C’est une ceinture de chasteté, lui expliqua-t-il. Tu pourras faire tes besoins, mais tu n’auras plus accès à ton clitoris ou à ton vagin ; autrement dit tu ne pourras pas te caresser sauf si je le décide. J’ai la clé et j’en remettrai un exemplaire aux personnes de mon choix, à commencer par mon neveu bien sûr. Tu me donneras le nom et l’adresse de ton propriétaire : je lui en donnerai une également, je ne voudrais pas que tu te retrouves à la rue… Maintenant rhabille-toi et va travailler un peu ! ».Elle resta un instant interdite, contemplant la ceinture. Elle sentait l’envie, le désir immense qui la ravageait, mais quoi qu’elle fasse, rien ne pourrait venir soulager sa chatte en feu. Son maitre de stage avait désormais littéralement les clés de son plaisir…Elle se rhabilla lentement, prenant conscience de l’état de soumission total dans lequel elle était tombé. ; prenant aussi conscience qu’elle ne désirait au fond d’elle rien d’autre. Avant qu’elle ne quitte son bureau, son maitre de stage lui remit une clé, pour son neveu, lui rappelant également d’être à l’heure le lendemain pour la fameuse réunion avec le fournisseur.
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