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En stage de soumission

Chapitre 10

La négociation

SM / Fétichisme
Le réveil sonna ; il était sept heure du matin. Elle avait passé une nuit terrible… La veille, son collègue avait utilisé la clé à quatre reprises, ouvrant à chaque fois la ceinture pour libérer l’accès à sa chatte dégoulinante de mouille. Il l’avait baisée sans retenue, la prenant comme à chaque fois contre le bureau. Elle avait usé de tous les moyens possibles pour ne pas jouir, manquant d’éclater à chaque saillie.Émoustillé par la situation, le neveu avait poussé le vice jusqu’à la faire s’allonger sur le bureau après chacune de ses éjaculations pour jouer ensuite pendant près de trente minutes à chaque fois avec son clitoris. Il la caressait encore et encore, l’amenant aux portes de l’extase pour s’interrompre alors et recommencer ensuite. Il remettait ensuite la ceinture, prenant soin de la verrouiller soigneusement, laissant la jeune fille plus frustrée à chaque fois.Elle était rentrée chez elle précipitamment après sa journée de travail. Son sexe palpitait sous le harnais. Elle avait tenté de poser sa main contre le cuir pour essayer de se soulager, mais cela avait été peine perdue. Elle avait également tenté de se frotter le bassin contre le lit, mais là aussi la ceinture empêchait tout contact… Elle s’était finalement endormie pleine d’une frustration intense, sentant l’orgasme tout proche mais sans aucun moyen de l’atteindre. À plusieurs reprises elle s’était éveillée, tiraillée par un désir que rien ne pouvait assouvir, se rendormant à chaque fois avec difficulté.
Elle se leva promptement, elle avait rendez-vous avec le fournisseur ce matin. Alors qu’elle finissait de s’habiller, elle entendit un bruit de clé dans la serrure. Elle se précipita dans l’entrée pour voir ce qui se passait. Son propriétaire était dans le couloir, refermant la porte derrière lui. Il se retourna vers elle d’un air goguenard.« Tu as l’air surprise ma jolie ? Pourtant c’est l’heure de ton coup de bite dans le cul ! Allez, va te mettre à quatre pattes ma petite chienne… ».À l’idée qu’elle allait se faire prendre, son sexe se liquéfia littéralement ; son clitoris pulsait comme jamais. Le désir était tel qu’elle se serait fait baiser par n’importe qui à l’instant pour enfin libérer son plaisir. Elle se rua dans sa chambre et prit la position, en levrette, relevant sa jupe… et se souvenant alors de la ceinture qui bloquait tout accès à son intimité. Son propriétaire entra dans la chambre à sa suite et il ne manqua pas de commenter le spectacle qui s’offrait à lui.« C’est donc çà la fameuse ceinture dont ton patron m’a envoyé la clé hier ? Je n’ai rien compris au début, je dois te l’avouer, et c’est même pour cela que je suis venu ce matin, je voulais voir ! En tout cas, tu as l’air d’avoir sacrément envie de te faire baiser, je me trompe ?— Oh oui, s’il vous plait, baisez-moi ! lâcha-t-elle sans aucune retenue, tant son envie était insoutenable.— Et bien dites donc… Tu es sûre de vouloir te faire défoncer le cul ma salope ?— Ouiiiiii… Je vous en supplie, défoncez-moi, défoncez le cul de votre petite salope ! dit-elle implorante.— Très bien, si c’est ce que tu veux : tu vas te faire éclater le cul, tu peux compter sur moi… ».Elle entendit le bruit de la clé dans la ceinture et le harnais glissa entre ses cuisses, libérant enfin sa vulve en feu. Elle faillit jouir simplement au contact de l’air sur son clitoris. Le propriétaire n’attendit pas un instant de plus et il la sodomisa d’un coup de rein vigoureux, se fichant en elle totalement. Elle poussa un râle de plaisir intense malgré cette pénétration sans préparation.Il commença à la besogner sauvagement, ne montrant aucun égard pour elle, et elle y prenait un plaisir fou. La sensation d’être utilisée sans vergogne par cet homme aux méthodes brutales la rendait littéralement folle d’excitation. Elle hurlait de plaisir de manière croissante ; l’orgasme était à deux doigts de la terrasser quand soudain le propriétaire saisit son clitoris entre ses phalanges et il le pinça violemment. Elle hurla, de douleur cette fois. « La dame qui m’a apporté la clé m’a dit que je pouvais faire ce que je voulais de la petite pétasse, du moment que je m’assurais que tu ne jouissais pas ; elle avait vraiment l’air de ne pas t’aimer ! », lui expliqua le propriétaire sur un ton ironique. Il continua alors de la sodomiser violemment sans relâcher le pincement de ses doigts sur son clitoris. Ainsi, elle continuait d’éprouver du plaisir, mais l’orgasme était impossible à atteindre. Pour lui en revanche, le plaisir arrivait à grand pas ; elle pouvait sentir son sexe gonfler et palpiter. Il s’enfonça en elle une dernière fois d’un coup de rein brutal, répandant tout son jus dans son cul en criant de plaisir. Il se releva, la laissant au sol. « Il n’y a pas à dire, défoncer un petit cul le matin avant d’aller travailler, çà fait un bien fou ! Lui dit-il en se rhabillant. À très vite ma jolie salope ». Il quitta ensuite l’appartement comme si de rien n’était. Elle se releva à son tour, voyant l’heure qui tournait ; elles se dépêcha de s’habiller et elle fila au travail pour ne pas rater le rendez-vous.
La réunion devait se tenir dans leurs locaux. Elle arriva en avance : il était huit heure quarante-cinq et leurs interlocuteurs ne devaient pas arriver avant neuf heure. Alors qu’elle pensait être seule, elle constata que son collègue était également présent dans la grande salle de réunion. Visiblement, il participait lui aussi à ce rendez-vous. Il la salua et il regarda immédiatement sa montre. Elle sut instinctivement ce qu’il avait en tête : ils avaient quinze minutes devant eux… Sans même attendre, avant même qu’il ait ouvert la bouche, elle se courba contre la vaste table qui ornait la pièce, et elle remonta docilement sa jupe. Le neveu de son maitre de stage s’approcha ; il fit d’abord jouer la clé dans la serrure de sa ceinture pour libérer l’accès à son sexe. Ensuite, il flatta un instant sa croupe en murmurant « Bonne chienne ; tu commences à être bien dressée ! ».Elle n’attendait qu’une chose : qu’il la prenne ! Son voeu fut rapidement exaucé. Il s’enfonça d’un coup sec dans sa chatte dégoulinante, son chibre énorme la pénétrant sans aucune difficulté tant elle était à la fois excitée et désormais habituée après les multiples saillies de ces derniers jours.
Ils avaient du temps, mais pas énormément. Il lui imposa donc d’emblée un rythme soutenu, la pilonnant sans relâche avec la ferme intention de jouir rapidement. Quant à elle, elle prenait un plaisir intense désormais à se faire baiser de la sorte, mais elle devait cette fois lutter pour ne pas jouir, ce qui n’était guère facile après ce qu’elle avait subi au petit matin.Elle sentait l’orgasme tout proche et lui ne semblait pas encore près de jouir. Elle ne voyait plus aucun moyen de ne pas jouir… Ou plutôt si, il lui en restait un… Elle lutta encore mais c’était peine perdue ; elle n’avait plus le choix si elle ne voulait pas désobéir à nouveau… Elle glissa alors sa main entre ses cuisses ; elle inspira profondément et elle pinça alors violemment son clitoris, se faisant elle-même crier de douleur.Le plaisir retomba tout de suite à son grand soulagement. Le neveu n’avait rien remarqué et il poursuivait ses coups de reins comme si de rien n’était. Heureusement pour elle, il parvint bientôt aux portes de l’extase et il se libéra enfin, éjaculant abondamment sur ses fesses.Elle eut à peine le temps de remettre sa jupe en place ; la porte de la salle de la réunion s’ouvrit, et son maitre de stage entra. Il les observa un instant tous les deux, devinant ce qui venait de se passer. « Les représentants de notre fournisseur arrivent, leur dit-il. Mon assistante est en train de les amener ici. Je mènerai l’échange et je vous solliciterai en cas de besoin ».Quelques instants plus tard, la porte s’ouvrait à nouveau. Trois femmes entrèrent. La première, qui semblait mener le groupe, était une grande brune, d’une quarantaine d’année, belle et fine. La deuxième était petite, rousse, avec des formes voluptueuses. Quant à la troisième, elle était blonde, de taille moyenne avec un très joli corps également ; mais ce qui frappait surtout, c’était sa tenue : elle portait une jupe extrêmement courte qui laissait apparaitre, quand elle se déplaçait, la lisière d’une paire de bas noir. Elle avait également un chemisier blanc qui laissait parfaitement voir qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Pour finir, elle portait des escarpins à talon aiguille d’au moins dix centimètres. Elle avait immédiatement capté l’attention des deux hommes dans la pièce.
Son maitre de stage se dirigea immédiatement vers la grande femme brune, lui tendant la main et la saluant. « Chère madame Smith ! Merci d’avoir fait le déplacement.— Merci à vous de nous recevoir cher monsieur Dernott, répondit-elle en lui rendant sa poignée de main. J’espère que nous allons pouvoir trouver un terrain d’entente pour régler le litige qui oppose nos deux sociétés.— Je n’en doute pas un instant ma chère ! Je vais en profiter pour vous présenter mes collaborateurs : mon neveu, qui a récemment intégré l’entreprise et une jeune stagiaire qui est là depuis un mois et qui apprend notre métier.— Enchantée, répondit la grande brune en posant un regard insistant sur la jeune stagiaire. Voici en ce qui nous concerne ma nouvelle collaboratrice, dit-elle en désignant la jolie blonde court-vêtue. Elle nous a rejoint hier pour tout vous dire ; comme elle est encore en période d’essai, je suis venue avec notre RH, mademoiselle Connor, qui observera son comportement durant notre rendez-vous.— Soyez les bienvenues mesdames ! ».Immédiatement après ces salutations, l’ensemble des participants prit place autour de la grande table de réunion et les vraies discussions commencèrent. Le problème était simple : la compagnie avait acheté des produits à l’entreprise dont madame Smith était la directrice commerciale et marketing, lesquels produits s’étaient avérés défectueux. La compagnie exigeait des excuses formelles, des explications et surtout des garanties au risque de changer de fournisseur.Madame Smith disposait d’un argumentaire sérieux, mais monsieur Dernott n’en démordait pas : il voulait des garanties et il menaça à plusieurs reprises de mettre fin à l’échange, expliquant qu’il avait déjà pris contact avec d’autres entreprises susceptibles de lui fournir les produits en question. Devant son intransigeance, madame Smith finit par s’emporter.« Je ne peux pas vous accorder de telles garanties ! Lui dit-elle avec force. Je veux bien croire que vous ayez eu des problèmes avec nos produits, mais là vous exagérez ! Comme diraient certains de mes homologues masculins au langage plus fleuri : vous essayez de nous fister jusqu’au coude !— Quel langage chère Madame, répondit le maitre de stage, amusé. Si vous avez l’impression de vous faire fister jusqu’au coude, sachez que nous, avec vos produits défectueux, nous avons eu l’impression de nous faire enculer à sec ! ».La grande brune fit une pause et elle parut réfléchir. « Je comprends votre mécontentement et votre ressentiment, reprit-elle en souriant… Je pourrais faire un effort ; en contrepartie, ma collaboratrice pourrait vous aider à « évacuer » le sentiment que vous venez d’exprimer, et à montrer tout votre mécontentement à l’égard de notre société, ce que je comprendrais parfaitement ».La jeune stagiaire ne saisissait pas où madame Smith voulait en venir, et, à son air, elle voyait que la jeune collaboratrice ne comprenait pas plus. En revanche, monsieur Dernott semblait réfléchir à cette proposition ; il finit par hocher du chef.« Parfait, dit-il finalement. Vous pouvez considérer que nous avons un accord ».
Le visage de la grande brune s’éclaira. Elle se leva alors, faisant signe à sa collaboratrice d’en faire de même ; celle-ci obtempéra immédiatement. À peine fut-elle levée que madame Smith lui ordonna de se courber contre la table, ce qu’elle fit sans discussion. La jolie directrice remonta alors d’un geste vif la courte jupe, dévoilant les fesses nues de sa collaboratrice.« Je vous en prie mon cher, elle est à vous ! Dit-elle en se tournant vers Monsieur Dernott. — Si cela ne vous dérange pas, je vais laisser mon neveu s’en charger ; il doit apprendre le métier, répondit-il le plus naturellement du monde.— C’est comme vous le souhaitez, c’est vous le client ! » plaisanta madame Smith.Sur un signe de son oncle, le jeune home se leva et il contourna la table de réunion pour venir se positionner derrière la jeune femme. Il déboutonna son pantalon et il sortit son énorme sexe déjà tendu. La jeune RH et la grande brune contemplèrent son engin avec admiration et envie. Madame Smith avait toujours sa main posée sur la nuque de la jeune femme, et elle posa son autre main sur la base de son dos, la maintenant ainsi immobile. La jolie RH s’avança à son tour et, de ses mains, elle écarta les fesses de la jeune femme pour faciliter l’accès à son petit trou. Le neveu parut un instant hésitant, contemplant la rosette offerte.« Çà va aller ? Elle ne va pas avoir trop mal ? Bredouilla-t-il.— Ne vous inquiétez pas cher monsieur, répondit madame Smith. Cette petite chienne a déjà pris un sacré calibre hier, elle commence à avoir l’habitude ! Ne vous souciez pas d’elle, allez-y à fond et à sec ; faites-vous plaisir ! ».Sans plus attendre, le jeune homme se positionna alors entre les fesses grandes ouvertes et il commença à insérer lentement son sexe dans le cul de la collaboratrice. De l’autre coté, la stagiaire pouvait voir le visage de la jeune femme, plaqué contre la table par la poigne ferme de madame Smith. Elle vit tout d’abord les yeux de la jolie blonde s’écarquiller alors que le gland volumineux se frayait un passage entre ses chairs. Sa bouche s’ouvrit sans qu’aucun son ne sorte tandis que le jeune homme s’enfonçait centimètres par centimètres entre ses fesses, dilatant son anus comme jamais il ne l’avait été. Elle se cramponnait de toutes ses forces à la table, ses bras tremblaient.Le jeune homme donna un dernier coup de rein et il poussa un cri de satisfaction : il était entièrement en elle. La jeune stagiaire se surprit à envier la jeune femme ; sans s’en rendre compte, elle s’était mise à mouiller en la voyant se faire prendre ainsi sans aucune préparation. Le feu qui couvait entre ses cuisses se réveilla de plus belle, mais sans possibilité une fois de plus de l’éteindre.
Alors que le neveu commençait à aller et venir lentement entre les fesses de la jeune femme, lui arrachant des cris de douleur qui peu à peu se muaient en gémissements de plaisir, monsieur Dernott se tourna vers madame Smith.« Je comprends tout à fait également que vous ayez la sensation que cette remise commerciale s’apparente à un fist, lui dit-il. Alors si vous voulez à votre tour évacuer votre frustration, ma stagiaire est là pour cela ». Madame Smith ne parut pas hésiter un seul instant ; elle délaissa sa collaboratrice, laissant soin à la jolie RH de la maintenir en position tandis qu’elle subissait les assauts du jeune homme. Elle contourna la table pour venir s’approcher de la stagiaire. « Mets-toi sur la table, à quatre pattes ! », ordonna Monsieur Dernott.Sans attendre, la jeune fille se plia aux ordres. Elle monta sur la table, faisant face à la jeune collaboratrice qui ne faisait désormais plus que crier comme une démente sous les coups de reins incessants qui pilonnaient son petit cul. Elle sentit des mains de femme remonter sa jupe et… Un rire étonné éclata dans la pièce. « Désolé ma chère, je manque à tous mes devoirs ! », dit alors son maitre de stage. Il s’approcha et un cliquetis se fit entendre ; la ceinture de chasteté fut retirée. Presque aussitôt, elle sentit un doigt s’insinuer en elle, ne cherchant même pas à caresser son sexe ruisselant. « Elle est dégoulinante ma parole ! S’exclama madame Smith. Et ouverte comme ce n’est pas permis ; elle se serait fait sauter il y a peu de temps que cela ne m’étonnerait pas ! ».Elle commença d’elle-même à onduler du bassin, allant et venant à la rencontre du doigt bienfaiteur qui fouillait son vagin avec application. Face à elle, la jeune collaboratrice avait toujours la bouche ouverte et un râle continu de plaisir s’échappait de ses lèvres alors que le neveu avait encore accéléré la cadence de ses coups de boutoir. Elle se faisait littéralement démonter le cul par l’énorme pieu de chair, et elle semblait y prendre un plaisir fou.Un deuxième doigt s’inséra en elle alors qu’elle regardait avec envie la jolie blonde se faire prendre encore et encore. Elle gémit à son tour de plaisir ; un troisième doigt vint se faufiler lentement en elle non sans une certaine difficulté. Elle se cambra davantage pour en faciliter l’introduction.Madame Smith fit aller et venir ses doigts en elle en accélérant de plus en plus, l’amenant une fois encore au bord de l’extase. Elle ralentit au bout de quelques instants, et, avec précaution, elle ajouta son auriculaire aux trois autres doigts qui étaient déjà dans le vagin brulant de la stagiaire. Celle-ci commençait à comprendre où la jolie brune voulait en venir ; elle se faisait prendre régulièrement par son collègue et son sexe volumineux, mais elle n’était pas sûre de pouvoir prendre un poing entier dans sa petite fente.Elle se laissa faire toutefois, résister n’aurait pas manqué de déplaire à son maitre de stage. Madame Smith continua à la pénétrer ainsi avec ses quatre doigts, jouant à l’intérieur de sa vulve trempée, massant chaque recoin de son sexe ; elle criait elle aussi son plaisir sans retenue, à l’image de la jeune collaboratrice qui semblait à deux doigts d’une jouissance inouïe. Jugeant qu’elle était prête, la directrice approcha son pouce de sa fente ouverte à l’extrême. Tournant encore et encore ses doigts en elle, elle entra progressivement son pouce. La jeune stagiaire n’en revenait pas, mais petit à petit elle sentait le cinquième doigt la pénétrer. D’une dernière poussée, la jolie brune fit entièrement rentrer le pouce ; ses doigts étaient désormais tous dans le vagin de la jolie stagiaire.Au même moment, la jeune collaboratrice perdit totalement prise ; elle éclata d’un orgasme surpuissant, hurlant sans discontinuer tandis que le jeune neveu jouissait également entre ses fesses ; elle avait les yeux dans le vide, les traits déformés par l’extase et tout son corps tremblait. Madame Smith serra son poing et il ne fallut que quelques allers-retours avant que la stagiaire n’explose à son tour, sous l’effet conjugué de cette vision et des sensations de la main qui la fouillait sans pitié.Elle eut l’impression que tout son sexe se contractait autour du poignet de la directrice. Une boule de plaisir, comme elle en avait rarement connu, éclata dans son ventre et elle jouit en hurlant elle aussi, s’empalant encore et encore de son plein gré contre le poing inquisiteur.
Les deux jeunes femmes mirent de longues minutes avant de redescendre sur terre après l’orgasme dévastateur qu’elle venait de connaitre. Elles se faisaient face et se regardaient droit dans les yeux, se sentant comme unies dans le plaisir qu’elles venaient de vivre.« Et bien il semblerait que nous ayons réussi à trouver un terrain d’entente mon cher monsieur Dernott, dit madame Smith. Il serait bon de sceller cette reprise des relations entre nos deux sociétés, qu’en pensez-vous ?— Excellente idée, approuva le maitre de stage. Que proposez-vous ?— Quoi de mieux qu’un baiser pour sceller une entente ? lui répondit la directrice sur un ton lubrique.— Votre idée me plait beaucoup ma chère… ».Une main ferme, celle de madame Smith, se posa alors sur l’épaule de la stagiaire pour la faire descendre de la table. Elle était encore pantelante de désir et elle se laissa guider sans protester ; la directrice la fit mettre à genoux avant d’ordonner à sa collaboratrice de venir se positionner à genoux également face à la jeune fille.Elles se faisaient à nouveau face, les yeux dans les yeux. L’idée d’embrasser cette jeune femme lui plaisait énormément ; mais alors qu’elles s’avançaient l’une vers l’autre, madame Smith les stoppa net. Elle fit un signe de tête à mademoiselle Connor qui fouilla dans son sac et en sortit un objet qu’elle tendit à la directrice.C’était une tige de latex, épaisse et surtout très longue. En fait, il s’agissait d’un double gode. Madame Smith approcha l’objet des lèvres de sa collaboratrice, l’enfonçant dans sa bouche sans ménagement. Elle prit ensuite l’autre extrémité qu’elle porta aux lèvres de la stagiaire. Elle se recula, les observa un instant d’un air satisfait.« Parfait ! Embrassez-vous maintenant ! » ordonna-t-elle d’un ton sec.Les deux jeunes femmes restèrent un instant, interdites, incertaines de ce qui était attendu d’elle. La directrice passa alors ses mains derrière leurs nuques et elle exerça une légère pression assortie d’un « Allez ! ». Le message était cette fois clair ; elles commencèrent alors à remonter lentement le long du gode, chacune de leur coté, pour essayer de joindre leurs lèvres.La stagiaire bénit intérieurement les entrainements à répétition qu’elle avait subis chaque matin. Le sextoy glissait avec facilité entre ses lèvres, en tout cas avec beaucoup plus de facilité que pour la jeune collaboratrice. Celle-ci avait les larmes aux yeux alors qu’elle essayait tant bien que mal de prendre l’énorme tige entre ses lèvres et d’avancer ; elle salivait abondamment et sa gorge émettait des gargouillis obscènes.Madame Smith estima elle aussi qu’elle n’allait pas y arriver, en tout cas pas seule. Elle se positionna donc derrière sa collaboratrice, et, de ses deux mains, elle appuya fermement sur sa tête, enfonçant davantage le gode dans sa bouche, forçant les dernières barrières de sa gorge. La jolie blonde tentait de lutter, elle avait haut-le-coeur sur haut-le-coeur, mais elle résistait, gardant le chibre de latex fiché dans sa bouche.Enfin, les lèvres des deux jeunes femmes se touchèrent, leur calvaire allait prendre fin ; mais c’était sans compter madame Smith qui rugit alors : « Avec la langue le baiser mesdemoiselles ! ». Elle appuya alors sur la nuque des deux jeunes femmes, empalant leur bouche encore un peu plus sur le gode. Avec une difficulté extrême, elles parvinrent finalement à passer leur langue l’une contre l’autre, mais elles étaient toutes les deux à la limite de leur résistance.La pression de la directrice se relâcha et elles purent enfin retirer le sextoy ; elles étaient toutes les deux à quatre pattes, peinant à reprendre leur souffle, bavant abondamment au sol sans aucune retenue ; mais par dessus tout, l’une comme l’autre, elle mouillait comme des folles, excitée comme jamais après le traitement qu’elle venait de subir.À coté d’elle madame Smith et la RH étaient en train de prendre congé, serrant la main des deux hommes. Les deux jeunes femmes se relevèrent, réajustant leur tenue ; elles saluèrent à leur tour. La directrice s’avança vers la jolie stagiaire et elle plongea ses lèvres contre les siennes, enroulant sa langue avec force autour de la sienne. Elle la regarda ensuite un instant dans les yeux.« Si votre stage ne vous donnait finalement pas satisfaction, n’hésitez pas à me contacter, j’aurais surement un poste pour vous ! », lui dit-elle avec un grand sourire. Sur ces dernières paroles, les trois femmes quittèrent la pièce.
Le neveu se dirigea lui aussi vers la sortie après quelques instants. Monsieur Dernott lui n’avait pas bougé. La stagiaire hésitait, tiraillée entre le désir de quitter la pièce et une autre envie. Elle prit finalement sa décision ; elle se dirigea vers son maitre de stage. Sans un mot, elle s’agenouilla face à lui, les yeux vers le sol« J’ai joui Monsieur, j’ai fauté. Punissez-moi s’il vous plait, je le mérite amplement.— Tu sembles désormais savoir quelle est ta place, et tu ne cherches pas à te soustraire à ton châtiment quand tu as fauté. Cela ne change rien au fait que tu vas être punie sévèrement, mais je suis réellement fier de toi, je tenais à te le dire ». En entendant ces mots, la jeune stagiaire sentit au fond d’elle une joie immense. Il était fier d’elle. Et elle se sentait fière d’être soumise à ses ordres. Il allait la punir, elle le savait, mais elle le méritait et c’était pour son bien, pour qu’elle progresse. Elle attendait docilement ses ordres, la sanction qui allait tomber.« Maintenant, mets-toi en position, contre la table, jupe relevée et mains sur la tête ».
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