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En stage de soumission

Chapitre 11

En libre se(r)vice

SM / Fétichisme
Elle s’éveilla quelques minutes avant que le réveil ne sonne. Elle était sur le ventre ; c’est ainsi qu’elle dormait depuis deux jours tant ses fesses la faisaient toujours souffrir après la punition qu’elle avait subie suite à la séance de négociation…

…Elle était restée quelques instants, courbée contre la table de réunion, mains sur la tête, tandis que son maitre de stage s’absentait un court instant. Il n’était pas revenu seul ; son neveu l’accompagnait. Dans sa main, il tenait un martinet avec de longues lanières en cuir. Il n’avait pas attendu très longtemps avant de lui démontrer son habileté à manier ce redoutable instrument. Très vite, d’un mouvement de poignet maitrisé, il avait commencé à fouetter son cul avec une précision et une régularité de métronome. Elle entendait le sifflement des lanières dans l’air avant de ressentir le cuir mordre son fessier, lui arrachant à chaque fois un cri de douleur intense. Les coups étaient précis, vifs, cinglants. Il faisait aller et venir le martinet d’un revers de poignet pour que les lanières viennent zébrer tour à tour ses deux fesses. Il prenait un plaisir certain à les voir ainsi marquées, imprimant sur sa peau la marque de sa punition et surtout de sa soumission.Il l’avait fouettée ainsi pendant de longues minutes, sans répit, sans jamais lui accorder de grâce. Quand enfin il s’était interrompu, elle avait pu reprendre ses esprits et son souffle. Elle avait les yeux rouges et la gorge sèche d’avoir tant crié. « Nous n’en avons pas fini ma chère… Absolument pas ; ce n’était même qu’une entrée en matière si je puis dire. Tu vas être punie par là où tu as fauté. Écarte les cuisses davantage, tout de suite ! ».Elle obéit immédiatement, écartant ses jambes au maximum, sans bien comprendre ce que voulait dire monsieur Dernott. L’air siffla une nouvelle fois, elle serra les dents et prépara ses fesses à la douleur qui allait suivre… Mais rien n’aurait pu la préparer à ce qui arriva : c’est toute sa vulve qui subit le cinglement du martinet. Elle sentit presque chaque lanière heurter son intimité ; son aine, l’intérieur de ses cuisses, ses grandes lèvres, l’orée de son vagin et surtout son clitoris qui dardait de plaisir et qui subit de plein fouet la morsure. Tout son corps fut parcouru d’un spasme et elle hurla de douleur ; ses mains se portèrent instinctivement à son entre-jambe pour soulager la souffrance.
Monsieur Dernott resta impassible. « Je t’ai dit d’ouvrir tes cuisses davantage ! Remets-toi en position et écarte ou va-t’en ! », ordonna-t-il. Il constata avec satisfaction à quel point elle était domptée, soumise totalement : encore tremblante, elle reprit la pose, mains sur la tête et jambes écartées.Un second coup fendit l’air. Le coup fut aussi terrible que le premier, la douleur irradiant dans tout son corps. Elle trembla à nouveau de tous ses membres, mais elle résista à l’envie de resserrer ses cuisses. ; elle tint bon, se maintenant en position, la chatte offerte aux prochains coups qui ne manqueraient pas de tomber. Et les coups tombèrent en effet. Chacun appliqué avec la même précision, embrassant à chaque fois l’ensemble de son sexe, ne laissant aucune partie indemne de l’impact des lanières de cuir qui s’enroulaient sans relâche autour de son intimité. Au bout du cinquième coup, la douleur était toujours vive, mais elle sentait quelque chose d’autre poindre au creux de son ventre…Une sorte de plaisir dans la douleur, une sensation étrange, encore diffuse mais qui semblait pouvoir être plus intense que tout qu’elle n’avait jamais ressenti. Au huitième coup, ce n’était plus simplement une sensation, et elle n’avait plus rien de diffuse. Elle se surprit à cambrer davantage pour mieux s’offrir aux prochains coups et même à onduler du bassin pour aller à la rencontre des lanières et mieux en sentir le coup et le plaisir intense qui se formait de seconde en seconde entre ses cuisses.Quand le dixième coup claqua son sexe en feu, elle sut que le prochain déclencherait en elle une jouissance incontrôlable, une jouissance comme jamais elle n’en avait connu. Elle savait que jouir alors qu’elle était punie d’avoir joui entraînerait un châtiment plus terrible encore, mais, loin de l’inquiéter, cette idée renforça encore davantage le plaisir qui montait en elle. De toute manière, elle ne contrôlait plus rien. Il n’y eut pas d’autres coups. Monsieur Dernott avait-il décidé de s’arrêter à dix ? Ou avait-il déceler son orgasme tout proche ? En tout cas, elle ressentit une frustration comme jamais là aussi elle n’en avait connu. Elle se sentait prête à tout pour pouvoir enfin avoir l’autorisation de jouir, et elle se promit de tout faire pour que son maitre de stage soit fier d’elle et lui autorise enfin le plaisir ultime.Elle garda la pose, elle ne bougerait pas tant qu’il ne lui en donnerait pas l’ordre. Au lieu de lui dire de se relever, il lui ordonna de mettre ses mains sur ses fesses et de les écarter au maximum. Cette fois, elle croyait comprendre où il voulait en venir ; en effet, elle entendit presque aussitôt son neveu déboutonner son pantalon et s’approcher d’elle. « Je crois que ta chatte va avoir besoin de repos pendant quelques jours, alors il est préférable qu’il te prenne le cul… » lui dit Monsieur Dernott avec ironie.Alors qu’il prononçait ces paroles, elle sentit le gland démesuré se poser sur son sillon. Lentement, il commença à forcer son entrée la plus intime. Elle repensa alors à la jolie blonde, à ses yeux écarquillés, sa bouche grande ouverte alors qu’elle se faisait sodomiser par l’énorme pieu. Elle devait donner à cet instant le même spectacle. Chaque centimètre qui s’enfonçait en elle lui coupait littéralement le souffle et elle ouvrait grand la bouche pour pouvoir respirer. Ses mains étaient crispées à la table de réunion, les jointures blanches à force de serrer pour évacuer cette sensation d’être entièrement déchirée par une barre entre ses fesses. Il prit tout son temps pour prendre entièrement son cul. Par précaution peut-être, mais surtout pour la satisfaction de savourer pleinement cette prise de possession totale. Elle n’en revenait pas de pouvoir ainsi prendre une telle queue en elle, mais il parvint à s’enfoncer complètement dans son anus.Les va-et-vient commencèrent très vite, et à une cadence soutenue. Il tenait fermement ses hanches, et il la tirait vers lui tout en la besognant avec fougue. Après les coups sur son sexe, les sensations étaient à nouveau intenses. Elle sentait ses testicules venir claquer sa chatte à chaque coup de boutoir et il ne ménageait en rien son postérieur endolori par le martinet.Heureusement pour elle, elle était tellement serrée qu’il ressentit très vite les signes avant-coureurs du plaisir. Son gland palpitait et il se gonfla encore davantage, la dilatant encore plus qu’elle ne le pensait possible. Il s’enfonça d’un dernier coup de rein violent et il jouit abondamment dans son cul en criant de plaisir.
Elle se redressa quelques secondes plus tard, réajustant sa jupe et partant en réunion sur l’ordre de son maitre de stage ; durant tout le long meeting, elle avait senti le foutre chaud qui s’écoulait doucement de son anus, tapissant progressivement sa jupe et ses fesses de sperme crémeux.Deux jours durant, son collègue l’avait sodomisée plusieurs fois par jour pour son seul plaisir. Elle parvenait désormais à maitriser sa jouissance, se retenant parfois en pinçant son clitoris comme elle avait appris à le faire. Son plaisir ne lui appartenait plus, seul monsieur Dernott pouvait en décider…

Elle se leva dès que le réveil retentit. Elle s’habilla rapidement ; elle avait pris l’habitude de porter des jupes un peu plus amples pour masquer sa ceinture de chasteté dans les transports, mais elle subissait parfois des regards intrigués de la part d’inconnus. Comme un rituel bien rodé, elle se rendit immédiatement dans le bureau de son maitre de stage pour commencer ses exercices matinaux. En entrant, elle constata qu’il n’était pas seul. Un des membres de l’équipe de vente était assis et discutait avec lui. C’était un des commerciaux qu’elle avait croisé au début de son stage quand elle avait fait le tour des services et des équipes. Elle l’avait tout de suite trouvé ridicule : des costumes de mauvaise qualité, un teint d’alcoolique et une pingrerie qui le poussait à séjourner, lors de ses tournées, dans des hôtels miteux, des hôtels « à pute » comme elle l’avait exprimé bruyamment à l’époque en se moquant de lui.Dès qu’elle entra, il porta son regard lubrique sur elle ; elle avait toujours senti qu’elle lui plaisait et elle en avait également joué pour le faire tourner en bourrique. Que faisait-il donc là si tôt ? Monsieur Dernott lui fit signe de les rejoindre près de son bureau. Il ne lui proposa pas de s’asseoir.« As-tu vu les dernières nouvelles ? Lui demanda-t-il. Les résultats commerciaux du mois sont fantastiques surtout sur la dernière semaine ! As-tu une idée du « pourquoi » ?
— Non, bredouilla-t-elle sans vraiment comprendre où il voulait en venir. — Et bien nous nous posions la question, répondit monsieur Dernott, et je crois que nous avons trouvé la raison : le prix réservé au meilleur commercial ce mois-ci !— Le prix ? demanda-t-elle naïvement. — Oui, lui dit son maitre de stage en la regardant droit dans les yeux. Tu ne te souviens pas du prix ?— Je… Elle resta un instant, interdite, se souvenant soudain du prix en question…— Et oui, sourit monsieur Dernott, c’est toi le prix ! Tu peux être fière, tu as eu un impact sur les ventes de l’entreprise comme aucun stagiaire n’en a jamais eu. Nous nous posons même la question de pérenniser l’initiative et d’en faire un prix mensuel. Il faudra que nous en reparlions, mais d’ici là, je voulais te présenter le vainqueur du mois ».Tout en prononçant ces mots, il se tourna vers le commercial qui souriait d’un air béat. Le vainqueur du mois ? Pensa-t-elle intérieurement… C’est à lui qu’elle allait appartenir pour la journée ? Elle était horrifiée à cette seule idée. « Je sais ce que tu penses ma jolie, lui dit l’homme d’un air hargneux. Mais c’est le jeu et j’ai gagné. Tu es donc à moi pour la journée, et ton maitre de stage m’a prévenu que tu avais intérêt à être très obéissante sinon les sanctions seraient terribles. Est-ce que c’est clair ?— Oui, répondit-elle, soucieuse de ne pas embarrasser monsieur Dernott.— Parfait, répondit le commercial. Dans ce cas, nous avons y aller. Cher monsieur le directeur, merci encore et à très bientôt ! ».Il se leva et il fit signe à la stagiaire. Elle le suivit à contre-coeur. Il la mena jusqu’à son bureau. Une fois entrés, il ouvrit un grand sac de sport et il en sortit un tas de vêtements qu’il lui lança.« Enfile ça ! Tu te changes et après on sort ». Elle resta hésitante devant lui, mais elle comprit à son regard insistant qu’il n’entendait pas qu’elle s’habille ailleurs que dans son bureau. Elle se déshabilla donc, le laissant jouir à loisir de la vue de son corps splendide. Il s’approcha d’elle, une clé en main. Elle reconnut la forme : il avait donc lui aussi reçu le précieux sésame qui permettait d’accéder à ses orifices. Il défit la ceinture, la posant sur le bureau, ajoutant que, là où ils allaient, elle n’en aurait pas besoin.Le premier vêtement était une jupe ; mais pouvait-on appeler cela une jupe ? Elle était minuscule, plus que « mini ». Elle était par ailleurs en faux cuir d’un rouge vif, d’une vulgarité inouïe. Elle l’enfila tout de même ; en plus d’être courte, elle était extrêmement serrée, moulant outrageusement ses fesses.Le haut était un tissu en résilles noirs ; il cachait sans rien cacher. On pouvait voir ses seins nus à travers les mailles et il était lui aussi d’une indécence totale. Pour parachever sa tenue, il lui tendit une paire de bas résilles et des chaussures compensées, avec des talons de plus de dix centimètres ; d’une couleur rouge vif elles aussi. Le commercial tourna un instant autour d’elle, l’observant avec attention sous toutes les coutures.« Ma parole, tu es vraiment habillée comme une pute ! Lui lança-t-il. Allez, suis-moi, on part se balader ». Elle le suivit alors à nouveau, marchant avec difficulté avec ces chaussures aux talons démesurés. Elle comprit qu’il la faisait passer à dessein par tous les open space possibles de l’entreprise afin que chaque employé présent puisse être témoin de sa tenue et de son humiliation.
Il la mena finalement au parking ; ils s’installèrent dans sa voiture et il démarra. Ils roulèrent un moment avant d’atteindre une de ces zones commerciales et industrielles au bord des grandes Nationales. Il se gara sur un parking, au milieu de plusieurs camions, face à un de ces hôtels miteux où il s séjournait d’habitude. À peine garé, il défit sa braguette et sortit son sexe à moitié en érection. Elle se dit intérieurement que si c’est ce qu’il attendait, le sucer sur un parking, elle s’en tirait plutôt bien. D’elle-même, elle se pencha vers lui, approchant ses lèvres de cette queue qui n’avait, d’après son odeur, sans doute pas vu de savon depuis plusieurs jours. Malgré cela, elle ouvrit grand la bouche et elle aspira le gland qui progressivement, se mit à grossir et à durcir sous ses va-et-vient et ses coups de langue. Elle utilisa tous ces talents pour en finir au plus vite et elle parvint rapidement à ses fins : il appuya soudain avec force sur sa tête, maintenant son sexe entre ses lèvres et il cria de jouissance. Elle sentit son éjaculation jaillir de son chibre tendu, des giclées âcres et abondantes qu’elle avala sans rechigner pour ne pas lui déplaire. Il relâcha sa pression après quelques instants, la laissant reprendre sa place sur le siège passager. Il semblait très satisfait en se rhabillant. Il ouvrit sa portière et il quitta le véhicule, faisant le tour pour ouvrir également sa porte. D’un geste de la main, il lui fit signe de sortir, ouvrant en grand sa portière. Elle obéit tandis qu’il actionnait le bouton d’ouverture de la vitre passager.Toujours sans dire un mot, il attrapa sa chevelure d’une main assurée, et il la poussa vers l’avant, la faisant se courber malgré elle. Il passa sa tête au travers de la vitre ouverte ; il appuya alors à nouveau sur le bouton, mais pour qu’elle se ferme cette fois. La vitre remontait et se rapprochait de son cou ; paniquée, elle tenta de se débattre, mais la poigne dans ses cheveux et les talons de ses chaussures lui laissaient peu de latitude. Elle ne comprenait pas ce qui se passait et elle était inquiète. Il lâcha finalement le bouton alors que la vitre touchait quasiment sa gorge. « Essaye de bouger pour voir ! », lui dit-il alors. Toujours sans comprendre, mais obéissante, elle tenta de se déplacer… Et elle comprit alors : sa tête était bloquée par la vitre relevée, elle ne pouvait absolument pas se dégager. Elle essaya plusieurs fois, mais rien n’y faisait. Elle repensa alors à la scène de porno qu’elle avait regardée quelques jours plus tôt, la femme dans le carcan… D’une certaine manière, elle était elle aussi dans un carcan improvisé ; cette seule évocation suffit à la faire mouiller malgré elle.« Parfait, c’est bien ce que j’avais en tête ! Reprit le commercial. Et bien maintenant, ma petite pimbêche, je vais t’apprendre à te moquer du monde ! ». Il saisit alors ses bras, les ramenant dans son dos et il attacha ses poignets entre eux à l’aide d’une fine cordelette. Puis, il s’installa tranquillement sur le capot de son véhicule. Elle se demandait ce qu’il pouvait bien attendre quand elle vit un routier sortir de l’hôtel face au parking ; il se dirigeait vers son camion, qui était tout proche de la voiture. Quand il aperçut enfin la scène, l’homme parut interloqué, mais, pris de curiosité, il s’approcha pour mieux voir. Quand il fut tout proche, le commercial l’interpela :« Bonjour ! Intéressé ?— Intéressé par quoi ? demanda l’homme.— De la salope en libre-service, s’exclama le commercial.— Hein ? De quoi ? En libre-service, c’est à dire qu’on peut la…— Exactement, tu peux la… autant que tu veux ! La bouche, la chatte, le cul… Comme tu veux en fait ! »Elle écoutait, estomaquée. On était en train de la proposer sur un parking, comme du bétail… Et, entièrement coincée par la vitre, elle ne pouvait rien y faire… Le routier semblait hésiter. Puis elle entendit un bruit de tintement, de poches qu’on fouille. Il reprit alors la parole :« Zut… Je suis pressé en fait, mais je lui aurais bien pris la chatte quand même…— Allez-y ! répondit le commercial. Vous allez voir, elle est super étroite, vous allez vite jouir !— Super », le remercia le camionneur.Sans plus attendre, il se positionna derrière elle, déboutonnant son pantalon. Il s’enfonça en elle d’un coup sec, sans difficulté aucune : la sensation d’être prise dans un carcan excitait la jeune femme au plus haut point. Le routier s’en aperçut immédiatement : « Mais elle mouille comme une salope !!! Une nana pareille qui aime se faire prendre sur des parkings comme une salope, c’est une sacrée aubaine, encore merci ! ».Il la baisa ainsi pendant quelques instants, et il jouit très rapidement, arrosant ses fesses de sperme. Il resta un instant à la contempler avant de prendre à nouveau la parole : « C’est vrai qu’elle a un cul d’enfer, c’est dommage. Vous êtes là pour longtemps ? Parce que je serais bien tenté de l’enculer aussi ; je vais voir si je peux revenir vite ou me faire remplacer pour ma course ». Le commercial le rassura, lui expliquant qu’ils étaient là pour la journée.Sur ces paroles, le routier repartit. Pour la journée ? pensa-t-elle. Elle allait se faire prendre ainsi toute la journée ? Mais une fois de plus, elle n’y pouvait rien. Elle devait d’ailleurs se rendre à l’évidence : la situation la faisait mouiller, mouiller comme une folle et le plus dur serait pour elle d’obéir en ne jouissant pas…
Un bruit de klaxon retentit. C’était un camion qui s’engouffrait sur le parking et qui passait à leur hauteur. Le chauffeur ouvrit sa fenêtre, lâchant un commentaire salace avant que le commercial ne lui explique la situation. L’homme s’esclaffa en promettant de se garer rapidement. Quelques instants plus tard, il était là ; il avait choisi la bouche.Dans la position qui était la sienne, elle n’avait guère de latitude pour bouger ses lèvres et il le comprit très vite. Il utilisa donc sa bouche comme un sexe, baisant violemment sa tête qui dépassait de l’autre coté de la vitre. Il était très brutal, et il semblait en manque de sexe au vu de la fougue qu’il mettait dans ses coups de bassin. Il ne devait pas avoir baisé depuis longtemps car il jouit très vite en éjaculant de longues rasades de sperme qu’elle avala docilement. Il se rhabilla en sifflotant. Il allait partir quand il fit soudain demi-tour.« Cela vous dérange si je fais circuler l’information pour les copains ? », demanda-t-il au commercial. Celui-ci répondit que non, que cela l’arrangeait d’ailleurs. Hilare, l’homme proposa de prendre son cul en photo et de l’envoyer sur un groupe d’échange entre routiers ; il proposa de lui-même le titre : Chienne en rut en libre-service au bord de la Nationale. Alors qu’il finissait son message, deux hommes arrivèrent à leur tour, sortant également de l’hôtel. Ils ne parlaient pas français, ils étaient d’un pays de l’Est, la Pologne sans doute au vu de leur langue et de leur accent. Malgré tout, le commercial parvint rapidement à leur faire comprendre la situation et très vite, elle eut une nouvelle queue entre les lèvres tandis que l’autre homme venait se positionner derrière elle ; il avait visiblement choisi son cul dans lequel il s’enfonça sans ménagement en poussant un râle de satisfaction.Les deux Polonais la baisèrent ainsi pendant un long moment, ils étaient remarquablement endurants. Ils jouaient à changer de rythme, à accélérer tour à tour ou en même temps. Par exemple, l’un s’enfonçait violemment entre ses fesses tandis que l’autre se retirait de ses lèvres avant de s’enfoncer avec vigueur à son tour tandis que l’autre se retirait de son anus en feu.Ils éjaculèrent quasiment en même temps en l’invectivant dans leur langue ; elle pensait désormais savoir dire « salope » en Polonais. Celui qui la sodomisait se planta au fond de son cul et jouit en elle, remplissant une fois de plus son anus de foutre chaud. L’autre choisit de se retirer de sa bouche et il lâcha toutes ses giclées sur son visage offert. Le sperme coulait le long de ses joues et sur son front.
Alors qu’ils achevaient de se rhabiller, le premier routier revint. Il parla quelques instants avec le commercial et il se positionna ensuite derrière elle, prête à lui prendre le cul cette fois-ci. Il ne manqua pas de commenter à haute voix les différences de sensation entre son anus et sa chatte, vantant les mérites de l’une et de l’autre. Il lui assenait parfois une claque violente sur les fesses pour encore mieux marquer sa possession et « faire gueuler un peu plus cette petite chienne » pour reprendre ses propos.Alors qu’il lui besognait allègrement les fesses, trois camions entrèrent tour à tour sur le parking. Les chauffeurs se garèrent rapidement et ils se précipitèrent vers l’emplacement : ils avaient reçu le fameux message de leur collègue et ils n’en croyaient pas leurs yeux ! De leur coté, les deux routiers polonais avaient décidé de « refaire un tour ». Cinq hommes faisaient désormais la queue, attendant leur tour pour la baiser. L’impatience se sentait, et le commercial dut intervenir pour éviter un début de dispute sur qui était là avant qui, et qui avait la priorité. Il y en aurait pour tout le monde de toute manière !Pendant ces conciliabules, le chauffeur continuait de limer vigoureusement le petit cul à disposition. Il ahanait bruyamment en allant et venant en elle ; il avait joui il y a peu et il ne paraissait pas près d’éjaculer tout de suite. Elle avait beau avoir l’habitude des sodomies à répétition, son cul commençait à la faire souffrir, et elle savait que ce n’était que le début de ce qui l’attendait.L’un des trois nouveaux, commençant sans doute à trouver le temps long, s’approcha et contourna la portière. Il sortit sa queue de son pantalon, et dit sur un air de dépit qu’il allait se faire sucer en attendant. Il enfourna immédiatement son chibre entre les lèvres de la jeune fille et il commença lui aussi à la baiser sans retenue. Ses deux compères finirent par le rejoindre, et, comme l’homme ne souhaitait visiblement pas jouir entre ses lèvres, il leur laissa la place ; les trois hommes alternèrent alors, s’enfonçant entre ses lèvres à tour de rôle comme si de rien n’était, s’arrêtant dès que les premiers signes d’orgasme se manifestaient. De son coté, celui qui prenait son plaisir entre ses fesses finit par accélérer encore sa cadence ; il sentait le plaisir monter et il voulait finir en apothéose, en lui baisant l’anus à un rythme infernal. Il sortit enfin son chibre tendu de ses fesses pour répandre son sperme sur ses reins et le haut de ses fesses. Il lui asséna une dernière claque avant de prévenir les trois hommes que la place était désormais libre.Un des chauffeurs vint alors prendre la place encore chaude, lui défonçant immédiatement le cul avec vigueur. Les deux Polonais avaient rejoint les deux autres routiers et c’était désormais quatre queues dressées qu’elle devait prendre en bouche à tour de rôle. Sa mâchoire commençait elle aussi à la faire souffrir, mais à nouveau, elle n’était pas en position de dire quoi que ce soit.Elle avait perdu toute notion du temps ; elle ne pensait plus qu’aux queues qui s’enfonçaient tour à tour entre ses lèvres et qu’elle léchait tant bien que mal du bout de sa langue tandis que son cul était ravagé encore et encore par la queue d’un autre homme. Elle sentit à nouveau les giclées de foutre atterrir sur son dos et ses fesses, preuve que le routier venait de prendre son plaisir. Au même moment, un des quatre hommes qu’elle suçait, n’y tenant plus, éjacula à son tour, arrosant son front et ses joues d’une dose copieuse de sperme. Les trois autres suivirent très vite, éjaculant à tour de rôle sur elle, couvrant littéralement son visage de foutre luisant.
Elle espérait bénéficier d’un peu de répit, mais, à peine les cinq hommes se furent-ils éloignés, qu’elle sentit une queue s’enfoncer dans sa chatte. Elle tourna la tête tant bien que mal et elle constata que désormais une quinzaine d’hommes faisaient la queue devant la voiture… Le nouveau venu jouit très vite et il arrosa également son cul de sa semence. À ce moment-là, une rumeur d’encouragement parcourut la petite file d’attente qui s’était formée. Un routier s’avançait vers elle, et des mots fusaient de l’assemblée : « Elle va le sentir passer cette fois ! » ; « Il va lui casser le cul à la petite ! » ; « Elle va se faire déchirer la salope ! »…L’homme se planta devant elle avec un large sourire. Lentement, il déboutonna et baissa son pantalon avant d’enlever son caleçon. Elle ne put s’empêcher de s’exclamer à la vue de son sexe. Elle avait trouvé la queue du neveu énorme, mais celle qui se présentait désormais face à elle dépassait la norme : pas loin d’une trentaine de centimètres, un diamètre très large, et un gland particulièrement épais. Calmement, il posa sa main sur le haut de sa tête, la maintenant immobile. Il approcha ensuite son sexe tendu à l’orée de ses lèvres. Elle ouvrit immédiatement la bouche, incertaine de sa capacité à le prendre mais soucieuse de ne pas le contrarier. En fait, elle ne contrôlait rien et c’est lui qui imprima le mouvement, avançant doucement mais surement. Sa bouche était totalement distendue par le sexe démesuré. Elle salivait tant qu’elle pouvait, comme elle l’avait appris, bavant sur la queue qui forçait sa bouche centimètre par centimètre. Elle voyait la détermination dans le regard de l’homme, la détermination à s’enfoncer totalement, à ne s’arrêter que quand sa queue serait fichée au plus profond de sa gorge. Elle le regardait faire, totalement soumise et entravée, objet sexuel à disposition de cette horde de mâles en rut qui encourageaient leur collègue à chaque nouvelle poussée qui lui arrachait un haut-le-coeur.La patience de l’homme sembla de courte durée. Les choses ne se faisaient pas assez vite à son goût… Alors il appuya encore plus fortement sur le haut de son crâne et il avança son sexe sans faire aucune pose. Elle ferma les yeux pour se concentrer sur cette pénétration terrible et elle reçut immédiatement une gifle sonore assortie d’un avertissement : « Regarde-moi pendant que je te baise la bouche petite salope ! ».Obéissante, elle ouvrit à nouveau les paupières et elle planta son regard dans celui de l’homme. Elle avait les yeux rougis, ses larmes coulaient sur ses joues, se mêlant aux traces de foutre qui maculaient son visage. L’énorme queue avait forcé sa glotte et elle butait désormais au fond de sa gorge, lui coupant le souffle. Il la maintint ainsi à l’extrême limite, se retirant finalement pour la laisser souffler et cracher toute sa salive au sol.Il lui laissa cependant peu de répit et il força très vite à nouveau ses lèvres, s’enfonçant une fois de plus le plus profondément possible sans lâcher son regard. Il joua ainsi avec elle de longues minutes sous les encouragements du « public ». Il, finit par se retirer une bonne fois pour toute, mais elle savait que c’était un faux répit, que le pire était à venir…En effet, il contourna la portière pour venir se positionner derrière elle. Son gland démesuré cognait à l’entrée de sa chatte. Il la prit d’un coup sec, l’ouvrant comme jamais, la possédant de toutes sa longueur. Elle cria comme une folle, manquant de jouir sous cette seule poussée. Tous les routiers présents applaudirent en sifflant. Elle n’était plus qu’un objet de spectacle…Il la baisa ainsi sans relâche pendant un long moment, faisant monter en elle un plaisir intense qu’elle avait à nouveau toutes les peines à retenir. Il se retira de son sexe brulant alors qu’elle allait partir. Sans attendre, il positionna son sexe toujours dur contre son petit trou. Elle ne put s’empêcher de crier « Non !!! ». Pour seule réponse, il lui asséna une série de claques sur ses fesses rebondies. Et il commença sa poussée.Comme avec sa bouche quelques instants plus tôt, il avançait méthodiquement, écartant ses chairs comme jamais elles n’avaient été écartées. Son anus, pourtant habitué depuis plusieurs jours à des sodomies régulières et sauvages, résistait à cette pénétration hors normes. Mais la lutte était perdue d’avance : totalement immobilisée, elle ne pouvait pas résister à la lente et inexorable pénétration de son petit trou qui petit à petit se soumettait à son tour à ce chibre monstrueux.Quand il s’estima suffisamment en elle, il commença à aller et venir, d’abord prudemment, puis de plus en plus rapidement. À chaque nouveau coup de rein, il s’enfonçait encore davantage dans son cul qu’il martyrisait à loisir. Un râle, où se mêlaient plaisir extrême et douleur intense, s’échappait en continu des lèvres de la jeune stagiaire. Elle n’aurait sur dire pendant combien de temps son cul fut ainsi défoncé, car il n’y avait pas d’autres mots. Elle perdait totalement pied alors que le pieu de chair la pilonnait sans vergogne. Elle fut tirée de son état second par les cris de l’homme qui jouissait enfin. Lui aussi arrosa de sperme son dos et son cul ; elle sentait avec délice les gouttes chaudes s’abattre sur son corps, preuve que son supplice arrivait enfin à son terme.
L’homme se rhabilla enfin, quittant les lieux sous les applaudissements des autres routiers. Presque aussitôt, deux hommes vinrent à leur tour se positionner, un derrière elle et un face à son visage. Ils eurent tous les deux une réaction de dégoût« Mais elle est couverte de sperme ! », s’exclama l’un d’eux. Le commercial se rapprocha alors, et il demanda aux deux hommes de patienter, expliquant qu’il allait remédier au problème. Il se dirigea vers une station-service toute proche et il revint quelques instants plus tard avec deux seaux remplis d’eau. Il vida le premier d’un geste vif sur son cul. L’eau était glacée et elle fut saisie par le choc thermique. Elle reçut le second en plein visage, avec les mêmes effets. « Voilà, elle est un peu plus présentable ! À vous messieurs ! », finit par dire le commercial d’un air satisfait.Les pénétrations reprirent alors, sans qu’elle n’ait plus aucun répit. Les queues se succédaient entre ses lèvres, dans sa chatte et dans son cul. Les hommes jouissaient encore et encore sur tout son corps et elle dut subir encore à plusieurs reprises l’humiliation du « nettoyage » avec les seaux d’eau.La file d’attente ne désemplissait pas et, à la fin de la journée, elle ne sentait plus rien ; sa mâchoire et ses orifices étaient totalement engourdis ; ils s’ouvraient d’eux même pour toutes les pénétrations. Alors que le jour commençait à décliner, les hommes se succédèrent avec encore plus d’acharnement en elle, mais cette fois aucun d’entre eux ne jouissait.Finalement, le commercial annonça que la fin de cette journée approchait. Il baissa la vitre, libérant la jeune fille. À peine tenta-t-elle de se redresser qu’il la fit au contraire mettre à genoux. Elle n’essaya même pas de résister ou de comprendre. Il restait une vingtaine de routiers ; tous avaient leur queue à la main et aucun n’avait encore joui.Ils s’approchèrent alors par petit groupe, se masturbant vigoureusement face à elle. Elle ne bougeait pas, elle n’en avait de toute façon plus la force. Très vite, les giclées de foutre s’abattirent sur son visage, ses seins et son ventre.Le sperme pleuvait littéralement sur elle, vingt-deux éjaculations au total. Pas une seule partie de son corps ne fut épargnée. Elle en avait partout, la semence des routiers coulaient sur toute sa peau. Une odeur intense se dégageait d’elle, une odeur de sexe, de stupre et de foutre.Quelques hommes prirent des photos en souvenir, zoomant parfois sur certaines parties de son corps particulièrement arrosées. Ils finirent par quitter le parking les uns après les autres, non sans avoir tous remerciés le commercial pour cette belle journée.
La nuit était finalement tombée, il n’y avait plus qu’elle et son « vainqueur » sur le parking. Elle était toujours à genoux, le sperme séchait lentement sur sa peau. Le commercial la contemplait avec satisfaction. Il s’exclama finalement : « Tu as eu ton petit succès ma jolie ! Quand tu veux pour remettre çà ! ».Il monta alors dans sa voiture ; elle voulut faire de même, mais il lui claqua la portière au nez.« Non mais tu t’es vue ? s’exclama-t-il. Tu es couverte de sperme, tu vas tâcher ma voiture petite salope ! Tu te débrouilles : tu rentres à pied, ou tu fais du stop ; tu trouveras surement quelqu’un pour te ramener, tu n’auras qu’à lui sucer la queue ! ».Sur ces derniers mots, il démarra, la laissant seule sur ce parking, couverte de foutre et à plusieurs kilomètres de chez elle. Elle ne savait pas comment elle allait pouvoir rentrer…
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