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En stage de soumission

Chapitre 13

Un ami de la famille

SM / Fétichisme
Elle resta une bonne heure seule dans la cellule. Un des deux agents vint finalement la chercher pour l’emmener.« Le commissaire veut te parler. Apparemment il te connait peut-être », lui dit-il d’un air légèrement penaud.Elle se sentit rassurée et en même temps revigorée. Il était tard et elle était très fatiguée. Elle suivit l’agent à travers un dédale de couloir avant d’arriver enfin devant le bureau du commissaire principal. Le policier lui fit signe d’entrer.C’était bien l’ami de ses parents qui se tenait dans la pièce. Il avait dépassé la cinquantaine, avec les tempes grisonnantes. Il était grand, près d’un mètre quatre-vingt-dix et il pratiquait de nombreuses activités sportives pour se maintenir en forme ; il avait un corps extrêmement musclé pour son âge. Il la regarda avec perplexité quand elle pénétra dans son bureau. « Gwendoline ? S’exclama-t-il. Que fais-tu dans une tenue pareille ? Et que faisais-tu à une heure aussi tardive ? Je n’en croyais pas mes oreilles quand mes agents m’ont raconté l’histoire…— C’est une histoire compliquée, répondit-elle. Je voudrais juste rentrer chez moi, je suis fatiguée.— Je ne vais pas te laisser rentrer dans une tenue et un état pareil ! Je vais appeler tes parents pour les prévenir…— Non ! cria-t-elle, regrettant immédiatement.— Comment çà « non » ? Demanda le commissaire, perplexe. Qu’est-ce que tu me caches, ajouta-t-il d’un air suspicieux ?— Rien… Rien du tout », tenta-t-elle de dire avec conviction.Le commissaire se leva et s’approcha d’elle, l’observant plus attentivement. Elle se sentait littéralement transpercée par son regard acéré. Elle savait que rien ne pouvait échapper à son oeil averti, elle en avait fait plusieurs fois l’expérience quand elle était plus jeune et qu’il venait diner chez ses parents.« Gwendoline, je vais te le demander pour la dernière fois, dit-il d’un ton ferme. Que t’arrive-t-il ? Cette tenue, et les traces que je vois sur ta peau… Dans quelle histoire t’es-tu fourrée ??? Je dois savoir ! ».Elle se sentait prise au piège ; elle ne voyait pas quoi dire sans provoquer de réaction incontrôlable. Il ne la lâchait pas des yeux et elle savait qu’il ne céderait pas tant qu’elle ne lui aurait pas dit la vérité. Acculée, incapable de réfléchir avec la fatigue accumulée, elle finit par tout lui avouer. Il l’écouta, bouche bée ; il n’en revenait visiblement pas.« Mais c’est odieux ! Finit-il par exploser quand elle eut terminé son récit. Tu dois immédiatement quitter cette entreprise ; quant à ce Monsieur Dernott, je vais aller le voir et lui expliquer ma façon de penser !— Non, murmura-t-elle en secouant la tête. — Comment cela « non », lui répondit-il interloqué ?— Non, répéta-t-elle. Je veux garder ce stage, je rêve de travailler dans cette entreprise.— Mais pas à ce prix là ! Ne me dis pas que tu es d’accord pour être traitée comme cela ? ».Elle resta silencieuse, baissant les yeux. Elle connaissait parfaitement la réponse à cette question, mais elle ne savait pas comment il réagirait si elle lui disait la vérité. Car au fond, oui, elle était heureuse, plus qu’heureuse même d’être traitée ainsi.« Je vais prévenir tes parents, pour qu’ils viennent te chercher et qu’ils te sortent de là ; cela ne peut pas durer ! Reprit le commissaire.— Non ! S’écria-t-elle. Ne les prévenez pas, je vous en supplie !— Mais tu ne vas quand même pas me dire que cela te plait !!! ».Elle ne répondit pas non plus, mais cette fois elle soutint son regard ; et il lut la vérité en elle aussi surement que si elle avait parlé ouvertement.« Tu aimes cela en fait ? Dit-il incrédule.— Oui, répondit-elle dans un murmure.
— Ce n’est pas possible ! Je devrais prévenir tes parents…— Non ! Répéta-t-elle à nouveau. Cela ne les regarde pas ! ».
Elle avait crié ces derniers mots avec une force insoupçonnée. Le commissaire en resta bouche bée. Elle sentit qu’elle avait repris l’avantage, et elle décida de ne pas en rester là. D’un geste assuré, elle fit voler son haut en résille, dévoilant enfin l’entièreté de ses seins ronds et fermes. Elle défit également le zip de sa jupe qui glissa au sol. Elle était nue, seulement vêtue de ses bas résilles. « Mais que fais-tu Gwendoline ? Demanda le commissaire qui n’en croyait pas ses yeux.— Je suis une chienne, lui répondit-elle sans le quitter des yeux. Je suis une chienne et vous allez me baiser comme une chienne ».Sans attendre, elle s’appuya contre le bureau, penchée vers l’avant, la croupe relevée, les cuisses grandes ouvertes. Le commissaire était comme figé devant ce spectacle. Il contemplait ce jeune corps qui s’offrait à lui sans oser faire un mouvement. Elle tourna la tête vers lui.« Et bien quoi ? Lui cria-t-elle. Ne me dites pas que vous n’avez jamais voulu me baiser ? Je ne vous fais pas envie ? Vous n’avez jamais rêvé de casser mon petit cul en deux ? Vous seriez bien le premier homme qui n’a jamais eu envie de défoncer une petite salope totalement soumise…. Peut-être que votre pseudo-virilité sert en fait à masquer votre impuissance ? ».Elle poursuivit sa litanie, le provoquant, l’insultant, cherchant surtout à exciter ses pires pulsions. Elle n’aurait su dire quel mot, quelle phrase, finit par faire mouche ; mais soudain le commissaire franchit les quelques mètres qui la séparaient d’elle. Il posa sa main sur son crâne, plaquant brutalement sa tête contre le bureau. En quelques instants, il avait ouvert sa braguette et sortit son chibre tendu. Il la pénétra d’un coup sec, sans ménagement.« Je ne sens rien, le provoqua-t-elle à nouveau. Vous êtes sûr que vous bandez ? ».Il poussa un cri raque ; il empoigna ses épaules et il se mit à la besogner brutalement, tirant sur son corps tout en accélérant ses coups de boutoir. Il la démontait littéralement, à une cadence infernale. Elle en voulait cependant plus, beaucoup plus.« Prévenez-moi quand vous aurez fini les préliminaires, qu’on passe enfin aux choses sérieuses… », lui lança-t-elle d’un ton le plus badin possible.Cette dernière phrase le piqua au vif. Il était fou de rage face à cette jeune fille qui le narguait. Il se retira et il pointa son gland à l’orée de son petit trou.« Très bien… Je vais t’enculer petite salope, et on va voir si les préliminaires sont terminés ! ».Il s’enfonça alors de toute sa longueur dans son cul. Il avait espéré sentir de la résistance, il voulait lui faire mal, qu’elle sente bien passer tout son chibre ; mais non, sa queue coulissa dans le petit cul de la stagiaire sans aucune difficulté, tant il avait vu du passage ces derniers jours.« Vous me prévenez quand vous serez dans mon cul ? Lui dit-elle moqueuse. Pardon, vous y êtes déjà ? ».Elle poursuivait ses provocations, même si elle sentait désormais totalement la queue qui labourait violemment son cul. Elle y prenait en fait un plaisir intense, multipliant les piques pour se faire baiser de plus en plus brutalement. Les coups de rein du commissaire la plaquaient chaque fois un peu plus contre le bureau et ses cuisses la faisait souffrir à force de heurter les montants.Décidé à mater cette impertinente, l’homme se saisit d’une matraque qui trainait non loin. Tout en poursuivant l’assaut de son cul, il plongea l’objet entre ses cuisses, l’enfonçant d’une traite dans son vagin ruisselant. Cette fois elle ne put retenir un cri de plaisir sous le coup de cette double pénétration improvisée« Alors tu la sens bien cette fois ma queue petite pétasse ? lui demanda l’homme avec hargne. Et la matraque dans ta chatte, çà te fait du bien ? Je n’ai jamais supporté tes petits airs précieux, à chaque fois que je venais chez tes parents.… Là je vais enfin t’apprendre la politesse petite salope ; je vais te dresser à grand coup de bite dans le cul ! ».Il redoubla alors ses assauts, enfonçant chaque fois plus fort et plus loin la matraque. Le corps de la jeune fille se soulevait à chaque intromission tandis que les pénétrations dans son anus la ramenaient à nouveau contre le bureau. Ses bravades avaient atteint leur objectif : elle ne contrôlait à nouveau plus rien, elle était totalement soumise aux coups de rein du commissaire.
« Tu sais quoi ? Lui dit-il sans cesser de la prendre avec fougue. Je pense qu’une salope comme toi çà se partage. Ce serait dommage de ne pas en faire profiter les autres, tu ne crois pas ? Je vais appeler les deux agents qui t’ont amené ici. Eux aussi, tu les as énervés très vite ; je pense qu’ils ont un petit compte à régler avec toi, ils seront ravis ! ».Il cessa sa pénétration. Elle voulut se relever, les membres un peu engourdis, mais il lui asséna une claque violente sur la fesse, lui intimant de ne pas bouger. Pour s’assurer qu’elle reste bien immobile, il se saisit de deux paires de menottes, au moyen desquelles il attacha ses poignets aux tuyaux d’un radiateur tout proche. Il se dirigea alors vers la porte, l’ouvrit et il héla les agents qui devaient se trouver non loin, dans le commissariat quasiment vide à cette heure avancée. Quelques instants plus tard, les deux hommes entraient dans le bureau, se demandant ce que le grand chef leur voulait. Ils furent ébahis en découvrant le spectacle qui les attendait…« Cette petite salope a besoin d’être matée, alors j’ai immédiatement pensé à vous pour me donne un coup de main, leur dit le commissaire.— Comment çà « la mater » chef ? Demanda l’un des deux policiers.— C’est une petite pimbêche que je connais depuis longtemps, leur expliqua-t-il. Dit autrement, elle a besoin d’être dressée à coup de queue ! Allez-y, vous avez des journées stressantes, cela va vous faire du bien de vous défouler un peu ; elle est là pour çà et elle en redemande la pétasse !— Mais on peut vraiment y aller autant qu’on veut ? Demanda l’autre homme incrédule.— Tant que vous voulez et comme vous le voulez, lui répondit le commissaire. Hein, ma salope ? dit-il à l’adresse de la stagiaire en lui assénant une tape sur le postérieur.— Ou… Oui, répondit-elle. Autant que vous le voulez et comme vous le voulez.— Vous voyez ? dit le commissaire à l’adresse de ses hommes.— Génial, s’écria l’un d’eux.— On pourrait peut-être commencer par lui attendrir un peu le cul ? proposa le second.— Super idée, enchérit le premier. Çà lui apprendra à mieux se comporter avec des agents de police ».Les deux hommes s’approchèrent alors et, à tour de rôle, ils commencèrent à la fesser avec vigueur, faisant progressivement rougir ses fesses. Au bout de quelques minutes de ce traitement, l’un des deux s’arrêta, cherchant quelque chose du regard. « Le problème avec la fessée, dit-il à l’adresse des deux autres hommes, c’est qu’on se fatigue vite la main ».Il se saisit alors d’un manuel sur le bureau. Il le soupesa un bref instant puis il l’abattit sans retenue sur les fesses de la jeune fille qui cria de douleur sous l’impact. Le livre laissa une marque très nette et très rouge sur son postérieur. Les coups tombèrent alors méthodiquement, marquant chaque fois un peu plus ses fesses. Les deux hommes prenaient plaisir à frapper chaque fois un peu plus fort pour intensifier ses cris.Ils finirent par reposer le manuel, la jugeant suffisamment « attendrie ». L’un des deux se positionna derrière elle et il s’enfonça sans crier gare entre ses fesses, commençant à la sodomiser immédiatement. Il se retira après quelques minutes pour laisser la place à son compagnon qui se mit à besogner immédiatement ses fesses de la même manière.« Ce n’est pas un cul qu’elle a ! Commenta-t-il goguenard. C’est un véritable garage à bites ! On rentre dedans comme dans du beurre !— Je lui ai collé ma matraque dans la chatte tout en l’enculant tout à l’heure, et elle a aimé çà la petite salope, leur expliqua alors le commissaire.— Ah oui ? S’enquit l’autre homme. Elle aime se faire prendre en double ? Çà ne m’étonne pas vue la chienne qu’elle a l’air d’être ! ».Il s’empara alors de la matraque qui trainait toujours sur le bureau et il l’enfourna sans ménagement dans le vagin humide de la jeune stagiaire. Il la rentrait et la sortait avec force et à une cadence folle tandis que son collègue continuait de la sodomiser. Elle criait de plaisir en sentant ses orifices ainsi remplis.
« Et si on lui offrait une vraie double à la demoiselle ? » demanda soudain l’homme qui maniait la matraque.Pour seule réponse, celui qui lui prenait le cul grimpa sur le bureau, continuant de la baiser à califourchon tout en laissant un accès libre pour l’autre homme. Le commissaire s’était déplacé, passant devant le bureau pour venir enfoncer son sexe toujours tendu entre les lèvres de la jeune fille.Le second policier s’approcha à son tour entre les cuisses de la jolie stagiaire. Elle s’attendait à ce qu’il retire la matraque, la remplaçant par son sexe. Il n’en fit cependant rien, à son grand étonnement. Elle sentit le gland buter tout d’abord contre son périnée. Puis il remonta. Il va dans le mauvais sens, pensa-t-elle, incapable de parler avec le sexe du commissaire qui emplissait sa bouche.Sa queue arriva alors à l’entrée de son anus que l’autre sexe besognait déjà. L’homme fit alors une pause dans sa sodomie sans pour autant quitter ses fesses. Elle sentit alors l’autre queue pousser, presser, forcer à son tour ses chairs déjà distendues. Non ! Il n’allait pas… Il ne pouvait pas…Mais si, il allait et il pouvait… Lentement, inexorablement, un deuxième sexe s’enfonça dans son cul. C’était bien d’une double pénétration qu’il était question, mais une double pénétration anale. La matraque était restée fichée au fond de son vagin et elle n’avait jamais eu une telle sensation.Elle ne parvenait plus à sucer le commissaire. Elle voulait sortir le sexe d’entre ses lèvres pour hurler aux deux hommes d’arrêter, mais elle n’y parvenait pas. Elle avait les yeux exorbités, criant de douleur à chaque nouvelle poussée qui ouvrait encore davantage son petit trou. Elle tirait comme une forcenée sur les menottes, mais elle ne parvenait qu’à s’écorcher les poignets.Elle se laissa faire, incapable d’autre chose. L’homme poursuivit sa poussée et les deux sexes furent finalement totalement fichés en elle. Son cul était plus ouvert qu’il ne l’avait jamais été. Lentement, les deux policiers se mirent à aller et venir, se coordonnant tant bien que mal. Elle tapait avec ses poings sur le bureau à chaque va-et-vient en cherchant à évacuer la sensation d’écartèlement terrible qu’elle subissait à chaque fois.Lassé de la voir délaisser son sexe, le commissaire empoigna fermement sa chevelure et il s’enfonça jusqu’à la garde entre ses lèvres. Maintenant sa tête en position, il commença à aller et venir dans sa bouche ; son pubis venait buter contre son nez à chaque pénétration et il sentait le plaisir monter progressivement tandis que ses deux agents besognaient le cul de la jeune fille de plus en plus rapidement.Elle avait les yeux dans le vague, secouée de toute part tel un pantin désarticulé. Elle n’avait plus conscience que d’une chose : les deux queues qui allaient et venaient sans interruption entre ses fesses. Une fois encore, la douleur avait laissé la place au plaisir, un plaisir qui s’intensifiait à chaque nouvelle poussée hargneuse dans son anus. Elle se souvenait de ce qu’elle avait dit par provocation au commissaire quelques instants plus tôt ; et là, elle se faisait en effet casser son petit cul en deux. Son vagin se contractait de plus en plus autour de la matraque qu’elle sentait comme jamais ; sa jouissance était toute proche.Le commissaire partit le premier. Sa verge se tendit soudain et il éjacula copieusement au fond de la gorge de la jolie stagiaire qui manqua de s’étouffer avec le flot de sperme qui tapissa rapidement sa glotte. Les deux agents étaient eux aussi proche de l’orgasme et ils accélérèrent encore leurs mouvements. Ces dernières poussées la firent décoller à son tour. Elle fut saisie d’une série de spasmes violents, contractant chacun de ses muscles, comme si son corps voulait sentir au maximum les pénétrations qu’elle subissait. La matraque dans sa chatte lui parut soudain énorme et elle sentit une fois de plus des flots de liquide s’échapper de son sexe de manière continue.Son orgasme fut tellement intense que, paradoxalement, pas un son ne s’échappa de ses lèvres. Elle était saisie de tremblements incontrôlables, luttant pour garder connaissance tant cette jouissance terrible menaçait à tout instant de la « déconnecter » totalement. Elle flottait quelque part encore le conscient et l’inconscient ; seules les vagues de plaisir incessantes la maintenaient encore dans le monde réel.L’homme sur le bureau jouit à son tour. Il se retira de son cul et il remonta, répandant son sperme sur le haut de son dos et dans ses cheveux, l’un des rares endroits encore vierges de semence. Le deuxième le suivit de peu et il expulsa tout son plaisir sur ses fesses.
Les trois hommes se rhabillaient tandis qu’elle était toujours affalée sur la table. Elle était amorphe, incapable de faire un seul mouvement. Elle se sentait totalement vidée, l’esprit encore ailleurs. Elle entendit à peine le commissaire déverrouiller les menottes. Des mains la saisirent pour la relever et la soutenir. On l’aida à enfiler ses vêtements.Elle reprit vaguement connaissance alors qu’elle était à l’arrière d’une voiture de police ; elle ne se souvenait plus comment elle avait réussi à marcher jusqu’au parking. Arrivée près de chez elle, la voiture s’engagea dans une petite ruelle toute proche. Avant de la laisser partir, les deux agents qui la raccompagnaient la sodomisèrent une dernière fois à tour de rôle à même le capot de leur véhicule. Elle ne sentait rien tant telle avait l’impression que son anus était totalement distendu après ce qu’elle avait subie. Seules les giclées de sperme qui s’abattaient sur son dos lui indiquèrent que les deux hommes avaient enfin joui et qu’elle pouvait y aller.Elle poussa la porte de son appartement telle un zombie. Elle se laissa tomber sur son lit et elle s’endormit en quelques instants.
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