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Un stage très formateur

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire s’est réellement déroulée il y a peu, alors que j’étais stagiaire en entreprise. Seul les noms on étés changés.
Je m’appelle Lolita. Je suis une jeune femme de bientôt 19 ans. Brune, cheveux longs, 1m71 pour 53 kg. Il faut le dire, j’ai hérité de ma mère un corps qui n’est pas déplaisant à regarder. Je le sais. Ma poitrine est à mon image : mince. Je dois faire un petit 85B, mais je ne sais pas trop, je ne porte que très rarement de soutient-gorge. Mes fesses sont fermes et galbées, et suivent la cambrure de mes reins, qui est assez prononcée. Je suis un être passionné. Caractériel, à fleur de peau, et parfois impulsif. En groupe, on me qualifie souvent de meneuse. Voire un soupçon dominante. Ce sont des critères qu’il est important de préciser pour la suite de l’histoire.
Autre faits intéressants : je suis passionnée de littérature, mention spéciale pour un célèbre écrivain russe. De plus, l’érotisme fait partie intégrante de mon existence. Les hormones ne m’ont pas loupée, elles me tiennent en émoi chaque jour un peu plus. Avec une particularité : j’aime les hommes murs. Si tenté qu’ils soient charismatique, avec du charme, il y a de quoi me rendre dingue. J’ai eu plusieurs aventures avec des hommes ayant au minimum 20 ans de plus que moi. J’y ai toujours pris beaucoup de plaisir.  
 Cette histoire s’est déroulée à partir d’un milieu de la vie quotidienne : le lieu de travail.En effet, pour accéder au parcours diplômant qui m’attire, à savoir le travail social, j’ai dû suivre pendant plusieurs semaines un stage dans un organisme. Déterminée à poursuivre dans cette voie, je prenais très au sérieux ce nouveau virage de ma vie. Pour ce faire, j’avais décidé de me mettre dans la peau d’un personnage neutre. En mettant de côté toutes mes extravagances, qu’elles soient physiques et morales. Le premier matin, j’ai déambulé dans mon appartenant à la recherche d’une tenue adéquate. J’ai troqué mes petites robes et mes bas contre des pantalons informes, mes débardeurs contre des pulls à manches longues, et mes talons hauts contre des bottines simple. Mes longs cheveux étaient noués en un chignons serrés, et mon maquillage, quasi inexistant. Un dernier coup d’œil dans le miroir : parfait. Cachée de la sorte je n’attirerais aucun regard. Il en valait de ma sécurité.
 C’est donc d’une neutralité absolue, et pleines de bonnes intentions que je me suis rendue à mon premier jour de stage. La fleur au fusil. En arrivant, j’ai fais la rencontre du gérant qui ma présenté l’équipe au complet, en m’expliquant que chaque jour un membre du personnel soignant se doit de se trouver sur les lieux. Il y en avait plusieurs, qui tournaient en fonction des jours de disponibilité de chacun. On m’indique une sorte de petite remise où aller poser mes affaires, devant laquelle se tient celui qui me semble être l’infirmier, lui même en train de ranger son cartable. Je m’avance jusqu’à lui, il relève la tête et me salue : «  - Bonjour. C’est vous la stagiaire ? Karl XXXX, infirmier en psychiatrie.  me dit-il en me tendant sa main à serrer.
Lolita, enchantée. » répondis-je, le regard franc, percutant le sien.
Et merde. Il a les yeux bleus ce con. C’est ma came depuis toujours. Mais peu importe. Je me suis promise d’être sérieuse et concentrée. Pas question d’avoir l’esprit ailleurs. Je rentre dans la pièce sombre, dépose mes affaires et ressort aussitôt. Il m’attend devant, emprunt de jovialité et me posa plusieurs question.
« - C’est la première fois que tu viens ici ? Toi aussi tu veux devenir infirmière ? Quel âge tu as ?
Ce à quoi je répondis par l’affirmatif, en esquivant la dernière question. Je n’aime pas donner mon âge. J’ai pris l’habitude de vivre comme si j’avais 10 ans de plus. Je ne veux pas être prise pour une écervelée. Une fois les présentations faites, il m’entraîne à l’extérieur, et prend le temps de m’expliquer le fonctionnement de la structure en détail, avant que les hostilités commences.
 Il me parle, je l’écoute avec attention, je pose des questions. Entraînée par la discussion, je ne me suis pas rendue compte, mais il est vraiment tout près. Un éclair de lucidité traverse mon esprit, c’est quand même pas moi qui me suis approchée ainsi, si ? Je me recule à peine et prend le temps de regarder avec plus d’attention l’homme qui me parle depuis un quart d’heure de son métier avec passion. 1M80, 85kg à peu prés, brun et le teint halé. Typé espagnol à vue de nez, la cinquantaine qui point au coin des yeux. Bleus. Y’à pas à dire, c’est un beau mec. Le genre qui mettrait au tapis toutes mes bonnes résolutions en un regard. Je me reprends, je l’écoute nouveau, sans pouvoir m’empêcher se serrer mes cuisses l’une contre l’autre, en sentant mon petit string un brin humide. Je regarde ses mains, qu’il a grande et belle. Je plaisante avec lui, il rit, je vois aux expressions de son visage, à sa manière de bouger que ça doit être un sacré coquin. Je perçois ses choses là. Je sens que ce stage va me plaire. La journée se déroule bien, j’observe beaucoup, je me rends utile et la soirée arrive très vite. Il est déjà temps de partir, je salue tout le monde et m’apprête à prendre congé. Karl s’avance vers moi et claque une grande bise sur mes joues, en m’expliquant qu’il ne va pas travailler beaucoup sur les même horaires que moi mais qu’il espère me croiser à nouveau avant la fin de mon stage. Je rentre chez moi, crevée de ma journée, avec plein de nouvelles images en tête, et notamment une, qui n’était pas vraiment prévue, Karl l’infirmier psy aux yeux bleus. Sur le retour direction mon appart, je pense à cette rencontre intéressante, en regrettant par avance de ne pas le croiser souvent pour la suite de mon stage. Après quelques minutes de réflexion, je me rends à l’évidence : il m’a troublée. Je suis partagée entre deux idées, celle qui me frustre, lorsque j’imagine quel aurait été mon état si j’avais eu ce genre de pensées en sa présence. D’autre part, la raison me rappelle à l’ordre, et je me rassure en me disant que de toutes les façons je ne vais pas le recroiser de si tôt. Et qu’il n’en sera rien si je n’en décide autrement.
Après une bonne douche, je m’écroule sur mon lit, morte de fatigue. Entre conscience et somnolence, en un geste insensé, je sens mes mains se promener sur mon corps avide de caresses et de sensualité. Je suis presque nue dans mes draps, j’ai dénoué mes cheveux qui ont dégringolés en cascade sur mes épaules et ma poitrine. Ma peau est sensible, j’apprécie la chaleur de mon lit et me détend... Une main remonte sur mon sein, il est un peu gonflé, mon mamelon ne tarde pas à se tendre. L’autre main oscille sur mon ventre et mes hanches, je me rends à l’évidence, je suis pleine de désir.
Mon bassin ondule, mes reins se cambrent, pendant que mes deux mains agacent les bouts de mes seins, durs et sensibles.
Dans ma tête, il y a Karl. Qui me parle tout près.
Mes jambes se serrent, et je sens le haut de mes cuisses frotter contre mes grandes lèvres.
Ces yeux bleus qui me transpercent, je soutiens le regard. Je glisse une de mes mains plus bas, qui vient se nicher entre mes cuisses serrées, à la recherche de ce dont je me doute bien : la moiteur de mon vagin, fruit de mon désir. J’aime me sentir trempée. Cela m’excite encore plus. Donc je mouille encore plus, le cercle du vice...
Il ma fait la bise pour me dire au revoir. Il ma touché en même temps il me semble. c’est un homme tactile, il me semble? Je sais plus. La prochaine fois que je le vois, c’est sûr, je lui ferai une bise sensuelle et chaude.Je me touche, me caresse, mes doigts sont plein de mon nectar, dont je me serre pour faire glisser entre deux doigts mon clitoris. De mon autre main j’écarte mes grandes lèvres, pour faciliter le passage de mes doigts qui l’entoure et l’agace sans vraiment le toucher.
La petite pièce où on pose nos affaires.. Elle est petite, très petite. Et sombre. On a vite fait de se retrouver tout proche si on est deux dedans.. Je pourrai être un peu maladroite, me placer un peu trop près de lui, me pencher un peu trop en avant pour poser mon sac... Si je me débrouille bien pour faire monter la température avant, cette remise pourrait m’être utile. J’imagine.. Mon regard planté dans le sien, tout près l’un de l’autre dans cette pièce. Mon regard planté dans le sien, celui qui me trahit quand je suis pleine d’envie. Si je lui lance à ce moment là, si je lui lance après avoir passé de longue heures à faire monter la pression. Si je ne me retiens pas, je lui saute dessus et je lui prends la bouche.. S’il est aussi fou que moi, il me rend mon baiser et passe ses mains sur moi...
Je n’y tiens plus, une de mes mains va fouiner sous mon oreiller à la recherche du saint Graal en ces conditions, qui me fut offert par un de mes amants quadra quand j’avais 16 ans. Un vibro puissant qui ne ma jamais laissé tombée. Je le met en route, et je continue ma rêverie..
J’ai envie de ses mains puissantes sur moi, j’ai envie qu’il me touche. Qu’il prenne entre ses mains mes hanches, me retourne, appuyée contre le mur, et qu’il me prenne bien fort par derrière. J’ai envie d’une étreinte sauvage, bestiale. J’ai envie d’être une chose fragile qui se fait violenter. J’ai envie d’être dominée, de me faire démonter par cet homme que je connais à peine, mais dont le charisme m’inspire des élans de soumission. Dans la vie, je suis la fierté incarnée. Dans l’intimité, j’ai envie de me faire dominer. J’ai envie qu’on ne me laisse pas le choix. Je mouille comme une folle, mon corps ondule sous les vibrations, ma petite chatte se frotte, me brûle, se serre.. J’ai envie de jouir. J’ai envie d’inonder mes cuisses de ma cyprine. J’aurai envie qu’il me voit faire. Le contraste entre le jeune femme sérieuse que j’ai voulu faire paraître et la petite délurée que je suis dans mon lit, un gode entre les cuisses est saisissant. Je ne sais comment il pourrait résister. Je l’imagine me tenir fermement, me saisir, son sexe dur frotter contre mes fesses, et entrer d’un coup tout au fond de mon ventre. Je jouis... De longues secondes passent, je suis transpercée par des ondes de plaisir, ma mouille s’est rependue sur mes cuisses, je la sens glisser entre mes fesses. Je passe mes mains jusqu’à mon petit trou, lui aussi dilaté d’excitation. Je ne tarde pas à m’endormir, l’esprit embrumé par toutes sortes de pensées obscènes. 
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