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De stagiaire à amant

Chapitre 2

Premiers émois dans le bureau

Hétéro
Il est 7h30, mon réveil sonne.
Je me lève difficilement, ma nuit fut courte, hantée par Elena. J’ai une certaine appréhension à retourner au travail et si j’en avais trop fait hier soir avec les SMS ? Et si je perdais ma si bonne entente avec Elena pour cette histoire ?

Enfin, je n’ai plus vraiment le temps de tergiverser, je me prépare en faisant particulièrement attention à mon apparence, on ne sait jamais ce qui pourrait arriver.

Quand j’arrive au bureau, Elena n’est pas encore là, je m’installe à mon poste, partageant le bureau avec un autre de mes collègues. J’entends quelques minutes après la voix d’Elena dans le couloir saluant des collègues. Elle arrive à notre porte, nous gratifiant d’un timide "Bonjour les garçons" avant de retourner les talons.
Je réponds à peine tant je suis surpris de sa tenue, je ne suis pas le seul à avoir pris soin de mon apparence. Elena est vêtue d’un débardeur blanc avec une petite jupe noire, mettant parfaitement en valeur ses superbes cuisses qui m’ont tant envoûté, sa tenue se termine sur une paire de talons compensés noire en cuire ouvert sur de très jolis pieds vernis de rouge. Cette tenue est très sexy, je suis persuadé qu’elle est pour moi, comme pour me faire passer un message.

La journée suit son cours, de temps en temps, je passe devant le bureau d’Elena, la porte est toujours ouverte, je lui lance un simple sourire. En début d’après-midi, je reçois un SMS de sa part.

[SMS]< Ma tenue te plaît ? > Oui, beaucoup, tu es terriblement désirable dans cette tenue. J’ai mis pas mal de temps à m’en remettre ce matin haha. < Merci, j’avais besoin d’entendre ça. Ce matin, mon mari ne l’a même pas remarqué... > Moi je n’ai vu que ça et je ne pense qu’à toi depuis ce matin. Tant d’images tournent en boucle dans mon esprit, tu n’as pas idées. < Oh... quel genre d’images ? > De toi, de moi dans ton bureau. De moi m’occupant de toi comme tu le mérites. < Qu’est-ce que je mérite ? > Qu’on prenne soin de toi et de ton superbe corps, tu mérite de te sentir belle et désirée, de pouvoir t’abandonner entre des mains qui ne veulent qu’une chose : ta jouissance.


Après ce SMS, je n’ai plus eu de réponses pendant de longues minutes. J’ai sûrement dû aller trop loin, l’effrayer, j’ai joué avec le feu et je me suis brûlé. Alors que je suis perdu dans mes pensées, j’entends une porte s’ouvrir puis la voix d’Elena résonnant dans le couloir "Pierre, tu peux venir deux minutes ?"
Je me lève, l’esprit en fusion, je ne sais pas à quoi m’attendre. Elle est déjà rentrée dans son bureau. La porte légèrement refermée derrière elle. Quand je pousse la porte, elle est dans son siège de bureau, les cuisses écartées, son sexe complètement dévoilé. Un sexe très rose avec quelques poils à peine apparents, elle me dit d’une voix presque suppliante :
— Montre-moi que je te fais envie, montre-moi que je suis encore excitante.

Sur ces mots, je défais aussitôt mon jean, mon sexe bandant déjà énormément pour elle dépasse de mon boxer que j’enlève aussi rapidement.
A la vue de mon sexe, elle lâche un énorme gémissement et commence à se caresser en me regardant, je tente de m’avancer vers elle, mais elle me fait signe de rester à ma place et me dit à bout de souffle: "accompagne-moi, caresse-toi pour moi".
Je ne réagis pas de suite, un peu perdu dans cette situation voyant ma collègue se caresser devant moi, ses doigts jouant avec son clitoris et l’entrée de son vagin.

Au bout de quelques instants, je reprends mes esprits et je commence moi-même à me masturber à son rythme, la dévorant du regard, voyant tout son plaisir se dessiner sur son visage. Je n’ose pas parler, j’ai quelques râles de plaisir, je vis un moment indescriptible et si puissant en émotions. Derrière la porte, mes collègues travaillent et ne se doutent de rien. Je suis pourtant en train de me branler devant la plus belle de mes collègues qui est elle-même en train de se caresser en me regardant, la scène paraît irréelle, je m’attends presque à entendre mon réveil sonner et à me faire revenir dans la réalité, mais non, tout ça est bien réel.

Depuis le début, je suis le rythme d’Elena qui se veut de plus en plus soutenu, elle commence même à s’entrer des doigts dans son vagin, son sexe dégouline d’excitation, ses gémissements de plus en plus rapprochés entre l’un deux, elle me dit sur un ton presque autoritaire :
— Jouis Pierre, prouve-moi que tes mots étaient vrais !!
Sur ce quasiment ordre, je prends mon propre tempo et je branle beaucoup plus rapidement, plus intensément comme si j’étais seul dans cette pièce, comme si je devais juste me donner le plus de plaisir en un temps limité. Les yeux posés sur le sexe divin d’Elena, j’atteins au bout de quelques minutes la jouissance, éjaculant en quantité sur ma main et le bureau d’Elena, lâchant un gémissement roque non contrôlé. Ce gémissement fut accompagné par celui d’Elena, plus aigu qui s’est mis à jouir quelques secondes après moi, me donnant l’impression que mon orgasme avait déclenché le sien. Elle, comme moi, prenons un petit temps pour reprendre notre esprit après ces moments si particuliers, hors du temps. Pendant de longues secondes, nous parlons peu, mais nous nous regardons avec un grand sourire satisfait.

Elle est la première à briser le silence :
— Merci Pierre, j’en avais tellement besoin.— Moi j’en avais terriblement envie et j’ai très envie de recommencer ! dis-je enjoué et toujours très excité.— Pour l’instant, ça serait bien que tu retournes à ton bureau pour ne pas éveiller les soupçons, je dois réfléchir à tout ce qui vient de se passer, dit-elle, perdue.
Je comprends que pour elle, le retour à la réalité a été plus compliqué que pour moi. Je ne sais pas quoi faire, je me rhabille simplement et sors de son bureau tout autant perdu qu’elle après ce moment inouï.
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