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Un stagiaire à l'hosto

Chapitre 1

Hétéro
A l’époque j’étais toute jeune, j’avais 18 ans cela faisait a peine deux ans que je sortais de l’école, d’un BEP et j’avais décidée de travailler avant de continuer, peut-être, mes études. Je travaillais à l’hôpital depuis près de 7 mois quand nous recevions un élève en manipulation radio arriva, il avait 28 ans. Nous étions tous deux libres comme l’air, des solitaires en manque d’affection qui vivaient leurs vies comme ils le voulaient. Je me suis tout de suite très bien entendu avec lui, dès le premier jour, pourtant je le voyais comme tous les autres, mais au deuxième jour, ce matin-là il se passa quelque chose, rien du tout aux yeux des autres mais aux nôtres... Je sentais ces yeux sur moi, alors je l’ai regardé et j’ai eu comme un choc dans ma poitrine, mon coeur a cessé de battre quelques secondes. On garda se contact visuel quelques secondes et on détourna les yeux aux mêmes moments, comme si on avait peur de se brûler les yeux avec le soleil. Quelques minutes plus tard, encore très perturbés par ce regard, je décidais d’aller prendre l’air avec une de mes collègues pour m’aérer un peu l’esprit. En remontant j’allais mieux, mais dès que je le vis ce fut encore pire, il devait regarder ce que je faisais, me suivre et m’aider, je fus d’une maladresse incroyable et il s’en moqua beaucoup, ainsi que mes collègues. Je dus bien évidemment, descendre plusieurs fois avec lui pour aller chercher ou emmener quelqu’un en lit, nos retours tous les deux étaient assez silencieux, même seuls dans les ascenseurs vident à cet heure de la journée. Puis en milieu de matinée, en remontant dans l’ascenseur seuls, pour retourner à notre étage je passai la première et en me retournant il se trouva qu’à quelques centimètres de moi, de l’avoir si près de moi j’en eu le souffle couper et il me dit : « Il y a un problème ? Quand on est tous les deux tu parles moins, alors qu’hier tout aller bien, j’ai fait quelques choses de mal ? » Que lui répondre ? Que j’avais affreusement envie de le toucher, de l’embrasser ? Alors je balbutiai en essayant désespérément de reprendre mon souffle : « Mais heu non, tu n’as rien fais, c’est juste que, enfin non ne t’inquiète pas tout va bien... » Les portes s’ouvrirent et je sortis le plus vite que je pus de cet ascenseur, bien évidemment il me suivit mais ne me demanda rien de plus. Mais je fus décider à me calmer un peu, après tout si je devenais folle et qu’il était devenu l’objet de mes désirs je n’avais qu’à attendre qu’il parte et je ne devais pas être quelqu’un d’autre sous prétexte qu’il me faisait littéralement vibrer de désir pour lui. Il alla travailler avec une de mes collègues pendant que moi je m’occupais de mes patients, essayant de le chasser de mes pensées, mais rien n’y faisait, à chaque fois que je sortais d’une chambre je me devais de regarder si il n’était pas dans le couloir et quand je le voyais nous échangions des regards qui voulaient en dire long. J’avais l’impression qu’il voulait autant que moi que l’on se regarde, que l’on soit ensemble, mais je me suis dit que c’était certainement mon imagination. Arriva l’heure de midi, et de la pause repas, nous avions terminés notre travail de la matinée, je l’avais aidé et regardé laver une patiente alité, et j’avais le coeur qui battait deux fois plus fort quand il me frôlait. J’arrivais donc, comme d’habitude la dernière à table et je pris la place qui me rester, à côté de lui. Je pus alors sentir son corps près du miens, j’avais l’impression que sa chaleur se propager en moi, je faisais attention à chaque regards, chaque fois que nos pieds ou nos mains se frôler. Et là on nous annonça qu’il fallait aller chercher quelqu’un de suite en salle de réveil, je me suis tout de suite lever pour y aller, il fallait absolument que je m’éloigne de lui ou mon cœur aller s’arrêter de battre. Mais quand je suis revenue pour voir qui venait avec moi après avoir pris l’oxygène je le vis tout sourire et me dire : « J’ai décidé de venir, je ne suis pas encore allée voir la salle de réveil… » « Ah, bon , on va descendre prendre l’air un peu avant alors… » Oui, prendre l’air, après sa ira beaucoup mieux. On est alors monté dans l’ascenseur et là, coupure de courant, « ne me dit pas que c’était pour aujourd’hui les exercices pour les générateurs de secours ? » « Bah apparemment si… » Après un silence pesant il me dit « Pourquoi tu es si tendu quand je suis avec toi ? Tu ne m’apprécies pas ? Je ne t’ai rien fait… » et avant qu’il finisse sa phrase je lui répondis « Non, je t’aime beaucoup, ce n’est pas ça… C’est que… au contraire… tu m’attires beaucoup… » Il y a eu un long silence, je croyais qu’il allait se foutre de moi mais non, dans ce noir complet je sentis une main tâtonner mon bras, il mit sa main dans mon dos rapprocha son corps contre le mien avec son autre main me caressa la joue, fit le tour de mes lèvres avec son doigt et il m’embrassa. Je crus que j’allais faire un arrêt cardiaque, il me caressa un sein avec une main et avec l’autre m’empoigna une fesse puis il me dit : « Moi aussi j’ai envie de toi » Il se mit à genou, passa ses mains sous ma tenu pour prendre en mains mes seins qui me baissa mon pantalon et ma culotte. Je sentis deux doigts écarter mes lèvres puis enfin sa langue titiller mon clitoris, mais je n’avais pas besoin de ça pour être excité, je mouillais déjà depuis un moment. Emporter par mon plaisir je mis une jambe sur son épaule pour qu’il puisse continuait avec plus de facilité, ce qui ne mit pas longtemps à me faire gémir et je sentais ma mouille coulait sur mes cuisses, c’est à ce moment que le courant se rétablis, il se releva et je remis mon pantalon, j’appuyais sur l’étage du sous-sol où se trouvé les vestiaires car je ne pouvais pas rester comme ça le pantalon tremper avec l’odeur de se plaisir… Heureusement il n’y eut aucun arrêt jusqu’à notre étage, alors je filais droit au vestiaire, mon stagiaire sur les talons, je rentre dans le vestiaire et il me suivit sans aucune gène alors que ce sont des vestiaires exclusivement féminins. « C’est des vestiaires pour femme ici, tu devrais attendre dehors, si quelqu’un rentrait ! » « A cet heure-là il n’y a jamais personne… Et puis… On pourrait continuer à partir de là où on s’est arrêtés… » Je le regardais s’approcher de moi, oui j’avais envie de reprendre moi aussi : « Non, on ne doit pas… ce n’est pas bien, on est au boulot et t’imagine si on nous surprenait, et on bosse ensemble, on n’a pas le droit… » « Ah bon, c’est marqué où ? » Là, il me donnait une colle, effectivement je n’en avais aucune idée, je ne savais même pas si ce que je disais été vrai, alors il continua : « De plus on en a tellement envie tous les deux, t’imagine la fin de la journée à s’éviter, on ne serait plus concentrés sur ce qu’on ferait, alors que si on termine ce que l’on a commencé au moins, on aura mis les choses au point… » Il se colla à moi et m’embrassa dans le cou, il s’approcha encore plus et je sentis son sexe bien dur à travers son pantalon… Je me décollai de lui, pris mes affaires et fila dans une douche tout en lui disant : « Qu’en sais-tu que j’en ai envie ? » La dernière phrase qu’on peut dire quand on ne sait pas quoi répondre, car oui j’en mourrai d’envie, mais que lui dire ? Baisse ton pantalon et prends-moi ? Il dut lire sur mon visage ce que je pensais car avant même que j’eus le temps de me retourner pour fermer la porte il était entré dans la douche, il referma la porte derrière lui me plaqua contre le mur, mit ça main dans mon pantalon pour atteindre mon clitoris encore très sensible, il le fit rouler entre deux doigts et je ne mis pas longtemps pour pousser de petit gémissement, il m’embrassa dans le cou et me dit : « Ce sont tes gémissements qui me disent que tu en as envie, et le fait que là, tu ne me repousses pas… » Je mis une main sur la sienne, celle qui était entre mes jambes et je lui répondis simplement : « Oui, continue… » A ces mots il m’enleva mon pantalon et j’enlevai mon haut puis le sien, je me retournai pour allumer la douche et avoir la bonne température pendant qu’il enleva son pantalon, il prit mon gel douche qui me mit sur le corps on entra dans la douche tous les dents et nos mains parcouraient le corps de l’autre dans des caresses passionnées, je sentais sa verge dure contre mon ventre puis on s’arrêta net, pensant à la même chose, il me dit : « Merde, on a pas de préservatif… » Je réfléchis, je réfléchis et là je lui dis : « Oh si, j’en ai dans mon sac ! Dans mon casier. » Alors je sors de la douche, je remis que le bas de ma tenue, je me disais que de toute manière il n’allait avoir certainement personne, je courus jusqu’à mon casier, prit la boite et retourna dans la douche. Il se masturbait, je voyais sa queue droite comme un i. Je lui donne un préservatif et il me dit : « Comment ça se fait que tu as des préservatifs avec toi ? Je croyais que tu étais célibataire ? Enfin ce n’est pas que ça me dérange que tu en ai mais bon… » Je ris, je ne pus m’en empêcher, lui jaloux, qui l’eut crus. « Cette boite était réservée à l’enterrement de vie de jeune fille que j’ai ce week end, pour les distribuer, enfin les conneries habituelles quoi. » Et c’était vrai, maintenant je n’aurai plus qu’a racheté une boite, car si mes copines remarqueraient qu’il en manquait un seul j’aurai le droit à un interrogatoire ! Pendant que j’imaginai l’interrogatoire que me ferait mes amies lui avait enfilé le préservatif alors j’enlevai mon bas et rentra dans la douche une nouvelle fois, je me demandais ce que j’étais bien en train de faire, ce n’était pas mon genre de coucher comme ça avec le premier venu, même si celui-là me faisait particulièrement tourner la tête… Et avant même que j’eue le temps d’approfondir la question, il se colla à moi, m’embrassa, s’agenouilla me prit la jambe et me la mit sur l’épaule et comme tout à l’heure il me lécha les lèvres et du bout de sa langue se fraya un chemin vers mon petit bouton et je dus m’accrocher à la barre de douche car ma jambe tremblait de plaisir, il savait ce qu’il faisait je le sentais. Il alla jusqu’à me faire jouir d’un plaisir si intense que si quelqu’un se trouvait à notre étage il m’aurait entendu, et j’espère que ce ne fut pas le cas. Il se mit face à moi, me souleva une jambe, m’embrassa et me demanda si j’étais prête, je lui répondis que oui, et il me pénétra en douceur, puis il alla de plus en plus rapidement, puis chaque coup devint un gémissement de plaisir, puis il y eut ces derniers coups de plaisir qui étaient encore plus rapide et on finissait dans des râles de plaisirs.
On finissait de prendre notre douche, on se rhabilla, retourna chercher notre patient et remonta dans le service. Mes collègues nous demandaient ce qui nous été arrivé pour qu’on est mis autant de temps, alors on leur dit qu’on avait été bloqué dans l’ascenseur à cause de la coupure de courant et qu’après nous étions tombés dans une blague entre collègue et que nous étions tremper de la tête au pied et que nous avions du nous changer, ce qui était plausible, car malgré sous nos apparences sérieuses, cela nous arriver assez souvent les batailles d’eau, de mousse à rasez, de Bétadine et j’en passe… Ils ont simplement rit et on acceptait l’excuse, même si, et je le sus que bien plus tard que certain avait un doute sur ce qui c’était vraiment passer…
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