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La stagiaire et la responsable service équipement (seconde partie)

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
La semaine suivante, d’autres personnes arrivent pour la saison à cause de l’activité importante dans l’usine. Comme le venue de Nathalie qui est sur le poste de responsable du conditionnement. Femme divorcée de 53 ans, cheveux grisonnants. Un visage marqué par quelques rides, une petite bouche aux lèvres fines. 
 Après avoir croisé son regard derrière des lunettes rondes je baisse les yeux et tombe sur une énorme poitrine en pastèque. Je suis tellement absorbé par la contemplation de ces grosses mamelles que j’en oublie la conversation. 
C’est un collègue qui me pousse légèrement le bras pour me ramener à la discussion.
Á cet instant, Nathalie a le regard dur, sévère comme pour me fusiller puis elle s’éloigne. Un peu troublé et gêné par la situation, je retourne à mon poste. 
Dans la matinée, je vois passer Nathalie dans la cour d’un pas rapide et se diriger vers le local des marchandises. Ses seins rebondissent, se balancent. J’imagine les prendre en main, les pétrir, enfouir ma tête entre les deux. Elle tourne la tête dans ma direction, me voit derrière la fenêtre et contre toutes attentes, elle me fait un petit salut de la main avec en prime un sourire. Je lui réponds par le même geste. 
Il y a peu de travail en ce début de semaine. Les agriculteurs n’ont pas encore apporté leurs récoltes alors je décide d’aller voir Nathalie pour m’excuser d’avoir mâter ses seins ouvertement plus tôt dans la matinée. Encore une fois, la différence de température avec l’extérieur est surprenante. 
J’avance dans le couloir, m’arrête aux toilettes en passant. J’entends Marion discuter avec Nathalie pendant qu’elles descendent les escaliers. Quand je sors des toilettes, la porte du local des marchandises est entre-ouverte. Pas un bruit dans la pièce, je glisse la tête dans l’ouverture pour essayer de voir où elles sont. Je ne vois personne. Je pousse doucement la porte et entre discrètement. Un bruit de carton qui tombe résonne dans le local. Je m’arrête.
— Très honorée de vous retrouver Madame, dit Marion doucement.
— J’espère bien...répond Nathalie, que s’est-il passé depuis notre dernière rencontre ? demande-t-elle.
— Rien....rien du tout, dit Marion précipitamment.
— Ce n’est pas ce qu’on m’a dit...
Je me rapproche sans faire de bruit. Marion est à genoux. Nathalie lui tourne autour comme un chasseur sur sa proie. Marion baisse la tête. Nathalie lui attrape les cheveux et les tire en arrière d’un coup. Marion lâche un cri.
-...et le mec du pont bascule alors...ce n’est rien ? lui demande Nathalie à l’oreille.

Elle lui prend la gorge d’une main et la gifle de l’autre. Marion ne bouge pas, reste passive. Elle ferme les yeux chaque fois qu’elle reçoit une claque.
— Je vais te faire passer l’envie de bouffer des bites, lui dit-elle.
Nathalie relève sa jupe sous laquelle elle est nue. Sa chatte épilée est déjà humide, brillante, le bouton rose en érection. Elle se frotte contre le visage de Marion qui subit cette caresse volontaire et appuyée. Le visage vite couvert de mouille s’enfonce entre les lèvres pendantes de Nathalie qui appuie encore plus fort contre la tête. 
Marion pose ses mains sur les cuisses pour les repousser. Nathalie ne voit pas les choses ainsi. Elle se saisit d’un serre-câble et lui attache les mains dans le dos. Elle la traîne ensuite jusqu’à une étagère et l’attache à genoux à un des montants.
Je profite de ce moment pour me glisser derrière une rangée de caisses et me planquer. 
Nathalie s’approche de Marion. Elle lui étale la mouille sur le visage. Elle glisse ses doigts dans la bouche, quelques gifles puis elle plaque à nouveau sa chatte sur la bouche. Nathalie remue le bassin, donne des coups de reins violents. 
L’arrière de la tête de Marion frappe contre l’étagère. Nathalie ouvre son chemisier et se masse les seins, tire sur les tétons. Je l’entends gémir, souffler, râler. De la mouille coule sur le visage puis sur les vêtements de Marion. Nathalie se cramponne à l’étagère lorsqu’elle jouit, les jambes tremblantes, une main serrée sur un téton.
Elle s’écarte après quelques minutes, remet sa jupe et son chemisier en place. Elle donne une dernière petite claque sur la joue de Marion puis sort. Marion reste à genoux, attachée à l’étagère, le visage dégoulinant de mouille et de cyprine. 
Lorsque Nathalie ferme la porte, je me dirige vers Marion qui n’est pas surprise de me voir. Elle me sourit, passe sa langue sur ses lèvres en guise d’invitation à me sucer. Je ne vais pas rater cette occasion. Je la détache. 
La bite déjà raide et le gland humide, je la frotte sur les joues, le menton avant de l’enfoncer sans ménagement dans la bouche chaude. Sa langue lèche la base de ma bite toute entière en elle. Elle déglutit lorsque j’appuis plus fort sur sa tête pour buter au fond de sa gorge. Je lui pompe la bouche avec force et rapidité. L’excitation est grande. 
Elle passe ses bras autour de ma taille pour que je reste plus longtemps au fond de sa gorge. Sa langue frotte sur ma bite dure. Je ressors ma bite, elle me regarde avec des yeux de gourmande. Elle la prend en main, se la passe sur le visage, se frappe les joues avec avant de l’enfoncer à nouveau.
— Tu es une sacrée gourmande, dis-je en posant mes mains sur son crâne pour la maintenir contre moi.
Elle râle, déglutit, de la bave coule sur son menton, son nez collé à mon pubis. Encore quelques mouvements rapides du bassin et je m’agrippe à sa tête. Elle reçoit tout mon jus épais au fond de la gorge. 
Elle m’attire encore plus fort contre elle puis je la relâche. Marion recrache ma bite, un filet de bave mélangé à du sperme nous relie. Elle le lèche puis s’essuie la bouche d’un revers de bras. Elle me caresse encore la bite, dépose un baiser dessus puis se lève. 
Je retourne à mon poste de travail.
Je ne suis pas assis depuis dix minutes que Nathalie entre dans le bungalow au pont bascule. Elle se plante derrière le comptoir et me fixe sans un mot. Je vois dans son regard de la colère. Elle crispe la mâchoire, prête à bondir sur moi. Ce qu’elle fait quelques secondes plus tard. Elle contourne le comptoir, se penche sur moi les bras posés sur les accoudoirs du fauteuil.
— La prochaine fois que tu as envie de baiser...me dit-elle, la tête à quelques centimètres de la mienne, appelle-moi.
Elle colle ses lèvres aux miennes, sa langue fourre ma bouche. Elle se couche sur moi, plaque ses gros seins contre mon torse. Le dossier du fauteuil bascule en arrière. Presque allongée elle m’enjambe à califourchon. 
D’un geste rapide elle déboutonne son chemisier et dévoile ses seins aux petites auréoles et gros tétons. Elle les écrase sur ma tête qui glisse entre les deux masses de chaires tendres.
— Vas-y mon salaud...suce les, dit-elle en pressant ses seins contre ma bouche.
Je remplace ses mains par les miennes. Ainsi libérée, elle s’occupe de défaire la fermeture éclair de ma combinaison. Au passage, elle pince mes tétons, tire dessus, les gifle. Elle dégage ma bite et la branle quelques secondes. Elle crache dans une main qu’elle applique sur le gland pour le couvrir de bave. 
Je lui mords les tétons, elle gémit. Nathalie me repousse et recule le fauteuil. Penchée sur ma bite, elle y passe d’abord la langue, titille le gland, le lèche avant de poser ses lèvres chaudes et de l’aspirer. Je sens ma bite s’enfoncer dans sa bouche, la langue plaquée sur la tige. 
Elle relève la tête lentement puis l’engloutit à nouveau de plus en plus vite. Elle creuse les joues, me caresse les boules. Elle me suce rapidement accompagnant ses lèvres avec la main. Quand elle juge ma bite assez dure elle relève sa jupe et s’assoit direct sur moi.
— Comme c’est booonn, dit-elle en se penchant en arrière et pose ses mains sur mes genoux.
Ses deux obus se balancent devant moi au rythme de ses coups de reins. J’en ai presque mal tellement elle y va fort. Les muscles vaginaux se contractent sur ma bite. Elle frotte son clito sur mon pubis quand elle se laisse retomber sur moi. J’empoigne ses seins, les écrase, les presse. Elle accélère la pénétration jusqu’à ce qu’elle jouisse en expulsant ma bite couverte de mouille. Elle s’écroule sur moi, la respiration rapide.
Le téléphone sonne. Je tends le bras.
— Je vois que tu t’amuses bien. Je me redresse autant que possible. Pas débordé par le travail, résonne la voix de Clémence.
Je tourne la tête vers la fenêtre. Clémence est assise sur son fauteuil tournée vers sa fenêtre, genoux écartés posés sur les accoudoirs. Le téléphone coincé contre l’épaule, une main entre les cuisses, l’autre sur un sein. Elle nous mate.
— Je peux te dire la même chose.
Elle pousse un long soupire avant de raccrocher. Nathalie se lève enfin, ferme son chemisier et s’en va.
— N’oublie pas la prochaine fois, dit-elle en fermant la porte.
La semaine tire à sa fin. L’activité dans l’usine est au maximum. Il fait très chaud. Les camions défilent sur le pont bascule. Les livraisons s’enchaînent toute la journée et même une partie de la nuit. On est passé en poste 3-8. 
J’arrive le matin pour prendre mon poste. Le chef d’équipe me demande d’aller voir Clara dans son bureau. Je dois l’aider à entrer les informations sur les différentes livraisons dans l’ordinateur, les renseignements, les facturations.

— Mais pourquoi ! dis-je en regardant le planning des entrées et livraisons du jour...elle ne peut pas y arriver seule ?
— Elle est débordée, les papiers s’accumulent et...
— Mais bien sûre et c’est à moi de l’aider ? Je regarde le chef d’équipe. Comment faisait-elle avant ?
— Pas la peine de discuter, répond-il en me prenant le classeur des mains, vas-y c’est tout.
Je claque la porte en sortant et me dirige d’un pas lent vers le bâtiment principal. Je m’arrête pour dire bonjour aux collègues. Une fois devant la porte de son bureau je patiente encore plusieurs minutes avant de frapper et d’entrer. Clara est assise devant son bureau, les yeux rivés sur son écran. Contrairement aux autres pièces, il ne fait pas une température glaciale ici, juste frais.
— AAhh te voilà enfin...tu vas m’être d’un grand secours...dit-elle en se levant et m’indique la table dans un coin de la pièce couverte de feuilles, de dossiers. Je ne sais pas ce que j’ai...elle passe une main sur son front puis sa nuque, je ne m’en sors pas ce matin.
Ses cheveux blonds longs attachés sur le haut de son crâne dégagent son cou à la peau fine et légèrement bronzée. Contrairement à son habitude, elle ne porte pas de maquillage, ni de vernis sur les ongles. Elle a dû se lever en retard et pas le temps de passer dans la salle de bain. Même sa tenue paraît banale, simple. Le tailleur, l’ensemble assortis qu’elle porte depuis que je travaille ici laisse place à un classique pantalon en tissu léger avec des dessins de souris, de morceaux de fromage et un teeshirt court. 
Je ris et me demande si ce n’est pas sa tenue pour dormir, et même si elle porte des sous-vêtements. Á voir sa poitrine bouger librement sous le teeshirt, distinguer parfois un téton et aucune marque de culotte sur les fesses j’en déduis que non.
— Donc...me dit-elle une fois que je suis assis devant la table, ton travail est de prendre chaque feuille et dossier...elle en prend une qu’elle pose devant moi.
Elle se penche sur mon épaule pour me montrer du doigt et lire en même temps ce qu’il y a sur la feuille. Je sens son sein frotter contre moi, le téton pas encore dur mais suffisamment tendu pour qu’il pointe. Elle pose son bras sur mes épaules et approche sa joue de la mienne. Je n’ai qu’à tourner la tête pour que nos lèvres se touchent.
-...tu vas prendre chaque dossier...elle tend le bras et je sens, non pas son parfum habituel mais une odeur de transpiration piquante...et noter sur ce cahier le nom de l’agriculteur, ce qu’il a livré et la quantité. Ensuite je reprends tout sur ordinateur.
Une fois tout expliqué, je tourne la tête, elle me sourit et pose un rapide baiser sur mes lèvres.
— Merci, ajoute-elle...t’es un chou.
Elle récupère des papiers sur son bureau et sort. Je reste assis un peu surpris sans trop savoir ce qui se passe. Je commence le travail et m’aperçois que c’est une perte de temps. Je m’installe à son bureau, fais quelques recherches et trouve enfin le tableau pour la saisie des informations. Je m’organise et avance vite dans le travail. 
Soudain la porte s’ouvre. Clara reste figée quelques secondes en me voyant à son bureau.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Le travail que tu m’as demandé.
Elle s’approche et regarde l’écran, puis la table aux trois quarts libérée de tous les dossiers et feuilles entassées 1 heure plus tôt.
— Mais....mais c’est formidable, dit-elle en me prenant dans ses bras, tout sera bientôt terminé alors.
Elle me serre fort puis fait pivoter le fauteuil face à elle. Elle s’assoit sur mes genoux, pose ses mains autour de mon cou.
— On a tout notre temps maintenant, ajoute-t-elle en se rapprochant...c’est la pause de 10h30.
Elle m’embrasse et serre les bras autour de ma tête. Le baiser d’abord hésitant, timide, se transforme en un contact passionné, fougueux, violent. Je lui empoigne les fesses, les presses. Elle se redresse puis se frotte sur la braguette de ma combinaison. Je glisse mes mains sous son teeshirt et découvre, comme je l’avait pensé, sa poitrine nue, les tétons durs.
— Huummm, gémit-elle quand je les pince, les fait tourner entre les doigts.
Elle courbe le dos sous la sensation de picotement et libère ma bouche pour crier. Encore quelques caresses et je la soulève pour la coucher sur son bureau. Elle rit doucement et pose sa main sur sa bouche pour éviter de se faire entendre. Je lui écarte les genoux et me couche sur elle. Je tire sur son teeshirt et dévoile sa poitrine. Je suce ses tétons, les mord.
— Aaaïïïïïeee, dit-elle.
Je les rapproche pour sucer, lécher les tétons. Elle se tortille sur le bureau. Je sens ma bite sous la combinaison frotter contre son entrecuisse. Je pousse mon bassin pour la cogner contre sa fente. Ma main s’aventure sous le pantalon et découvre avec plaisir qu’elle ne porte pas de culotte. Elle me regarde du coin de l’œil.
— Coquine, dis-je avant de toucher sa fente.
Il n’y a pas de poil, les lèvres gonflées pendent de chaque côté. Le clito tendu et dur témoigne déjà de son excitation. Je ressors ma main pour voir mes doigts couverts de mouille. Clara sourit et entreprend d’ouvrir ma combinaison. Je m’occupe de lui retirer son pantalon. Je peux voir qu’il est mouillé sur l’entre-jambe. Elle prend ma bite qu’elle branle quelques secondes avant de la frotter contre sa chatte luisante de mouille. Le gland caresse ses lèvres fripées, bute contre son clito bandé.
— J’adooore, dit-elle.
Je soulève ses genoux et sans la prévenir je m’enfonce en elle d’un coup jusqu’à la garde. Elle resserre les jambes sur moi, se cramponne au bureau, se cambre.
— OOOuuiiii, lâche-t-elle.
Ma bite est serrée par ses muscles vaginaux. Puis avant même qu’elle puisse se détendre je me retire pour m’enfoncer encore plus fort et vite. Mon pubis claque contre sa fente, écrase son clito qu’elle commence à toucher, branler. Elle le pince, le frappe. Elle tire sur un sein, pince le téton. 
Sa fente comprime ma bite couverte de mouille qui coulisse en elle. Ses seins remuent, tremblent à chaque coup de rein. J’accélère la cadence. L’écran de l’ordinateur vacille. Je reste planté en elle. Je la soulève, la plaque contre le mur. Elle resserre aussitôt ses jambes autour de ma taille. 
Je la maintiens sous les fesses pour la soulever et la laisse retomber sur ma bite. Parfois elle sort de son orifice et glisse entre les fesses. Clara la prend en main et la dirige à nouveau sur sa fente dilatée. J’embrasse, je mords ses seins, aspire les tétons. Je cogne plus fort, plus vite.
— Arrgghh...aarrghh...vas-y...encoooorre, crie-t-elle quand elle se cramponne à mon cou et me mord pendant qu’elle jouit.
Je la pose à nouveau sur le bureau et la baise comme un dingue. Je sors ma bite couverte de mouille et la fourre d’un seul coup. Je répète l’opération plusieurs fois. Clara rit nerveusement entre ses gémissements. 
Elle tient ses genoux repliés sur sa poitrine pour s’ouvrir un peu plus. Le clito bandé ressemble à une petite bite que je m’empresse de pincer, de cogner avec ma bite. Clara se crispe encore, se cambre. Elle pose ses mains sur ses fesses qu’elle écarte pour exposer son anus couvert de mouille. Sans un mot, le regard fixe sur le mien elle me fait un clin d’œil. 
Je n’hésite pas une seconde et dans un mouvement lent mais continu je m’enfonce dans ce trou brun. Je vois sa mâchoire se crisper. Elle ferme les yeux. Je continue de lui branler le clito en même temps. Une fois au fond, je n’attends pas, recule le bassin et glisse dans son anus de plus en plus vite. La mouille coule de sa fente baveuse sur sa raie et lubrifie ma bite. 
La pénétration devient rapide. L’anus épouse ma bite comme ses lèvres sur ma bite quelques minutes plus tôt. Mes couilles frappent ses fesses, ses seins rebondissent. 
Lorsque je lève la tête, je m’arrête une seconde, pris de panique. Un sourire puis je m’agrippe aux hanches de Clara et la baise encore plus fort. Clémence se tient dos au mur à côté de la porte. Une main dans son shorty, l’autre sous son teeshirt. Elle ne me quitte pas du regard tout en se masturbant. Je la vois se mordre la lèvre inférieure, passer sa langue sur les lèvres humides quand je sors ma bite luisante de mouille pour frapper le clito.
— Ne t’arrête pas, me dit Clara en tournant la tête pour voir où je regarde.
Surprise pendant deux secondes, elle me repousse doucement. Elle se redresse et s’avance vers la stagiaire qui lui sourit. Elle se plante devant elle, les bras tendus de chaque côté de sa tête contre le mur. Les deux femmes se regardent. 
Clara se rapproche et effleure les lèvres de la stagiaire avec sa langue. Clémence continue de se caresser, ferme les yeux sous la langue chaude qui glisse dans sa bouche. Le baiser est tendre, passionné. Clara lui prend les poignets et retire les mains. Les doigts de Clémence sont brillants. Clara les porte à sa bouche, les lèchent puis embrasse à nouveau sa partenaire. 
Je m’avance et me plaque contre le dos de Clara qui tourne la tête et m’embrasse. Je sens le goût de la mouille de Clémence qui commence à se tortiller sous les caresses appuyées entre ses cuisses. Elle plie les genoux puis se redresse pour que les doigts glissent en elle. J’avance la tête pour l’embrasser à son tour. Elle répond à mon baiser en posant ses mains sur mes hanches et nous attire, Clara et moi, plus fort contre elle. Clara se laisse glisser entre nous et décide de retirer le shorty.
— Petite salope, dit-elle en ne découvrant aucun sous-vêtement.
Elle passe ses doigts, triture un peu entre les lèvres gonflées et humides. Clémence plie encore les genoux sous la pénétration. 
Je me plaque contre elle et l’embrasse. Clara prend ma bite en main, la branle un peu et la suce. Sa bouche me pompe rapidement. Puis une fois couverte de bave elle la pousse entre les cuisses de la jeune Clémence. Je lui maintiens les bras plaqués au-dessus de la tête contre le mur. 
Clara guide ma bite et la pointe contre la fente humide. Elle la frotte doucement entre les lèvres qui s’écartent.
— Hhuummm, gémit Clémence.
Clara vient dans mon dos et me pousse en avant. Ma bite glisse en Clémence jusqu’au fond. Clara m’attrape par les hanches, me tire en arrière puis pousse à nouveau en avant. Je me laisse guider dans cette chatte chaude et soyeuse. Clara accélère les mouvements. 
Clémence gémit plus fort, la respiration courte. Je la prends par la taille et accompagne Clara pour baiser notre partenaire plus fort. Les tétons durs de Clara frottent contre mon dos.
— Allez...baise la plus fort, me dit-elle quand elle s’écarte de moi.
Alors j’accélère encore et encore, toujours plus fort, toujours plus vite. Mon pubis claque contre celui de Clémence qui passe ses bras autour de mon cou. Elle soulève aussi une jambe, puis la seconde et se pend à moi pour se laisser retomber sur ma bite dure. 
Je cogne fort contre elle et en elle. Mais ce qui se passer ensuite et inattendu. Lorsque Clara se frotte à nouveau à moi, il n’y a pas que sa poitrine contre mon dos...mais un truc dur et chaud contre mes fesses. Je m’arrête, tourne la tête en arrière. Clara la bloque en direction de Clémence qui affiche un léger sourire avant de m’embrasser et baisser ses jambes.
— Ne crains rien...dit Clémence en séparant ses lèvres des miennes...détends-toi, ajoute-t-elle et m’embrasse à nouveau.
Clara me caresse les épaules, puis le torse en s’attardant sur les tétons qu’elle pince, tire, tourne. Avec toujours la bouche soudée à celle de Clémence, je réagis et me crispe. Clémence m’embrasse plus fort et m’attire contre elle.
— Tu vas aimer...me dit Clara à l’oreille...j’ai bien lubrifié le gode.
Je le sens glisser entre mes fesses que je resserre instinctivement.
Clara et Clémence me retiennent plus fort entre elles. Le bout du gode effleure ma rondelle encore vierge de toute pénétration. Une substance graisseuse se repend entre mes fesses et facilite le mouvement du gode. Mon anus se comprime naturellement puis se relâche alors que le gode s’enfonce en moi. Je me crispe, me hisse sur la pointe des pieds. Le phallus en latex glisse doucement en moi. 
Malgré toutes craintes il n’y a aucune douleur. La progression s’arrête, il est en moi. Ce n’est pas si désagréable. Clara bouge son bassin et le gode glisse hors et en moi de plus en plus vite. Clémence m’embrasse, joue avec mes tétons qu’elle malaxe, pétrit, pince. 
Clara m’entraîne vers le bureau sur lequel je m’allonge, plié en deux. Clémence se place face à moi et me tient les poignets pendant que je m’agrippe au bord du bureau.
— Alors petite salope, me dit Clara, c’est qu’il aime ça en plus, ajoute-elle, il bande dur.
Aussitôt elle écarte mes fesses et glisse le gode sans ménagement. Il s’enfonce d’un coup.
— HHuummm, je gémis et respire fort.
Clémence me tient plus fort pendant que je me fais sodomiser. Et c’est vrai, j’aime ça. Toute nouvelle expérience est un apprentissage. Elle empoigne mes hanches pour me baiser plus fort. Mon anus se dilate, chauffe. Elle me claque les fesses. 
C’est si beau et si excitant que je n’arrive pas à me contrôler et éjacule tout seul sans même me toucher. Mon anus se contracte sur le gode. Clara continue de me baiser encore quelques secondes avant de se retirer.
Sans un mot, elles sortent du bureau. Je m’habille et rejoint mon poste de travail.
Une semaine plus tard c’est la fin de mon contrat. Avant de nous séparer, Clara me demande si je reviens l’année prochaine.
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