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Station Alpha

Chapitre 1

Hétéro
John Nous sommes en deux mille trois cent vingt et un, je suis à Narbonne, nous débarrassons l’appartement de ma grand-mère qui vient de décéder à l’âge de quatre-vingt-dix-huit ans, à moins de deux ans de son centenaire. Je m’occupe de sa chambre, mes parents, s’occupent des autres pièces avec mes frères, seule ma sœur n’a pas voulu venir, trop dur pour elle nous a-t-elle dit, je crois qu’elle a plutôt la flemme. En vidant un tiroir de sa table de nuit, je tombe sur quatre carnets sur lesquels il y a d’écrit, Livre de ma vie, avec Virginie en dessous et tome un, deux, trois, quatre. Virginie était l’arrière-grand-mère de ma grand-mère, six générations avant moi, elle a vécu de deux mille cent quarante-trois à deux mille deux cent trente-six, quatre-vingt-treize ans, son fils est mort à quatre-vingt-dix-neuf ans, les femmes ne vivent pas très vielles dans la famille, l’espérance de vie s’est stabilisé depuis plus d’un siècle à cent-cinq ans pour les européennes. Je range les carnets dans mon sac, je les lirai en rentrant chez moi à Natura.  Le soir chez moi, je ressorts les carnets, je commence la lecture du premier, il commence quand elle a neuf ans, elle raconte sa vie à l’école, ses amours d’enfant, ses déceptions, ses vacances au bord de la mer, ses disputes avec sa sœur, rien de très intéressant. Je le parcoure entièrement, il s’achève la veille de ses seize ans. Je second est plus intéressant, il débute le jour de ses seize ans, elle est folle amoureuse d’un garçon, mais ce n’est pas réciproque. Elle a eu une petite aventure avec une filles, mais ça s’est arrêté aux caresses des seins. Elle a une grosse préférence pour les femmes, elle aime les voir nues quand elle va dans le village naturiste où ses parents ont une petite maison. Elle va de déception en déception avec les femmes comme avec les hommes jusqu’à l’anniversaire de ses dix-huit ans. Elle écrit ses mémoires comme un roman, je la laisse parler. Samedi douze : Je suis avec maman pour préparer la réception, il est quinze heures nous attendons tout le monde à seize heures, nous avons le temps. On sonne à la porte, c’est certainement le livreur des petits fours que maman a commandé chez le pâtissier d’à côté, je vais ouvrir. Quand j’ouvre la porte, j’ai l’impression que mes jambes se dérobent sous moi, mon cœur s’emballe, j’ai une boule au ventre.  J’ai devant la porte un magnifique garçon d’une demi-tête de plus que moi, il me regarde avec ses yeux bleus pratiquement transparents. Je m’efface pour le laisser passer, je le suis jusqu’à la grande table sur laquelle il pose ses deux cartons. Quand il se retourne, je l’arrête.
–Qu’est-ce que tu fais dans une heure ?–Rien de spécial, j’ai fini ma journée, je rentre chez moi prendre une douche et aller rejoindre mes potes.–Pour faire quoi, jouer au foot comme tous les garçons ?–Non, je déteste le foot, on va glander, se balader, je ne sais pas.–Ça te dirais de venir fêter mes dix-huit ans ici dans une heure ?–Mais on ne se connait pas.–Et bien comme ça, on fera connaissance, il va y avoir une grande fête, tu t’appelles comment ?–John, je suis d’origine galloise.–Moi, c’est Virginie, et tu as quel âge ?–Vingt ans dans deux mois, mais je ne sais pas si je peux venir.–Je ne te plais pas, c’est ça, tu me trouves moche ?–Pas du tout, au contraire, tu me plais beaucoup, et c’est justement ça qui me fait peur.–Pourquoi ?–Parce que j’ai du mal à me retenir quand une fille me plait, je n’ai pas envie de faire des conneries avec toi, tu me plais trop justement.–Très bien, je t’attends à seize heure, va prendre une douche et reviens sinon, je te jure que je te retrouverais et que je te le ferais payer très cher.–Ok, ok, on se calme, je vais prendre une douche et me changer, je serai là, décidément, tu me plais de plus en plus toi.
Il s’en va, je retourne aider maman, je suis heureuse, ce mec me plait beaucoup, je suis impatiente.  Suit une longue description de ce qu’elle fait en attendant l’heure de la réception, John arrive à seize heures cinq, elle commençait à se dire qu’il ne viendrait pas. elle décrit la petite fête qu’elle passe entièrement avec lui, vers vingt-heures tout le monde décide d’aller finir la fête ailleurs, elle décide d’y aller avec John, mais dès qu’il sont sortis de chez ses parents, elle l’immobilise et pose ses lèvres sur les siennes. Il a un réflexe de recul, mais il se laisse faire, ma langue entre dans sa bouche, elle rencontre la sienne, nous nous embrassons longuement, ses mains courent sur mon dos pour arriver sur mes fesses, elles passent sous ma jupe pour venir au contact de mes fesses pratiquement nues, je ne porte qu’un string. Quand nos bouches se séparent, nous sommes seuls, tous les copains et copines sont partis en nous laissant. Il me prend par la main et nous allons marcher dans la rue. Nous nous arrêtons tous les cent mètres pour nous embrasser.
–Tu habites où ?–Juste à côté, pourquoi ?–Parce que je veux aller avec toi chez toi, j’ai envie de toi John.–Envie de moi ?–Oui, envie de toi, de faire l’amour idiot, mais je suis vierge, il faudra être doux.–Tu veux qu’on fasse l’amour ensemble ?–Oui, je sais que tu es l’élu de mon cœur, j’ai envie de faire l’amour avec toi, tu ne me désires pas ?–Bien sûr que je te désire, mais on ne se connaissait pas il y a cinq heures, tu ne trouves pas ça un peu rapide.–On s’en fout, j’ai envie de faire l’amour avec toi, tu n’en as pas envie de moi ?–Bien sûr que j’en ai envie de toi, c’est pour ça que je ne veux pas faire une connerie avec toi, tu me plais trop.–Et moi je sais que ce n’est pas une connerie, s’il te plait, amène moi chez toi, j’ai envie de caresser ton corps et de sentir ta main sur le mien.–Ok, allez, viens.
Ils vont chez lui, elle décrit la chambre qui est en bordel, mais elle s’en fout, elle veut qu’il la dépucèle, elle veut se donner à lui. Il se précipite pour changer les draps, elle l’aide à refaire le lit, un fois fait, elle vient vers lui. Je m’immobilise devant le lit, je le regarde les bras le long du corps, je l’attends, il vient vers moi.  Il déboutonne mon corsage, il l’ouvre et se penche pour poser ses lèvres sur chacun de mes seins nus, je ne porte pas de soutif. Il pose mon corsage sur une chaise et me fait tourner. Il descend le zip de ma jupe, elle tombe d’elle-même au sol, je sens des lèvres se poser sur mes fesses. Il me fait tourner une nouvelle fois, je suis face à lui, il est agenouillé. Ses mains se glissent sous la ficelle de mon string, à plat sur mes hanches, elle descendent lentement dévoilant mon pubis bien lisse. Il se penche et pose ses lèvres dessus. Quand mon string arrive à terre, je lève mes pieds l’un après l’autre, il m’enlève la jupe et le string, il les pose sur mon corsage. Il se redresse, me regarde.
–Tu es la plus belle fille que j’ai jamais vu de ma vie, je te promets d’être le plus doux possible, tu ne peux pas savoir dans quel état je suis en te regardant.–Et bien, je vais le savoir tout de suite, ne bouges plus.
Je déboutonne sa chemisette, lui enlève, il n’est pas super athlétique, mais il a de beaux pectoraux, et des abdominaux bien marqués.
–Tu fais de la gymnastique ?–Oui, abdominaux et un peu de musculation, je fais aussi du deux sans barreur avec un ami.–De l’aviron ?–Oui.
Je m’accroupie devant lui, c’est le moment de vérité, je défais sa ceinture, ouvre son pantalon et le fais glisser vers le bas. Il n’a pas de sous-vêtement, lui aussi est naturiste, il est intégralement bronzé, une jolie verge apparait et se dresse vers le ciel, bien raide. C’est sûr, je lui fais de l’effet, j’ai vu beaucoup d’homme nus dans ma vie, nous sommes tous naturistes dans ma famille. C’est une grosse bite, sans être un monstre, assez épaisse avec un gland proéminent et décalotté. Je pose mes lèvres dessus, je donne un coup de langue, elle n’a pas de goût, je suis un peu déçu, je m’attendais à autre chose, mais ce n’est pas le principal. Il me prend dans ses bras, me soulève comme un fétu de paille, je me blotti contre son torse, je sens mes seins s’écraser dessus, j’adore sentir sa peau nue contre la mienne, je commence à m’humidifier. Il m’allonge délicatement sur son lit, une fois en place, il s’allonge le long de mon corps en se tournant vers moi. Sa main se pose sur mon ventre et commence à glisser sur ma peau, un violent frisson parcoure mon corps. Sa main arrive sur mes seins, elle les caresse tendrement, en douceur, je la sens à peine, je sens que mon ventre bouge sans que je le veuille, mon corps commence à m’échapper, je n’ai jamais connu une telle sensation de plaisir. Je ferme les yeux, je laisse mon corps agir à sa guise, je n’ai jamais eu d’échange de ce type avec un homme, je lui laisse l’initiative, je sais qu’il va être à la hauteur.
Je sens ses lèvres sur mon sein gauche, elles l’embrassent, sa langue me le titille, sa bouche passe à l’autre pour le même délice. Elle descend le long de mon corps, elle arrive sur mon nombril que sa langue titille aussi. Mon ventre ondule de plus en plus, je ne peux rien y faire, mais, surtout, je ne veux rien faire contre. Sa bouche arrive sur mon pubis, sa langue me le lèche, elle descend entre mes lèvres, mon corps se tend, je sens sa langue explorer mon sexe, elle le lèche, ses lèvres se collent à mon vagin, elles me boivent, je sais que je sécrète beaucoup, s’il aime mon jus d’amour, il doit de régaler. Sa langue explore entièrement mon sexe, elle va dans tous les recoins, elle me titille le périnée, lèche mes lèvres, ses dents me les mordille, je suis complètement à sa merci et j’aime ça. Mais c’est mon corps qui commande, je suis tendue comme un arc, je n’ai jamais senti mon corps dans un tel état de tension de ma vie. Ses lèvres m’aspirent le clitoris, sa langue me le lèche, j’explose dans un fantastique feu d’artifice qui dissémine mon corps dans l’univers profond. Je suis parcourue d’une multitude de picotements qui me font voyager dans un autre monde, je ne sens plus mon corps, je suis légère, dans de la ouate, j’essaye d’ouvrir les yeux, c’est le trou noir. Quand j’ouvre les yeux, c’est pour voir le visage de John inquiet, il me sourit en voyant que je me réveille.
–Excuse-moi Virginie, je ne voulais pas que tu tombes dans les pommes.–Mais espèce d’idiot, je ne demande que ça à chaque fois que tu t’occupera de mon corps, je n’ai jamais vécu quelque chose de si formidable. Mon corps m’a donné le plus fantastique bonheur que je n’ai jamais vécu de ma vie, je ne te demande qu’une chose, c’est que tu recommences.–Je ne sais pas si le fait de te dépuceler va t’amener à avoir le même orgasme, ça va être dur pour toi.–Oui, mais si c’est toi qui le fais, je suis sure que j’y prendrai du plaisir, vas-y mon chéri, fais de moi une femme, ta femme.–Doucement Virginie, doucement, allons-y doucement.–Très bien chéri, mais vas-y, fais de moi une femme.–Tu sais très bien que j’en rêve, faire de toi une femme.
J’ai toujours les jambes ouvertes, il se met sur moi les bras tendus, je sens son sexe raide toucher ma cuisse gauche, il remonte lentement, il doit vouloir me laisser le temps de dire non, ce qui ne m’effleure même pas l’esprit. Doucement son sexe arrive sur ma vulve, il écarte un peu mes lèvres et commence à entrer dans mon vagin. J’en éprouve un plaisir immense, j’avance un peu mon bas ventre en direction de son sexe. Mais soudain, je sens une gêne, une douleur de plus en plus vive apparaît, je dois grimacer car il s’arrête.
–Je continue chérie ?–Oui mon chéri, oui, vas-y, je vais souffrir, mais c’est le prix à payer pour être ta femme, et je veux être ta femme. Vas-y mon chéri, enfonce ton sexe dans le mien que nous nous soudions pour ne devenir qu’une seule et même personne.
Son sexe reprend sa progression, je ressens une déchirure, la douleur est très vive, je me retiens de ne pas hurler, mais je ne veux pas le troubler, je veux qu’il aille jusqu’au bout, c’est ce qu’il fait quand je sens son pubis contre le mien.
–Ne bouge plus mon chéri, reste en moi, j’aime sentir ton sexe remplir le mien.–Comme tu veux chérie.–Ça fait deux fois que tu m’appelle chérie, tu admets qu’on est fait l’un pour l’autre ?–Je ne crois pas en être à ce point, mais tu me plais de plus en plus, je veux te rendre heureuse.–Alors, ne bouge plus, je veux sentir ton sexe se dégonfler dans le mien, je crois que je ne supporterais pas que tu me fasses l’amour, j’ai trop mal, mais je te promets qu’on recommencera quand je ne ressentirai plus ces douleurs, promis.–Tu veux que je me retire ?–Non chéri, non, reste en moi, embrasse-moi.
Il se penche sur moi, je sens son corps contre le mien, notre baiser est intense, je peux faire glisser mes mains sur sa peau, j’adore ça. Je sens son sexe se ramollir, il finit par sortir tout seul de mon sexe. Je suis un peu gênée, il m’a fait jouir, mais pas lui, je ne lui ai pas rendu, il va se sentir frustré, je ne le veux pas. Je sais que des femmes sucent le sexe des hommes, je veux le faire jouir comme ça, dans le fond, c’est ce qu’il a fait avec moi, il a posé sa bouche sur mon sexe. Quand nos bouches se décollent, il bascule sur le côté, je vois son sexe mou entre ses jambes. Je reste immobile un bon moment, je veux récupérer un peu, j’ai mal, je ne veux pas que ça me déconcentre. Il en profite pour me caresser, mon corps recommence à réagir à sa main si douce et si efficace. Je sens que je recommence à m’humidifier, il fait tout pour ça se termine par un nouvel orgasme pour moi. Mais je ne veux pas jouir de nouveau sans qu’il ait joui au moins une fois. Je me redresse un peu, ma main glisse sur son torse, j’ai envie d’avoir plus d’espace.
–Allonge toi sur le dos mon chéri.
Il s’allonge, je peux faire glisser mes mains sur tout son corps, elles finissent sur son pubis, je m’empare de son sexe et commence une masturbation, il se redresse un peu.
–Que fais-tu, ça n’est pas nécessaire.–Je ne te demande pas ton avis, je t’ai laissé faire, laisse-moi faire.–Comme tu veux chérie.
Je sens son sexe gonfler et grossir, il finit par être complètement raide, mes lèvres se posent sur son ventre, elles descendent lentement vers son sexe, il comprend ce que je veux faire.
–Chérie, tu es sure ?–Oui, je t’ai dit de me laisser faire.
Ma bouche arrive sur son sexe, je le gobe, il n’est pas trop gros, je le prends en entier, j’ai le goût de mon sang sur la langue. Je monte et descend sur cette tige dure, ma langue titille son gland, mes mains se glissent sous ses fesses pour le plaquer contre ma bouche. Je sens des palpitations, il bouge de plus en plus.
–Oui ma chérie, oui, tu vas me faire jouir, attention.
Je reste sur son sexe jusqu’à ce que je sente un jet m’inonder la bouche, c’est son sperme, je me délecte à le retenir un peu sur ma langue, mais un second jet m’oblige à tout avaler, dans le fond, j’aime bien le sperme, je pense que je recommencerai. Je me redresse, je le vois les yeux fermés, il a l’air heureux de ce qui vient de se passer, je glisse sur son corps en sueur.
–Ça va mon chéri ?–Il ne fallait pas te sentir obligée, je pouvais me passer de jouir aujourd’hui.–Mais je ne me suis pas du tout forcé, j’en avais envie, et je ne voulais pas te laisser sur ta faim, je sais ce que c’est d’être frustré de jouir. Il y a une quinzaine de jour, je me masturbais dans ma chambre et j’ai entendu mon père arriver en me parlant, il a fallu que j’arrête, je n’ai pu jouir que plusieurs heures plus tard, je peux t’assurer que j’étais un peu sur les nerfs.
A ce moment-là, la porte de sa chambre s’ouvre brusquement, une magnifique fille entre en trombe.
–Salut frérot, mais que fais-tu à cette heure-ci dans ta chambre ?
Elle s’immobilise en me voyant nue allongée sur le corps de son frère.
–Oh merde, excuse-moi John.–Et moi, tu n’en a rien à foutre, d’abord qui es-tu la miss qui débarque comme une tornade ?–Judith, la petite sœur de John, j’ai un an et demi de moins que lui et excuse-moi encore une fois, je repasserai voir mon frère demain.–Non, reste, nous avons fini, assied toi, j’aimerais bien te connaitre un peu mieux.–Comme ça, là, devant deux personnes à poil, tu es quand même un peu gonflée.–Ça, je le sais, mais il parait que ça fait partie de mon charme.
Elle éclate de rire, elle vient vers nous, nous nous asseyons au bord du lit, elle se plante devant moi et enlève sa jupe et son corsage, elle est nue dessous et très bronzée. Elle est magnifique, seins hauts et pas trop gros, pubis lisse et bombé, comme le mien, cul d’enfer, jambes infinies, et en plus, elle est très jolie, mon goût pour les femmes me fait un peu mouiller, j’ai envie d’elle.
–Je vois que vous êtes naturistes dans la famille.–Oui, depuis plusieurs génération, mais je vois que toi aussi, j’adore ton pubis bien bronzé, mon frère te dira que je n’aime pas les hommes, attention à toi.–Tu ne me fais pas peur, je suis prête à toutes les éventualités.–Je vois que vous faisiez l’amour excuse-moi encore, j’ai trop l’habitude de trouver mon frère chéri tout seul. –Oui, mais nous ne pouvons pas continuer, il vient de me déflorer, j’ai encore assez mal, il va falloir attendre quelques jours avant de recommencer, je ne pourrais pas refaire l’amour tout de suite.–Sauf si c’est une langue qui s’occupe de ton petit minou.–Exact.–Et j’ai une langue très agile qui sait très bien faire jouir mes copines, elles en redemandent en général, tu pourrais nous laisser ta chambre frérot chéri ?
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