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Station Alpha

Chapitre 6

Lesbienne
La vie à quatre
Soraya reste assise, Elodie vient vers nous.
–Je ne vais pas être la seule à ne pas coller mon corps contre ton divin corps j’espère. –Non ma chérie, allons nous caresser sur la piste, j’adore ça sentir la main douce d’une femme sur ma peau.
Elle a sorti un ma chérie à une inconnue, elle apprend vite. Elodie et Soraya se collent l’une à l’autre, ce n’est pas un slow, mais un tango, encore une danse préhistorique, mais tout aussi sensuelle. Elles se caressent, mais tout le monde sur la piste se caresse, c’est l’ambiance. Je vois Lionel avec sa femme Christine, elle est ravissante, je vais vers eux.
–Alors vous vous amusez ?–Ça a failli tourner au baston dis donc, je ne connaissais pas John sous cet aspect, c’est flippant. –Oui, mais il l’a bien cherché, il a provoqué sa compagne dans l’Hyperloop, elle s’est vengée avec moi et Judith, mais ce n’est pas grave, c’est terminé. Est-ce que mon ami de toujours voudrait bien faire danser une des mariées, si madame le permet bien sûr.–Madame le permet à condition que la suivante lui soit réservée.–Ça va de soi.
Je vais sur la piste avec Lionel, il est très prévenant, nos corps ne se touchent que très rarement, à la fin de la danse, il me ramène vers sa femme.
–Je te laisse mon amie, prends en soin.
Nous allons sur la piste, c’est de nouveau un tango.
–Oh la vache, ma danse préférée, laisse toi te guider.
Elle me serre contre elle et entame une série de pas que je connais, mais que je ne pratique que très rarement. Au bout de quelques secondes, nos corps s’harmonisent, je suis collée à elle, elle me guide avec autorité, nous évoluons sur cette piste comme si nous n’étions qu’un seul corps. L’harmonie est parfaite, quand nous entendons que la morceau arrive à sa fin, je la regarde, elle est transfigurée, elle vit sa danse avec moi. Je vois Charles aller vers la sono, et le morceau recommence. Elle me serre encore plus contre elle et nous repartons pour un tour, je me sens bien contre ce corps souple qui me guide dans un univers que je ne connais pas, mais qui me plait beaucoup, la danse ancienne. Mais je remarque que Soraya et Elodie sont elles aussi enlacées en se serrant très fort, je vois leurs bouches se souder, elles dansent comme un seul être. Elles semblent ne faire qu’une seule personne, elles dansent comme dans un rêve, seules, unies, ne faisant qu’un seul corps. Quand le morceau s’arrête, c’est un tonnerre d’applaudissement qui explose, nous saluons les invités qui applaudissent, il est vrai que Christine est un pro de la danse. Quand la musique s’arrête, Christine me fait une grosse bise et retourne rejoindre son mari, le suis un peu dépitée, ce corps contre le mien m’avait bien plu.  Je rejoins seule ma table, Elodie et Soraya aussi, elles se tiennent par la main.
–Judith chérie, je peux inviter Soraya cette nuit, je veux approfondir cette relation que je sens être différente des autres.–Oui ma chérie, Soraya est la bienvenue chez nous, mais il va falloir que tu ne sois pas trop égoïste.–Nous savons très bien toutes les deux que vous avez flashées sur elle, et je peux vous dire que ça lui plait beaucoup, mais je veux me réserver la première nuit, ce n’est pas négociable, en plus, c’est votre nuit de noce.–Ok, ok chérie, nous vous laisserons seules dans la chambre d’amis, vous aurez le temps de faire connaissance.–Merci les amours, je savais que vous m’aimiez.
Nous rentrons assez tard de la soirée, tout le monde est content, ça s’est très bien passé à part l’esclandre de John. Elodie et Soraya vont dans la chambre d’amis, elles sont enlacées, je vois deux paires de fesses magnifiques disparaitre dans la chambre, Judith me prend par la main pour aller dans notre chambre, Charles et Marie sont chez eux. Nous avons échangé les lits, le mien étant beaucoup plus grand et plus confortable quand nous sommes plus de deux, et je crois que ça va arriver de plus en plus souvent. Judith me caresse, je la caresse, nous nous enlaçons, nos bouches se soudent dans un merveilleux baiser, je suis la plus heureuse des femmes, je suis dans les bras de la personne que j’aime et qui m’aime. Nous nous sommes unies pour la vie, nous sommes indépendantes, libres de nous aimer comme on le veut, à trente-sept ans, le vie est devant nous.
Dimanche vingt-neuf : Je me réveille la première, Judith dort toujours, je la laisse dormir et vais prendre une douche avant d’aller acheter ce qu’il faut pour le petit déjeuner. A mon retour, tout le monde dort, je prépare tout et les attends allongée au soleil sur un transat les jambes bien ouvertes comme le fait Elodie. Je sens que le soleil commence à avoir de l’effet sur mon sexe, la chaleur me donne des idées juste au moment où arrive Judith qui, voyant ma position, se précipite sur ma vulve. Elle ne tarde pas à me faire jouir comme une folle, mon corps ne m’appartient plus, elle en a pris possession. Quand elle sent que je suis de nouveau lucide, elle vient s’allonger sur moi, nos bouches se soudent dans un baiser torride. Nos bouches se séparent, elle me regarde tendrement, j’adore ce regard sur moi, le regard de l’amour.
–Tu es comme Elodie, encore meilleure quand tu fais chauffer ton sexe au soleil, nous devons recommencer ça très souvent.–Alors, après le petit déjeuner, j’ai un petit creux.
Nous nous installons sur la table de la terrasse quand arrivent Elodie et Soraya enlacées et semble-t-il, très amoureuses. Elles ne se lâchent que pour s’assoir en ayant rapproché leurs chaises.
–Les amours, si tout se passe comme je l’espère, nous allons célébrer un autre mariage dans très peu de temps, je crois que j’ai rencontré la femme de ma vie, et c’est Soraya, elle ne le savait pas, mais maintenant elle sait aussi que c’est moi qu’elle attendait.–C’est super mes chéries, je suis très heureuse pour vous, mais en attendant, des croissants vous attendent.
Tout le monde se jette sur les croissants et les tartines que j’ai soigneusement beurrées. Nous discutons joyeusement quand la sonnette retentie, Judith se lève pour aller ouvrir, c’est Charles et Marie qui viennent prendre le petit déjeuner.
–Excusez-nous, mais nous n’avons rien à manger et nous vous avons entendues, il vous reste quelque chose ?–Bien sûr, installez-vous, je vais vous chercher des tasses.
Judith va dans la cuisine, je vois qu’Elodie et Soraya regardent attentivement Marie, elle a l’air de beaucoup leur plaire. Je sais qu’elle est ouverte aux femmes, je pense qu’elle ne va pas tarder à atterrir dans leur lit. Marie les regarde aussi, son regard est franc, elle semble apprécier ce qu’elle voit, elle se penche sur l’oreille de Charles. Je n’entends pas ce qu’elle lui dit, mais je vois Charles les regarder et sourire. Une fois le petit déjeuner fini, nous débarrassons toutes ensemble, Charles vient vers moi pour m’enlacer.
–Tu n’aurais pas envie de ma bite pendant que Marie fait connaissance avec Elodie et Soraya ?–Bien sûr mon chéri, mais par derrière, je vais me préparer, en attendant, va m’attendre dans notre chambre, Judith va t’y rejoindre.
Je vois Marie prendre Elodie et Soraya par la main et les entrainer chez elle, je vais me préparer pour recevoir l’énorme bite de mon fils dans le cul. Je me prépare bien, en même temps, cette eau qui coule dans mes entrailles m’assouplie le sphincter, je vais être assez souple pour recevoir sa bite sans difficulté, elle va me perforer en souplesse. Je me badigeonne bien la rondelle en introduisant deux doigts dans mon anus, je suis prête, je vais les rejoindre dans la chambre. Je m’allonge sur le lit, Charles bande déjà, Judith s’est occupée de lui, bien que lesbienne pure et dure, elle a toujours su masturber mes hommes pour les préparer à me sodomiser. J’écarte mes fesses avec mes mains comme d’habitude, je sens une main me caresser l’anus pour bien répartir le gel anal, un gland se pose sur ma rondelle, il pousse pour l’ouvrir ce qu’elle fait avec plaisir le laissant s’enfoncer jusqu’à ce que son pubis touche mes fesses. Il commence à aller et venir dans mon cul, Judith se met devant mon visage, elle avance les jambes ouvertes pour me présenter son sexe juste devant ma bouche.
–Aime moi mon amour, aime moi.
Je pose mes lèvres sur sa vulve bien humide, je me délecte de son jus d’amour qu’elle sait donner à profusion. J’agrippe ses hanches pour la plaquer contre moi, je ne peux pas bouger beaucoup, je suis à plat ventre avec Charles sur le dos qui fait aller et venir son sexe dans mon anus. Je sens mon corps se crisper lentement, tout comme celui de Judith qui donne des petits coups de rein pour accentuer l’effet de ma langue sur son sexe. Charles aussi donne les premiers signes d’une future jouissance, je me déchaine sur la vulve de mon amour.
–Oui mon amour, oui, je vais jouir grâce à ta langue, viens avec moi mon amour, viens avec ton amour.–Tiens maman, tiens, prends mon foutre, je me vide en toi, dans ton petit cul d’enfer.
Je ne résiste pas plus, j’explose dans un sublime orgasme en sentant mon amour jouir sous ma langue et mon fils se raidir dans mon cul, mon corps se disloque, mon cerveau est aux abonnés absents, mes tripes me font mal, je suis bien, heureuse, béate de bonheur. Quand mon corps se détend, je sens la bite de Charles se ramollir, elle finit par me quitter, mais je suis toujours sur la vulve de Judith, je continu de la lécher, la mordiller, la sucer, elle finit par réagir en faisant onduler son ventre.
–Oui mon amour, encore, encore.
Je me déchaine sur son sexe, Charles me libère, je suis plus libre de mes mouvements, je peux m’exprimer à ma guise dans ce sexe ruisselant de cyprine dont je me goinfre. Son corps se tend petit à petit, je ne veux pas la faire jouir trop vite, je veux qu’elle n’oublie jamais ce jour, qu’elle vive le plus formidable orgasme de sa vie, je sais que je peux le faire, mais elle connait tous mes stratagèmes, elle sait ce que je vais faire. Je lui repli les jambes, m’attaque à son anus et son périnée avant de remonter sur son clitoris en lui enfonçant deux doigts dans le cul, c’est la première fois que je lui fais ça. Je sens son corps exploser dans un  gigantesque orgasme, elle me soulève à plusieurs centimètres du lit, son corps est secoué par de puissants spasmes de plaisir, elle ne se détend que deux minutes plus tard, je ne l’ai jamais vu jouir comme ça. Je remonte le long de son corps, ma bouche se colle à la sienne, elle plaque mon visage sur le sien, notre baiser est intense, profond, un baiser d’amour fou. Quand nos lèvres se séparent, elle me regarde dans les yeux, un regard tendre, qui traduit son amour pour moi.
–Tu as osé !!–Quoi ?–Me foutre deux doigts dans le cul, jamais rien n’avait franchi cette barrière, tu le savais.–Oui mon amour, mais je savais aussi que tu savais ce que j’allais te faire, j’ai voulu improviser et j’ai eu cette idée, elle est mauvaise ?–Pas du tout mon amour, il faudra même que tu recommence, mais pas systématiquement, ça deviendrait lassant.–Ne t’en fais pas mon amour, je saurai utiliser ce stratagème à bon-escient. –Je ne savais pas être si sensible du cul, une langue qui le lèche oui, mais deux doigts enfoncés, je ne pensais pas ça possible.–Tu sais que je suis très sensible du cul, je peux même jouir rien qu’en me faisant enculer, j’ai voulu voir si tu étais comme moi.–Sauf que moi, aucune bite ne me défoncera le cul, juste tes doigts, et à condition qu’ils ne soient pas trop nombreux et n’aillent pas trop profond.–Je pense que deux est le chiffre idéal.–Moi aussi, viens me câliner mon amour, j’ai besoin de ton corps contre le mien.
Nous nous enlaçons, nos mains glissent sur la peau de l’aimée, juste pour le plaisir de sentir cette peau douce au creux de nos paumes. Au bout d’un bon quart d’heure à nous câliner, nous allons prendre une douche non crapuleuse, juste nous rafraîchir, il commence à faire une chaleur torride. Quand nous allons dans le salon, il est vide, Charles est retourné chez lui, nous allons sur la terrasse pour nous allonger sur des transats à l’ombre d’un grand parasol. Nous entendons des sons venir de l’appartement des enfants, des soupirs, des gémissements, elles font l’amour entre elles, je me demande ce que fait Charles avec elle. Ce n’est que quand nous entendons Soraya dire oui, bien profond, continue, que nous comprenons qu’il s’occupe d’elle et qu’elle apprécie.
–Dis donc Virginie, c’est un bon ton fils, il aura fait l’amour avec les deux femmes de son père, vous pourrez échanger toutes les deux sur les performances respective de ces deux hommes.–Tu pousses le bouchon un peu loin ma chérie, je suis la femme de son père, mais aussi sa mère ce qui n’est pas le cas de Soraya.–Oui, mais ne te vexe pas, je trouve ça marrant c’est tout.–Dans le fond, tu as raison, c’est assez cocasse, ça me plais bien que mon fils fasse cocu son salop de père, et en plus, il est bon mon fils, plus sensible et plus doux que son père.–Ça, je ne le saurai jamais, et je ne veux pas le savoir.–Allons faire les courses pour midi, ils vont être affamés après tout cet exercice.
Nous allons faire les courses, nous prévoyons pour six, il est évident que Marie et Charles vont manger avec nous. Quand nous revenons à l’appartement Elodie et Soraya sont de retour, Charles et Marie sont restés chez eux. Je me mets à la cuisine, je suis en train de couper des pommes de terre en rondelles quand je sens les bras de Soraya m’enlacer et son corps se coller au mien par derrière. Ses seins s’écrasent sur mes omoplates, son pubis épouse la forme de mes fesses, elle bouge un peu du bassin.
–J’ai envie de toi Virginie, j’ai un drôle de sentiment pour toi, comme pour Judith, je crois que vous êtes le complément de mon amour pour Elodie. Cette fille a cannibalisé mon cœur, je sais que je finirai ma vie avec elle, mais je ne peux supporter la perspective de vivre sans vous deux auprès de moi, là, pas très loin.–Si tu veux savoir, je suis un peu comme toi, je ressens un sentiment profond pour vous deux, moi aussi je n’envisage pas ma vie sans que vous soyez à mes côtés, et je ne vois qu’une solution pour palier à notre problème.–Laquelle ?–Que vous vous installiez ici, que fais-tu comme travail ?–Je termine mes études d’ingénieure génie civil à Toulouse cet année.–Tu ne peux mieux tomber, un ami a besoin d’une antenne à Natura, pour suivre ses travaux, je pense qu’il sera intéressé par ton profil.–Il a un bureau à Natura ?–Non, mais notre cabinet va être modifié, une extension du bâtiment dont nous sommes chargées, nous avions prévu un bureau en plus pour Elodie, qui travaillera avec nous une fois son diplôme en poche, il suffira d’en ajouter un de plus pour toi, c’est assez facile pour nous.
Elle me retourne pour me couvrir de baisers, elle se précipite dans la chambre d’amis pour rejoindre Elodie qui est allé s’y allonger, elle devait être un peu stone après la séance dans l’appartement d’à côté. Elles reviennent toutes les deux se jeter sur moi, je suis obligée de les calmer, j’ai un couteau dans les mains, je ne voudrais pas les blesser. Judith nous rejoint, elle nous demande à quoi correspond ce remue-ménage.
–Simplement que Virginie nous a dit que nous pouvions nous installer ici, nous allons vivre toutes les quatre ensemble. –Mais c’était évident, Elodie vit ici, elle a une copine, sa copine vit ici, et je vous assure qu’il n’est pas question d’envisager une autre solution.
Elles se jettent sur elle, la couvre de baiser, je vois que Judith jubile, elle se laisse faire avec un immense plaisir, elle aussi m’a dit qu’elle n’envisageais pas de laisser partir les filles. Quand le repas est prêt, Judith va chercher Charles et Marie pour manger. L’après-midi se termine dans notre grand lit, nous y tenons facilement à six, je fais l’amour avec tout le monde, Charles fait l’amour avec Marie, Soraya et moi, il la sodomise même, on voit que John est passé par là, c’est un fervent de la sodomie.
La vie s’est organisée, Soraya et Elodie n’utilisent jamais la chambre d’amis, elles ont mis leurs peu d’affaires dans notre chambre, nous vivons tranquillement nos amours, en voyant de temps en temps Charles et Marie.
Soraya a eu son diplôme, Lionel l’a embauché pour s’occuper du suivi de ses chantiers à Natura et à l’est jusqu’à Montpellier, lui s’occupe de la partie ouest de Natura, jusqu’à la frontière espagnole, nous le voyons un peu moins souvent.
Elle décrit sa vie tout au long de ces années de bonheur avec Judith, Elodie et Soraya. Un de ses plus grands bonheurs sont les arrivées de sa petite-fille et de son petit-fils. D’abord Virginie puis deux ans plus tard, Gérald. Charles et Marie avaient décidé de donner mon prénom à leur première fille et celui du père de Marie au premier garçon. Elle n’a eu que deux petits enfants. Natura a fini par s’agrandir, la pression immobilière a été trop forte, mais elles étaient fières d’avoir gardé les fondements de la ville, pas d’immeuble de plus de vingt appartement et de plus de deux étages. Cette ville a gardé son aspect d’origine, style ville du vingtième siècle, sans le gigantesques tours qui bordent toutes nos villes actuelles. Je suis heureuse de vivre dans cette ville crée par une de mes ancêtres et son amour, mais je ne partage pas cette vision de l’amour. Pour moi, une femme doit aimer un homme, je déteste toutes ces gouines et ces pédés, depuis des siècles ils peuvent se marier, comment faire des enfants si on est du même sexe. Le carnet se termine à la disparition de Judith qui meurt le douze mai deux mille deux cent trente-six, Virginie ne lui survivra que deux semaines, elles ont vécu un formidable amour et elle n’a pas résisté à la séparation définitive. Je range les carnets, je veux les garder, c’est un morceau de l’histoire de la ville. Je dois me préparer pour ma future mission, je vais sur la Lune dans quelques jours avec Jules, l’homme que j’aime, nous avons été présélectionnés pour une mission sur Mars, la station technique a été abandonnée il y a quelques semaines suite à le découverte d’un virus qui a tué plusieurs personnes. Je me prépare physiquement et intellectuellement, je sais que les épreuves porterons autant sur le physiques que sur la facilité à manier les différents équipements sur la station. Jules s’entraine avec moi, nous sommes dans le gymnase de Natura Spa, nous y avons un abonnement, nous y venons très souvent, notre métier de spationaute l’exige. Nous partons demain pour Kourou où nous décollerons pour la colonie Christophe Colomb sur la Lune.
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