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Stéphanie

Chapitre 3

Le concours

Travesti / Trans
16. 28. 157. 158. 159.Il écrivit juste un court "Ajoute les chaussures que tu voudras. Bonne nuit Stéphanie." et coupa la conversation.16 était un pantalon noir d’une matière assez souple et assez stretch, plus agréable qu’un jean, mais aussi nettement plus fin. 28 un polo noir classique à col roulé et manches longues. Par contre les autres nombres correspondaient à des achats récents de mon maître, que j’avais essayé mais pas encore porté à l’extérieur. Une paire de bas bleu vif, un string et un serre-taille porte jaretelles de la même couleur... tous en latex. Je ne m’attendais pas à ça. J’aurais voulu une tenue aussi discrète que possible, au moins temporairement...J’avais déjà porté un soutien gorge en latex que je m’étais achetée, et j’avais été séduite par cette matère. Outre que j’avais vite chaud en le portant, et que je transpirais donc parfois en dessous, le latex avait tendance, dans certaines situations, à crisser, entraînant un bruit caractéristique pour qui sait le reconnaitre. Mais... malgré la peur, l’excitation me submergeait. C’est comme si j’étais attirée par la honte et l’exposition au public. Mon maître avait raison, j’étais sans doute une exhibitionniste dans l’âme. Jean ne m’ayant pas autorisée explicitement à me masturber, je du passer une nuit difficile.M’habiller ne fut pas chose facile non plus. Le talc blanc et mon pantalon noir ne faisaient pas bon ménage, surtout que je ne pu m’empêcher de prendre le temps de lustrer le latex. Cela me mit en retard, et dans la précipitation, ajouté au stress de revoir Stéphanie j’avais chaud, et je commençais à transpirer sous le latex. J’aimais particulièrement cette sensation, mais ça risquait de se voir. Jusqu’à ce que je m’asseye dans la voiture c’est ce que je craignais le plus. Ce n’est qu’une fois assise que je découvris le vrai problème. Le soleil passait pas la fenêtre, se posait sur mes jambes, et la tension sur le pantalon trop fin laissait apparaitre les jaretelles aux attaches métalliques par transparence... D’autant qu’elles étaient plus épaisses que la moyenne.
J’arrivai au bureau avant Séverine, qui prenait toujours le boulot une heure après moi. J’étais assise lorsqu’elle arriva, enfoncée le plus loin possible sous mon bureau. Le soleil ne venait pas jusqu’à moi, mais la pièce était bien trop lumineuse quand même.
— Salut Sam ! Comment vas-tu ?— Bien, merci. Et toi ça va ?— Oui oui.
Quand elle passa dos à moi pour aller vers son bureau, je ne pus m’empêcher de regarder sa tenue, ébahie. Elle portait une jupe droite noir assez moulante, ce qui était assez fréquent pour elle, mais surtout des bas coutures couleur chair ! Je ne l’avais jamais vue comme ça. Une fois assise, Séverine se tourna vers moi avec un grand sourire :
— "Tu as quelque chose à dire ma chérie ?!"
Je ne sais pas si ce fut l’expression "ma chérie" ou la vue des bas coutures, mais j’avais soudain reperdu la parole. Nous étions seules au bureau, comme souvent, et la matinée passa sans encombre, si ce n’est qu’à chaque fois qu’elle se levait, j’essayais de voir si elle portait aussi un porte-jaretelle, sans y parvenir. Au restaurant, Séverine prenait un malin plaisir à décaler ses jambes vers sa droite, croisant et décroisant. C’est elle qui aborda à nouveau le sujet :
— Si tu as besoin de conseil beauté, pour te maquiller par exemple, n’hésite pas, je suis là.— Euh, tu sais Sév, je ne me maquille pas, je...— Je t’ai dit de ne pas me prendre pour une idiote, je suis ton amie, je ne te juge pas, mais ne me ment pas s’il te plait. Me coupa-t-elle - Ah, merci... Bon...— Je n’en parlerai à personne. Au bureau par contre tu devrais peut-être te faire discrète. Déjà que les produits se voient un peu sur ton visage...Tu es cullotée toi, aujourd’hui on voit carrément tes jaretelles quand tu es en plein jour ! Hier ne t’a pas suffi en fait !"
Je rougis. J’aurais du le prévoir. J’avais pourtant fait attention. Enfin, je le supposais...
— Rassure toi, je crois que personne ne s’en est aperçu. Que penses-tu de mes bas ?— Ils sont très beaux. Tu les as achetés parce que tu as vu... euh... hier...— Non. Je les ai depuis longtemps, et comme il n’y a que nous deux au bureau. Entre copines !— Sev je ne sais pas si...
Le serveur venait d’arriver, caché par un pilier, et ni Séverine ni moi ne l’avions vu arriver. Il nous regardait bizarrement, et enchaîna en souriant :
— "Donc, Mesdames ! Pour le dessert ?— Sandrine était aux anges : Tu prends quoi ma chérie ?— Euh, une pomme s’il vous plait.— Pareil pour moi, merci."
J’attendis qu’il s’éloigne et j’ouvris la bouche pour parler quand Séverine me coupa :
— "Oui, je sais, je suis peut-être allée un peu loin. Je vais me calmer. Mais c’est toi aussi ! Tu sais quoi, on va faire un concours quotidien au bureau, sans en parler aux hommes : Celle qui a la tenue la plus sexy du jour gagne !— Ah ben je gagne, répondis-je trop vite.— Comment ça ? T’es en bas porte-jaretelles, comme moi. J’ai aussi un string évidemment, si tu penses que c’est ça qui te donne "l’avantage" ?"
Le coté "c’est moi la meilleure" de Séverine, son plus gros défaut et sans doute la principale raison pour laquelle elle était encore célibataire, ressortait d’une drôle de façon.
— "Oui, moi aussi j’ai la même chose que toi, ce n’est pas ce que je voulais dire, c’est rien.— Ah non, montre moi, ou explique moi ?— Pas ici !— Tu vas pas faire ta sainte nitouche ! Et joignant le geste à la parole, Séverine tira d’un coup sec sur mon polo qui sorti du pantalon, et passa une partie de sa main... Qu’elle ressorti immédiatement.— Oh ! C’est quoi ce truc ? Dit-elle pendant que je me rhabillais en m’assurant que personne ne l’avait vu faire.— C’est mon porte-jaretelle...— Prend moi pour une cruche, cette matière... mais c’est du vinyl ou du latex !— Oui... du latex.— Ah ben toi t’es incroyable ! Bon... Ok pour aujourd’hui tu gagnes. Et... ça fait quoi cette matière ?— Oh, euh, j’aime bien. Et j’ai chaud...— Oui alors de là à dire si tu as chaud à cause de ça ou si tu es rouge juste parce qu’on est au resto en qu’on parle des sous-vêtements féminins que tu portes..."
J’avais effectivement de plus en plus chaud, mais Séverine sa calma un peu, comme promis.Vers le milieu de l’après-midi, nous étions à nouveau seules au bureau. Séverine me regarda, se leva puis me dit :
— "Enlève ton pantalon, je veux voir !— Sev, non, c’est pas possible.— Ah mais si. Tu gagnes ok mais tu me montre. Je veux une preuve."
Je sucombais d’autant plus facilement, que m’exhiber m’excitait toujours autant. Séverine exigea de me voir uniquement en sous-vêtements. Heureusement que les fenêtres ne donnaient pas sur la rue. Je mettais mes mains sur mon string pour cacher mon sexe en quasi érection, mais sans grand succès.
— Tu est entièrement épilée ! Coquine !— Oui, et puis avec le latex c’est plus pratique.— Ben tiens, il a bon dos le latex ! Bon ok... Règle supplémentaire : jamais la même tenue que la veille évidemment.— D’accord... Je ne savais quoi penser de cette idée, et surtout de ce que pourrait en dire mon maitre.— Tu me prêteras tes fringues en latex ? Je voudrais essayer. Dit-elle avec un large sourire.— Oui si tu veux ! J’étais aux anges. Séverine avait pris les choses de la meilleur manière possible. Et s’il fallait montrer ce qu’on portait quand on gagnait... J’avais hâte qu’elle gagne à son tour ! Mais tout d’abord, en parler à Jean.
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