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Stéphanie, chirurgienne et salope

Chapitre 14

Avec plusieurs hommes
Note : Suite à une demande de La Chipie, je précise qu’elle a fortement conseillé d’utiliser des préservatifs et que toutes les relations extraconjugales de Stéphanie se font avec protections. Il est effectivement primordial de le préciser à l’époque où nous vivons, car les MST sont des maladies très graves.
Je viens de prendre un énorme orgasme sur la queue d’Anthony et je me laisse aller sur sa poitrine, totalement repue de sexe. Il faut bien avouer que j’ai pris ma dose aujourd’hui. Mes deux patrons m’ont prise ce midi, j’ai terminé ma journée de travail entre un patient et un infirmier du service, je me suis fait caresser dans le métro et enfin, je me suis fait prendre par mon mari après qu’il m’ait livrée à Marc et Eric. Je suis à califourchon sur la queue de mon mari et je me suis laissée tomber sur son torse après l’orgasme que je viens de prendre. Il me caresse doucement les épaules et me murmure à l’oreille :
— Tu étais sérieuse pour ton père ?— Que veux-tu dire ? dis-je dans un souffle sans même me souvenir de ce que j’ai pu lui dire plus tôt.— Quand tu as dit que tu aimerais te faire baiser par ton père...— Tu l’as pris au sérieux !! C’était de la provocation, mon chéri !! dis-je en me redressant.— J’ai cru un instant que tu y avais déjà pensé !!— J’ai certes envie de me donner à des hommes mûrs, mais mon père n’en fait pas partie !! dis-je d’une voix mal assurée alors que l’image de mon père prenant ma mère en levrette me revient à l’esprit.— J’ai pourtant eu le sentiment que ça te faisait de l’effet, ma petite salope !!— Tu n’es qu’un sale pervers !! lui dis-je avant de poser un baiser sur sa bouche et de me diriger vers la chambre en laissant planer le doute.
J’ai vécu une nuit très agitée pleine de rêves. J’ai revu mon père prendre ma mère en levrette, mais lorsqu’elle tournait la tête, elle m’invitait à les rejoindre. J’avançais docilement et je m’allongeais devant elle, les cuisses largement ouvertes. Elle me léchait mon petit minou pendant que papa lui défonçait la chatte. Puis le rêve a changé de tournure, je n’étais plus la jeune adolescente, mais la femme que je suis devenue, et Anthony faisait son apparition. J’avais pris la place de ma mère et je me faisais prendre en levrette par mon père alors que mon mari se faisait sucer par maman. Avant de me réveiller, maman et moi étions côte à côte en train de nous manger la bouche alors que papa me prenait le cul et qu’Anthony défonçait la chatte de maman.
Au réveil, ma petite chatte est toute moite, et comme je suis seule dans mon lit, je ne peux résister à l’envie de me caresser. Les souvenirs refont surface et je me souviens avoir épié mes parents après ce fameux jour où je les avais surpris dans le salon. Je laissais la porte de ma chambre entrouverte le soir pour mieux entendre ce qui se passait dans la leur et à chaque fois que j’entendais maman gémir, je glissais un doigt dans ma chatte de gamine et je me faisais jouir en entendant maman crier son orgasme. Cette simple pensée me procure une belle jouissance, et c’est dans un état second que je file sous la douche avant de me préparer pour partir au travail.
La journée a été longue et je suis bien heureuse de rentrer à la maison. Aujourd’hui, j’ai eu beaucoup de mal à me concentrer tant le souvenir de mes parents en train de faire l’amour a eu du mal à sortir de ma tête. Enfin, je vais pouvoir penser à autre chose auprès de mon petit mari. Je le retrouve dans le salon, le nez dans son ordinateur. Je l’embrasse amoureusement et je jette un œil sur son écran. Il est sur le site qu’il m’a montré la veille, et il consulte mon profil. Je le regarde droit dans les yeux et je lui dis en riant :
— Je ne t’avais pas autorisé à le publier, pourquoi tu l’as fait ?— Parce que tu es ma petite salope, et que tu aimes me faire plaisir, ma chérie !!— Oui, c’est vrai, mais j’ai le droit de te taquiner mon cœur !! lui répondis-je avec un grand sourire.— Regarde, tu as déjà des admirateurs et je n’ai publié ton profil que pendant la pause du midi.
Il fait défiler les différents profils devant mes yeux. Ce ne sont que des hommes seuls dans toutes les tranches d’âge qui me proposent de les rencontrer. Il y a aussi des couples qui souhaitent échanger avec moi malgré mon profil sans équivoque. Une réponse retient cependant mon attention, un homme d’affaires qui se déplace régulièrement en région parisienne accompagné de ses actionnaires. Lui a 64 ans et ses actionnaires 55 et 59 ans. Il a publié une photo de lui dans son message et je le trouve très attirant. De sa photo ressort un charisme qui me rappelle celui de mon père, et Anthony ne manque pas de voir l’attention que je porte à ce profil.

— On dirait que celui-là te plaît, ma chérie !! me dit-il avec un grand sourire.— Ben, c’est le seul qui correspond à ce qu’on cherche, mon chéri !!— Dis-moi plutôt qu’ils pourraient tous t’avoir pour fille !! me glisse-t-il subtilement.— Où veux-tu en venir, ce sont seulement des hommes qui pourraient correspondre à ce que nous cherchons.— Plutôt à ce que tu recherches, ma chérie !! Je te rappelle que sur ton premier profil, j’avais parlé d’homme entre 25 et 35 ans.— Oui, mais je me sentirai plus sereine avec des hommes mûrs !! lui dis-je alors que les images qui m’ont hantée toute la journée me reviennent.— Avec des hommes qui pourraient être ton père, insiste-t-il en glissant une main entre mes cuisses.— Oui, si tu insistes, mais cela n’a rien à voir avec lui, lui dis-je sur un ton mal assuré alors que j’ouvre mes cuisses pour lui faciliter le passage vers ma chatte.— Tu aimerais qu’il te baise ?— Qui ça ?— Ton père !!— Mais tu n’y penses pas !! lui dis-je alors que j’écarte largement les cuisses pour le laisser me fouiller la chatte avec ses doigts.— Et si je te disais que lui aimerait bien profiter de la petite chatte de sa fille !!— Non, ce n’est pas possible !! dis-je dans un souffle alors que ses doigts bougent de plus en plus vite dans ma chatte et que certaines images de mes rêves me reviennent en tête.— Et que ta mère aimerait bien te bouffer la chatte !!— Non, arrête, il ne faut pas penser à ces choses !!— Et pourtant tu y penses ma petite salope, c’est ta chatte trempée qui me le dit !!— Il ne faut pas, non !! Ce sont mes parents !!— Pourtant, tu les as regardés baiser, non ?— Comment sais-tu ça ?— Parce qu’un soir alors qu’ils passaient un week-end à la maison, j’ai surpris une de leur conversation. Tu étais de garde le lendemain et nous nous sommes couchés de bonne heure. Je t’ai fait l’amour et quand tu t’es endormie, j’ai eu une petite fringale. Lorsque je suis passé devant leur chambre, leur porte était entrouverte et j’ai entendu gémir ta mère.— C’était quand ? dis-je, de plus en plus excitée par cette conversation et les doigts d’Anthony qui bougent dans ma chatte.— Il y a quatre ans. Je n’ai pas pu résister et je me suis approché de la porte pour entendre ce qu’ils disaient.— Et ils disaient quoi ?— J’ai entendu ta mère dire : « ça te plaît de me baiser alors que Steph est juste à côté ! Tu aimerais lui prendre son petit cul !! » « Espèce de salope, c’est toi qui m’as mis ça en tête quand tu as vu qu’elle nous regardait baiser !! » lui a répondu ton père.— Hummm, non !! Ils savaient que je les espionnais ? En effet, après les avoir surpris la première fois, je ne manquais pas une occasion de les espionner.— Ton père a continué : « tu as toujours espéré la voir nous rejoindre et t’offrir sa petite chatte à déguster !! Nous avons multiplié nos ébats dans le salon parce que tu rêvais de t’offrir ta propre fille. Je t’ai pourtant offert de jeunes petites chattes, mais c’est toujours celle de Stéphanie qui te fait envie !! »
Je ne peux plus rien dire tant le récit que vient d’entamer Anthony me fait de l’effet. Ses doigts bougent dans ma chatte alors que les souvenirs refont surface. Je me souviens maintenant que je laissais ma porte entrouverte pour les entendre, mais qu’à chaque fois que je les devinais en train de baiser dans le salon, je me déplaçais pour les regarder. A chaque fois, j’étais partagée entre la peur de me faire découvrir et l’envie de me doigter en les regardant faire l’amour. En y repensant, je m’aperçois qu’ils étaient toujours tournés pour que je puisse les voir sans être vue.
— Ta mère a continué en gémissant : « j’ai toujours envie de lui manger son petit abricot, et j’aimerais tant qu’Anthony me prenne pendant que tu te fais sucer par ta fille ».— Je me suis éclipsé en entendant ton père dire : « il te le faut lui aussi, ma petite salope de femme !! »— Ce n’est pas possible !! Mes parents n’ont pas pu dire des choses pareilles !! dis-je en fermant les yeux et en poussant un profond soupir qui trahit mon plaisir.— Tu penses vraiment que j’ai pu inventer cette histoire ? me demande Anthony en faisant tournoyer ses doigts dans ma chatte humide de plaisir.— Non... non !! Tout ce que tu me dis m’affole et tes doigts... hummm !!— J’aimerais bien te voir manger la chatte de ta mère !! Tu aimerais ça, mon cœur ?— Non... non !! Oh siiii... je veux sentir son petit bouton sur ma langue !!— Et la queue de ton père dans ton cul ? Tu la veux ma petite salope ?— OUI... OUI, j’en ai rêvé cette nuit !! Oh ouiiii... c’est trop bon !! dis-je en jouissant sur les doigts de mon mari.
Anthony retire ses doigts de ma chatte et me laisse reprendre mon souffle sur le canapé. Au bout de quelques minutes, je reprends mes esprits et je file prendre une douche. Je reviens au salon, seulement vêtue d’un fin kimono de soie rose pâle. Anthony est en train de s’affairer dans la cuisine et je me penche de nouveau sur l’écran de son ordinateur. Je m’aperçois que j’ai reçu un message privé de mon homme d’affaires. Je m’empresse de l’ouvrir. Il me dit être actuellement sur Paris avec l’un de ses associés et qu’il repart dans deux jours. Il me demande s’il est possible qu’ils puissent me rencontrer le lendemain à l’endroit qui me convient le mieux. Après avoir revu son profil, je lui demande s’il est possible de m’envoyer une photo de son associé. Il est manifestement connecté, car la réponse arrive très vite. Je découvre en message privé la photo que je viens de demander.
Il s’agit manifestement de son associé le plus âgé, et à la perspective de me retrouver avec ces deux hommes mûrs déclenche à nouveau le feu dans mon ventre. C’est le moment que choisit mon mari pour venir me rejoindre.
— On dirait que ce site t’intéresse, ma chérie !! — L’homme de tout à l’heure m’a envoyé un message.— Et ? me demande Anthony avec empressement.— Il est sur Paris avec l’un de ses associés et il me demande s’ils peuvent me rencontrer demain soir, répondis-je fébrilement.— Et tu as répondu quoi ?— J’ai demandé une photo de son associé et j’avoue qu’ils me plaisent bien.— Tu as envie de faire ma petite pute, ma chérie ?— Je ne sais pas trop !! Ton histoire d’hôtel me fait un peu peur. J’aimerais mieux les recevoir dans un endroit où je me sens plus sûre.— Tu voudrais qu’ils viennent à la maison ? me demande-t-il avec une pointe d’excitation.— Si tu le veux bien, j’aimerais autant, mon chéri !!— Je veux bien, mais à une seule condition : je veux que tu invites tes parents pour ce week-end !!— Quand tu as une idée en tête !! lui dis-je avec une petite moue. J’aimerais te faire plaisir, mais je n’ai pas eu le temps de te dire que nous avons déjà une invitation samedi soir. Je me mets alors à lui raconter le projet de Pierre. Anthony m’écoute avec attention et semble apprécier l’idée de mon boss.— Tu pourrais les inviter vendredi soir ; et qui sait, peut-être voudront-ils nous accompagner chez Pierre ?— Tu es vraiment un grand pervers !! Comment peux-tu imaginer qu’ils pourraient envisager de partager nos jeux ?— Je suis sûr qu’ils sont beaucoup moins coincés que tu ne le penses !! Alors, tu les appelles ?
Sans répondre, je me saisis de mon téléphone et j’attends fébrilement que cela décroche. Je tombe sur ma mère et, d’une voix mal assurée, je lui demande s’ils seraient disponibles pour le dîner de ce vendredi. Elle est ravie et me donne rendez-vous pour 20H ce vendredi. Pendant que j’appelais mes parents, Anthony a répondu à mon homme d’affaires. Il lui dit qu’exceptionnellement je pouvais les recevoir à la maison, car mon mari est parti pour une semaine en Italie. Il a donné notre adresse en leur donnant rendez-vous pour 21h30. Quelques minutes passent et la réponse tombe : OK pour demain chez vous à 21h30. Je m’enfonce dans le canapé, pensive. C’est Anthony qui me sort de mes pensées en glissant une main entre mes cuisses ouvertes, me disant à l’oreille :
— Demain, tu vas faire ma petite pute, ma chérie !— Hummm, j’ai tellement envie de te faire plaisir, mon amour ! dis-je en sentant ses doigts glisser entre les lèvres de ma chatte.— Et vendredi, je vais t’offrir à tes parents !— Hummm...ça me fait peur !!— Je serai là, et tout va bien se passer mon cœur !!— Baise-moi !! J’ai trop envie de ta queue !! lui dis-je en me mettant en levrette sur le canapé.
Il se place derrière moi et s’enfonce d’un coup de reins dans ma chatte. Je ferme les yeux et les images de mon père prenant ma mère dans la même position me reviennent. Je sens une vague de chaleur monter en moi et un violent orgasme me terrasse.
Après une journée de travail que j’ai trouvée tellement longue, je rentre à la maison peu avant 19h. Anthony m’attend dans le salon et j’ai à peine le temps de me poser qu’il m’entraîne dans le bureau. Je remarque que l’écran de l’ordinateur est partagé en quatre et que chacune des images montre notre chambre sous différents angles. Anthony répond très vite à mon regard interrogateur.
— J’ai installé quatre minicaméras dans notre chambre pour pouvoir surveiller tes futurs amants de ce soir.— Mais ils vont s’en apercevoir !! dis-je, incrédule.— Non, je les ai bien dissimulées, ils n’y verront que du feu !! Comme ça, tu seras rassurée de savoir que je vois tout ce qui se passe. Tu devras juste les attirer dans notre chambre alors que je serai ici devant l’écran.— Il faut que tu me les montres pour que je puisse te regarder en faisant ta petite pute !!
Il m’entraîne vers la chambre et me montre les emplacements. Les caméras sont, en effet, très bien dissimulées et je me sens rassurée. Sur le lit, Anthony m’a préparé une tenue. Je trouve là un chemisier en soie rouge, une jupe noire ample, mais très courte, un porte-jarretelles en dentelle rouge et une paire de bas de soie noire. Au pied du lit, il a posé une de mes paires d’escarpins noirs à haut talon. Il m’entraîne vers la cuisine où il a préparé un petit repas. Après mangé, il m’invite à aller me préparer et me laisse la maison en s’enfermant dans le bureau sans oublier de m’embrasser longuement et langoureusement. Il est déjà 20h30 et je m’empresse d’aller prendre une douche. Après m’être légèrement maquillée, je me rends dans la chambre et je passe les vêtements que mon mari a préparés pour moi. La jupe courte dissimule tout juste le haut de mes bas, et en l’absence de sous-vêtements, je sens ma petite chatte s’humidifier, et mes tétons pointer sous la soie de mon chemisier.
J’enfile mes escarpins et je pose devant une caméra en criant :
— Je suis prête, mon amour !!— Inutile de crier ma chérie, il y a des micros dans la chambre !! me répond Anthony à travers la cloison.
Mon mari a pensé à tout et je me sens encore plus rassurée. Je file dans le salon et j’attends, un peu anxieuse, l’arrivée de mes amants. Il est 21h30, et toujours personne. Je n’y tiens plus, l’angoisse monte ; pourquoi ne sont-ils pas là ? Il y a cinq minutes que je tourne en rond dans le salon lorsque j’entends la sonnette de la porte. Je me retiens de me précipiter vers la porte et c’est en faisant claquer mes talons sur le carrelage que je vais ouvrir la porte. Ils sont là et s’excusent pour le retard. Leur voiture est garée devant la maison et je commande la fermeture du portail pour qu’elle n’attire pas l’attention. Je les invite à entrer et je referme la porte derrière eux après avoir jeté un coup d’œil à l’extérieur pour m’assurer que personne ne les a vus entrer. Mon homme d’affaires me tend un bouquet de fleurs et se présente :
— Je suis Philippe et je suis ravi que vous ayez pu nous recevoir ce soir. Je dois vous avouer que j’avais très envie de vous rencontrer.— Enchantée ; moi, c’est Stéphanie ! lui dis-je en lui tentant la main droite. Il s’en saisit et y pose un doux baiser.— Et moi, je suis Bruno, dit le second en prenant mon autre main pour y poser un baiser tout aussi tendre.— Vous souhaitez peut-être que je vous débarrasse ? dis-je d’une voix mal assurée.— Volontiers ! me disent-ils en cœur en me tendant leurs vestes.
Je pose les vestes sur un fauteuil et je commence à me demander si je vais pouvoir aller plus loin. Ces hommes sont attirants, mais s’ils continuent avec leurs mondanités, je ne suis pas sûre de pouvoir me libérer pour m’offrir à eux. Je prends une rapide décision, je déboutonne deux boutons de mon chemisier et je viens me placer entre les deux hommes. Je me tourne vers Philippe et je lui tends mes lèvres. Il me regarde avec étonnement et me dit :
— Vous semblez bien pressée, chère Madame !!— Je dois vous avouer que c’est la toute première fois pour moi et j’ai peur de faire machine arrière. Je vous en prie, faites ce pour quoi vous êtes venus avant que je ne change d’avis et je vous demande de me tutoyer. Moi seule utiliserai le vouvoiement.— Comme tu voudras !! me dit Philippe en me prenant les lèvres et en glissant une main dans l’ouverture de mon chemisier.
Dans mon dos, Bruno fait glisser ses mains sur mes hanches et commence à me caresser les fesses à travers le tissu de ma jupe. De ma main droite, je lui attrape une main et la fais glisser sous ma jupe. Le contact de sa main sur mes fesses m’électrise alors que Philippe me donne un tendre baiser en faisant rouler mes tétons entre ses doigts. Bruno passe ses doigts entre mes fesses et les fait glisser jusqu’à ma fente déjà humide. Tout en me caressant, il passe sur le côté et me réclame un baiser. Je délaisse la bouche de Philippe, je lui tends mes lèvres et il m’embrasse avec fougue. Philippe se colle à moi et je peux sentir son envie contre mon bas-ventre. Doucement, je me libère de leur étreinte et je leur demande de me suivre. Je les entraîne dans la chambre conjugale pour que mon mari puisse profiter du spectacle que nous allons lui offrir. Sans attendre, je commence à ouvrir les boutons de la chemise de Bruno avant de me laisser descendre à ses pieds pour ouvrir son pantalon.
Son boxer est déjà bien déformé par son excitation et je ne peux résister à caresser son membre à travers le tissu de son sous-vêtement. Lentement, je fais glisser son boxer et sa queue ne tarde pas à jaillir. Elle fait environ quinze centimètres, mais elle est très massive. De ma main droite, je commence à le branler lentement et je viens caresser son gland avec la pointe de ma langue. Mes lèvres finissent par s’ouvrir et je commence à lui sucer la queue avec passion. Philippe a profité de cet instant pour se déshabiller et il s’approche de moi la bite tendue. Elle est plus longue que celle de Bruno, mais tout aussi massive. Les deux hommes se placent de chaque côté de moi. Je me suis arrangée pour me trouver face à une caméra pour qu’Anthony puisse profiter du spectacle. Philippe me caresse les cheveux et me dit :
— Tu as vraiment l’air d’aimer te donner à des inconnus !!— J’aurais beaucoup aimé le faire avec mon mari, mais il est trop jaloux pour m’offrir à un autre homme.— Il ne sait pas ce qu’il manque, car je suis sûr que tu es une bonne petite salope !! me lance Bruno.— Oui, je suis une salope qui trompe son mari avec deux inconnus pour son propre plaisir. Traitez-moi comme une pute, c’est tout ce que je mérite !! dis-je en regardant droit vers la caméra.— Si c’est ce que tu souhaites petite pute, nous allons te faire reluire !! Tu vas nous sucer comme une bonne petite chienne !! me dit Philippe en me prenant par les cheveux.
Il pose son gland sur mes lèvres et pousse ma tête vers son sexe. Je n’ai d’autre choix que d’ouvrir la bouche et de laisser son gland envahir ma cavité buccale. Il a posé ses deux mains sur ma tête et il commence à me baiser la bouche sans ménagement. Le comportement de Philippe a changé suite aux paroles que je viens de prononcer. Il me traite maintenant comme une vulgaire pute alors qu’il y a quelques minutes, il était plein d’attention pour moi. Au bout de quelques minutes, il laisse sa place à Bruno qui me plante sa queue au fond de la bouche. Philippe passe derrière moi et commence à me caresser la chatte sous ma jupe. Ses doigts glissent sur ma fente très humide d’excitation et ne tardent pas à y pénétrer. Il me pistonne avec deux doigts m’arrachant des gémissements étouffés par la présence de la queue de Bruno dans ma bouche. Après quelques minutes de ce traitement, Philippe me place à genoux face au lit et m’oblige à poser ma poitrine sur le matelas.
Il retrousse ma jupe après s’être placé derrière moi. Il pose son gland à l’entrée de ma grotte d’amour et me pénètre d’un seul coup de reins m’arrachant un long râle de plaisir. Il me saisit par les hanches et me prend la chatte avec de puissants allers et retours. Bruno s’est placé devant moi sur le lit et il m’attrape par les cheveux pour que je le prenne en bouche. Je ne suis plus qu’un jouet entre leurs mains et mon excitation est décuplée lorsque je pense que mon mari ne manque rien du spectacle. Je remue mon bassin et je vais à la rencontre de cette queue qui me laboure la chatte. Philippe m’écarte les fesses de ses deux mains et je sens son pouce se poser sur ma rondelle. Il me masse doucement à cet endroit et mon petit œillet se met à palpiter d’envie. Soudain, le pouce s’enfonce en moi et coulisse lentement dans mon cul.
— Cette petite pute a l’air d’aimer se faire enculer !! lance Philippe à son associé.— Tu aimes ça ? me demande Bruno en me tirant par les cheveux pour sortir sa queue de ma bouche.— Je suis votre petite pute !! Prenez-moi comme vous voulez !! Donnez-moi vos grosses queues.
Bruno s’allonge sur le lit alors que Philippe se retire de moi. Il me donne une claque sur les fesses et me demande de me placer au-dessus de son associé. Je me place à califourchon au-dessus de Bruno et je place sa queue à l’entrée de ma chatte. Lentement, je me laisse descendre sur son pieu jusqu’à ce que mon clitoris vienne toucher son pubis. Philippe, à son tour, monte sur le lit et vient se placer derrière moi. Il m’écarte les fesses et pose son gland sur ma rosette. Il pousse lentement et je sens sa queue me pénétrer dans un mouvement continu et implacable. Lorsque son gland passe la barrière de mon sphincter, il m’attrape par les hanches et me pénètre d’une seule poussée dans un violent coup de reins. Il se met à me limer le cul sans ménagement en me donnant quelques claques sur les fesses. Je me mets à gémir en sentant les deux hommes me prendre en duo. Ils ont sûrement l’habitude, car leurs queues coulissent en rythme dans mes orifices offerts.
— Tu as l’air d’aimer, ma petite pute !! me dit Philippe en me prenant le cul encore plus fort.— Hummm... ouiiii !! Depuis le temps que j’en rêve !! C’est trop bonnnn !!— Ton cocu de mari ne sait pas ce qu’il perd, ma petite salope !! me lance Bruno.— S’il n’était pas si jaloux !! Comme j’aimerais qu’il me donne à qui il veut !! Humm... j’aime vos queues de vieux cochons !!— Sois polie, nous pourrions être ton père, espèce de petite pute !! me crie Philippe en me claquant une fesse.— Hooo ouiii, je suis ta pute !! dis-je à l’adresse de mon mari en regardant une des quatre caméras.
Les deux hommes me prennent sans ménagement et leurs queues font des ravages dans ma chatte et dans mon cul. Bruno me glisse un doigt dans la bouche et je me mets à le sucer comme si c’était une bite. Bruno m’attrape par les cheveux et m’embrasse avec fougue. Il interrompt son baiser et me place deux doigts dans la bouche que je me remets à sucer avec avidité.
— Tu aimerais bien une troisième queue, ma petite chienne !! annonce Bruno en regardant droit dans les yeux.— Hummm, ouiiii !! dis-je avant de reprendre ses doigts en bouche.
Je ferme les yeux et mon esprit se met au travail. J’imagine que mon père se tient là, près de moi, et que c’est sa queue que j’ai en bouche. Frénétiquement, je me mets à pomper les doigts de Bruno. Je dois me rendre à l’évidence, depuis qu’Anthony m’a mis cette idée en tête, j’ai très envie de me donner à lui. Je veux le sentir dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul. J’imagine que c’est mon père qui me prend en ce moment par tous les trous et cette simple pensée déclenche en moi une vague de plaisir. Je pars dans un violent orgasme et je m’effondre sur la poitrine de Bruno. Les deux hommes n’ont pas encore joui. Ils se retirent de moi et m’allongent sur le lit. Ils se placent de part et d’autre de mon corps et se mettent à se branler.
— Maintenant, nous allons te donner notre jus comme on le fait avec une bonne pute !! me lance Philippe.— Nous allons t’inonder de foutre, ma petite salope ! renchérit Bruno.
Les yeux mi-clos, je les regarde se branler, et ma main droite se pose sur ma chatte. L’index de ma main gauche vient caresser mon clitoris gorgé de désir alors que deux doigts de ma main droite glissent entre les lèvres trempées de mon petit abricot. Bruno m’attrape par les cheveux et plonge sa queue au fond de ma gorge. Il se met à grogner alors qu’il se vide les couilles dans ma bouche. J’ai à peine fini d’avaler la ration de foutre que vient de me fournir Bruno que Philippe s’épanche sur moi. Un premier jet s’écrase sur mes seins et les jets suivants atteignent mon cou puis mon visage. Comme une bonne salope, je récupère le jus sur mes doigts et je les porte à ma bouche pour déguster l’offrande de mon amant. Tout en se rhabillant, les deux hommes me regardent me délecter du sperme de Philippe. Une fois vêtu, Bruno se penche sur moi et m’embrasse langoureusement. A son tour, Philippe vient m’embrasser puis il me glisse à l’oreille :
— Merci pour cette belle soirée, chère Madame !— C’est moi qui vous remercie, Monsieur !!— J’ai une question. As-tu déjà baisé avec une femme ?— Non, jamais !! mentis-je.— J’aimerais te présenter ma jeune secrétaire, je suis certain que vous devriez vous entendre !!— Je ne sais pas trop, Monsieur !!— Une petite pute se doit de satisfaire ses clients ! Je te laisse ma carte, tu m’appelleras quand tu seras prête !! me dit-il en glissant dans ma main sa carte et deux billets de 500 €.— Mais...— Il n’y a pas de « mais » !! Ne te dérange pas, nous connaissons le chemin !! dit-il en tournant les talons pour quitter la chambre.
Après une dizaine de minutes, je rejoins Anthony dans la pièce adjacente. Il est nu et me pousse vers le bureau, sa queue est tendue au maximum. Sur l’ordinateur, il lance une vidéo. Je me vois aux mains de mes deux amants d’un soir. Il a eu le temps de faire un montage et je me découvre sous différents angles en train de me donner comme une pute à ces deux hommes. Anthony me demande de placer mes mains sur le bureau et il tire mes hanches vers lui afin que je lui présente mon petit cul. Sans ménagement, il me plante sa queue bien au fond de ma chatte et se met à me limer comme un fou. Les images qui défilent devant mes yeux et les violents coups de queue de mon mari me font très vite gémir.
— Ça te plaît de faire la pute pour moi ma petite salope !!— Hummm oui, mon chéri !! Oh oui, ta queue... hummm !!— Tu le feras encore ?— Je ferai tout ce que tu veux mon amour !! Je suis à toi, je suis ta chose !! Hummm oui, défonce-moi !!— Tiens, prends ça !! me dit-il en sortant de ma chatte pour s’enfoncer dans mon cul.— Hummm, c’est bon !! Encule bien ta petite pute de femme...
Anthony me prend sans ménagement et je sens très vite la vague de plaisir monter dans mon ventre. Je pars dans une profonde jouissance alors que mon mari se vide les couilles dans mon cul. En plus d’être sa salope de femme, je suis maintenant devenue sa petite pute.
A suivre
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