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Stéphanie, chirurgienne et salope

Chapitre 15

expérience incestueuse

Inceste
Nous sommes vendredi et j’ai posé ma journée. Officiellement, j’ai demandé cette journée au professeur pour me préparer à me rendre chez lui le lendemain, mais la vraie raison est que j’angoisse à l’idée de me rendre au travail sachant que je vais passer ma journée à penser à la venue de mes parents. J’ai passé une nuit agitée peuplée de rêves où mes parents occupaient une grande place. Je prends un rapide petit-déjeuner et je file prendre une douche. Je vais me rendre à Paris pour faire quelques magasins et me changer les idées. Je dois acheter une tenue pour faire honneur à mes parents. Je l’ai rêvée très sexy, mais surtout suffisamment provocante pour que mon mari sache que je veux être sa petite salope qui va faire l’amour avec ses propres parents. Je me suis imaginé de nombreux scénarii, mais je n’arrive pas à réaliser que tout cela risque de vraiment arriver ce soir.
Depuis qu’Anthony m’a mis cette idée en tête, j’ai du mal à penser à autre chose, mais je me demande encore comment il va arriver à ses fins. Je quitte la maison et je prends les transports en commun pour me rendre à la capitale. J’arrive dans les quartiers chics et j’entre dans plusieurs boutiques de prêt-à-porter. Je finis par jeter mon dévolu sur une petite robe noire dont le dos est échancré jusqu’à la naissance de mes reins. Le décolleté tombe entre mes seins, le bas est ample et arrive juste en dessous de mes genoux. Les plis de la jupe dissimulent une fente qui remonte jusqu’à mi-cuisse. Lorsque je marche avec mes talons hauts, les mouvements de la robe révèlent subtilement le galbe de ma jambe. Cette petite robe est vraiment sexy à souhait et je me vois déjà évoluer dans le salon devant mes parents et leur donner envie de caresser mon corps de petite salope.
Je ressors du magasin avec ma petite robe dans un sac et j’erre dans les rues de Paris sans but particulier. Sans même m’en rendre compte, mes pas m’ont conduite devant le magasin de lingerie de Nathalie. Je regarde ma montre, il est presque midi. Sans hésiter, je pousse la porte de la boutique qui me rappelle de merveilleux souvenirs. Je fais trois pas et j’entends du fond de la boutique la voix de Nathalie qui déclare :
— Nous allons fermer !!— Même pour une bonne cliente, madame ? dis-je sur un ton enjôleur.
Nathalie se retourne et en me voyant, elle s’approche de moi. Comme si nous nous connaissions depuis toujours, elle m’embrasse sur les joues et me glisse à l’oreille :
— Pour toi, je vais faire une exception ! Va dans la cabine, je me débarrasse de ma cliente et je te rejoins, ma petite salope !!— Hummm, oui, je vous y attends !! dis-je dans un souffle.
En faisant claquer mes talons sur le parquet de la boutique, je me dirige vers la cabine et referme le rideau derrière moi. Nathalie se souvient de moi et les mots qu’elle vient de prononcer ne laissent aucun doute sur ses intentions. Je pense ne pas être venue là par hasard, cette femme me rappelle ma mère et je veux qu’elle s’occupe de moi comme si je souhaitais avoir un prélude à la soirée qui s’annonce. Je retire tous mes vêtements et j’enfile ma nouvelle petite robe avant de prendre place sur le fauteuil où je me suis donnée à Nathalie, son mari Daniel et son neveu Joël. Le fin tissu de ma robe frotte sur mes seins et fait pointer mes tétons d’excitation. Je m’alanguis dans le fauteuil et j’écarte les cuisses, la fente de ma robe s’ouvre sur ma cuisse et je laisse ma main se diriger lentement vers ma chatte humide. Je caresse lentement mon petit clitoris avant de laisser mes doigts descendre sur ma fente qui commence à s’ouvrir.
Un doigt, puis deux glissent en moi et je commence à me branler lentement en regardant le grand miroir sans tain en espérant que Daniel et Joël se trouvent derrière. Je commence à gémir au moment où Nathalie fait son apparition dans la cabine.
— Je vois que tu t’es mise à l’aise, ma petite Stéphanie !! me dit-elle en s’approchant du fauteuil.— Je vous attendais, Nathalie. J’aimerais que vous me trouviez des sous-vêtements pour aller avec cette petite robe que je viens de m’offrir.— Et c’est pour cette raison que tu te caresses, petite salope !! me répond Nathalie en se penchant sur moi pour m’embrasser.— Hummm, j’ai tant de beaux souvenirs dans cette cabine et vous en êtes responsable, Madame !! dis-je après que nos langues se soient caressées langoureusement.— Lève-toi que je puisse juger de ce dont tu vas avoir besoin ! me répond Nathalie sur un ton autoritaire.
Elle fait le tour de moi comme un chat qui maîtrise sa proie. Elle écarte le pan de la jupe afin de découvrir ma jambe par la fente qui remonte haut sur ma cuisse. Sa main glisse sur ma jambe et remonte lentement vers le compas de mes cuisses. D’instinct, j’écarte les jambes pour faciliter l’accès à cette main inquisitrice vers ma chatte. Les doigts effleurent les lèvres humides de mon petit minou, me procurant un frisson qui me remonte dans les reins. Après quelques caresses sur mes lèvres intimes qui s’ouvrent d’elles-mêmes mues par l’excitation croissante, la main quitte mon sexe avide de caresses. Nathalie vient se placer derrière moi, passe sa main droite par-dessus mon épaule et la glisse dans mon décolleté. Elle caresse doucement mon sein gauche et pince entre ses doigts mon téton qui darde déjà. Elle pose ses lèvres dans mon cou et vient me lécher le lobe de l’oreille, m’arrachant un gémissement.

— Je crois qu’un soutien-gorge sera superflu, ma petite salope. Ce ne serait vraiment pas joli avec les superbes échancrures de ta robe. Cependant, il serait bon de couvrir ces jolies jambes et cette petite chatte qui s’ouvre à la moindre sollicitation. Pour quelle occasion dois-tu porter cette robe ?— C’est pour ce soir, Madame !! dis-je timidement.— Pour une soirée mondaine ? Pour plaire à ton homme ?— Je... je ne peux pas vraiment vous le dire !! réponds-je en baissant les yeux.— C’est si honteux que ça, ma chère Stéphanie ? Tu sais, tu peux tout me dire, rien de ce qui se passe ou se dit dans cette boutique n’en sort.— Mon mari... veut... veut...— Il veut quoi ton mari ? me demande Nathalie en m’embrassant dans le cou tout en me caressant les seins.— Il veut... que je séduise mes parents pour me voir baiser avec eux !! dis-je dans un souffle, presque soulagée de m’avoir entendu le dire.— C’est très pervers, mais cela m’excite beaucoup !! Cette idée lui est venue comme ça à ton cochon de mari ?— Non, il a surpris une de leur conversation il y a quatre ans. Ils... ils disaient vouloir faire l’amour avec moi.— Et toi, tu en as envie ?— Depuis que mon mari m’en a parlé, je ne pense qu’à ça. J’en rêve même la nuit et je me réveille avec la chatte toute trempée, dis-je à Nathalie comme si elle était ma confidente depuis toujours.— Dis-moi, ils sont comment tes parents ? m’interroge Nathalie en faisant courir ses lèvres sur mon cou.— Maman a 54 ans, elle m’a eue à l’âge de 22 ans. Comme moi, elle est blonde, 1.65 m, 52 kilos, elle a les yeux bleu turquoise. Sa poitrine est un peu plus généreuse que la mienne. Elle est très sportive et entretient son corps régulièrement en salle de fitness. Elle n’a jamais travaillé, car papa est l’héritier d’une grosse entreprise d’import-export.— Et ton père, comment est-il ? me demande Nathalie en glissant une main entre mes cuisses alors que sa respiration s’accélère. Visiblement, elle est très excitée par ce que je lui raconte.— Papa à 59 ans, il a rencontré maman alors qu’elle avait 18 ans. Il était promis à une belle carrière et il a épousé ma mère quand elle a eu 20 ans. Il est grand, dans les 1,85 m je pense. Il a très longtemps fait du rugby et il en a gardé la carrure. Il est brun aux yeux noisette et je crois savoir qu’il ne laisse pas indifférent les femmes qui l’entourent au travail et dans son cercle d’amis.— Hummm, tu sais que j’ai le même âge que ta mère ! J’aimerais bien rencontrer ce couple qui pense à baiser avec leur propre fille. Ça m’excite de penser qu’ils pourraient te baiser dans cette cabine alors que je m’occupe des clientes tout près. Je vais aller te chercher de quoi porter sous cette jolie robe, ma belle !! me lance Nathalie avant de disparaître derrière le rideau de la cabine.
Je m’installe de nouveau dans le fauteuil et ma main s’égare entre mes cuisses. Je ferme les yeux et ne peux m’empêcher d’imaginer mes parents entrant dans cette cabine d’essayage. Ma mère ouvre le pan de ma robe et vient plonger son visage entre mes cuisses. Elle se met à me lécher la chatte alors que mon père me donne sa queue à sucer. En voyant ces images défiler derrière mes paupières, je me caresse doucement la chatte et je suce deux doigts de mon autre main. Je ne sais combien de temps je me suis fait du bien lorsque Nathalie refait son apparition. C’est la professionnelle qui est de retour, elle me demande de me mettre debout et de remonter le bas de ma robe sur mon ventre. Je m’exécute et elle ceint un joli porte-jarretelles en dentelle rouge autour de mes hanches. Il est relativement large et dessine de jolies fleurs sur ma peau blanche. Nathalie me pousse doucement vers le fauteuil et me fait assoir. Elle retire mes escarpins et entreprend de m’enfiler des bas.
Ce sont des bas en résilles rouges et la large bande du haut reprend les motifs floraux du porte-jarretelles. Elle accroche les bas aux jarretelles et me présente un string aux mêmes motifs sur une fine dentelle ajourée. Elle l’enfile sur mes jambes et me demande de me mettre debout pour l’ajuster sur mes hanches. Elle me demande de laisser retomber ma robe, d’enfiler mes escarpins et de marcher devant elle. A chacun de mes pas, la fente de ma robe s’ouvre et le haut de mon bas apparaît furtivement.
— Tu es très désirable comme ça, ma petite Stéphanie !! Il te faudra cependant porter des escarpins rouges pour compléter à merveille cette belle tenue !— Je pense avoir ce qu’il faut à la maison, Madame !— Tu vas faire de l’effet ce soir, ma petite salope !! dit Nathalie en s’approchant de moi pour m’embrasser.
Elle passe une main dans mon dos et me caresse le cou de l’autre, alors que nos langues se mêlent dans un fougueux baiser. Elle colle son bassin au mien et sa main me caresse maintenant les fesses. Elle a autant envie de moi que j’ai envie d’elle. Mes mains se posent sur ses seins et je défais un à un les boutons de son chemisier. Elle me pousse vers le fauteuil dans lequel je tombe avec bonheur : je vais obtenir ce que j’étais venue chercher. Nos corps se frôlent et nos langues se mélangent dans et en dehors de nos bouches. Nos mains repoussent le tissu de nos vêtements et, très vite, nous nous retrouvons nues allongées sur le tapis de la cabine. Nos doigts pénètrent nos chattes alors que nos bouches sont soudées dans un baiser interminable. Nous nous retrouvons rapidement dans la position du soixante-neuf et nos langues œuvrent sur chacune de nos vulves dans un balai des plus sensuels.
Au bout de plusieurs minutes, je pars dans un profond orgasme en entendant ma partenaire jouir bruyamment. Après plusieurs minutes à reprendre notre souffle, nous nous redressons et remettons nos vêtements. J’ai remis ma petite robe dans son sac et je quitte la boutique de Nathalie après avoir réglé mes achats sans oublier de l’embrasser langoureusement.
Il est 18h00 passé quand je rentre à la maison. Anthony n’est pas encore rentré et je vais devoir faire vite pour tout gérer avant l’arrivée de mes parents. Pour ne pas avoir à préparer quoi que ce soit, j’ai commandé à un traiteur qui devrait me livrer pour 19h00. Je dois faire vite et je file prendre une douche qui va me remettre en forme après cette journée passée à courir. J’aurais pu rentrer bien plus tôt à la maison, mais je n’avais pas envie de me retrouver face à mes interrogations. Mon corps a envie de cette soirée, mais mon esprit n’est pas prêt à ce que cela engendre. Sous la douche, je repense au corps de Nathalie tendu sous mes caresses buccales et je dois me retenir de me caresser en pensant que ce pourrait être le corps de ma mère. Après une douche salvatrice, je passe dans ma chambre et je me prépare pour la soirée. J’accroche sur mes hanches le porte-jarretelles en dentelle rouge avant d’enfiler les bas et le string assortis que j’ai achetés chez Nathalie.
Comme cette dernière me l’a conseillé, je ne porte pas de soutien-gorge et j’enfile ma petite robe noire toute neuve. Je cherche dans mon dressing et enfile mes escarpins vernis rouges aux talons vertigineux. J’ai tout juste le temps de m’admirer dans le grand miroir du dressing qu’Anthony fait son apparition dans la chambre.
— Tu es splendide ma chérie, je suis sûr que tes parents vont aimer te voir comme ça !! déclare mon mari en se collant à moi.— Je me demande encore si c’est une bonne idée, mon amour !! dis-je sur un ton angoissé.— C’est une très bonne idée que de vouloir faire plaisir à tes parents !! répond mon mari en passant sa main sur les courbes de mon corps.— Je... je me pose plein de questions !!— Tu es à moi et je veux tout faire pour te satisfaire !! Ils ont envie de toi, pourquoi ne pas leur donner ce qu’ils veulent !! Tu n’en as plus envie ? demande Anthony en me regardant d’un air sévère.— J’en ai très envie, mais je tremble de peur !!— Ne sois pas inquiète, je vais tout gérer et tu n’auras pas à le regretter !! déclare mon mari avant de quitter la chambre.
Je passe rapidement dans la salle de bain pour me maquiller et j’arrive juste à temps dans le salon pour entendre la sonnerie et réceptionner le dîner de ce soir. Je mets tout en place dans la cuisine avant de préparer l’apéritif que j’avais prévu pour la venue de mes parents. Il est 19h30 lorsque la sonnerie de l’entrée retentit. Je suis sur le point de terminer le dressage de l’apéritif et je demande à Anthony d’aller ouvrir. L’angoisse vient encore de monter d’un cran et je sens comme une boule dans le ventre qui me tord les tripes. J’entends la voix de mon père derrière moi et je me retourne pour l’accueillir.
Alors qu’il s’avance vers moi, je vois mon mari se pencher vers ma mère et lui parler à l’oreille en me regardant d’un air malicieux. Comme à son habitude, mon père Alain est élégamment vêtu. Il porte un costume bleu Roy et sa veste s’ouvre sur une chemise rose pâle. Du haut de ses 62 ans, mon père a toujours été sportif, ce qui lui permet de jouir d’un corps musclé qui pourrait faire pâlir des hommes bien plus jeunes que lui. Il arrive à mon niveau et se colle presque à moi pour me faire la bise. Un frisson me parcourt l’échine alors qu’il s’écarte déjà de moi pour laisser place à ma mère, Maryline. Elle porte, comme souvent, un tailleur de marque, mais celui-ci comporte une jupe étonnamment courte par rapport à ce que j’ai l’habitude de le voir porter. Les boutons du haut de son chemisier sont ouverts et laissent subtilement deviner la fine dentelle noire de son soutien-gorge. A 60 ans, ma mère est tout aussi sportive que mon père et son corps n’a rien à envier au mien.
Ses hanches sont mises en valeur par une taille fine et elle arbore une jolie poitrine. Maryline se colle à moi pour me dire bonjour et me fait deux bises sur les joues en me félicitant pour ma tenue. La deuxième bise a été plus appuyée et ses lèvres étaient très proches de la commissure de mes lèvres. J’aimerais y voir une invitation de sa part, mais le fait qu’elle s’écarte très vite de moi refroidit immédiatement une quelconque envie de m’alanguir contre le corps de ma mère. Nous nous installons dans le salon pour passer à l’apéritif. Ma mère se place près de moi sur le canapé alors que les deux hommes se calent dans les fauteuils. Anthony nous sert des coupes de champagne et la conversation s’engage entre nous. Nous échangeons des banalités en sirotant notre champagne accompagné d’amuse-gueules préparés par le traiteur. Les plateaux sont posés sur la table basse et nous nous servons à l’envi.
A chaque fois que ma mère se penche pour se saisir d’un amuse-gueule, elle pose une main sur ma cuisse, me faisant frissonner. Le tissu de ma robe a fini par glisser sur mes bas et la fente de la jupe s’est ouverte, laissant apparaître la lisière du haut de mon bas. A chaque fois qu’elle se penche en avant, sa main se pose de plus en plus haut sur ma cuisse, me procurant des frissons de plus en plus intenses. Maryline continue la conversation comme si de rien n’était, et mon père ne semble rien remarquer des gestes équivoques de maman. Son petit manège me trouble, mais je trouve étonnant que personne n’en remarque rien. En observant les hommes face à nous, je constate tout de même qu’Anthony fixe régulièrement sa belle-mère et semble l’encourager du regard. Je le vois même à un instant faire un petit signe de tête approbateur alors que je sens les doigts de ma mère glisser furtivement sur mon bas en direction de mon trésor caché.
Tous ces gestes sont très furtifs et pourraient sembler anodins, mais je devine qu’il n’en est rien. Je soupçonne même mon mari et ma mère d’être complices pour rendre mon corps fou d’envie.Une demi-heure plus tard, nous passons à table dans le séjour. Anthony s’empresse de placer tout le monde. Je me retrouve face à mon père et à la gauche de ma mère. Mon mari est au côté de mon père et se charge de servir le vin alors que je me rends à la cuisine pour servir l’entrée. Lorsque je reviens avec les assiettes, je fais le tour de la table pour servir et je prends bien soin de me pencher pour offrir la vue de mon décolleté vertigineux à mes parents. Le petit manège de ma mère ne m’a pas laissée indifférente et j’ai même pris une ou deux minutes pour me caresser le clitoris dans la cuisine. Lorsque je m’assois, je constate que la jupe de ma mère est remontée très haut et qu’une fine parcelle de peau apparaît au-dessus de ses bas. Je m’arrange pour que la fente de ma robe s’ouvre sur ma cuisse afin que ma mère puisse profiter de la même vue que celle qu’elle m’offre.
Tout en mangeant, la conversation se poursuit et, soudain, je sens la main de Maryline se poser sur ma cuisse. L’espace d’une seconde, je reste tétanisée et n’ose bouger la tête pour regarder autour de moi. Je sens cette main remonter lentement et je reprends mon souffle après une apnée qui m’a semblée durer une éternité. Lorsque je reprends mes esprits, la main a atteint la peau nue au-dessus de mes bas. Maryline continue à converser comme si de rien n’était. Je pose ma main sur la sienne pour stopper sa progression, mais lorsque nos regards se croisent, je lis dans ses yeux toute l’envie que lui procure cette situation. Plutôt que de stopper l’avancer de cette main inquisitrice, j’écarte les jambes et la guide vers mon sexe tout excité. Sa main caresse lentement la peau de ma cuisse et frôle ma fente humide derrière la dentelle de mon string. Le rouge me monte aux joues et je dois faire de gros efforts pour ne pas gémir devant tout le monde.
Je me ressaisis et j’annonce que je vais débarrasser pour apporter la suite. Maman enlève sa main et se lève pour m’aider à desservir.Je pars vers la cuisine et la sens juste dans mon dos. Je pose les assiettes dans l’évier et avant que j’aie le temps de me retourner, elle se colle à moi et glisse sa main vers ma chatte. Elle pose de petits baisers dans mon cou et murmure à mon oreille :
— Anthony avait raison, tu es aussi chaude que moi ma chérie !!— Comment ça : Anthony avait raison ?? dis-je en me retournant, indignée.— Ne te fâche pas, ma chérie !! Il m’a appelée il y a deux jours et m’a raconté ce qu’il a entendu entre ton père et moi il y a quatre ans. Je n’ai pas pu nier, d’autant qu’il m’a proposé de réaliser mon fantasme. Il m’a dit que tu étais prête et que tu en avais sûrement autant envie que moi.— Comment en sommes-nous arrivés là maman ? dis-je en me détendant un peu.— Avant de savoir que tu nous observais lors de nos ébats, ton père et moi avons eu quelques expériences avec des jeunes femmes. Tout a commencé avec Madison la jeune fille au pair anglaise qui a passé deux ans à la maison quand tu étais gamine. Elle me plaisait beaucoup et j’ai persuadé ton père de la séduire pour l’amener dans notre lit. Puis, j’ai attiré certaines stagiaires de ma boîte dans notre lit les années suivantes. Nous nous sommes calmés durant ton adolescence jusqu’à ce jour où tu nous as surpris dans le salon. Tu pensais que nous ne t’avions pas vu et nous n’avons rien fait pour que tu penses le contraire. Nous avons surpris ton manège à notre porte de chambre et multiplié nos ébats dans le salon. J’avais le secret espoir que tu nous rejoignes un jour.— J’ai tellement rêvé que vous m’invitiez à vous rejoindre ! dis-je en baissant la tête.— J’ai rêvé aussi que tu te joignais à nous, mais ce n’est jamais arrivé. J’ai longtemps fantasmé sur toi jusqu’au jour où Laetitia, ta meilleure amie, est venue te voir à la maison alors qu’elle nous croyait absents. Elle portait une tenue étrangement sexy pour venir voir une amie, mais j’ai su pourquoi après un petit interrogatoire, me dit Maryline en posant une main entre mes cuisses.— Nous étions plus qu’amie, maman ! réponds-je en passant une main sur son sein droit.— Je ne l’ai pas lâchée avant qu’elle m’avoue tout et je l’ai menacée de tout dire à ses parents. Comme tu le sais, ils sont très croyants et elle m’a suppliée de ne rien dire. J’ai accepté à la seule condition qu’elle me montre ce qu’elle était venue faire avec toi. Cette petite salope m’a très vite montré à quel point elle aimait les femmes et s’est laissé prendre au jeu lorsque ton père nous a rejoints. Après ce jour, elle s’arrangeait pour nous rencontrer le plus souvent possible et, même depuis son mariage, elle passe encore nous voir de temps en temps.
En faisant son récit, sa main caresse ma chatte et ma main a disparu dans l’ouverture de son chemisier pour lui caresser un sein à travers la dentelle de son soutien-gorge. Je regarde ma mère intensément et nos lèvres se joignent pour la première fois. Le récit de Maryline a terminé de m’exciter et toutes les inhibitions tombent. Cette femme n’est plus ma mère, mais une femme qui me fait très envie. Sa langue passe la barrière de mes dents et je l’accueille volontiers en répondant avec fougue à son baiser. La voix d’Anthony qui nous appelle depuis le séjour nous fait sortir de notre bulle et nous nous empressons à préparer la suite avant de rejoindre nos hommes.
Le repas se termine et je suis maintenant pressée de passer à autre chose. Après le plat, nous sommes retournées en cuisine avec maman et nous n’avons pu nous retenir de nous caresser et de nous embrasser. Bien sûr, Maryline n’a pu se retenir de me caresser la cuisse lorsque nous étions à table et je me suis même laissé aller à lui rendre ses caresses. Evidemment, tout ceci était très furtif pour ne pas éveiller les soupçons de mon père qui est le seul à ne pas être dans la confidence. Nous débarrassons enfin la table et mon corps brûle d’impatience. Je me dépêche à tout ranger dans le lave-vaisselle et lorsque je me retourne pour rejoindre le séjour, maman me bloque et me pousse contre l’îlot central. Nos lèvres s’unissent et sa main remonte fébrilement le bas de ma robe. Nos langues se mêlent et je passe mes bras dans son dos pour lui caresser les fesses. Maryline m’embrasse avec fougue et interrompt son baiser pour me dire :
— Allonge-toi ma chérie, j’ai envie de te manger la chatte !! Il y a bien trop longtemps que j’attends ce moment !!
J’en ai tellement envie aussi que ma seule réponse est de hisser mes fesses sur le bord de l’îlot central et de m’y allonger en écartant largement les cuisses. Ma mère plonge sa tête vers le fruit qui lui était jusque-là défendu et elle écarte mon string pour poser sa langue sur mon abricot tout humide. Ce premier contact m’arrache un gémissement et je pose une main sur la tête de Maryline tout en glissant l’autre dans mon décolleté pour me pincer les tétons dressés par l’excitation. La langue de ma mère fouille ma chatte et remonte vers mon clitoris alors qu’un premier doigt entre en moi. Je ne peux me retenir de gémir et je ferme les yeux tout en pinçant mes tétons érigés par une excitation hors norme. Les doigts entrent et sortent de ma chatte et la langue de ma mère court sans retenue de mon clitoris à ma petite rondelle en pénétrant au passage ma vulve. Mes gémissements se font de plus en plus sonores et je ne tarde pas à exprimer mes envies :
— Hummm, ouiii !! C’est bon... oui, oui... mange-moi la chatte !! Hummm... ton doigt dans mon cul... c’est bon !! encore... OUI !!
J’ai exprimé tellement fort mon désir que mes paroles sont arrivées comme un écho dans le séjour, attirant mon père et mon mari. Alors que ma mère s’active toujours entre mes cuisses, je sens une main se poser sur la mienne et presser mes doigts sur mes tétons alors qu’une bouche se pose sur la mienne. J’ouvre les yeux et je croise le regard de mon père qui force le passage de mes lèvres avec sa langue. Ma main qui était posée sur la tête de Maryline remonte vers la nuque d’Alain et j’ouvre la bouche pour laisser nos langues se mêler dans un baiser sensuel. La voix d’Anthony résonne dans la cuisine :
— J’espère que mon cadeau vous fait plaisir !! déclare-t-il en s’adressant à mes parents.— Tu ne sais pas à quel point nous avons rêvé de cet instant !! répond ma mère avant de replonger son visage entre mes cuisses.— Tu devrais t’occuper de ma femme !! Ça aussi elle l’attend depuis longtemps !! répond mon père en interrompant notre baiser.— Nous allons faire ça, mais nous allons nous rendre dans un lieu plus confortable.
Anthony me prend dans ses bras et sort de la cuisine en demandant à mes parents de le suivre. Il empreinte le couloir, se dirige vers notre chambre et pousse la porte du pied. Il me pose au pied du lit et me demande de me mettre à genoux. Il attire Maryline à lui, pose ses mains sur ses épaules et d’une poussée ferme l’oblige à se mettre à genoux près de moi. Tout en regardant mon père dans les yeux, il ouvre son pantalon et en sort sa queue déjà bien dressée. Il attrape ma mère par les cheveux et presse son membre contre ses lèvres. Maryline ouvre grand la bouche et engloutit la grosse queue avec gourmandise. D’un geste de la main, mon mari invite mon père à l’imiter et à se servir de ma bouche. Il ouvre à son tour son pantalon et présente devant ma bouche une queue qui n’a rien à envier à celle d’Anthony. Il m’attrape par les cheveux et présente sa queue devant mes lèvres.
Tout en regardant ma mère dévorer la queue de mon mari, je prends celle d’Alain en bouche et entreprends de lui prodiguer une fellation digne d’une professionnelle. Les deux hommes se mettent très vite à gémir tant ma mère et moi mettons de l’application à leur apporter du plaisir. C’est Anthony qui rompt la séance en sortant sa queue de la bouche de ma mère avant de lui retirer ses vêtements. Très vite, elle se retrouve en bas et porte-jarretelles avec ses escarpins à hauts talons aux pieds. Il la fait allonger en travers du lit avant de s’approcher de moi pour me faire relever. D’un geste, il fait glisser ma robe sur mes épaules. Elle tombe à mes pieds et je me retrouve dans la même tenue que ma mère. Il me fait passer sur le côté du lit et me fait mettre à quatre pattes au pied de ma mère. Il pousse ma tête vers le compas de ses jambes grand ouvert en disant :
— Je veux que tu lui bouffes la chatte !! Et toi, je veux que tu prennes ta fille !! déclare mon mari en s’adressant à moi puis à mon père.
Avant de plonger mon visage entre les cuisses de Maryline, je vois mon père et Anthony finir de se déshabiller. Je commence à manger l’abricot de ma mère qui ne tarde pas à gémir sous mes caresses. Alors que je m’applique à donner du plaisir à ma génitrice, je sens une main écarter mon string et un gland se poser sur les lèvres humides de ma chatte. Je suis tellement trempée qu’il entre en moi d’une seule poussée et le bas-ventre de mon père vient claquer contre mes fesses. Je lâche un gémissement en sentant cette belle queue m’envahir et je plonge un doigt dans la grotte toute chaude de ma mère alors que ma langue joue avec son clitoris. Anthony vient de se mettre à genoux sur le lit près de Maryline et lui propose sa queue. Je lève la tête au moment où il lui demande de le sucer et ma mère ne se fait pas prier pour avaler sa hampe tendue.
Je replonge ma tête entre ses cuisses pour déguster sa petite perle d’amour tout en subissant les assauts d’Alain qui s’active dans ma chatte. Je sens son pouce se poser sur ma petite rondelle et je pousse mon bassin vers l’arrière pour lui faire comprendre que j’aime cette caresse. Le doigt entre profondément dans mon fondement et je relève la tête pour exprimer mon consentement :
— Hummm, ouiii, papa !! C’est bon ton doigt dans mon cul !!— Tu voudrais peut-être qu’il y mette sa queue ? me demande mon mari.— Hummm... ouiii !!— Prends-lui son petit cul de salope !! lance Anthony à mon père.
Alain ne se fait pas prier, il sort sa queue de ma chatte et présente son gland sur mon petit trou qui palpite d’excitation. Il m’attrape par les hanches et plante son chibre tout au fond de mon cul m’arrachant une plainte qui se transforme rapidement en gémissements. Cette situation que je redoutais autant que je l’espérais me rend folle d’excitation. Mon mari a tenu parole et m’a offerte à mes parents qui attendaient ce moment depuis tant d’années. Je me fais défoncer le cul par mon père alors que je dévore la chatte de ma mère. Cette salope est en train de jouir sous mes coups de langue alors que mon mari se vide les couilles dans sa bouche. Je pars dans un violent orgasme lorsque je sens mon père exploser tout au fond de mon cul comme il le ferait avec une vulgaire pute, mais, cette pute, c’est moi : sa fille.
Comme s’ils avaient envie de rattraper le retard, mes parents vont s’occuper de mon corps une bonne partie de la nuit avec la participation très active de mon mari. Ce n’est qu’au petit matin que nous nous endormons après une nuit passée à multiplier les combinaisons amoureuses entre couples consentants et avides de plaisirs défendus.
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