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Steve et son histoire

Chapitre 2

Premier job

Trash
Salut, vous vous rappelez de moi ? Steve, oui Steve, tu sais le mec qui ne passe pas un jour sans baiser la gent féminine. Bah je suis de retour pour vous raconter la suite de ma vie. Alors, résumons-la, encore une fois, mais d’abord revenons dans le contexte.
Dans les épisodes précédents. Hop hop hop, avoue, t’as cru que c’était le résumé d’une de tes nombreuses séries que tu mates, arrête je sais, je te vois, ne t’inquiète pas mon grand tu en auras pour ton argent.

Dans chaque histoire, le héros vit ses aventures sans vraiment se soucier du reste et notre pauvre petit Steven ne fait pas exception à la règle, oui je sais, je suis Steven et alors j’ai bien le droit de parler de moi à la troisième personne. Et t’es qui pour me juger ? Mon histoire ! Mes règles ! Bref.
Comme je l’ai dit dans chaque histoire, le héros fait ses trucs, vous savez ce qu’il y a dans chaque histoire ? Une ellipse et oui même dans celle-là. Alors fini l’université, avançons dans le temps, direction mon premier job.

Chapitre 2 :

Ah la vie active quelle bien triste vie, tu te lèves chaque matin, te rends à ton lieu de travail, aperçois les mêmes têtes, répètes les mêmes gestes tous les jours, mais aujourd’hui, c’est un jour un peu spécial, le pot de départ de deux de nos fidèles employées, quinze ans à travailler ici. Deux quarantenaires quittant le bateau, laissant la jeune cavalerie se débrouiller seule. Alors aujourd’hui, personne ne travaille, mais tous sont venus pour fêter leurs départs. Dire que moi je veux faire une grasse matinée. Le comble vous savez c’est quoi c’est que seulement Jean-Ive devait nous quitter, mais ce gars a avoué à Solène qu’il éprouve des sentiments pour elle et par je ne sais quel miracle, elle a décidé de le suivre.
Non, mais sans blague, pourquoi diable vouloir partir avec lui ? Il est gras, petit, moche, il sent mauvais même à 7 h du mat. Sûrement la crise de la quarantaine, car je ne vois pas d’autre raison.
— Steven, eh oh Steven, tu es avec nous ? — Hein ? Euh oui JI je suis là.— Tu es sûre ? Je crois plutôt que t’es sur la lune hahaha, je te demandais si tu vas arriver à te débrouiller sans moi et So ? (Mec c’est sûr tout va être plus dur, mais si je vais plus sentir ton insupportable odeur ça me va !)— T’inquiète même pas, je vais gérer.
Il ne peut rien dire en retour, ah, c’est tellement bien quand il la ferme. Solène, c’est fait relativement belle aujourd’hui, cette petite robe d’été lui va à ravir. Elle s’est verni les ongles, elle est passée aussi chez le coiffeur vu ses boucles, de base, elle a les cheveux hyper lisses. Oh je pense qu’elle m’a vu la mater à en croire le signe de tête qu’elle me fait.
— Salut Steven.
— Salut Solène, je te sers un verre ?— Ma coupe est quasiment pleine, mais volontiers, pas tous les jours qu’un joli jeune homme me sert un verre. — Pour une jolie dame, c’est avec un immense plaisir que je le fais. — Ah oui ? Et si je te dis que cette jolie dame veut passer du bon temps avec ce jeune étalon, tu lui réponds quoi ?
Attends, quoi ? Elle me fait carrément du rentre-dedans et en plus elle sourit la garce ! Elle doit aller souvent au dentiste vu la blancheur de ses dents. Comme seule réponse de ma part, je lui agrippe le bras et l’entraîne dans le premier bureau, je verrouille la porte. On s’embrasse alors comme des amants de longue date, notre baiser est langoureux, sensuel, tendre, je sens toute l’expérience des années à travers ces lèvres et cette langue experte qui me fouille chaque recoin de ma bouche.
Je la pousse alors sur le bureau, elle envoie valser les affaires qui se trouvent dessus, elle écarte en grand ses longues jambes m’invitant à venir y déposer des baisers. Je prends ses pieds que je masse doucement, tandis que ma bouche et mes lèvres remontent petit à petit vers son entrecuisse. Sa peau est douce, Solène bascule sa tête en arrière.
Je me retrouve la tête devant son fruit défendu, caché par une fine toile de lingerie, elle a du goût la Solène, magnifique son petit string noir. Je dépose deux doigts dessus pour frotter le tissu qui est terriblement humide. Il est même tout de suite avalé par ces divines lèvres que je vois épaisse, signe de grande excitation de la part de ma collègue. Je lui retire doucement, dévoilant un magnifique mont de Vénus. De petites lèvres sortant légèrement, un petit chemin de poils montant vers son nombril. Je ne résiste pas et plonge la tête entre ses cuisses. Ma langue vient laper la mouille qu’il y a autour, puis se faufile entre les lèvres pour la recueillir à la source elle-même. Ma partenaire est aux anges vu les mielleux gémissements qu’elle fait. Si mes doigts ne lui écartent pas plus les lèvres, ils viennent caresser son clitoris qui est bien dur et hors de sa cachette. Je décide de l’aspirer, de le faire rouler avec ma langue. Ça plaît beaucoup à la belle.
— Oh, oui suce-moi bébé, bouffe-moi le clito !
Je ne me fais pas prier, je lui dévore littéralement la chatte, quand je lui suce le clitoris, mes doigts la doigtent avec force et vitesse, elle hurle presque tant ça lui fait du bien. Je remonte les yeux vers elle pour voir qu’elle se caresse les seins, les yeux fermés, je lui écarte en grand les cuisses au maximum et replonge ma bouche sur son vagin trempé de mouille. Elle mouille un peu trop à mon goût, elle ne serait pas en train de me pisser dessus ? Je la doigte avec tellement de conviction qu’elle me gicle à la gueule. Elle hurle sa jouissance. Merde cette idiote va ramener tout l’immeuble avec ses cris.
Je me redresse, la contemple alors qu’elle halète encore. Qui aurait pensé que cette bonne femme soit une aussi grosse cochonne. Elle est bien conservée pour quelqu’un de son âge, après tu me diras, elle gagne bien sa vie et avec sa prime d’ancienneté, elle doit aller souvent à la gym pour garder un tel physique. Imaginez juste une milf, bah vous avez Solène devant vous et elle est blonde.
— Merci trésor, on ne m’avait jamais aussi bien léchée, tu es un expert des cunnis.— Merci, maintenant tu vas me sucer, je veux voir comment une femme de ton âge prodigue une pipe. Et ça évitera que tu ramènes tout le monde avec tes cris.
Elle est piquée au vif vu le regard qu’elle me lance, mais elle vient devant moi, s’agenouille, enlève mon boutant, baisse ma braguette, tire mon pantalon avec tellement de force que mon caleçon descend avec. Elle fait de gros yeux en voyant ma queue bien raide pour elle, Solène se lèche les lèvres, ça doit être par pure inconscience, mais ça a le don de m’exciter encore plus.
— Mais tu as une très belle bite mon cœur, je sens que je vais me régaler.
Je ne lui réponds rien, attendant juste les sensations de sa bouche sur ma bite. Elle ne perd pas de temps, elle dépose d’abord des baisers sur mon gland, puis attrape ma queue pour me branler légèrement tout en enfonçant un peu ma queue dans sa bouche chaude. Elle me suce d’abord timidement, regarde mes réactions sur sa façon de faire, une fois qu’elle m’a cerné, elle me bouffe définitivement la bite ! Elle sait y faire, je n’arrête pas de grogner tellement elle me suce trop bien. Moi, je lui ai dévoré la chatte, elle m’a englouti la queue, j’ai la queue le plus souvent au fond de sa bouche, mon gland jouant avec sa glotte. En gros, elle me fait la totale, sucer en gorge profonde, me branler, caresser mes couilles, les aspirer, lécher toute la longueur de ma bite, se frapper le visage avec, cette femme est une vraie chienne.
— Solène arrête, sinon je vais jouir. — Je veux boire ton sperme, mais tu as raison, ne jouis pas, maintenant, je veux sentir ta bite dans ma chatte en feu.
Elle se lève et s’allonge sur le bureau, écartant au maximum ses cuisses, et se caresse la chatte en m’attendant, je me rapproche d’elle, fais coulisser ma queue sur son magnifique vagin en forme de tulipe.
— Je n’ai pas de capote.— On s’en fout ! Je veux te sentir en moi Steven, alors baise-moi !
Tes désirs sont des ordres, salope ! Je suis enfoncé en elle d’une seule traite, on lâche des gémissements à l’unisson. Mes mains lui caressent les flancs, tandis que les siennes agrippent mes fesses. On s’embrasse passionnément, ce n’est pas un baiser sauvage d’un simple plan cul, mais un baiser doux et attentionné d’un couple, ça fait bizarre de le dire. On baise je ne sais pas combien de temps en missionnaire, mais ce qui est sûr, c’est que c’est aussi bon que nos baisers.
— Steven, prends-moi en levrette, laisse-moi être ta chienne.— Putain, je te veux trop salope !
Comme un deuxième round après avoir bien récupéré, je reprend du poil de la bête. Mes va-et-vient se font plus bestiaux, plus profonds, je tape là où il faut à la vitesse qu’il faut. Solène émet que des râles, je suis obligé de lui mettre la main sur la bouche pour camoufler ses gémissements. Elle me lèche la main pour se libérer. Je lui plaque la tête de force contre le bureau. La diablesse se cambre encore plus, me facilitant encore plus de la baiser plus en profondeur, mes cuisses tapent fortement contre les siennes, je lui assène des fessées qui la font frémir. Elle va jouir, je le sens, je lui agrippe les seins qui remuent à chacun de mes coups de reins. Je lui tire fort les tétons, ça la fait gueuler.
— Merde je ne savais pas que tu es un étalon ! Si j’avais su, je ne t’aurais pas fait ça. Je regrette.— De quoi tu parles ? Je n’ai aucun regret à te baiser So.— Si tu le dis... Ah continu, oui aaa...
On baise comme ça encore un certain temps, mais toute bonne chose a une fin, alors qu’elle jouit à exploser ses cordes vocales, Solène me regarde avec ses yeux révulsés, ça me fait jouir dans la seconde et d’énormes jets de sperme viennent lui tapisser l’intérieur, je la remplis tellement que sa chatte déborde.
— Bah ça mon grand, elle doit t’avoir énormément excité pour que tu lui remplisses la chatte à ce point.
Je me glace direct, me retourne tout doucement pour voir Jean-Ive en train de nous filmer avec son téléphone et toute l’équipe qui nous regarde. Ma queue redevient direct molle et sort de Solène dans un bruit obscène.
— Je, je peux tout vous expliquer. — Ne te fatigue pas Steven, on a tout vu et entendu. — Rose (la patronne) comment ça tout vu et entendu ?— C’est simple, tu étais tellement excité de baiser Solène que tu n’as même pas vu à qui appartient le bureau, bah figure-toi que c’est celui de JI (il montre ses clés). Tu sais je ne m’attendais pas à ce que tu tombes dans un piège aussi évident, tu me déçois presque.— Quoi ? Je ne comprends pas.
Solène s’est redressée et s’est même rhabillée et a rejoint le groupe.
— En gros, c’est simple, le pot de départ est un leurre, on t’a fait croire que JI et moi on se casse pour te piéger, le plan était simple, je devais te chauffer, t’emmener dans le bureau de JI pour qu’il nous filme et avoir une preuve que t’as commis une faute grave qui te licencie sans indemnisation.— A... Att... Attends ! Tu me dis que tout ça a été orchestré ? Par qui ?— Par nous tous Steven, tu es performant dans le travail, mais t’es qu’un sale enculé de macho, tu te supposes supérieur à tout le monde, même à moi ta supérieure hiérarchique. Il fallait un motif pour te virer, maintenant, je l’ai, alors dégage de ma boîte ! — Casse-toi petite merde ! (je sais même pas, c’est qui, qui a prononcé ces mots tellement de voix étaient mélangées)
C’est comme ça que j’ai perdu mon emploi.
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