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La stoppeuse

Chapitre 2

Lesbienne
Daphné
— Tu as aimé ?— Oui, j’ai adoré, je dois même te dire que je n’ai jamais joui comme ça.— Tu as eu des mecs ?— Oui, et que ça, c’est la première fois que je fais l’amour avec une femme. — Moi, jamais, aucun mec n’a posé ses sales pattes sur mon corps.— Donc, tu es vierge.— Oui, je pense que c’est pour la vie.— Si tu y tiens, personne ne peut t’en empêcher.— C’est la vie qui en décidera.— Te voilà bien philosophe.— Si tu le dis.

Elle se tasse contre la portière et s’endort en quelques secondes, elle a ses jambes ouvertes, me laissant admirer ses lèvres humides qui m’ont donné tant de plaisir. Je réalise que je ne connais pas physiquement ses fesses, mes mains ne se sont pas promenées dessus, je me promets de remédier à ça le plus vite possible. Je passe le péage de Toulouse, elle ne se rend compte de rien, mais je commence à m’ennuyer à conduire sans personne à qui parler. Je décide de m’arrêter sur l’aire du jardin des Causses du Lot, il faut refaire le plein. L’arrêt la réveille.
— Putain, mais j’ai dormi ?— Oui, depuis un peu plus d’une heure et demie.— Il fallait me réveiller, je suis complètement nulle, tu as dû t’emmerder toute seule.— Un peu, mais je me suis dit que tu n’avais pas dormi cette nuit, que tu devais être crevée, c’est pour ça que je ne t’ai pas réveillée. Je connais les conséquences de la fatigue accompagnée de deux orgasmes.— C’est exactement ça, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit pour trouver quelqu’un, j’étais lessivée, et avec ce que tu m’as fait vivre, je me suis écroulée, merci ma chérie.— Oh là, où tu vas là, ce n’est pas parce qu’on a baisé une fois ensemble qui faut commencer à sortir les « ma chérie ».— Ne t’en fais pas, c’est une sorte de langage pour moi, j’appelle toujours les filles avec qui j’ai fait l’amour « ma chérie », et tu en fais partie maintenant, que tu le veuilles ou non, mais je te promets que ce ne sera qu’entre nous.— Ouais, je veux bien.


Je gare la voiture devant une pompe, elle sort pour faire le plein.
— Qu’est-ce que tu mets ?— Du sans-plomb quatre-vingt-dix-huit.

Je la regarde, amusée, elle prend la pompe et cherche la trappe pour faire le plein, il n’y en a pas. Elle me regarde, étonnée, je ris en faisant basculer la plaque d’immatriculation, elle rigole avec moi. Elle fait le plein. Elle met soixante et un litres d’essence, elle est stupéfaite.
— Tu as bien fait le plein quand je suis monté dans la voiture ?— Oui, pourquoi ?— Mais je viens de mettre de soixante litres d’essence pour à peine plus deux cents kilomètres.— Oui, ça doit faire dans les vingt-neuf litres aux cent, c’est normal pour elle, n’oublie pas que c’est une voiture qui a vingt ans, à l’époque, la consommation était accessoire, surtout aux US, c’est aussi pour ça que je l’amène chez un spécialiste.— Pour réduire la consommation ?— Oui, il y a moyen de la descendre à vingt litres, c’est toujours ça de gagné.— Ouais, et tu roules beaucoup avec cette soiffarde ?— Non, je ne fais que les concentrations de vieilles voitures, deux ou trois par an, dans les environs de Perpignan, ce qui fait à peine plus de mille kilomètres par an. Je pollue moins qu’un mec qui va au boulot tous les jours avec sa R cinq. Ce voyage est le plus long que je ferais avec cette voiture, mais il faut lui faire des travaux mécaniques, de sécurité et sur sa consommation.— Elle parait presque neuve quand même.— Oui, mon père l’a entièrement restaurée avec un ami avant de me l’offrir, mais il reste la partie mécanique qui n’a pas pu être faite aux alentours de Perpignan. — Il n’empêche, je n’ai jamais voyagé dans une voiture aussi confortable. — Allez, monte, je vais payer.— Je participe ou tu me laisses là.

Elle m’accompagne et paye la moitié du plein. J’ai envie de l’embrasser, mais j’ai peur que ça finisse par une énorme galoche. Nous retournons à la voiture.
— J’aimerais me changer, tu permets ?— Bien sûr.

Elle fouille dans son sac, en sort un corsage et une jupe. Elle rentre dans la voiture, enlève sa jupe et son tee-shirt, elle est nue sur le parking juste devant la boutique, deux personnes la regardent, ça n’a pas l’air de la gêner. Elle enfile sa nouvelle jupe, encore plus courte que l’ancienne, et son corsage. Elle ressort pour remettre ses anciennes affaires dans le sac. Elle entre dans la voiture et nous reprenons notre chemin. Elle se tourne vers moi, évidemment, elle m’offre sa vulve luisante. Elle a déboutonné son corsage, elle est pratiquement nue dans la voiture.
— Tu vas finir par nous faire avoir un accident, tu me déconcentres.— Peut-être, mais j’aime, tu ne pourrais pas déboutonner ton corsage, j’aimerais tant voir tes magnifiques seins ?— Tu ne crois pas que tu exagères un peu ?— Non, pas du tout, qu’est-ce qui te fait dire ça ?

Elle me sourit, je ne dis rien, mais l’idée fait son chemin dans ma tête, au bout d’un quart d’heure, ma main gauche commence à déboutonner mon corsage. Je vois qu’elle me regarde, elle sourit de nouveau.
— Tu vois, tu y viens.

Je conduis la jupe au niveau de ma taille et mon corsage ouvert dévoilant mes seins à tous ceux qui nous doublent, mais ça n’a pas d’importance, je fais plaisir à Noûr et j’en suis très heureuse. Je commence à me demander ce qui se passe entre elle et moi, pourquoi ai-je envie de lui faire plaisir, je ne la connais que depuis quelques heures. Mais la voiture recommence à avoir soif, il faut refaire le plein, nous nous arrêtons sur l’Aire des champs d’amour, je reboutonne mon corsage, pas Noûr qui reste dans la voiture. Une fois le plein fait, nous reprenons la direction de Paris. Elle vient se coller contre moi, elle me déboutonne lentement mon corsage. Elle me caresse les seins.
— Arrête, je n’ai pas envie d’avoir un accident. — OK ma chérie.

Elle abandonne ses caresses, mais reste contre moi, ce qui ne me dérange pas du tout, bien au contraire. Nous avançons tranquillement vers Paris, je remarque que certaines voitures ralentissent quand elles nous doublent.
— Tu as vu, les voitures ralentissent quand elles nous doublent, les gens admirent ta Cadillac.— Tu crois vraiment qu’il n’y a que ça qui les intéressent.— Pas vraiment non.

Nous rigolons, mais je me rends compte que ça me plaît aussi ce soudain intérêt des automobilistes, mon entrejambe est humide, heureusement que j’ai laissé la couverture. Nous entrons dans la région parisienne.
— Je t’arrête ou je peux te déposer là où tu veux.

Elle me regarde, son regard est triste, j’ai l’impression qu’elle est sur le point de pleurer. Je tends la main vers elle pour lui câliner la cuisse, elle se jette dessus et l’embrasse.
— Je n’ai pas du tout envie de te quitter, tu n’as pas envie que nous fassions mieux connaissance ?— Oui, je dois dire que moi aussi ça ne m’enchante pas de te quitter, mais je dois récupérer ma sœur et je loge chez elle ce soir et toute la semaine à venir en attendant que ma voiture soit prête. — Elle n’a pas de place pour moi ?— Je trouve que tu en demandes un peu beaucoup, tu as tes parents tout de même.— Ne m’en veux pas, j’ai flashé sur toi, je ne supporte pas l’idée de devoir me séparer de toi, s’il te plaît. — OK, je vais demander à Daphné si elle peut t’accueillir, son appartement est assez grand, elle a trois chambres, deux salles de bain, deux w.c., un immense salon salle à manger et deux balcons. Mais je te préviens, pas de conneries chez elle OK ?— OK ma chérie, je resterais sage, je te promets.

Elle retrouve le sourire, je dois dire que moi aussi j’envisage difficilement la séparation, cette fille m’a envouté, son corps me hante, ses seins, son pubis, ses fesses, tout chez elle est parfait, je n’envisage pas de m’en priver. Elle me reboutonne deux boutons de mon corsage et fait de même pour elle.
— Plus sûr sur le périph.— Entièrement d’accord.

Nous arrivons sur le périph, ça devient compliqué avec mon monstre, pas mal d’automobilistes me klaxonnent avec un grand sourire, mais mon gabarit est un peu gênant dans ces circonstances. Nous arrivons devant la boîte de Daphné, nous avons une demi-heure d’avance, il y a un troquet juste en face, nous allons boire quelque chose de frais, il fait assez chaud. Nous ne passons pas inaperçues avec nos jupes rikiki, mais ça reste correct. Je vois sortir Daphné, elle porte une robe courte assez ample sur des escarpins géants. Une femme en jupe très courte et tee-shirt moulant se précipite sur elle et l’enlace en lui faisant deux bises. Nous sortons du bar, elle me voit et se dirige vers nous, accompagnée de la femme. Je l’enlace pour l’embrasser, nous ne nous sommes pas vues depuis presque deux ans.
— Héloïse, comment vas-tu ma chérie ?— Bien, très bien, et toi.— C’est la pêche et le bonheur, je te présente Elisa, c’est ma copine, à toi je peux le dire.

Je la regarde, stupéfaite, elle ne m’a jamais rien dit à ce sujet, je la croyais avec Eric, ils se connaissent depuis plus de dix ans.
— Tu n’es plus avec Eric ?— Nous avons rompu il y a un an et demi, je me suis découvert une autre sexualité, je te demande de ne pas me juger, nous vivons ensemble depuis quinze mois, c’est comme ça et rien ne me fera changer de vie.— Oh lala, du calme, je ne t’ai jamais jugée, ce n’est pas maintenant que ça va commencer. Et puis, je te comprends très bien, c’est récent, mais je comprends ce que tu vis. C’est pour ça que tu n’es pas venu à Agde l’année dernière ?— Oui, on venait de se mettre ensemble, j’ai préféré faire l’impasse, mais pas cette année, nous y allons en août, papa et maman n’y vont pas, il a des examens au milieu du mois.— Ils ne sont pas au courant ?— Non, on verra plus tard. Tu ne me présentes pas cette jolie jeune fille qui t’accompagne ?— Je te présente Noûr, ma copine depuis dix heures, tu vois que c’est tout récent pour moi.

Quand elle entend ça, Noûr vient m’enlacer et se serrer contre moi, je la sens particulièrement heureuse.
— Tu dis ça pour me taquiner.— Non, pas du tout, je viens de découvrir avec Noûr ce qu’était l’amour avec une femme, aujourd’hui, vers huit heures ce matin, et je dois te dire que j’ai adoré.— OK, tu vas me raconter ça, mais d’abord allons à la maison, je suppose que Noûr t’accompagne.— Evidemment.

Nous rejoignons la voiture, Elisa ouvre de grands yeux devant la bête. Pas de problème de place, elles montent derrière, je démarre assez rapidement. Elles s’enlacent pour échanger un long baiser. Noûr les regarde, elle me regarde avec un sourire malicieux.
— Je crois que ma promesse ne tient plus.— Tu as raison, nous allons économiser les draps d’une chambre.

Je vois dans le rétroviseur une main de Daphné se glisser sous la jupe d’Elisa. La manière dont elle réagit au bout de deux minutes ne laisse aucun doute, elle vient de jouir. A son tour, elle glisse sa main sous la robe de Daphné, je vois qu’elle remonte au niveau des seins, la robe suit dévoilant son pubis glabre et sa peau d’un blanc macabre, ce qui m’étonne de ma sœur. Elle les caresse, mais sa main redescend entre ses cuisses qu’elle ouvre en grand. Noûr a réglé le miroir de courtoisie de sa place pour ne rien perdre de la scène, je pense que Daphné l’a vu, mais elle s’en fout. Elle avance son sexe contre la main d’Elisa, elle se donne, jamais je ne l’ai vue aussi heureuse, son visage est transfiguré, elle jouit elle aussi. Un quart d’heure plus tard, nous arrivons chez elle, elles n’ont pas cessé de s’embrasser et de se caresser sous leurs vêtements, je me demande ce qui va se passer chez elle.
Elle a un grand appartement dans le douzième intramuros, rue de Reuilly, nous avons la chance de trouver une place assez grande pour la voiture pas très loin de chez elle. Ma valise et le sac de Noûr sont assez lourds, heureusement il y a un ascenseur. Nous arrivons dans l’appartement, je me dirige avec Noûr directement dans notre chambre, on a à peine franchi la porte qu’elle se jette sur moi pour m’embrasser longuement. Quand nous nous séparons, elle me regarde.
— Alors, je suis ta copine, tu l’acceptes enfin ?— Oui, je l’admets enfin, je suis si bien avec toi.

Elle veut m’embrasser de nouveau, mais je commence par lui déboutonner le corsage et fais glisser le zip de sa jupe vers le bas. Elle se retrouve nue devant moi, elle me regarde et tourne sur elle-même doucement. Je me recule, j’ai devant moi une magnifique fille de dix-huit ans, intégralement bronzée avec des seins merveilleusement beaux, fermes, hauts, toniques, un ventre plat finissant sur un pubis bien bombé et glabre. Des fesses d’enfer et des jambes interminables. Un canon qui vient vers moi, elle tend les bras, je me laisse faire, ma jupe et mon corsage rejoignent les siens. Ses mains glissent sur mon corps, mes mains glissent sur le sien en insistant sur ses fesses que je découvre tactilement. Je finis par me coller sur son corps et nous échangeons un nouveau baiser plein d’amour, seins à seins, ventre à ventre, je suis électrisée par ce contact avec sa peau.
— On vous attend les filles, c’est l’heure de l’apéro.

Je me dirige vers la porte, elle me regarde, étonnée.
— Ici, c’est à poil, n’oublie pas que nous sommes naturistes, nous avons vécu toute notre vie pratiquement tout le temps nues, on ne s’habillait que pour sortir. Chez mes parents, mes grands-parents, mon oncle et ma tante, tout le temps à poil. Suis-moi.

Nous arrivons dans le salon pour y trouver Daphné et Elisa nues, blanches comme des linges.
— Tu vois, je te l’avais dit, il ne lui est même pas venu à l’idée de venir habillée, c’est comme ça chez nous. — Tu as bien parlé d’apéro, je ne vois pas beaucoup de verres ou de bouteilles sur ta magnifique table basse.— Ne t’en fais pas et asseyez-vous, j’arrive.

Elle va vers la cuisine accompagnée d’Elisa. Elles reviennent très vite avec une bouteille de champagne et des flutes.
— Et c’est pourquoi tout ça ?— Nos retrouvailles, ça fait deux ans qu’on ne s’est pas vus, ça se fête.

Je me lève pour enlacer ma sœur, je suis assez émue, c’est vrai qu’elle me manque à Perpignan depuis qu’elle est partie pour la capitale, en fait, l’étranger, elle a quitté la Catalogne !!! une sorte de trahison pour notre père.
Nous nous asseyons, la soirée démarre bien, je peux regarder Elisa. Elle est moins grande que nous, Daphné ne fait qu’un centimètre de moins que moi, et Noûr est assez grande, mais elle a un corps merveilleusement proportionné, beaux seins, belles fesses, ventre plat, pubis bombé sur un sexe discret, seulement, elle est blanche comme un cachet d’aspirine, comme Daphné.
— Dis-moi sœurette, il y a combien de temps que ton corps n’a pas vu le soleil ?— Deux ans, je suis en manque de vitamine D, mais nous allons nous rattraper cet été. Je dois dire que quand je vous vois toutes les deux, j’enrage.— Il n’y a pas de centre naturiste en Ile de France ?— Oui, bien sûr, mais ce qui manque le plus, c’est le soleil.— Il ne faut pas exagérer tout de même.— C’est vrai, mais c’est trop compliqué et excessivement cher.

Après l’apéro, petit repas préparé la veille par Elisa qui est cuisinière dans un restaurant parisien, elle ne travaille que le matin jusqu’à seize heures, ce qui lui laisse la soirée de libre avec Daphné. Après le repas, tout le monde au lit, nous n’attendions que ça.
Une fois dans la chambre, Noûr me prend dans ses bras.
— Maintenant, c’est moi qui commande, laisse-toi faire, je te promets que tu ne le regretteras pas.— Je suis à toi ma chérie.

Elle me sourit et m’allonge sur le lit, elle m’ouvre un peu les jambes, je me laisse faire, je sais que je vais jouir comme jamais je n’ai joui, c’est une évidence, les femmes savent mieux faire jouir les femmes. Elle commence par s’allonger sur moi, ses seins sur mes seins, son pubis sur mon pubis, sa bouche sur ma bouche. Nos langues s’amusent entre elles, mes mains glissent sur son corps en insistant sur le bas de son dos. Je sens mon sexe s’humidifier comme jamais, c’est la première fois de ma vie que je ressens une telle envie de me donner à une personne. Elle abandonne ma bouche et glisse le long de mon corps, sa bouche se pose sur mes seins, mes côtes, mon ventre, mon mont de Vénus, le capuchon de mon clitoris, mes lèvres intimes. Sa langue se déchaîne sur mon sexe, périnée, vagin, urètre, petites lèvres qu’elle mordille, clitoris qu’elle titille par intermittence.
Elle m’amène au bord de l’orgasme pour abandonner et me faire redescendre, je ne cesse de passer par des hauts et des bas jusqu’au moment où je ne peux plus le supporter.
— Je t’en prie ma chérie, fais-moi jouir, je vais mourir de frustration.

Elle attend encore quelques secondes avant de plonger sur mon clitoris et de me faire exploser dans un gigantesque orgasme, je ne suis plus rien que poussière dans l’infini de l’espace, je vole, je plane, mon corps n’est qu’une plume ballotée au gré des vents. Je veux rester dans cet état toute ma vie, jamais je n’ai été aussi bien, aussi heureuse, jamais je n’ai senti mon corps aussi présent, entièrement, complètement. Je suis dans un autre monde où n’existe que le plaisir. Elle remonte le long de mon corps, je la sens sur moi, sa bouche vient prendre la mienne. Sa langue se faufile entre mes dents pour venir faire l’amour avec la mienne. Elles s’aiment passionnément pendant un long moment. Quand je réalise enfin que je suis vivante, je suis sous son corps, inerte, abandonnée à cet être qui me donne tant de joie.
— Toi aussi tu t’y mets.— A quoi ?— Tu m’as appelée ma chérie.— Oui ma chérie, je t’ai appelé ma chérie.

Elle me serre dans ses bras en m’embrassant fougueusement. Mes mains glissent sur ses fesses, j’adore sentir cette masse de chair ferme sous mes doigts. Elle se laisse aller sur le côté, pivote et me remonte dessus. Je lui agrippe les fesses pour venir coller son sexe sur ma bouche. Elle pose ses lèvres sur mon sexe. Nous nous bouffons le sexe mutuellement. N’ayant pas d’expérience, je lui fais tout ce qu’elle me fait. Nous arrivons à l’orgasme, mon corps est une nouvelle fois transformé en objet volant.
Quand je la sens plus détendue, je veux de nouveau lui donner du plaisir avec ma bouche, mais elle glisse le long de mon corps, nos sexes se retrouvent l’un au-dessus de l’autre. Elle avance encore un peu et glisse une jambe sous une des miennes. Je la replie, elle revient vers moi, nos sexes se collent l’un à l’autre. Je suis traversée par un éclair, je ressens un immense plaisir à sentir la chair molle de ses lèvres contre la chair molle des miennes. Elle bouge son bas-ventre, nos sexes se frottent, s’unissent, nos clitoris se touchent de temps en temps, elle roule sur elle-même m’entraînant dans une ronde de plaisir. Je jouis la première, mais je continue jusqu’à ce que je sente son corps se raidir. Quand nous sommes toutes les deux plus calmes, elle se retourne et se love contre mon corps, elle m’enlace, nous échangeons un long baiser, serrées l’une contre l’autre. La nuit n’a été qu’une succession d’orgasmes jusqu’à trois heures, nous nous sommes endormies dos à dos, fesses à fesses.
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