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Succube

Chapitre 5

Hétéro
5 – Et c’est reparti comme en 40 !
Depuis qu’elle s’était réorganisée, sa vie avait repris comme avant. Elle couchait avec son médecin deux fois par semaine, revenait chez elle après le boulot en taxi avec un chauffeur différent par jour qui se faisait payer en nature, soit dans la voiture, soit chez elle et parfois elle commandait une pizza, des sushis ou un plat à emporter chez divers restaurant faisant de la livraison à domicile pour se taper le livreur. Et tout ça sans compter ses achats par correspondance livrés par coursiers, le plombier, l’électricien, j’en passe et des meilleurs.
Ça marchait super bien. Ça marchait tellement bien qu’elle avait ce qu’il fallait pour intervenir tous les soirs et à fond. Là par exemple, elle était en train de courser un jeune en scooter qui venait d’arracher son sac à une femme. Voulant la semer, le voleur s’était engouffré dans de petites ruelles pour tenter de la semer. Avec le temps, en s’entraînant et avec le carburant nécessaire, Succube était parvenue à augmenter sa vitesse de course atteignant presque les 100 km/h. autant dire que ce jeune à scooter n’avait aucune chance. Elle le rattrapa, le dépassa, fit demi-tour pour le faucher au passage et l’immobiliser par terre alors que son bolide partait finir sa course contre un mur. Elle l’assommât, le ligotât et le déposa à poil devant un commissariat avec « Je suis un voleur de sac à main » écrit au rouge à lèvres dans le dos. Ensuite il ne lui restait plus qu’à rendre le sac à l’adresse de la personne si ce n’était pas loin. Sinon, elle le laissait avec le voleur devant le commissariat ou la gendarmerie. Les flics se chargeront ainsi de faire le boulot.
Il était évident que sa source principale d’énergie était son médecin traitant. Toutefois, tout n’a pas été tout rose au début. Elle avait du le recadrer et surtout lui mettre les points sur les « i ». Il était tellement fougueux et enthousiaste de pouvoir coucher avec cette patiente qui lui faisait envie qu’il pensait pouvoir en faire ce qu’il voulait.
C’est lors de sa première consultation à domicile qu’elle a établie les règles. Elle venait de rentrer chez elle après avoir sucer le chauffeur de taxi qui l’avait ramené, que le téléphone sonna.
— Bonsoir, c’est Gilbert.— Ah salut comment tu vas ?— Bien. Dis moi t’es chez toi là ? Parce que suite à la consultation qu’on a eue, je n’ai pas pu t’examiner « dans les détails ». Je me demandais si je pouvais passer.— Pas de problème. Tu as mon adresse ?— Evidemment.— Je t’attends alors.
Dès qu’elle lui a ouvert la porte, il se tenait devant elle avec un sourire coquin jusqu’aux oreilles en disant « Bonjour, Je viens pour la consultation. ». A peine avait elle refermé la porte qu’il se jetait sur elle, la plaquant contre le mur, l’embrassant à pleine bouche, une main qui remontait sous son chemisier jusqu’à sa poitrine et l’autre, ayant défait le bouton du pantalon, qui s’immisçait dans sa culotte.
— Eh ! mais doucement. T’as la dalle ou quoi ?— Tu m’excites tellement …. Et puis j’ai pris mon viagra avant de venir je ne veux pas en perdre une miette.— Pas la peine d’y aller aussi fort. Viens on va dans ma chambre.
Elle le mena jusqu’à sa chambre ou il n’a pas perdu de temps pour virer son costume et elle se mit à genou devant lui. Pas besoin de décrire pourquoi faire ? Tout le monde à compris ? Plus elle le suçait, plus elle sentait son membre gonfler. Elle savait qu’il n’y avait pas qu’elle qui le stimulait comme ça mais quand même. Non seulement il bandait comme un taureau mais en plus on aurait dit qu’il en avait l’attribut. Elle arrêta de sucer pour s’allonger et écarter les cuisses. Il lui montra qu’il savait se servir de sa langue autrement que pour parler et après l’avoir bien préparé, il la pénétra vigoureusement. Toutefois Gaëlle senti qu’il y avait un problème quand il a commencé à la besogner.
— Euh Gilbert …. Ôte-moi d’un doute …. T’as bien mis une capote ?— Non pourquoi ?— Pourquoi ? Tu oses me dire ça ? Toi un Médecin ?— En tant que toubib je sais comment on fait les gosses mais aussi comment on ne les fait pas et puis je te suis depuis un moment et je sais que tu es clean. Comme je suis marié, que c’est la première fois que je couche avec une autre, ….— N’essaye pas de m’embobiner. Tu mets ça tout de suite ou on arrête. Lui dit-elle en lui tendant le préservatif qu’elle venait de sortir de la table de nuit.— Tu ne vas pas m’en faire un fromage ?— T’auras le droit de me toucher sans capote uniquement quand on aura fait le teste.— Tu fais chier sérieux. Bon file moi ça. ……. Bordel mais comment vous faites les jeunes pour baiser avec ça …. Putin, je n’arrive pas à la mettre …. Ah si ça y est. Je me sens serré la dedans. Bon je te plais comme ça ? On peut y aller ?— Oui là tu peux me faire tout ce que tu veux.
A partir de là, il s’est lâché vraiment. Il l’a prise dans plusieurs positions en poussant des gémissements rauques. Gaëlle sentait l’énergie sexuelle de son partenaire affluer de partout. Son excitation était très fortes, aussi forte que la taille de son engin qui dépassait largement la moyenne. Grace à la pilule qu’il avait prise et avec son expérience il savait comment la travailler sans allez jusqu’à la jouissance. Ainsi il maintenait son érection le plus longtemps possible.
Alors qu’il la prenait en levrette, il s’arrêta un moment pour reprendre son souffle.
— Attends … fiouu !…. Dis, ça te dérange si je change de trou ?— Non va z y fais toi plaisir. — C’est vrai ? Yes ! — Pourquoi un tel enthousiasme ?— Ma femme m’a toujours refusé la sodomie. On a essayé une fois, elle a eu mal. Elle m’a dit que j’étais trop gros pour elle et qu’elle ne voulait plus retenter l’expérience.— C’est vrai que ça fait mal au début mais faut dépasser ça. Moi je l’ai fait et c’est aussi bon que le reste. Elle ne sait pas ce qu’elle rate.— Ça veut dire que je vais pouvoir t’enculer quand je le veux ?— Absolument ! Autant de fois que tu veux.— Oh purée ! Quand je pense qu’à un moment j’ai eu des scrupules à tromper ma femme …. J’en ai plus du tout maintenant. Allez c’est parti ….. Ah, On dirait que je ne suis pas le premier à passer par là.— … Non j’ai déjà eu de la visite mais arrête de parlé s’il te plait et mets toi au boulot.— A vos ordres mon capitaine.
A partir de là, à chaque rendez vous, elle y avait droit. Elle avait bien compris que ce serait pour lui une plus grande source d’excitation et de plaisir et par conséquent, une plus grande source d’énergie sexuelle pour elle. Quand ils ont reçu les résultats du teste et qu’ils ont enfin pu le faire sans protection, le carburant qu’elle absorbait quand elle sentait l’éjaculation de son partenaire se faire, en était augmenté. Avec lui, elle avait gagné le jackpot. Du coup ses capacités s’en sont retrouvées renforcés.
Un jour, elle est retournée voir Maria, son indic, pour leur rendez-vous hebdomadaire. Elle y apprit que la collègue qui avait tapé dans l’œil du chauffeur de taxi qui lui faisait le plein avant, avait arrêté le trottoir. Elle s’était installée chez lui et s’occupait de son homme au quotidien. Tant mieux.
Grace aux renseignements de Maria et de son réseau, Succube parvenait à résoudre des affaires que les flics soit laissaient tomber par manque d’intérêt, soit qu’ils n’y arrivaient pas à cause des lourdeurs administratives. Ça devait être pour ça qu’ils la laissaient faire. N’étant pas assujettie aux même règles, Succube pouvait agir en dehors des sentiers battus.
C’est ainsi que, par exemple, elle a pu faire arrêter des hauts fonctionnaires de l’administration qui s’adonnait à tout genre de trafic et malversation. Chose que la police n’aurait jamais pu faire à cause des relations des personnes incriminées.
Même si elle voulait rester discrète, tous ces exploits ont fini par la rendre célèbre malgré elle. Sur internet, des photos et des vidéos d’elle en pleine action circulaient déjà. On la voyait courir très vite, soulever l’arrière d’une voiture, défoncer des petits malfrats, … Et le tout filmé avec des Smartphones et posté sur les réseaux sociaux et les sites de Streaming. Heureusement pour elles, toutes ces vidéos n’étaient pas de très bonne qualité. Ça plus son masque et le fait qu’elle se faisait une couleur de cheveux différente pour chaque sortie faisait qu’on ne la reconnaissait pas.
Un soir où elle était allée voire Maria, elle apprit qu’un petit groupe de jeunes loups préparait un cambriolage dans une bijouterie. Les quatre abrutis avaient payés à prix d’or les services de maria et de ses collègues et s’était étalés en parole sur leur projet. Elle n’avait pas pu avoir l’adresse de la bijouterie mais l’un d’eux avait lâché le quartier en lui promettant un petit cadeau plus tard, alors qu’il s’affairait entre ses cuisses. C’est fou ce qu’on peut lâcher sur l’oreiller.
Gaëlle rentra chez elle pour faire quelques recherches sur internet et y trouva la fameuse bijouterie. Durant plusieurs nuits, elle campa sur le toit attendant que le groupe arrive. Quand elle les a entendus, elle s’est rapprochée. Ils sont entrés par derrière (comme avec Maria et ses copines) et ont neutralisé l’alarme.
Quand elle les a vues, Succube a hésité avant d’intervenir. C’est qu’ils étaient bien armés les bougres. Heureusement depuis sa mésaventure dans le labo pharmaceutique où était fabriquée une drogue surpuissante (voir chapitre 3), elle avait pris les devants. Elle n’était plus vêtue d’une simple combinaison de cuir. Elle y avait incorporé des renforts de kevlar pris sur un gilet par balle endommagé, gilet qu’elle a récupéré, et qu’un CRS avait du abandonner après avoir reçu un cocktail Molotov lancé par des casseurs lors d’une manif étudiante. Elle s’était également équipé de genouillères de coudières et avait incorporé sur ses bottes et ses gants, des tiges d’acier lui permettant de parer n’importe quels coups. Tout ça ajouté avec les cours de self défense qu’elle avait prise, le carburant qu’elle avait récupéré avec son toubib qu’elle avait fait venir pour un rhume, le chauffeur de taxi qui l’a enculé dans une ruelle plus le livreur de pizza qui lui apportait son dîner, elle avait de quoi voir venir.
Elle commença d’abord par assommer celui qui faisait le guet dans le camion. Puis se débarrassa, un par un, des deux gars qui étaient chargés de vider le stock et la boutique. Avec le temps, elle avait bien compris que foncer en jouant des biscotos était dangereux. Même si elle avait de quoi les broyer au sens propre, elle préférait s’économiser. Une mauvaise surprise est si vite arrivée. D’ailleurs en parlant de mauvaise surprise, elle allait en avoir une. Pensant s’être occupé de tout le groupe elle n’avait pas entendu les deux hommes qui étaient dans la chambre forte. Salle qui était insonorisée et dont les parois avaient été renforcées et sécurisées. C’est alors qu’elle appelait les flics pour qu’ils viennent faire le ménage quelle entendit les cliquetis de deux revolvers. Bon … C’était le moment de vérité. Le moment de voir si son entrainement avait portés ses fruits.
— Qu’avons-nous là ? La Succube. Plutôt bandante comme fille. Je ne sais pas s’il faut faire feu ou si faut tomber amoureux hehehe ! …— Si tu veux passer un bon moment avec moi, on doit bien pouvoir se trouver un coin tranquille.— Tu te fous de ma gueule ? On ne va prendre aucun risque. Feux à volonté ! dit-il à son collègue.
Comme sa dernière expérience face à une arme à feu, elle voyait des traînées sortir de leurs armes. Sauf que cette fois, elle distinguait aussi les balles et elle semblait arriver sur elle à allure réduite. Il y en avait trop pour pouvoir les éviter toutes alors elle les attrapa avec ses mains. Heureusement qu’elle avait des gants ignifugés car les balles étaient brûlantes à cause de leur rotation et du frottement dans les canons des armes. Imaginez la scène : deux voleurs vidant leur chargeur sur la succube qui, elle, interceptait les projectiles avec ses mains, devant eux à la façon de la princesse amazone héroïne de comics avec son lasso magique et ses bracelets d’acier jusqu’à ce que leurs chargeurs soient vides (non sans mal, il lui fallait rester concentré). Quand eux se sont retrouvés à sec, elle était fière car elle avait inversé le rapport de force tout en optimisant sa consommation d’énergie.
— Alors les mecs, on est en panne ?— La salope ! mais comment elle fait ? — Facile, je les vois arriver. Maintenant c’est à moi de vous faire une petite démonstration.— Vite recharge dit l’un à son collègue.
Alors que l’un se rechargeait, elle lui immobilisa le bras et le bloqua par terre. Pendant ce temps là son complice, pris de panique, parti en courant emportant avec lui un des sacs de bijou. Après avoir neutralisé le premier elle poursuivi le deuxième qu’elle aperçu au loin braquer un taxi et intimant l’ordre au chauffeur de rouler. Heureusement qu’elle en avait encore sous la pédale. Connaissant assez bien la ville, elle connaissait certain raccourci. Depuis le taxi, elle entendait le ravisseur menacer son chauffeur qui s’arrêtait au stop et au feu rouge. Il prétextait que c’était pour mieux passer inaperçu. Dans le ton de sa voix, Succube compris que c’était surtout pour lui laisser le temps de les rattraper sachant le Taxi plus rapide qu’elle. Ainsi elle pouvait compter sur une relative complicité du chauffeur qui semblait avoir deviné que son ravisseur avait été dérangé par la super héroïne locale.
Elle les a suivi jusqu’à un échangeur qui donnait sur le périf. C’était l’endroit parfait pour une interception car la voiture allait passer sous un pont. Succube se positionna au dessus et sauta depuis le pont sur le taxi. Le choc mis à mal les suspensions. Le ravisseur pris de panique tenta de donner de grands coup de volant pour faire tomber la succube qui s’accrochait au capot mais tout ce qu’il a gagné c’est d’envoyer le taxi dans un fossé rempli de broussaille. Elle le fit sortir, le bâillonnât et lui brisa les rotules pour qu’il ne puisse s’échapper. Pendant ce temps là, dans le taxi, le chauffeur tremblait. Succube le connaissait car il faisait partie de ses nouveaux fournisseurs d’énergie.
— S’il vous plait ne me faites pas de mal, je suis innocent. C’est lui qui m’a braqué. J’ai une femme et des gosses et ….— Arrêtez de chialer je ne vais rien vous faire. Au contraire, je vais vous aider. J’ai bien compris que vous ralentissiez exprès.— Ah ? Ça s’est vu ?— Oui et sans ça, je ne serais jamais parvenu à vous rattraper. Merci.— Bah c’est plutôt à moi de vous remercier.— Bon je vais remettre votre bagnole sur la route et vous allez pouvoir repartir.
Succube parvint à soulever l’avant de la voiture et à faire pivoter la voiture de manière à la remettre sur la route sous les yeux médusés du chauffeur devant l’exploit.
— Whaouh ! Impressionnant. J’ai un cousin vigile dans un magasin électroménager qui m’avait parlé de vous pour vous avoir vu en action. Je dois dire que c’est impressionnant …. Ça va ? Vous n’avez pas l’air bien.— Ce n’est rien, j’ai juste besoin de reprendre des forces, j’ai tout donné ce soir.— Si vous voulez, …. je peux peut-être vous aider. D’après le récit de mon cousin qui vous a vu guérir d’une blessure après que vous l’ayez, disons, soulagé avec la bouche plus ce que j’ai lu sur le monstre de la mythologie dont vous portez le nom, vous devez visiblement tirer une certaine force de rapport sexuel. dit-il en baissant son pantalon.— Je vois qui est votre cousin …. J’avoue que la proposition me surprend étant donné que vous n’êtes pas célibataire. Mais vous êtes grand vous savez ce que vous faites. Je ne me contenterai que d’une petite pipe.— Pas de problème. Et Faut pas s’en faire pour ma femme, on est un peu libertin sur les bords. Je sais qu’elle a déjà fait la même chose pour payer le plombier moins chère une fois.
Elle se mit à genou et récupéra ce qui lui fallu pour repartir. Durant ce délicieux moment, le chauffeur l’informa qu’avec ses collègues, ils entendaient parler de ses exploits et que beaucoup admirait ce qu’elle faisait. Certain étaient même prêts à jouer les indics pour elle. C’est bon ça ! Après les putes, les chauffeurs de taxi, parfait. Visiblement, il ne l’avait pas reconnu du coup, ils ont convenu d’un lieu et d’une heure de rendez vous comme pour Maria. Ainsi, une fois par semaine elle aurait les infos sur ce qu’il se passait en ville, des infos non officielles.
Avec tous ces informateurs, Succube pouvait savoir dans les grandes lignes ce qu’il se passait en ville. C’est comme ça qu’en quelques années, elle a pu arrêter une prise d’otage, de nombreux cambriolages, … Sa plus grande fierté aura été de détruire une fausse association d’aide à l’adoption d’enfant pour couples aisés. Si la femme était stérile mais pas l’homme, il lui était proposé de coucher avec une des filles qu’ils séquestraient et neuf mois plus tard : Coucou bébé. Ils se servaient aussi de leurs filles en tant que mère porteuse quand madame ne voulait pas le porter elle-même. Il n’était pas rare que le personnel masculin abuse de certaines filles « en jachère ». Les enfants ainsi conçus étaient proposé à l’adoption à ceux qui pouvaient payer. Autant vous dire que succube, folle de rage a tout détruit et aujourd’hui les responsables sont en prison où ils essayent encore de faire des enfants avec leur compagnons de cellule… sauf que cette fois ils tiennent le rôle de la femme. Autant vous dire que l’accouchement risque d’être assez « merdique ».
Succube était parvenue a parfaitement concilier ses deux vies parallèles avec plus ou moins de succès. Elle en était contente mais avec les années, elle voyait son entourage avec des familles qui émergeaient et commençait à se demander si un jour elle aussi allait en avoir une et surtout si elle arriverait à faire coexister une vie de famille avec ses activités héroïques. D’autant que si elle se trouvait un mec, il allait surement devoir faire des concessions : dire adieu à ses amants ou à ses activités nocturnes …. A moins qu’il soit super performant pour les compenser ou alors qu’il soit conciliant pour qu’elle aille faire le plein ailleurs avec d’autres mais elle n’y croyait pas trop.
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