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Sue Hélène

Chapitre 3

Hétéro
Luce
Nous avons marché pendant une petite heure, Luce est tellement impatiente d’arriver chez elle qu’elle a écourté la ballade. Nous arrivons chez elle, c’est un appartement de quatre pièces, assez grand dans le huitième arrondissement. Il est meublé avec goût et sobriété.-Dis donc, tu as un super appartement dans un super quartier, comment tu fais ?-C’est très simple, cet appartement appartient à mon frère qui est ingénieur dans une énorme multinationale du pétrole. Il gagne très bien sa vie et encore plus et n’est jamais là. Il est toujours en off shore et peut mettre de côté tout son salaire de base qui est très conséquent. Comme il veut une présence, je suis la gardienne du temple et ça me plait bien. Viens voir ma chambre.Nous entrons dans une immense chambre, avec au centre un très grand lit rond.-Voici le théâtre de mes exploits, un lit de deux mètres de diamètre avec tous les accessoires à porté de mains.En effet, le lit est posé sur un meuble rond un peu plus grand que lui, avec des coffres tout autour. Luce ouvre un de ces coffres et en sort un énorme godemichet, un vibromasseur, des boules de geishas et j’en passe.-Il y a plein de coffres qui contiennent tous des sex-toys, j’aime m’amuser avec quand je suis seule.-On peut aussi s’amuser avec à deux.-Bien sur. Et si on passait aux choses sérieuses ?Elle se jette sur moi et commence à me déshabiller en me faisant tourner sur moi même. Je suis très vite à poil. Je me retourne, m’approche d’elle et je lui déboutonne son corsage, enlève son soutient gorge, sa jupe et son string. Nous voici tous les deux nus au milieu de cette immense chambre. Elle me prend par la main et m’entraine vers une autre pièce. C’est la salle de bain. Encore une pièce hors normes, deux vasques, une grande douche et une immense baignoire encastrée dans le sol avec jets de massage.-J’ai envie de prendre un bain avec toi, ça te plairait ?-Bien sur.Elle s’accroupie pour ouvrir les robinets et faire couler l’eau. Elle se retourne vers moi, m’attrape les hanches, me tire vers elle et me gobe le sexe. Je ne bande pas mais l’effet est immédiat et ma bite se redresse doucement. Une fois bien raide, elle se lève, me plaque contre le mur carrelé, soulève une jambe et s’empale sur ma queue. -Cette fois ci, je veux sentir ta bite sans latex. Je sais que je ne crains rien de toi, j’en ais la conviction, je veux te sentir en moi, et sentir ton sperme gicler dans mon antre.Je me laisse aller, ce n’est pas dans mes habitudes, mais je ne sais pourquoi, je suis moi aussi convaincu que je ne court aucuns risques. Luce se déchaîne sur mon sexe, m’embrasse passionnément, sa langue danse dans ma bouche, ses mains me caressent tout le corps et soudain elle renverse sa tête en arrière, ferme les yeux et pousse un grand cri de joie.-AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHRRRRRRRRElle joui toujours aussi bruyamment, elle me sert à m’en étouffer, ses seins me transpercent le torse tellement les tétons sont durs. Petit à petit, elle se calme, ouvre les yeux, me sourit et pose sa tête sur mon épaule.-Hum, c’était très bon, mais j’aimerais explorer d’autres horizons, suis moi.Nous allons dans une petite pièce à côté, il y a une sorte de vasque positionnée assez bas avec un mitigeur, et au bout du tuyau, une sorte de grosse seringue arrondie au bout avec des trous sur presque toute la longueur.-Voici mon nécessaire à lavement.Elle s’assoie en écartant les cuisses sur la vasque, ouvre les robinets et s’introduit la seringue dans l’anus. L’eau qui coule de son fion n’est pas très claire au début, mais rapidement tout est limpide.-Voila, je suis nickelle, à toi.-Tu y tiens vraiment.
-Ne me dit pas que tu n’as jamais utilisé ton cul pour ton plaisir, je ne le croirais pas.-Oui bien sur tu as raison, et en plus j’aime ça.-Si tu veux qu’on s’amuse dans le bain, il faut avoir le cul propre.Je m’accroupie donc sur la vasque et je me fais un lavement en règle. Une fois fini, nous retournons à la salle de bain.Nous entrons dans la baignoire et nous nous allongeons côte à côte sur les supports anatomiques. Luce met les jets d’eau masseurs en route et je savoure cette sensation rare d’être massé par des bulles d’eau. Nous restons immobiles pendant un certain temps, mais Luce est une affamée et elle me demande de me mettre sur le côté. Je remarque alors une grosse boite à côté de la baignoire. Elle l’ouvre et en sort un godemichet d’une taille respectable. -Pour toi ou pour moi ?-Tu n’en n’as pas des doubles ?-Oui, tiens regarde.Elle sort un gode à double gland d’au moins 5 cm de diamètre et 40 de long.-Pour moi ça va, mais toi, tu peux le supporter ?-Ne t’en fait pas, je prends du 8 à 9 cm de diamètre.-Ok, on y va, sort de l’eau.Elle me badigeonne le fion avec un gel silicone, s’en met aussi et présente un des glands sur ma rondelle. Elle appuie doucement et le gland écarte ma rondelle pour se frayer un passage dans mon cul. Elle présente son cul sur l’autre gland et s’empale doucement dessus. Nous redescendons dans l’eau.-Putain que c’est bon de se faire défoncer le cul avec un tel engin.-A qui le dis-tu ?Nos fesses se touchent, nous avons chacun 20 cm de l’engin dans le fion. Elle commence à faire de va et vient, mais le gode ne bouge pas dans son cul, il n’y a que moi qui ressente ses va et vient. Je me saisie du gode pour l’immobiliser et nous faisons chacun des va et vient dessus. Je sens monter en moi une onde de plaisir, mais c’est Luce qui part la première dans un orgasme bruyant comme à son habitude. Je suis tellement pris par ses hurlements que je suis déconcentré et que le plaisir que je sentais monter s’évanoui. Je reste sur ma fin, mais Luce s’en rend compte, se libère du gode et s’en saisi pour me pistonner à mort. Cette sensation de ce mandrin qui va et vient dans mon fion sous l’eau me fait partir en un rien de temps. Luce ne voulant rien laisser se perdre, se penche sur ma bite, plonge sa tête sous l’eau, me gobe la bite et avale tout le foutre que je lui balance dans la bouche. Elle ressort sa tête de l’eau et vient m’embrasser.-On est bien non ?-Très bien, excellemment bien.-Je peux rester des heures comme ça, allongée dans l’eau avec les bulles qui me massent, j’arrive même à jouir si les bulles passent là ou il faut.Luce se retourne et vient sur moi, son corps, souple, épouse les formes du mien, elle reste là, immobile, la tête sur une de mes épaules et ferme les yeux. Je pose mes mains sur ses fesses, les caressent doucement en remontant un peu sur son dos. Je sens ses seins sur mon torse, son pubis plaqué sur le mien et ses mains sur le bord de mes épaules. Sa respiration se calme petit à petit et je sens qu’elle se laisse aller au sommeil. Je continu à la caresser doucement, légèrement pour ne pas la réveiller. Cela dure une demi-heure. Je suis bien, j’adore ce genre de bain bouillonnant et je savoure le moment.
Luce émerge doucement de sa léthargie, pose ses lèvres sur les miennes et me fait un petit baiser.-Je pense que nous sommes assez restés dans l’eau, j’ai envie de m’allonger sur le lit. Tu viens ?-Bien sur que j’arrive.Nous sortons du bain bouillonnant, elle coupe les jets et me tend une serviette.— Essuie-moi s’il te plaît.Je prends la serviette, et commence à l’essuyer, évidement, j’insiste sur les zones érogènes, ce qui a pour effet de lui faire monter la pression. Elle m’essuie aussi, m’attrape la main en m’entraine sur le lit. Elle me propulse dessus et se jette sur moi.-Ah tu as voulu m’exciter ?, et bien tu vas voir ce que ça fait de m’exciter.Elle me chevauche, ses fesses sur mes tibias, elle se penche pour aspirer mon sexe, en un rien de temps, ma bite est raide comme un passe lacet. Elle remonte vers mon visage, s’arrête au niveau de ma bite et se plante dessus d’un seul coup violent. Son pubis rebondi me frappe le mien, elle se déchaine sur ma verge par des va et vient rapides et saccadés. Ses mains sur mes épaules se crispent et elle hurle de nouveau sa joie de jouir.-AAAAAAAAHHHHHRRRRRRRRRGGGGGGElle se couche sur moi. Je n’ai toujours pas joui, elle ne m’en laisse pas le temps, elle joui très vite dès qu’elle a un engin dans un de ses nids d’amour. Comme je bande toujours, elle se redresse, avance un peu et présente sa rondelle sur mon gland. Elle appuie et s’empale vigoureusement. Elle recommence ses va et vient, mais son fion plus serré me fait monter plus vite et je suis sur le point de jouir quand elle se dégage et se plante mon sexe dans son sexe.-Je veux sentir ton jus dans ma chatte, vas y, joui, je vais te suivre en te sentant gicler dans mon petit trou.Je joui violemment, elle me suit en criant encore plus fort que d’habitude. J’ai un peu de mal à supporter ses cris de jouissance. Elle s’en rend compte, me regarde et me sourit.-Je sais, tous les mecs et les femmes que j’ai rencontré, ne supportaient pas mes cris de jouissance à part Virginie, qui du reste cri autant que moi sinon plus. Les voisins ne disent rien, l’appartement est très bien isolé. Excuses moi, je ne peux pas faire autrement, il faut que j’exprime mon plaisir par de grands cris. J’espère que tu ne m’en veux pas trop.-Non, rassures toi, mais c’est vrais que tes cris dans les oreilles, c’est assez stressant.-Si tu veux, j’ai ce qu’il faut pour te boucher les oreilles.-Non, ça va, je survivrais.Elle rit et se penche vers moi pour me déposer un baiser sur les lèvres.-Tiens, regarde.Elle ouvre un coffre, en sort un énorme godemichet avec un pas de vis au fond. Elle se dirige vers un placard et en sort une sorte de machine avec un piston.-Tu as déjà vu une machine à baiser ?-Non, c’est ça ?-Oui, regarde.Elle positionne le gode sur le piston de la machine, la branche et la met en route.Le gode fait des va et vient dans le vide d’une douzaine de centimètre d’amplitude.-La course du gode est réglable, imagine un con au bout du gode.-J’imagine même un cul, le mien par exemple.-Tu veux essayer ?-Bien sur.Elle se dirige vers une sorte de cheval d’arçon recouvert d’un tissu satiné et l’amène vers la machine à baiser. Elle la positionne en face.— Couche-toi dessus à plat ventre.Je me mets à plat ventre sur le cheval d’arçon. Luce me badigeonne la rondelle avec une graisse spéciale anale et m’écarte bien les fesses. Elle amène la machine à baiser vers moi, et la démarre au ralenti. Je sens le bout du gode qui me touche la rondelle en cadence. Luce pousse un peu la machine et le gode entre un petit peu. Elle avance de plus en plus la machine de manière à ce que le gode entre en entier et ne ressorte pas. Je suis possédé par cet engin qui me pistonne en cadence. Luce augmente le rythme tout en lubrifiant le gode. Les allers-retours sont de plus en plus rapides et je sens mon corps s’abandonner au plaisir. Mes plantes des pieds s’électrisent, le courant remonte dans mes jambes, parcoure mon ventre arrive à mon cœur qui a du mal à fonctionner et termine dans mon cerveau qui ordonne la jouissance. Je pars dans un terrible orgasme, tout mon corps explose, je ne le sens plus, il vole, il plane, il flotte entre deux eaux bercé par les vagues du plaisir. Je m’effondre sur le cheval d’arçon complètement anéanti par le plaisir. Mon corps est inerte, je sens le gode qui sort et des doigts qui me titillent l’anus. Ils se positionnent en pointe et force le passage qui ne résiste pas beaucoup. Une main s’est introduite en moi. Les doigts bougent, s’écartent, se mettent en boule et me pistonne. Je repars dans un nouvel orgasme, mais cette fois ci, ce n’est pas mon corps qui joui, c’est mon cul, l’intérieur de mon cul qui me transmet des signes de plaisir. C’est plus doux, plus interne. La main se retire, et une langue vient me lécher la rondelle, ça fait du bien, je me détends complètement et je suis sur le point de me laisser aller à somnoler quand je sens une odeur caractéristique de cyprine. C’est Luce qui s’est mise devant moi, légèrement accroupie, les cuisses écartées, et qui me présente sa grotte d’amour. Je redresse la tête et commence à la lécher. Je ne suis pas très confortable, alors je me retourne sur le dos, Luce se redresse un peu et avance sa vulve sur ma bouche grande ouverte. J’aspire ses lèvres, titille son clitoris, le mordille, le lèche, l’aspire jusqu’à ce qu’elle jouisse de nouveau bruyamment. Elle s’écroule sur moi, se penche et se met en 69, la tête entre mes jambes sans s’emparer de ma verge. Elle est épuisée comme moi.-Tu ne veux pas une petite séance de machine à baiser?-Bien sur, laisse moi ta place.Elle se positionne sur le dos face à la machine, je mets le machine en marche et j’avance le gode vers sa vulve. Elle écarte les jambes pour bien ouvrir son sexe. Le gode entre de plus en plus profondément, j’accélère le mouvement et l’amplitude pour que son sexe soit parcouru par le gode le plus profondément possible. Elle me tend les bras.-Viens, viens m’embrasser et me caresser, je vais jouir, je veux jouir avec tes mains sur mon corps.Je la contourne et me penche sur elle pour l’embrasser, mes mains parcourent son corps quand elle part dans le plus terrible orgasme que je lui ai jamais vu avoir.-OOOOOHHHHHHHHH, AAAAAHHHHHHHHHHRRRRRRRGGGGGGGGGGGG. Son corps se soulève parcouru de soubresauts, ses mains tremblent, sa peau s’irise, ses seins deviennent durs et ses tétons pointent avec arrogance. La machine continue de la pistonner, elle en bave de plaisir. Luce se calme doucement, son corps est toujours parcouru de spasmes, mais de plus en plus éloignés. J’ai arrêté la machine, je la prend dans mes bras et la dépose sur le lit. -Cet appareil est d’enfer, ou as-tu trouvé ça ?-C’est mon frère qui me l’a offert pour mes 20 ans.-Ton frère ? Il connait tes penchants pour l’amour.-Oui et il est un peu inquiet, mais il sait que je n’abuse pas quand même et me fait confiance. Il a trouvé cet appareil dans un magasin d’accessoires à Marseille. Il l’a fait transformé pour moi, sachant très bien ce que j’allais en faire.-Tu as un frère de rêve, tous ne sont pas aussi compréhensifs et proche de leurs sœurs.-Oui, mais rassures toi, nous n’avons jamais dépassé le stade de frère et sœur, il ne m’a jamais touché.-Ce n’est pas mon problème tu sais, j’ai rencontré des femmes et des hommes incestueux, c’est leurs problème, pas le mien.-Je suis d’accord avec toi, et si on pensait à manger un bout, il est 14 heures.-Ok, tu as quelque chose dans le frigo.-Bien sur, viens voir.Ce n’est pas à proprement parlé un frigo de pauvre femme de ménage. Il est plein de produits de qualité et assez haut de gamme.-Dis donc, c’est ton salaire qui te permet de remplir ton frigo comme ça ?-Évidemment que non, mon frère me verse de l’argent tous les mois, il veut que je vive bien. Je ne travaille que parce que je ne veux pas être entièrement dépendante. Mais c’est vrai que mon frère m’aide beaucoup.Les produits étant de bonne facture, je prépare un très bon repas en peu de temps. Après mangé, Luce vient vers moi et m’embrasse.-Ben dit donc, tu es même un cordon bleu, c’était excellent, j’ai rarement mangé aussi bien chez moi.-C’est un peu ma passion, j’aime faire la cuisine surtout pour de belles filles comme toi.-Bon, je te garde comme cuisinier et amant. -Tout doux petite chérie, je ne suis pas à vendre, même à une si agréable, câline et amante fille comme toi.-Bof, toujours la même chose, on montre des aptitudes, et on se retire ensuite. Je veux être aimée, et chérir un homme ou une femme, je m’en fous, mais je veux aimer quelqu’un pour le rendre heureux.-Ne t’en fait pas, tu as toutes les aptitudes à rendre un homme ou une femme heureux, un peu de patience tu es encore jeune.-J’ai 23 ans, je pense être assez vielle pour ça.-23 ans, tu es tout juste au début de ta vie. Assez parlé des choses qui fâchent, que veux-tu faire maintenant ?-Qu’est ce que tu crois, baiser encore. Viens sur le lit, j’ai envie d’un câlin tendre.Nous allons dans sa chambre, nous allongeons et je la prends dans mes bras en la caressant doucement. -Oui, j’ai besoin de tendresse, caresses moi doucement, j’aime ta main sur ma peau.Je continu à la caresser quand je me rends compte qu’elle s’est endormi dans mes bras. Je continu néanmoins à la caresser, j’aime sa peau très douce et ses rondeurs. Cette fille m’émeus et j’ai envie de la câliner tendrement.
Tout à coup, un réveil sonne. Je sursaute, ce qui la réveille. -C’est quoi ce réveil ?-Il est 17 heures 30, je dois me préparer.Elle se lève, va à la salle de bain et se prépare en à peine 5 minutes. Elle est habillée et légèrement maquillée. Je me suis habillé.-Non, reste, j’aimerais que tu sois là quand je rentrerais, j’ai besoin de toi encore un peu. Il ne sera que 20 heures 30 quand je serais de retour, attends moi s’il te plait.-Ok, mais j’irais t’attendre à ton hôtel. -Super, merci, à tout à l’heure.Elle sort et me laisse tout seul dans l’appartement. J’en profite pour le visiter, c’est un super appartement, avec un immense salon, un bureau, deux très grandes chambre avec une salle de bain et une toilette par chambre et une grande cuisine très bien aménagée. Le tout décoré avec goût et finesse. Le frère est un homme de goût.
Je suis allé chercher Luce le soir, nous avons fait encore l’amour plusieurs fois, je suis rentré à mon hôtel assez tard, Luce ne voulant pas me laisser partir.
Le lendemain, je revois Sue qui est radieuse.-Bonjour Sue, tu vas bien ?-Très bien, je sais que ma vie va changer, je crois, je suis même sûre que j’aime Virginie. Je veux vivre avec elle et elle veut vivre avec moi.-Réfléchis bien, tu ne la connais que depuis deux jours, tu ne peux pas foutre toute ta vie en l’air sur un coup de tête.-Ce n’est pas un coup de tête, je vais quitter mon mari, je veux me consacrer à Virginie.-Réfléchis.-C’est tout réfléchi, merci Jean, c’est grâce à toi que j’ai rencontré le grand amour de ma vie, merci.La semaine s’est terminée en douceur, Virginie rejoignant tous les soirs Sue et Luce venant me rejoindre après son service quand elle travaillait, les nuits furent chaudes.Sue a divorcé, est venu s’installer à Paris ou elle a trouvé un très bon boulot. Elle vit avec Virginie depuis plus de dix ans et il n’y a pas de raison pour que ça change. Je les vois de temps en temps, elles sont très heureuses.
J’ai revu Luce plusieurs fois, sur 5 ou 6 ans, à Paris comme à Toulouse, mais ceci est une autre histoire.
zooph34@gmail.com
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