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Chapitre 1

Inceste
19 juin 2016.Matthieu rentra de cours un jeudi soir. Il avait fait exprès de faire durer sa journée de cours car c’était l’anniversaire de sa petite sœur. Mathilde prenait dix-sept ans, il aurait aimé ne pas avoir à être présent. Leurs parents les aimaient du même amour mais entre le frère et la sœur tout était dans l’animosité. Elle est une geek de la première génération, prophétisant l’avenant de la machine sur l’homme. Lui est l’aventurier de la famille faisant toutes sortes de sport tout en maintenant un amour pour la lecture.En ouvrant la porte il vit tout le monde le regarder avec sévérité.
— Oh là ! Il y a du monde, qu’est-ce...
(Oups ! C’était un anniversaire surprise.)
— Bonsoir tout le monde !
Il fit la bise à ses grands-parents puis son cousin et ses tantes.
— Tu es en retard, dit sa mère.— Oui, je m’en suis aperçu Maman.— Comme l’année dernière, reprit son père.— T’es sûr Papa ? Demanda-t-il.
Au regard noir de son père, il comprit que c’était bien le cas.
— De toute façon, Mat est retardé, dit sa sœur avant de faussement se reprendre. Je veux dire souvent retardé.
Il plissa méchamment les yeux.
(Quand tu vas souffler sur tes bougies, je te fous la tête dans le gâteau... comme l’année dernière.)— Bon anniversaire Mathilde, je suis content que tu te sois habillée pour l’occasion.

Elle était vêtue d’un jean bleu avec une coupe d’un autre âge et un t-shirt Captain América.
( Elle a dû essayer de coiffer ses cheveux... impossibles.)
Il ajouta pour faire bonne mesure :
— J’adore ce que tu as fait à tes cheveux.
Mathilde, dont les yeux se mirent à briller, ouvrit la bouche pour répliquer mais leur mère, Karine, stoppa la joute verbale.
— Tous les deux, silence ! Premier avertissement.
Tous ceux à la table qui avaient retenu leur respiration pendant la joute, reprirent leur souffle.
— Matthieu, tu te mets à table sans discuter.— Je me change, j’en ai pour deux secondes.
Il monta mettre un jean propre et une chemise et se mit à côté de son cousin.
Le repas reprit avec une atmosphère moins détendue.
— Alors comment avance ta première année à l’école d’ingé, Mathi ? Demanda Sylvie, la sœur cadette de sa mère.— Bien, j’ai essuyé quelques brusqueries de la part des autres mais ils étaient juste troublés par mon âge.
Je crois plus qu’ils ont tout de suite compris que tu es tyran.
— Dommage, fit Sylvie avec empathie.— Rien de grave, je les ai calmés avec les résultats du premier module, maintenant ils viennent me voir pour des conseils.— Cool, c’est gentil, dit Carole leur deuxième tante, grande sœur de leur père.( Te fait pas avoir, ils viennent pour des conseils, elle n’a jamais dit qu’elle leur en donnait.)
Mathilde hocha la tête en changeant de sujet, sur le type de projet qu’elle travaillait.
( Je suis sûr qu’elle les laisse pourrir avant de les aider.)
Le repas tourna autour Mathilde pour le plus grand plaisir de son frère qui ne voulait qu’une chose faire comme-ci il n’était pas là. Leur cousin, thomas, les aimait beaucoup, car ils étaient les faces opposées d’une même pièce. Il demanda à Matthieu ce qu’il préparait en ce moment :
— Là je suis dans un creux au niveau travail, ça me permet de préparer mon concours de puériculteur spécialisé.
Il avait parlé tout bas mais ils entendirent clairement un petit rire.
— Tu vas devenir nounou comme c’est mignon, dit Sylvie. Je connais des mères qui aimeraient bien avoir une Mary Poppins comme toi.
Il haussa deux fois les sourcils, pour bien définir que le sous-entendu était sexuelle.
— Maman, arrêtes tu vas gêner notre future nanny.— Ha... ha... ha ! J’me marre.
Mathilde prit la main sur le sujet :
— C’est clair Sylvie à raison, tu peux te faire un petit pécule en plaisant à ses dames.
Le sourire de Matthieu se figea.
— Tu as ton corps musclé pour encore quelques années, commença-t-elle, et comme ça tous les exercices que tu as fait ne seront pas perdu et puis point de vue carrière tu peux faire la fine bouche.
Mathilde, qui ne buvait que rarement, avait pris sûrement un verre de trop.
( Garce !)
Matthieu lança une réplique qu’il regretta aussitôt, lui n’ayant pas l’excuse de l’alcool.
— Ça vaut au moins dire quelqu’un voudra de moi.
Mathilde rougit, fondit en larme et fila dans sa chambre.
— Bravo Matthieu, toujours aussi fin, lui dit Thomas en partant voir sa cousine.
Sa sœur n’était pas dans les canons de beauté, des lunettes à la mode mathématicien année soixante, un corps mince presque sans forme et une tignasse toujours mal coiffée digne de Hermione Granger.Ses parents l’engueulèrent copieusement, il se défendit en expliquant qu’elle avait sous-entendu qu’il devait se prostituer pour réussir sa vie. Cela ne fit qu’empirer les choses, il était le grand frère et devait prendre soin de sa sœur.Thomas réussit à la faire revenir pour recevoir ses cadeaux, elle reçut des vêtements, un jeu de tournevis d’électronique de bonne facture et, de son frère, un bracelet connecté podomètre, plus des affaires de sport fitness. L’intention aurait été louable si vingt minutes plutôt il n’avait sous-entendu qu’elle était simplement moche.
Lors d’un long week-end, avec un vendredi férié, Matthieu décida de se refaire auprès de sa sœur en l’invitant à essayer les fringues de fitness et venir faire de l’exercice avec lui dans la petite salle de sport que son père et lui avait aménagé.
— Non, je ne veux pas ! Répondit Mathilde avec véhémence, lorsqu’il insista.
Matthieu essaya de garder son calme.
— Ça te fera du bien de bouger un peu, c’est bon pour les nerfs et la concentration.— Ça me fait marrer quand tu me parles de concentration.— Eh oh, vous deux ! Les interpella leur père.
Il se mit entre les deux et dit à Matthieu :
— Ne la pousse pas si elle ne veut pas.
Son fils souffla avec colère.
— Et toi Mathilde, il va falloir que tu te mettes à faire de l’exercice et je pense que ton frère à raison et je vais même te dire que ça commence maintenant.
Elle contracta les mâchoires avec colère. Son frère avait un grand sourire.
— Bon ! Tu mets tes vêtements, je t’attends dans la salle.
Elle partit le pas lourd se changer, Matthieu remercia son père en silence et fila. Il prépara deux tapis de sol, des petits poids et aussi le banc à abdominaux.
( Avec ça, elle devrait pouvoir faire deux ou trois exercices simples. Il faut que je prenne en compte qu’elle n’a aucune endurance. Il partit dans la cuisine prendre deux bouteilles d’eau.)
Elle entra dans la salle. Il se tourna vers elle et lui dit :
— Pourquoi tu n’as pas mis la brassière ?— Je l’ai mise mais c’est un peu...
Elle rougit et finit par dire :
—... j’ai mis un t-shirt par-dessus.( Déjà, elle est entrée dans la salle. Je ne vais pas pousser le bouchon.)— Si tu veux, mais tu risques d’avoir vite très chaud.
Elle haussa les épaules, il l’invita à avancer et lui expliqua ce qu’il pensait lui proposer.
— Comme je ne sais pas ce que tu peux faire, on va commencer par de l’échauffement sur le vélo.— Il ne faut pas faire des étirements d’abord.— C’est une erreur commune, quelqu’un qui ne fait pas de sport régulièrement ne doit pas étirer ses muscles à froid sinon il se fait mal.
Mathilde écouta sérieusement son frère, car elle savait que même si par rapport à elle, il était loin d’être brillant, il s’y connaissait le sport.Elle monta sur le vélo.
— Je mets doux, mais si c’est trop dur n’hésite pas à baisser.
Elle leva les yeux au ciel.
— Je ne suis pas en sucre non plus.— OK, c’est parti pour vingt minutes.
Mathilde pédala avec vigueur voulant prouver qu’elle n’était pas si frêle qu’il voulait le croire. Mais au bout cinq minutes, elle eut du mal à trouver son souffle, à huit minutes elle sentit plus ses pieds. À dix, elle crut que quelque chose l’étouffait.
— Tout ce passe bien ? Demanda-il en s’approchant du vélo. Si tu perds des sensations dans tes extrémités c’est normal.— Je sens pu mes pieds... et mes mains picotent, dit-elle entre deux respirations laborieuses. Mais ça va.
Il baissa la dureté jusqu’au minimum.
— Je t’ai dit de baisser si c’était trop dur.— Je crois... que tu avais... raison, finit-elle proche de l’apoplexie.
Elle alla jusqu’au bout plus sereinement.
— Tu vas boire un peu et reprendre ton souffle.— Arrête de me regarder comme ça.— Pardon, dit Matthieu.— Tu me regarde avec pitié.— Un peu oui, mais sans méchanceté.— Ouais, ouais, dit-elle peu amène.
Il attendit cinq minutes, et lui demanda de s’asseoir sur le tapis.
— On va faire une petite séance d’abdos.
Elle ouvrit les yeux d’horreur.
— Pas dur je t’assure, ça va être cool.
Elle leva les yeux au ciel et dit :
— On n’a pas la même définition de ce qui est cool.
Elle se mit sur le dos les genoux relevés.
— Tu poses les pieds par terre, écartés de la largeur des hanches.
Elle s’exécuta. Il posa sa main sur le ventre de sa sœur.
— Qu’est-ce que tu fais avec ta main ? Demanda-t-elle en relevant la tête.— C’est pour suivre ton mouvement.
Elle s’allongea de nouveau pendant qu’il lui donnait les consignes.
— Tu mets les mains derrière la tête et tu relèves juste le haut du buste de quelques centimètres.
Elle fit le mouvement en soufflant comme une folle.
— Et ne tire pas sur ta tête, lui ordonna-t-il.
Sous ses doigts, il sentit que Mathilde n’avait quasiment pas de ceinture abdominale.
— Pas besoin d’aller trop haut.
Comme-ci elle pouvait monter plus haut.Ils continuèrent différents exercices pendant un quart d’heure.
— Tu as bien travaillé tes abdos, on va arrêter là les exercices au sol.( Je ne sens plus mes pieds, ni mes abdos... et ce con veut continuer à me faire travailler... foutu crétin.)— Voilà ta nouvelle amie, dit-il en montrant une machine à fessier et adducteur.— C’est quoi ça ! Un instrument de torture de l’inquisition espagnole.
Il sourit en lui signifiant de s’allonger sur la table. Elle se mit sur le ventre, et vit son frère se positionner en face d’elle. Son regard se trouva au niveau de son entrejambe.
— Attends je dois modifier les réglages, dit-il en se rapprochant de la table. Maman s’en sert tout le temps mais elle ne met jamais d’huile, elle abuse trop.
Il força sur une des manettes et son paquet vint se plaquer contre le visage de sa sœur. Choquée de ce contact, elle fut paralysée. Le service trois pièces continua de frotter de long en large et en travers.Elle finit par relever les yeux et vit que Matthieu ne voyait rien de tout ça, concentrer sur le réglage de la machine.
( Oh merde, c’est moi où sa queue glisse sur mes lèvres... Elle est toute chaude.)
Entre, son corps plein d’énergie et son esprit fatigué. Elle fut chauffée au rouge, si bien qu’elle faillit entrouvrir les lèvres.
( Oh mon Dieu ! Que ce que je suis en train de faire ? Mais ça ne va pas moi.)
Il se mit sur la pointe des pieds. Mathilde sentit les testicules se mettre de chaque côté de son nez.
( Il se fout de moi ! J’ai l’air d’un dindon.)— Ouf ! J’ai réussi mais c’est tout grippé.
Il regarda sa sœur.
— Ah mince ! Tu es déjà toute rouge, on ne va peut-être pas pousser plus loin.
Elle hocha la tête, n’osant pas ouvrir la bouche.
— On fait des étirements plutôt ?
Ils se mirent au sol et firent plusieurs positions, puis vint le moment où il aida sa sœur à s’étirer ses adducteurs.
— Je vais y aller doucement ne t’inquiète pas.
Elle hocha la tête. Il poussa la jambe droite vers le haut. Ils retrouvèrent dans une position suggestive. Le paquet de Matthieu se trouva contre le sexe de Mathilde.
( Je sens encore sa queue ! Oh bordel ça frotte encore.)
Il fit bouger la jambe d’avant en arrière, son corps suivit le mouvement.
( Ouh là ! Je me sens bizarre, ça frotte encore et encore...)
Elle ferma les yeux et sentit ses lèvres chauffées et sa fente commencée à suinter.
( Faut qu’il arrête ou je vais...)
Il changea de jambe et s’inquiéta de la voir se tendre. Il chercha à la rassurer.
— Tu es souple, c’est très bien. Tu ne devrais pas avoir trop de courbatures.
Il fit les mêmes mouvements qu’avec la droite.
( Oh bordel ! Je vais... je vais...)
Mathilde se crispa et jouit en silence. Son corps se relâcha mais elle se reprit bien vite.
( Merde ! Pourvu qu’il n’ait rien vu.)— Voilà, c’est fini, dit Matthieu avec un grand sourire.— Euh... oui, commença-t-elle en se levant.
Elle sentit son pantalon devenir humide. Elle tira sur son t-shirt pour que cela ne se voie pas.
—... je vais prendre une douche et... merci pour... tout.
Elle fuit rapidement la salle de sport.
( Qu’est-ce qu’il lui prend ! Elle est de plus en plus bizarre.)
Il rangea les tapis nettoya les machines et prit le chemin de la salle de bain.Mathilde s’était faite couler un bain avec peu d’eau. Elle se déshabilla, regarda sa culotte, son pantalon et vit ce qu’elle redoutait.
( Merde ! J’ai joui... et pas qu’un peu. Comment cela a pu arriver ? Je sais que je n’ai jamais couché mais quand même... c’est Matt bordel... mon frère. Heureusement qu’il est simple sinon il aurait compris direct.)
Elle se regarda dans le miroir. Elle remonta ses cheveux en une espèce de chignon touffu. Mince, mais pas squelettique, son corps était pâle, il ne voyait que rarement le soleil. Sa poitrine était petite et ferme. Elle mit les mains sur ses hanches et se regarda avec mépris. Son corps l’avait trahi. Une larme perla.
( J’ai regardé un peu trop de porno dernièrement. C’est à cause de Noémie, elle m’a fait suivre tous ses meilleurs sites. Ça me chauffe tout le temps.)
Elle se mit dans son bain et se lava. Lorsqu’elle rinça son sexe, elle se mordilla les lèvres. Elle fit glisser son majeur tout doucement, arrivé à l’articulation, elle le ressortit et bouscula un peu son clitoris.
( J’en ai trop envie.)
Elle enfonça son majeur encore et encore puis ajouta son annulaire.
( Oh oui !)
Elle ne se contint plus et se fit jouir à grand renfort de va-et-vient de ses doigts. Elle resta prostrée au fond de la baignoire. Son majeur et son annulaire, bien enfoncés en elle. Elle tilla son clitoris en les ressortant. Elle fit de petit cercle dessus, puis se mit elle le secouer dans tous les sens.
— Oh oui Matt, soupira-t-elle à jouissant de nouveau.
Elle jouit et il y eut un moment de flottement, elle ouvrit grands les yeux et sur sa bouche se dessina un "o".
( Ah non ! Qu’est-ce que je viens de dire ? Ah non non non ! Je n’aurais pas dû regarder ce hentai incestueux, ça m’a destroy la tête.)
Elle se sécha rapidement, mit sa robe de chambre, ouvrit la porte et se retrouva de Matthieu qui attendait.
— T’en as mis du temps !
Elle déglutit difficilement, ses yeux errèrent sur le corps quasi nu de son frère, qui ne portait qu’un boxer.
— J’aurais eu le temps de prendre quatre douches.
Son regard se braqua sur l’entrejambe où se dessinait, sous le tissu, le service trois pièces de son frère. Elle détourna la tête et partit dans le couloir sans un mot.
( Elle est vraiment bizarre aujourd’hui, plus que d’habitude... c’est dire.)
Il vit qu’elle avait laissé ses affaires au sol.
( Elle abuse, elle a laissé tous les vêtements que je lui ai offerts par terre.)
Il prit la brassière et le pantalon. Il les mit proprement sur le repose-serviette. La culotte tomba sur le carrelage, il l’a pris et remarque qu’elle était humide. Il jeta un coup d’œil, il fut surpris et la tendit à la lumière.
( Merde, elle s’est pissée dessus.)
Il récupéra le pantalon et vit pareil, une tâche en forme d’ellipse sur au niveau du sexe.
( Aïe ! J’ai déjà vu ça. J’ai dû la poussée trop loin et elle a eu une petite perte. Je comprends mieux sa réaction. À tous les coups elle ne voudra pas en refaire.)
Une heure plus tard, ils se retrouvèrent pour le déjeuner.
— Alors, commença leur père, comment s’est passée cette première séance de sport tous les deux ?— Très bien, Math est courageuse et souple malgré le temps passé devant son ordinateur.
Mathilde qui rougit au souvenir de son orgasme dit :
— Ç’a été, mais je pense que je vais avoir quelques courbatures.
Son frère hocha la tête avec empathie.
— Les abdos vont te travailler mais pas les jambes, vu que l’on n’y a pas touché.— Et ça t’a plu ? Demanda Richard à sa fille.
Les deux hommes s’attendirent à une salve de mauvaise foi.
— Ça ne m’a pas déplu, je pense en refaire, dit-elle à la surprise générale.
Ses lèvres devinrent sèches avant de continuer.
— Et tu voudras bien continuer à m’aider Matt ?
Il en fut trop content.
— Oui, carrément.
Leur mère arriva et prit aussi des nouvelles.
— C’est génial, dit-elle.
Ils en discutèrent et Mathilde demanda à en faire le lendemain. Après manger, elle fila discuter avec sa meilleure amie Noémie. Elle démarra un Skype.
— Faut qu’on parle, dit-elle sans préambule.— Bonjour à toi aussi, répondit-elle en levant un sourcil.— Il est arrivé quelque chose de bizarre.
Son amie lui prêta attention.
— J’ai fait une séance de sport avec mon frère.— C’est clair, c’est bizarre.
Mathilde leva les yeux au ciel.
— Ce n’est pas ça, il m’a offert une tenue de sport avec un podomètre pour mon anniversaire et mes parents m’ont poussée.— Moi aussi j’aimerai bien faire une petite séance avec ton frère.
Mathilde rougit et eut du mal à continuer.
— Justement...à propos de ça... on a fait quelques exercices et après il m’a aidée à m’étirer...
Noémie la coupa avec une remarque graveleuse :
— Enlève le "é" et c’est l’idée de l’aide que j’aimerai de ton frère.— Arrête ! Gronda-t-elle.
Noémie goguenarda, Mathilde reprit sa respiration avant de continuer et décida de commencer par le début.
— Donc il m’a fait faire du vélo des abdos et après il a voulu me mettre dans une machine de torture pour fessier.
Son amie plutôt ronde et pas sportive du tout lui lança un regard plein de compassion.
— Et là... il... euh...
Elle sentit le rouge lui monter aux joues.
— Et là ? Demanda sa meilleure amie.— Tu sais il était en short léger, pas trop moulant et assez court.
Elle fit les gros yeux en disant cela.
— OK, tu me mets l’eau à la bouche alors continue !
Elle bredouilla mais n’y réussit pas. Elle comprit que son corps réagissait à la remémoration des souvenirs.
— Alors accouche, je tiens plus ! S’exclama Noémie.— Sur la machine de torture, il a eu du mal à la régler et...
Elle prit quelques secondes pour mettre en ordre l’histoire.
— Tu vois, sur cette machine tu es allongé sur le ventre, et pendant qu’il pestait contre le mécanisme de réglage, son short s’est mis contre mon visage et...— Attend ! La coupa Noémie en se levant de son siège.
Elle fouilla dans un placard puis revint devant l’écran.
— Tu peux continuer.— OK, dit Mathilde. Son short s’est collé contre mon visage et...
Elle fit une pause en entendant un son étrange comme une brosse à dent électrique.
—... qu’est-ce que c’est, ce bruit ?
Noémie eut une mine coupable et répondit :
— C’est rien t’inquiète, continue.— Arrête, il y a quelque chose qui vibre.— Mais non c’est rien, éluda Noémie dans un souffle.
Le ton de sa voie mit la puce à l’oreille de son amie.
— T’es avec ton vibromasseur, acta-t-elle en fronçant les sourcils.
Noémie souffla et s’énerva :
— T’es chiante, je sens juste venir une histoire juteuse et tu me casses mon kiffe.— Tu sais que je déteste quand tu fais ça !— Oui, oui allez... continue !
Affligée, elle ferma les yeux avec une main contre son front.
— Tu me désespères, dit-elle avant de continuer. Son short faisait des allers-retours sur mon visage et à un moment j’ai senti...
Elle se stoppa ménageant son effet.
— Quoi ! Cria Noémie. T’as senti quoi ?— Sa queue était contre mes lèvres.
Noémie sursauta.
— Non !— Si, confirma-t-elle, à un moment il s’est avancé et j’ai bien cru qu’elle allait me rentrer dans la bouche.— Tu me fais marcher.— Non.— Tu me fais marcher !— Non, je t’assure.— Alors il l’a fait exprès !— Je suis sûr que non ! Mon néandertalien de frère ne peut pas faire attention à deux extrémités à la fois, c’est ses mains ou sa queue.
Noémie fut prise d’un fou rire devant l’air contrit de sa copine. Sentant que l’histoire ne s’arrêtait pas là elle insista.
— De toute façon, je ne te crois pas.— Tu devrais, car j’ai même faillit me laisser aller et ouvrir la bouche...
Elle se rendit compte qu’au départ elle voulait cacher cette information.
— Espèce petite perverse, commença Noémie, t’as voulu jouer du pipeau au frangin !
Mathilde blanchit.
— Non, pas du tout, c’est à cause de tous les hentai que tu m’as envoyés, plaida-t-elle. J’étais comme une allumette et puis...— Alors maintenant c’est ma faute si tu as voulu sucer ton frère, la coupa-t-elle.
Elle se couvrit le visage de ses mains et couina :
— Arrête je t’en supplie, je vais mourir de honte.
Noémie rit de son attaque vicieuse. Quelques minutes passèrent et elle reprit la parole.
— Alors ce n’était que ça ! Je suis un peu déçu, je m’attendais à du plus croustillant que ça.
Elle commença à retirer son vibromasseur mais Mathilde se pencha en avant et chuchota :
— Il y a plus.— Génial, vas-y, vas-y.— Il m’a trouvé bien fatigué par les premiers exercices et m’a proposé des étirements pour éviter les courbatures.— Oh, je sens que ça va être bon, susurra Noémie.— Et pendant qu’il m’étirait les adducteurs, sa posture fit que son paquet frottait ma chatte en continu.
Elle se perdit dans son souvenir.
— Encore et encore d’avant en arrière et de plus en plus fort.
Noémie regardait dans le vide en écoutant pieusement sa copine.
— Et juste avant qu’il arrête, l’allumette... a pris feu.
À l’écran son amie eut des spasmes. Elle trembla de la tête au pied.
— Ce n’est pas vrai, s’écria Mathilde. Tu viens de jouir !— C’était bon, dit son amie. Ça fait longtemps que j’ai eu un orgasme comme ça, merci pour tout.
Mathilde fut prise d’un fou rire éclair, Noémie ne comprit pas.
— C’est exactement ce que je lui ai dit après les étirements.— Et ton orgasme... alors comme ça il t’a fait jouir sans le vouloir, il est fort et même très fort. Qu’est-ce que tu comptes faire ?— Je vais refaire du sport avec lui demain et mettre des limites.
Elle termina sa phrase sur un hochement de tête convaincu.
— C’est une erreur, affirma Noémie.— Je vais lui demander de me montrer des étirements que je peux faire moi-même.— N’importe quoi !— Mais pourquoi tu dis ça ?— Demain tu auras encore plus envie de jouir et tu le laisseras faire la même chose qu’hier voir même, tu en demanderas plus et...
Mathilde coupa Skype et secoua la tête pour s’éclaircir les idées.
Le lendemain Matthieu se leva frais et content. Sa sœur se mettait enfin au sport et en plus elle aimait ça. Mathilde se réveilla en entendant son frère sortir de sa chambre. Lorsqu’elle se leva, elle se rendit compte qu’elle avait l’entrejambe moite et une douce chaleur en elle.
( Reste concentrée et claire sur ce que tu veux faire comprendre à Matt.)
Elle arriva dans la salle à manger.
— Alors pas trop chaud ce matin ? Demanda son frère.
Chaud ! Comment ça, chaud ?Elle comprit qu’il faisait référence à ses muscles.
( À vrai dire, maintenant que j’y fais attention ça tire un peu.)— Ça va, je n’ai pas de sensation douloureuse.— Demain tu en auras, mais vu qu’on y est allés doucement ça devrait aller.
Elle se servit son petit déjeuné. Il continua :
— Tu veux que l’on commence maintenant des nouveaux exercices.
Elle inspira avec courage.
— Oui, bien sûr.
Il sourit.
— OK j’y vais pour graisser la machine à fessier.
Elle rougit et hocha la tête. Matthieu sortit avec entrain.
( Je me sens chaude... c’est à cause de Noémie et toutes ses idées farfelues. Mais il faut que je refasse pareil et que je me teste pour ne pas faire la même chose. Je vais lui prouver que je ne suis pas une perverse.)
Elle mangea et retourna dans sa chambre s’habiller. Elle ne trouva pas ses affaires.
— Où je les ai mises ?
Elle se souvint qu’elle ne les avait pas prises avec elle après sa douche. Elle sortit nue et les récupéra dans la salle de bain.Matthieu graissa la machine, sortit des tapis de sol. Mathilde arriva à ce moment-là.
— Encore des abdos, remarqua-t-elle avec désespoir.— C’est le plus important, ça aide le dos et les genoux.
Il lui indique le vélo.
— Tu t’échauffes comme hier, moi je vais utiliser le tapis de course.
La séance commença, après dix minutes Matthieu la fit s’allonger sur le tapis et il se mit à côté.
— Tu ne me retiens pas comme hier ? Demanda-t-elle innocemment.— Je pense que tu as compris le truc je vais faire les exercices en même temps que toi pour te montrer.— OK, répondit-elle d’une petite voix.— Faut pas que tu t’inquiètes mais tu vas les sentir travailler, je dirais même que tu vas les sentir comme jamais.— Mouais, dit-elle dubitative.
Le doute ne dura que deux relevés d’épaule.
( Tu parles ! J’ai l’impression qu’on tape dans le ventre...ça fait un mal de chien.)
Il remarqua que sa sœur souffrait et la rassura :
— D’ici quelques minutes ça va s’apaiser.
Après dix minutes, Mathilde ne voulait plus qu’une chose, se mettre au lit et ne plus bouger.
— On arrête avec les abdos.— Ouf ! Fit sa sœur en se mettant en croix.— On fait une petite pause et on part sur les fessiers.
Elle s’allongea sur la machine à fessier et sentit ses parties génitrices chauffées.
( Il faut que je me concentre, je ne suis pas une perverse.)— Cette manette te permet de commencer ton mouvement si tu te sens mal tu la relâche et sa verrouille l’ensemble comme ça pas de risque.— Merci, j’ai compris.— Je te mets cinq kilos, c’est juste pour que tu t’habitues au mouvement.
Elle actionna la manette et releva les chevilles, puis redescendit.
— Quand tu redescends, maintient ta force et descend doucement.
Elle s’exécuta et dit :
— C’est plutôt simple et facile.— Bien, je vais mettre quinze kilos.
Elle commença à travailler et sentit ses muscles se tendre.
— Travaille doucement et tout ira bien, tu fais des séries de 16, avec une petite pause entre chaque.
Ils continuèrent leur séance et changeant de rythme et de machine.
— J’en peux plus Matt et il est bientôt midi, dit-elle à bout de souffle.— Tu m’étonnes tu en as fait dix fois plus qu’hier, on va s’étirer et prendre le temps de le faire même s’il est midi.
Elle leva les yeux au ciel.
— Tu n’y couperas pas si tu le fais pas tu vas souffrir demain, insista-t-il. Allonge-toi sur le tapis.
La bouche de Mathilde devint sèche, le moment tant redouté arrivait.
— Je préférerai que tu me montres comment faire moi-même.( Je suis forte et au-dessus de mes bas instincts.)— Tu es sûr, il n’y a pas mieux que d’avoir quelqu’un pour le faire avec toi, surtout au début.( Je ne suis en fait pas si forte que ça !)— Si... si tu le dis, d’accord !
Matthieu réfléchit et ajouta pour éviter tout nouveau malaise :
— Tu n’as pas envie d’aller aux toilettes avant ?— Non non, on peut commencer.
Elle se mit sur le dos et attendit, elle se sentit même impatiente, mais au moment où il se préparait à se mettre au sol son téléphone sonna.
— Désolé, dit-il en prenant la communication. C’est maman.( Merde ! Elle aurait pu attendre...)— Allo ! Oui... OK... j’arrive.
Il raccrocha et prit sa serviette et ses affaires.
— Fin de séance, annonça-t-il. Les parents reviennent des courses, ils sont invités par un collègue de Papa qu’ils ont rencontré à Leclerc. Il faut les aider à décharger car ils veulent acheter quelque chose avant d’y aller.— Et mes étirements ! S’exclama Mathilde avec une pointe de colère.— Ne t’inquiète pas voyons ! Je ne pense pas que tu auras des courbatures.— Mais tu disais que j’allais souffrir sinon ?— J’ai fait mon marseillais, mais étire toi un peu toute seule ça vaut mieux.
Il fila aider ses parents à décharger la voiture.Elle se caressa le sexe et se dit :
( J’ai besoin de jouir... mais j’ai comme l’impression qu’il me manque un truc... je ne saurais pas le définir mais j’ai besoin de contact.)
Elle se leva, dépitée et avec ses pensées habitées par le paquet de son frère.
Les parents quittèrent la maison vers 18h, ils comptaient rentrer vers 22h.
— Amusez-vous bien, leur lança Matthieu, et ne buvez pas trop non plus.
Sa mère lui tira la langue en sortant.
( Bon je vais pouvoir pousser un peu les choses ce soir.)
Il descendit dans la salle de sport et se prépara à faire un peu de musculation. Il s’échauffa de nouveau et chargea la machine pour faire des développés-couchés. Il chargea avec un poids moyen. Il commença ses exercices. À deux reprises la barre se coinça légèrement.
— La mère a fait des squats et n’a pas graissé derrière ! S’exclama-t-il avec colère. Je finis et je m’en occupe.
Après quelques séries intenses, il décida d’augmenter rapidement la charge. Il se mit torse nu et leva la barre pour la dégagé des verrouillages et la descendit doucement.
( Ç’est du lourd... et c’est le cas de le dire.)
Il descendit un poil trop et se déséquilibra quand il voulut remonter la barre se mit légèrement de travers. En temps normal, pas d’incident particuliers, mais là elle se bloqua.
( Et merde !)
Les picots de la barre lui rentraient dans la chaire. Il poussa de toutes ses forces, entendit un grincement et puis rien, la barre ne bougea plus d’un poil.
— C’est une blague !
Il voulut se dégager sur le côté.
— Oh putain ! Si je fais ça je vais me saigner.
Pendant cinq bonnes minutes il essaya de trouver une solution et rien ne vint.
— Et les parents ne sont pas là ! La mère va m’entendre et pas qu’un peu.
Il prit le plus de respiration qu’il pouvait et cria :
— Mathilde !
Il espéra de tout cœur qu’elle n’avait pas son casque sur les oreilles. Il attendit et puis deux minutes plus tard, qui lui parurent bien longues. Mathilde arriva toujours dans sa tenue de sport.
— Qu’est-ce qu’il se passe ?— Je suis bloqué, dit Matthieu d’une petite voix.
Elle resta coite et pouffa.
— Ha ha ha ! Très drôle, maintenant aide-moi, s’il te plaît.— Comment t’as fait ton compte !— C’est maman qui ne graisse pas les machines... on va avoir une petite discussion demain.
Elle l’enjamba et essaya de tirer la barre.
— Je crois qu’elle définitivement coincée.
Il battit des paupières et dit :
— Heureusement que t’es ingénieur, je n’avais pas compris.
Elle lui lança un regard méprisant et s’assit sur lui. Il toussa et s’excusa :
— Désolé mais fais attention, la barre me rentre dans la peau.
Ah oui !Elle commença à lui chatouiller les cotes.
— Non, arrête je t’en prie ! Arrêêêêêêête !
Elle continua puis glissa sur lui pour positionner ses fesses sur son paquet. Au fur ses chatouilles devinrent des caresses. Elle posa ses mains de chaque côté du corps musclé sous elle. Elle les pressa contre les abdos puis remonta doucement sur les pectoraux.
— Je vais finir par me pisser dessus ! Ha ha ha ! Arrête, supplia-t-il les larmes aux yeux.— Donc là, tout de suite tu es complètement bloqué, dit-elle en posant ses mains sur ses hanches.
Il acquiesça en reprenant sa respiration. Elle bougea doucement les hanches d’avant en arrière. Elle sentit son frère y réagir légèrement aussi.
— Euh... tu peux te lever s’il te plaît, demanda-t-il en rougissant.— Je ne sais pas, dit-elle en continuant son petit jeu.— Tu ne sais pas qu... quoi ?( Oh putain, qu’est-ce qu’elle a à se trémousser comme ça ? Je vais finir par bander.)— Je ne sais pas comment te dégager.
Elle sentit quelque chose grandir sous elle, son pouls s’accéléra et une douce chaleur l’envahit.
— P... prends un marteau et... tape sur la barre.
Une fois qu’elle fut sûre qu’il bandait, elle se leva et partit chercher un marteau.
( Eh merde ! Je bande, elle va se foutre de ma gueule et me traiter de pervers.)
Il essaya de se concentrer mais son short se transforma rapidement en chapiteau. Médusé, il l’a regarda arriver avec le marteau de charpentier de leur père. Amusé, elle fit comme si de rien était et s’approcha.
— Oh dis-donc ! Eh bien, qu’avons-nous là?
Au début, elle voulut juste se moquer de lui. Elle se mit à croupi à ses pieds. Elle tira doucement sur son short.
— Qu’est-ce que tu fais, bordel ? Arrête ça tout de suite, s’écria-t-il.
Elle ne l’écouta pas et tira centimètre par centimètre le short.
— Ce n’est pas drôle, arrêtes !— Et bien je me demande ce qui a bien pu te mettre dans cet état-là?— Je... je ne...— Alors, c’est quoi, continua-t-elle en tirant un peu plus.
Il commença à bouger ses jambes mais les picots de la barre le rappelèrent à l’ordre. Son short commença à dévoiler la peau au-dessus de son sexe. Mathilde voulut continuer à jouer mais elle ne se contrôla plus à la vue qui s’offrait à elle.
— Tu vas me prendre en photo pour te venger, c’est ça ?
Elle tira encore un petit peu l’esprit complètement dans le gaz, elle voyait maintenant la base de la verge en érection.
— C’est ça, dis-le ! L’interpella son frère.
Elle leva les sourcils et demanda :
— Me venger de quoi ?
Elle fit apparaître quelques centimètres de plus.
— S’il te plaît, non ! Supplia-t-il au comble de la honte. À cause de moi hier tu t’es pissée dessus.
Encore un peu et elle arrêta enfin, il ne restait que le gland de cacher par l’élastique du short. Elle se rendit compte qu’elle avait tiré longuement le short.
— Tu te trompes, je ne me suis pas pissée dessus.
Sa bouche devint sèche et ses bas instincts menaçaient d’exploser.
— Mais si, j’ai vu tes vêtements hier qui traînait sur le sol de la salle de bain. Ils étaient mouillés à l’entrejambe.
Elle hocha la tête en le regardant puis tira tout doucement sur le short.
— Tu as bien vu mais je ne me suis pas pissé dessus, j’ai juste joui.
Matthieu crut mal entendre.
— Pardon, je... je n’ai pas compris.— Tu m’as fait jouir, dit-elle en tirant un dernier coup sur le short libérant la verge de son carcan.
Celle-ci fit comme un pendule et finit par se tenir bien droite devant le visage de Mathilde. Elle reteint sa respiration
— Je t’ai fait jouir ?
Elle hocha la tête en prenant la verge en main. Elle frissonna des pieds jusqu’à la tête.
— Elle est chaude et dure comme du bois.— Mais qu’est ça veut dire ? Demanda-t-il, complètement perdu.— Bah, que je vais te rendre l’appareil.
Elle se pencha hors de vue de Matthieu.
— Qu’est-ce que tu comptes faire ? S’écria-t-il.
Pour toute réponse, elle enfourna la verge dans sa bouche. Matthieu sentit le passage des lèvres de sa sœur, puis la langue qui vint se poser et glisser sur son frein et le long de sa grosse veine.
— Humrrrr !
Il éjacula un petit peu, surpris par les sensations qui se succédèrent.
( Merde ! Putain elle est cinglée, il faut que je me dégage.)
Mathilde, sentant son frère bouger ses jambes, se rendit compte que son short arrêté aux genoux bloquait ses mouvements. Elle lâcha la verge.
— OK, dit Matthieu. Tu t’es bien amusée maintenant fini les conneries.
Elle tira son short profitant de son relâchement.
— Hep ! Ça va barder si tu continues...— Je n’ai pas terminée, dit-elle en relevant ses cheveux et les attachant avec un élastique qu’elle avait au poignet.
Elle retira son T-shirt, elle ne portait plus que les vêtements qu’il lui avait offerts. Avec un grand sourire, elle ajouta:
— Je vais te faire gicler tellement fort que tu vas en redemander.
Elle se jeta sur la verge qui se balançait de gauche à droite.
— Wow !
Il ne put retenir un soupir de plaisir. Mathilde commença véritablement son œuvre. Elle suça fort le gland restant sur le frein avec sa langue. Son frère en vit de toutes les couleurs pendant cette torture. Ensuite elle lécha la grosse veine de haut en bas.
Matthieu ferma les yeux et essaya d’imaginer qu’il était quelque part ailleurs, mais la honte qu’il ressentait, peu à peu, se fit pousser par autre chose.Oh bordel à cul ! Elle me suce comme une dingue... c’est... c’est trop bon. Elle va me faire jouir ! Ma sœur va me faire jouir... et salement.Tous les soupirs de plaisirs de son frère finir d’achever le peu de lucidité de Mathilde, elle jeta toutes ses forces dans la bataille. En plus de sa bouche qui restait sur le gland elle le masturba de sa main droite et attrapa les testicules de la gauche. Matthieu écarta les jambes pour qu’elle soit plus à l’aise. Sentant son frère consentant, elle eut un orgasme et sentit sa fente suinter abondamment. Elle enfonça la verge au plus profond dans sa bouche.
( Elle ne va pas me faire le coup de gorge profonde non plus.)
Mathilde y pris goût et le fit plusieurs fois de suite.
— C’est trop ! Dit Matthieu sous cette torture.
Au creux de sa main gauche elle sentit le scrotum se tendre, puis quelque chose passer sous les doigts de la droite. Le sperme envahit sa bouche, elle voulut l’avaler mais c’était simplement trop. Elle frotta la verge sur son visage, sentant les jets éclaboussés son visage. Elle attendit que l’éjaculation se tarisse.
( Fiou... il a lâché une sacrée quantité de foutre, j’en ai plein partout... dans la bouche, les cheveux, sur les lunettes et je suis sûr que mon visage doit être une représentation vivante du porno hardcore.)
Matthieu mit quelques secondes à se remettre de son éjaculation mais sentit très clairement sa sœur continuer à le sucer doucement.
— Arrête Math, s’il te plaît ! Si tu continues je vais encore éjaculer ! Gémit-il.
Elle se releva et apparut à son frère.
— T’es sûr que tu veux que j’arrête ?
Elle se lécha les lèvres en le regardant dans les yeux. Matthieu resta pantois de la quantité de sperme qui recouvrait le visage de sa sœur.
— Désolé, je n’ai pas pu me retenir... Oh mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait !
Elle haussa les épaules et reprit son office quelques secondes.
— Ça devait faire un moment que tu t’étais masturbé ?
Machinalement, il hocha la tête. Son regard resta fixé sur les coulures de sperme sur le visage de sa sœur.Elle continua à le masturber, elle regardait le sperme suinter de l’urètre. Il se mordit les lèvres, l’horreur de la situation céda définitivement la place au plaisir de l’acte.
— C’est bon, vas-y continu, lui murmura-t-il.
Elle sourit avec dédain et se mit debout.
— Monsieur le gros pervers, je pense qu’il est temps d’arrêter.
Il ouvrit la bouche pour protester.
— Monsieur jouait la sainte-nitouche et maintenant il veut que sa petite sœur le suce de nouveau.
Elle se retourna pour prendre le marteau. Elle regarda la verge et se dit qu’elle était plus grosse après la première éjaculation. Elle n’arrêta pas de tressauter tout le temps que Mathilde s’approcha.
— Je pense que tu adorerais que je prenne ton gros gourdin pour me l’enfiler mais je pense que l’on doit se retenir un peu quand même.
Elle continua à lui faire la morale sur son comportement et sur le fait qu’il ait eu une énorme éjaculation en se faisant sucer par sa sœur. Elle leva le marteau et frappa violemment le côté de la barre le plus haut. Elle se retourna ensuite et pris la serviette de son frère pour s’essuyer le visage sans le regarder se libérer.Matthieu repositionna et verrouilla la barre et se leva en silence, il vit dans le miroir que les picots s’étaient imprimés sur sa peau mais qu’il ne saignait pas. Il s’approcha en silence de sa sœur et se colla à son dos. Il lui attrapa les seins puis descendit sa main droite et la glissa sous son pantalon.
— Eh oh ! Tu m’écoutes ! J’ai dit non... mais arrêtes... ouh ne mets pas tes doigts dedans.
Elle essaya de se dégager. Les doigts écartèrent sa fente et elle sentit le majeur rentrer rapidement et surtout facilement.
— Arrête espèce de pervers à la noix.
Matthieu ne l’écoutait plus, il l’embrassa de force à pleine bouche. Sa langue força le passage et joua avec l’autre. Il souleva le t-shirt et pu caresser la peau douce de la petite poitrine de Mathilde. Il continua à la lutiner de ses doigts de sa main droite et de ceux de la gauche, il lui pinça doucement les tétons. Il libéra sa bouche et lui téta le bout des seins.Elle sentit ses tétons se durcir et frissonna sous des vagues de plaisir, mais par fierté elle décida de lutter.
— Enlèves tes doigts et ta bouche, putain de néandertalien de merde.
L’insulte-ci fit plus mouche que "pervers". Il la souleva en la tenant par les hanches. Elle se sentit peser comme un brin d’herbe entre les mains de son frère.
— Qu’est-ce que tu comptes faire, toi ? L’interrogea-t-elle avec un soupçon d’angoisse.
Il la mit à plat ventre sur le banc.
— Oh non, non, non !
Il déchira son pantalon.
— Ça va trop loin... putain ! Tu viens de déchirer ton cadeau...
Elle fut coupée en sentant son slip subir la même chose.
— ... et mon slip, du con.
Il positionna sa verge contre la fente, dont suintait un liquide clair et épais.
— Ne t’avise pas de faire ça ou sinon...
Elle laissa sa menace en suspens.Il chuchota à son oreille :
— Et sinon quoi ?
Elle ouvrit grands les yeux.
— Ne fait pas ça ! S’écria-t-elle. Je ne l’ai même jamais fait avec un gode !
Il pénétra. Elle sentit la verge se faire durement un passage en elle.
— Oh putain ! Couina-t-elle. Et puis t’es pas petit, connard !
Il ne sentit même pas l’hymen se déchirer, son énervement prit fin à l’instant où il fut entier en elle. Mathilde gémissait et tremblait, il remarqua une petite flaque d’urine sous elle.
— Euh... je me suis un peu empor...
Il fut coupé par une éructation de sa sœur.
— Qu’est-ce que tu attends bordel ?
Il commença à reculer.
— Que... quoi ? Oui, je me reti...— Arrête tes conneries, dit-elle en se retournant un sourire aux lèvres. Baise-moi, maintenant que tu y es.
Elle lui attrapa la hanche de sa main droite et tira vers elle. Lorsque la verge pénétra de nouveau elle se mit à trembler plus fort et retomba les deux coudes sur le banc, Matthieu continua le mouvement doucement. Une fois à la garde, il recula encore plus doucement.
— OH ! MON ! DIEU !
Mathilde cria chaque mot avec une intense frustration et continua :
— Va plus vite, je suis au bord de l’explosion !
Mais Matthieu ne tenait plus qu’à un fil.
( Oh là! Je vais essayer de reprendre mon calme avant de mettre le turbo, sinon je vais lâcher la purée et elle va se plaindre que ç’a été trop rapide.)
Il s’enfonça délicatement, se concentrant pour ne pas jouir.
— Oh ça arrive, je le sens !
Mathilde n’arrivait même plus à respirer, elle sentit monter l’orgasme depuis son bas-ventre jusqu’au cœur.
— Plus vite ! Plus vite !
Sous les suppliques il se décida enfin à accélérer. Il poussa plus rapidement, une fois en butée il n’attendit pas et recula d’un coup sec et ressortit.
— Oh merde, pleurnicha Mathilde. Je suis en feu à l’intér...
Il la pénétra un peu plus fort que la première fois.
— Humrrr ! Fit-elle en serrant les lèvres pour ne pas crier.
Il entama un va-et-vient court et régulier.
— Ooooh ! Ooooh ! Je... oh oui... je ! Je ! Oh là là!
Progressivement, il amplifia ses mouvements jusqu’à la pleine pénétration. Il sursauta quand Mathilde se mit à crier à la mort, les "Oh oui !", les "J’en peux plus !" et autres requêtes résonnèrent dans la maison. Après moins d’une minute, Mathilde ne disait plus que des "Ah" en boucle.
( Je ne vais pas tenir encore longtemps, j’accélère mais ce sera sûrement la fin.)— Oh oui ! Je... Oooooaaaaaaah.
Matthieu sentit les contractions du vagin de sa sœur, sa verge fut délicieusement serrée provoquant son éjaculation. Il poussa, dans un dernier élan, son membre au plus profond provoquant de nouveaux râles chez son amante. Il éjacula, après la fellation il ne pensait plus avoir de jus mais il en fut bien détrompé. Le sperme s’échappa de la fente et coula sur le banc de musculation.Mathilde, la tête entre les mains posée contre le banc, tremblait et ne pouvait pas arrêter. Son frère se retira et glissa au sol où il s’allongea.
— On a vraiment déconné là, dit-il en regardant le plafond. J’ai éjac...
Sa sœur lui couvrit la bouche avec la main gauche. Elle se laissa doucement tomber sur lui. Ses cheveux couvraient son visage il ne vit pas son expression. Il voulut parler mais la main le bloquait toujours. Au moment où elle se dégagea c’est la bouche de Mathilde qui la remplaça. Elle l’embrassa, il ne vit rien mais la douceur du baiser le surprit tellement qu’il ne la sentit le masturber. Une fois dure de nouveau elle le fit de nouveau pénétrer en elle.Son corps fut parcouru de frisson et spasme. Elle descendit sur le membre jusqu’à sentir sous ses fesses le contact des cuisses de son frère.
— Il faut qu’on arrête Math, supplia-t-il.
Elle ne l’écouta pas et commença à le chevaucher doucement. Il ne voyait toujours pas son visage et décida d’écarter ses cheveux.
— Tu m’écoutes un peu, il faut...
Le visage de sœur à découvert, le figea. Elle le regardait dans les yeux et en silence. Elle ne l’avait en fait, pas quitté du regard. Celui-ci exprimait une telle excitation qu’il ne put finir sa phrase et à l’inverse de ce qu’il disait plus tôt, il durcit encore plus.En réponse, elle se mit à gémir de plaisir et dit :
— Ma chatte est en pleine extase, je sens ta queue me ramoner, jusqu’au bout... c’est grisant je crois que je...
Elle fut coupée lorsque son frère se jeta pour lui lécher les seins puis il lui passa la main droite derrière la tête et l’embrassa. Ses abdos étaient soumis à rude épreuve mais il ne lâcha pas une seconde.Enfin il se laissa retomber, de ses mains il saisit les fesses et lui imposa un rythme soutenu. Elle le laissa faire avec un grand sourire. Un plaisir torride la traversait, elle arrêta de compter le nombre d’orgasme petits et grands qu’elle eut.
— Oh, j’adore ta queue... je l’a veux encore et encore et...
Cela devint une longue litanie jusqu’à ce qu’elle s’écroule sur la dernière poussée de Matthieu. Celui-ci palpa sa sœur pendant un long moment, il avait peu éjaculé sur cette dernière érection mais cela ne l’étonna guère. Tout de même, il sentit sa verge réagir à chaque fois qu’il caressait les seins et les fesses de son amante.Elle s’allongea sur de tout son long, le sexe à demi dure s’échappa avec un bruit mouillé. Le sperme coula de la fente qui resta légèrement entre-ouverte. Il caressa les lèvres du sexe avec un plaisir sans fin.
— Elle tremble sous mes doigts... c’est trop mignon.— Je ne peux plus bouger alors là, tu peux me faire tout ce que tu veux.
Il l’a pris au mot et enfonça profond dément son majeur dans le sexe offert.
— Salaud, tu ne m’as pas encore assez enfoncée ?
Il retira son doigt tirant avec une bonne quantité de sperme. Elle se serra contre lui en frissonnant des pieds à la tête.
— Ça fait un peu mal.— Désolé, j’arrête et d’ailleurs je pense qu’il est peut-être temps de se lever et de nettoyer tout ça puis j’imagine que l’on va avoir une bonne conversation.
Elle releva la tête du buste de son frère où elle se trouvait parfaitement à l’aise pour dormir. Elle posa son menton entre les deux pectoraux.
— C’est moi, ou baiser t’as rendu un peu plus intelligent.
Il sentit de la colère monter mais en voyant le visage doux et fatigué de sa sœur, une seule chose lui vint à l’esprit. Il mit ses mains sous les aisselles de Mathilde et rapprocha son visage du sien pour l’embrasser à pleine bouche. Elle passa ses bras derrière sa tête.Ils savaient tous deux que ce qu’il venait de faire était de l’inceste et que jamais ils ne le referaient alors pour ces quelques heures qu’ils leur restaient ils en profiteraient encore.La verge gonfla de nouveau plus lentement mais elle vint au final se rapprocher de fente. Elles se frôlèrent, se touchèrent, se frottèrent et enfin se collèrent.Matthieu dégagea sa bouche, Mathilde lui fit des bisous sur les joues et dans le cou.
— On le refait... une dernière fois... enfin si tu n’as pas trop mal.
Tout en continuant de lui faire de bisous elle se repositionna comme précédemment, elle leva les hanches, la verge vint se positionner à l’entrée de son sexe. Elle descendit tout doucement en jetant un regard malicieux à son frère. Le gland pénétra sous leurs soupirs communs...
— ON EST RENTRÉS ! Cria leur mère au-dessus.
Sous le coup des émotions mélangé de luxure et de peur, Mathilde glissa la verge la pénétra jusqu’à la garde leur provoquant un orgasme commun.
— Vous faites encore du sport.
Mathilde que l’orgasme et la verge toujours en elle avait mis KO ne répondit que du charabia mais heureusement Matthieu avait l’esprit clair.
— Oui on est en train de ranger, on remonte d’ici quelques minutes.
Il leva sa sœur, dégageant sa verge, un long filet de sperme la suivit. Il allongea Mathilde sur le banc qui prit une pose lascive.
— Allez, viens encore une petite fois pour la route.
Il resta coi devant le summum de luxure qu’elle représentait, il se sentit comme une bête féroce prête à la dévorer. Il entendit sa mère se rapprocher dangereusement de l’escalier.
— Non, c’est fini.
Il entra dans la petite salle d’eau se nettoya, puis remit son débardeur. Il retourna dans la salle.
— Merde ! Siffla-t-il entre ses dents. Tu vas arrêter.
Mathilde se doigtait en jouant avec le sperme contenu par son vagin.
— Regarde ton short et tu verras que ta grosse queue donnerait tout pour revenir dans ma petite chatte.
Il s’approcha et sentit bien que son short ressemblait à un chapiteau.
— Réveille-toi un peu on dirait que tu es bourrée, les parents sont juste en haut et...
Il fut coupé lorsqu’elle attrapa son membre par-dessus le tissu, elle se releva tout en le masturbant.
— Je veux bien arrêter mais je n’ai plus rien à mettre... la faute à qui, dit Mathilde dans une ivresse de sexe.
Elle voulut sortir le sexe de son frère mais il la repoussa et la souleva.
— Ooooh ! Fit-elle surprise.
Dans la salle de bain, il lui mit de l’eau froide sur le visage. Elle couina mais ça eut l’avantage de la réveiller. Il repartit ramasser les affaires déchirées de sa sœur en se demandant bien ce qu’il lui avait bien prit. Deux minutes plus tard elle sortit de la salle rafraichit et nettoyer.
— T’es une brute, dit-elle alors qu’il se rapprochait avec ses affaires.— Tiens je te rachèterai un bas et une culotte et voici un pantalon que maman laisse en bas.— OK pour le leggin mais ne m’achète pas de culotte.
Elle enfila le pantalon de jogging en faisant en sorte de faire frotter ses fesses contre son frère.
— Je me sens complètement dans le gaz, dit-elle. Je n’ai jamais été aussi bien et en même temps fatiguée.— Tu m’aides à nettoyer ? demanda-t-il avec un regard de chien battu.
Elle lui fit oui de la tête. En cinq minutes ils réussirent le miracle de retirer toutes les traces de sperme et autres sécrétions. Puis Mathilde lança en l’air :
— Ça sent tellement le sexe que ça me donne envie de prendre ton gros gourdin et de me le coller dans la chatte.
Matthieu déglutit avec difficulté pour trois raisons, la première étant qu’il avait furieusement envie de laisser sa sœur faire comme elle le souhaitait, il se réfréna ; la seconde était que l’odeur dans la pièce lui apparut comme un coup de poing dans le nez, il ouvrit toutes les fenêtres ; et la dernière fut le pas souple de sa mère descendant les voir. Il attrapa des altères sur le support et lorsqu’elle entra, il les remit en place.
— Alors vous deux ça s’est bien passé cette séance.
Elle les regarda tous les deux.
— En vous voyant on sent que cela a été dur, ton débardeur est trempé ma chérie et toi c’est ton short, finit-elle par dire en pointant du doigt son fils.— Et votre apéro avec le collègue de papa ? Demanda Matthieu, pour changer du sujet.— Il nous a appelés sur la route pour nous dire que sa femme faisait une migraine carabinée et que ça ne servait à rien de venir. Dans le coup, on a fait des courses pour faire un apéro dînatoire et regarder un film, alors à la douche tout le monde on commence dans une heure. Elle se retourna et s’arrêta :
Snif... SnifElle renifla dans l’air et haussa les épaules. Matthieu souffla mentalement.Elle monta suivit de son fils et enfin de sa fille, qui prit un malin plaisir à palper les fesses qui la précédait.La fratrie monta prendre sa douche, Matthieu entra dans la salle de bain et Mathilde se faufila à l’intérieur.
— Tu sors, c’est fini, c’était marrant mais c’est fini.
Il l’éjecta de la salle de bain avant qu’elle ne puisse répliquer.Une heure plus tard sa mère les appela, ils passèrent une bonne soirée. Matthieu fut inquiet que sa sœur tente sa chance avec lui mais elle était dans état proche du coma et s’endormit pendant le film.
Le lendemain matin, Mathilde eut le réveil le plus bizarre de toute sa vie. Elle fut presque certaine que ça le serait pour le restant de ses jours, enfin presque certaine.
— Qu’est ce qui m’a pris hier ?
Elle se repassa tout le film dans sa tête, en plus de la dégouter cela trempa son pyjama. Elle se leva avec sûrement la pire des gueules de bois, celle de l’ivresse sexuelle.
— J’étais bourré hier, au plutôt je me suis faite bourrer...
Merde ! J’ai du sperme qui me coule entre les jambes... bon bah, à la douche...J’étais allumée comme un soleil hier parce que malgré tout ce que m’a balancé mon pompier de frère, en fin d’après-midi et hier soir j’étais encore chaude comme la braise...J’ai dit des choses terribles et dégueulasses...)Elle prit sa douche.
— J’ai mal à la chatte bordel, c’était ma première fois et j’ai pris un truc épais comme un concombre...
Et putain ! Qu’est-ce que c’était bon !Non, pas bon ! Pas bon du tout... enfin j’ai joui tellement de fois que j’ai presque perdu la tête... alors c’était bon ! C’était vraiment bon !)Elle sortit de la salle de bain nue comme un vers et se retrouva devant son frère, elle lui fit un bisou sur la bouche et continua son chemin comme-ci de rien n’était.
( Putain je viens de lui faire un smack sur la bouche ! Qu’est ce qui déconne chez moi.)
Elle entra dans sa chambre.
Matthieu la regarda fermer sa porte, haussa les épaules et descendit prendre son petit-déjeuner.J’ai le bout rouge de tout ce qu’on a fait hier. J’espère juste qu’elle ne souffre pas trop, c’était sa première fois et à vrai dire la mienne aussi...
— Je me suis déjà amusé c’est sûr... mais pas à ce point-là.
Enfin, c’est terminé... oui oui terminé... même si quand elle est sortie nue de la salle de bain, j’ai bien failli lui sauter dessus.Il ne faut pas oublier ce qu’il s’est passé mais ne jamais le refaire... enfin « jamais », c’est long...Pourquoi je me dis ça, moi ? C’est ta sœur et c’est déjà bien assez glauque comme ça, sans vouloir en rajouter...Bordel, j’ai jamais autant éjaculé, même pendant mes marathons masturbatoires quand j’étais plus jeune...Faut qu’on en parle, crever l’abcès et avancer, fin de l’histoire.)Il prit son petit-déjeuner et sa sœur arriva lorsqu’il lava son bol.
— Et vous deux, vous avez oublié de fermer la fenêtre hier soir ! Ce matin pour ma séance il y faisait un froid de canard.— Désolé maman, j’avais la tête ailleurs, dit Matthieu.
Elle regarda sa fille et celle-ci finit par dire :
— Idem que Matt.
Elle leva les yeux au ciel et laissa ses enfants en leur disant :
— Il est 9h30, vous avez des exams à préparer alors au boulot, on mange vers 12h30. Votre père est repartit au boulot alors on ne l’attendra pas pour manger.
Matthieu alla dans sa chambre sans ce le faire dire deux fois ; Il entendit quelques minutes plus tard sa sœur faire de même. Il bossa, difficilement jusqu’à midi et décida d’aller aider sa mère pour préparer le déjeuner.Arriver en bas, il vit que Mathilde avait eu une idée identique. Ils se regardèrent et rougirent.
— Puisque vous êtes là tous les deux, Math tu prends les assiettes pendant que je vais chercher les légumes au garage. Matt tu sors le fait-tout et la petite cocote.
Ils s’activèrent et se retrouvèrent vite seul et sans activité, ce qui pour eux n’était jamais bon signe. Mathilde s’approcha de son frère récupérer son portable et celui-ci qui cachait péniblement son érection l’attrapa au passage par derrière et glissa ses main dans t-shirt de geek Wooki. Il avait vu qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.Il lui prit les seins et les massa, il était dans état second, elle tourna le visage pour l’engueuler, il l’embrassa à pleine bouche, sa langue s’enfonça dans la bouche telle une lance.Elle lutta essayant de se dégager, mais ses forces diminuèrent fortement et enfin disparurent. Elle resta esclave de son frère, elle retomba sur ses talons. Elle glissa sa main dans son dos et attrapa le paquet de son frère, qu’elle massa.
— Pourvu qu’il ne me penche pas en avant et me prenne. Pourvu qu’il ne m’enfonce pas sa queue dure chaude dans ma chatte.
Pourvu... pourvu... pourvu qu’il me baise.)Leur mère arriva bruyamment, ils l’avaient complètement oubliée. Ils se séparèrent, Mathilde se retourna rouge comme une pivoine et regarda son frère dans les yeux, même si ce n’est pas ça qu’elle voulait voir.Il fit désoler avec la bouche sans émettre de son. Il sourit mais elle non et lui mit un puissant coup de poing dans le ventre qui le plia en deux. Elle fuit dans sa chambre.Il réussit à se remettre juste avant que sa mère n’arrive.Mathilde ferma sa porte et s’énerva elle mit des coups dans l’air et finit par se rendre compte...
— Putain je suis encore trempée !
Sale enfoiré de bâtard de mort, je vais, je vais le...Putain, je vais le sucer et bouffer son sperme.)
Matthieu demanda à sa mère si elle avait besoin de quelque chose, celle-ci le regarda bizarrement et dit :
— Tu es tout rouge, tu vas bien ?
Il se tendit et répondit comme-ci de rien n’était :
— Tout va bien, si tu n’as besoin de rien je vais monter bosser un peu avant de manger.
Une fois son fils sortit, elle dit à voix haute pour elle-même :
— Et au fait, mon cœur je peux savoir pourquoi t’as une grosse trique ?
Fugitivement, elle repensa à ce qu’elle avait senti hier dans la salle de sport. Mais elle ne réussit pas à comprendre pourquoi.Ils mangèrent le midi tranquillement, à la grande surprise de tout leur mère, il n’y eut pas un mot plus haut que l’autre pas trop de piques envoyées de part et d’autre de la table. Elle n’eut même pas à faire l’arbitre entre ses enfants. Après le déjeuner, Mathilde joua aux jeux vidéo et Matthieu partit faire une marche, Karine décida de l’accompagner.
Lorsqu’ils rentrèrent, bien que l’air soit glacé, ils étaient en sueur. Ils virent que le père n’était pas revenu du travail, Karine respira longuement pour ne s’énerver.
— Je file sous la douche, dit sombrement Karine. — Moi aussi, dit-il en frottant le dos de sa mère pour la réconforter.
À l’étage Mathilde entendit son frère avant de le voir.
— On est rentrés, dit-il avec entrain.— J’ai cru deux secondes que c’était un diplodocus qui montait l’escalier, mais je suis rassuré ce n’est que toi.— Ha ha ha, ironisa-t-il. Je vais prendre ma douche avec le soleil j’ai sué comme un porc.
Elle rit doucement sans quitter l’écran des yeux et ajouta :
— Ça je sais que tu es un gros cochon.
Il leva les yeux au et repartit en répondant :
— Et qu’est-ce que ça fait de toi ?
Elle répondit tout bas :
— Une femme qu’aime la saucisse de cochon.
Elle attendit que la douche démarre et attrapa un élastique, elle se fit un chignon avec et se leva de sa chaise en retirant ses vêtements. Elle sortit nue comme un ver de sa chambre. Elle pénétra dans la salle de bain à pas de loup. Elle disposa sa serviette de bain plié en deux par terre puis celle de son frère, faisant ainsi une couche épaisse sur le carrelage. Elle se mit à genoux et attendit.Lorsque Matthieu sortit de la douche, il avait eu des pensées impures, comme il les appelait, sur sa sœur positionnée de façon suggestive avec une ou deux de ses copines à lui. Si bien que lorsqu’il vit sa sœur qui l’attendait toute nue, son érection explosa.
— Je te fais une dernière pipe et après on arrête tout et on n’en reparle jamais, dit-elle en l’appelant du doigt.
Il hocha la tête et s’approcha en silence.
— T’es déjà bien en forme.
Elle attrapa le membre dur et mouillé, puis le masturba avec vigueur. Elle leva la verge et goba les testicules. Elle joua avec dans sa bouche. Les jambes de Matthieu se mirent à trembler. Sa sœur relâcha son scrotum et dit :
— Tu restes debout, pas le droit de t’assoir, c’est ta punition pour avoir failli nous faire prendre.
Elle passa sa lèvre inférieure sur le frein de la verge. Il se retint de la forcer à la prendre en bouche. Elle glissa doucement le gland entre ses lèvres et lécha avec de petit coup de langue l’urètre qui goûtait de pré-sperme.
— Oh bordel, souffla-t-il au bord de l’explosion.— Tu ne lâches rien, hein ? Résiste quand même un peu.
Facile à dire pour toi.Elle commença une fellation classique mais doucement. Elle massa les testicules et une fois bien en rythme, elle regarda son frère dans les yeux.
— Tu es trop sexy comme ça, je t’adore, dit-il avec une envie folle.
Il lui caressa les joues et les cheveux. Il tira sa tête pour pénétrer la bouche plus profondément. En souriant elle accepta de faire plusieurs fois des gorges-profondes. Elle la sortit ensuite pour la frotter sur son visage.
— C’est la dernière, alors je veux que me lâche tout ce que tu as... je veux te vider... je veux voir tes couilles sèches.
Elle reprit sa fellation mais plus violemment, avec férocité et un appétit dévorant. Elle aspira fort laissant de temps à autres son frère complètement hébété. Il essaya de résisté le plus possible mais il sentit la sève monter.Mathilde retourna sur les testicules, joua avec et les sentit se contracter légèrement. Du sperme gicla un peu et tomba dans ses cheveux. Elle s’en fichait mais elle ne voulait pas qu’il éjacule comme hier.
— Tu sens que ça vient ?
Il n’osa pas répondre et se contenta d’hocher la tête.Elle se redressa fit caresser ses tétons avec la verge.
— Allez gicle... laisses toi aller.
Elle passa le gland d’un sein à l’autre créant un sillon de salive et sperme mélangé. Elle mit le frein sur son téton gauche et le titilla avec son téton.
— Putain, je vais...
Il se concentra mais avec ses paroles douces et excitantes, il ne résista pas longtemps.
— Tu sens mon téton ? C’est doux, il rêve juste de se faire arroser par ton foutre alors ne le déçoit pas.
Il éjacula et réalisa le rêve du téton, il n’avait pas autant de sperme en banque qu’hier mais bientôt la poitrine de Mathilde se retrouva striée de ligne blanchâtre et translucide. Entre ses doigts, elle ressentit les contractions la verge.
— OK, OK, dit-elle, le souffle court, en se relevant. C’était cool, mais maintenant il faut...
Elle se vit dans le miroir.
— ... oh là là... il faut que je me lave.
Elle se caressa les seins étalant le sperme avec des tremblements tellement elle était excitée. Matthieu, qui avait eu un petit moment d’absence, ouvrit les yeux sur sa sœur en pleine action sur ses seins.
— Tu vas bien ? demanda-t-il avec un petit sourire.
Surprise, elle se retourna vers lui surprise de le voir là, elle ne savait plus où elle était ni ce qu’elle faisait au moment où la première giclée avait arrosé son téton.
— Oui tout va bien, répondit-elle en se penchant en avant pour récupérer sa serviette.— Je ne peux pas faire quelque chose pour toi ? Lança-t-il innocemment.
Elle s’arrêta dans son élan, la main à quelques centimètres de sa serviette. Elle regarda derrière elle et vit que son frère avait repris du poil de la bête.
— Non c’est bon, dit-elle d’une voix aiguë, je vais juste prendre une bonne douche.
Il s’avança posa une main sur le dos de sa sœur toujours penchée. Il positionna son membre à l’entrée du sexe de sa sœur.
— T’es vraiment sûr de toi ?— Oui je suis...
Il la pénétra sans forcer et ce jusqu’à la garde.
— Oh putain, s’écria-t-elle en attrapant les barreaux du sèche-serviette en face d’elle.
Elle jeta un œil à son frère et lui souffla
— Fais-moi jouir une dernière fois avec ton chibre.
Il effectua de puissants va-et-vient. Un léger jet d’urine sortit à chaque coup de reins.
— T’aime ça, commença-t-il à lui lancer, oh oui t’aime la queue de ton frère... oh oui quand elle s’enfonce.
Il ralentit, s’enfonça en douceur et ressortit à la même vitesse puis reprit avec force.
— Dis-le, continua-t-il. Allez, dis-le...
Mathilde résista mais les phrases de son frère, à l’instar de sa verge, réussirent à percer ses défenses et elle finit par susurrer tout bas:
— Je l’adore.— Quoi j’ai rien entendu.
Elle le redit plus fort :
— J’adore ta queue.— C’est vrai ? Alors elle va se donner à fond.
Il amplifia ses mouvements et la pénétra au plus profond qu’il pouvait. Mathilde gémit et de plus en plus fort à mesure qu’elle sentit arriver de petits orgasmes qui annonçaient quelque chose de bien plus gros.
— Oh oui ! S’exclama-t-elle, un moment.— Pas trop fort Math, lui demanda son frère. Maman va finir par t’entendre.— Ta gueule et bourre moi, éructa-t-elle sentant la fin arriver fort.
La bouche, fermée aussi fort qu’elle pouvait, commença à s’étirer vers le haut. Matthieu sentit les jambes de sa sœur lâcher. Il la tint par les hanches et continua à la besogner. Soudain elle se tendit et long jet d’urine tomba sur les serviettes au sol.Mathilde, la bouche grande ouverte sur un cri muet, se figea. Elle sentit un poids se détacher d’elle, une enivrante sensation la baigna.
( L’orgasme d’hier était surprenant et brutal... mais celui-là était attendu et libérateur.)
Un liquide coula le long de ses grandes lèvres, le sperme de son frère gicla contre se fente. Il avait retiré son sexe ne voulant pas éjaculer à l’intérieur.
— Oh c’est mignon tu ne voulais pas jouir dans ma chatte... t’aurais dû y penser hier quand tu m’as remplis, car là, t’en a foutu par tout pour rien.
Il pinça du bec et desserra les mains qui retenaient les hanches de sa sœur. Celle-ci voulut tenir toute seule mais ses jambes n’écoutèrent rien et elle se retrouva de nouveau à genoux. Le membre dégoulinant de son frère vint se coller à son visage.Elle ouvrit la bouche pour protester et Matthieu en profita pour s’y engager.
— Humpf ! Fit-elle en s’étouffant à moitié.— On ne parle pas la bouche pleine.
Elle grogna en expulsant la verge qui rebondit ensuite sur son visage. Elle le repoussa et prit sa serviette;
— Bon voilà, c’est fini, dit-elle en s’essuyant tous les endroits de son corps dégoulinant de sperme et autres sécrétion.— OK pour moi, je n’ai qu’une parole.
Il se lava au lavabo pendant que Mathilde, qui n’avait pas vraiment le choix partit dans la douche.Matthieu sortit et referma la porte comme-ci de rien n’était et rentra dans sa chambre. Karine observa les mouvements de son fils, nu avec ses fringues sur l’épaule.
— Qu’est-ce qu’il se passe ici, chuchota-t-elle. Pourquoi il sort de la salle de bain à poil alors que sa sœur est dans la douche et surtout... pourquoi il en sort avec une demi-molle.
Elle se promit de surveiller leur comportement avec attention.
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