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Chapitre 2

Noël

Inceste
Noël 2016.Noël arriva bien vite pour Matthieu et Mathilde. Leurs parents ne soupçonnaient pas du tout, enfin surtout leur père, qu’ils avaient partagé un week-end de sexe incestueux et débridé. D’ailleurs, cela ne s’était jamais reproduit, même si, en quelques occasions, ils se chauffèrent mutuellement. Mais rien n’avait entravé leur serment de ne jamais réitérer ce qui était arrivé dans la salle de sport puis dans leur salle de bain.Deux jours avant Noël, leurs parents les informèrent du fait qu’ils partaient voir de la famille à l’étranger au matin de Noël. Ils rejoindraient la cousine de leur père qui avait récemment perdu son mari.
— Pardon ! s’exclama Matthieu. Vous partez le soir du réveillon de Noël... et sans nous.— On n’a pas eu le choix, expliqua son père, c’était les seules places qu’il restait. On y va la voir pour la soutenir.
Matt savait que son père avait toujours été proche de sa cousine malgré la distance qui les séparait de la Guyane.
— Je sais bien, mais fêtez Noël sans vous c’est...— ... pas concevable, dit Mathilde, finissant la phrase de son frère. Je sais que tu es triste Papa, mais un Noël sans nos parents, c’est dur.
Leur père eut les yeux qui brillèrent et commença à renifler. Matt en colère dit :
— Qui va nous chouchouter et préparer le petit-déjeuner de Noël, le déjeuner de Noël, le goûter de Noël, le dîner de Noël et surtout nous faire un bisou dans le lit avant de dormir ? énonça très sérieusement Matthieu en comptant sur ses doigts.
Toute la famille le regarda avec les yeux ronds, ne sachant pas s’il était sérieux ou non. Les larmes de son père se séchèrent vite et il regarda son fils de façon peu amène. Sa mère prit la parole avec un soupçon d’indignation.
— Je vais tout vous préparer, vous n’aurez qu’à tout réchauffer, dit-elle avant de terminer sur une note sinistre, même le goûter.
Matthieu hocha la tête et dit :
— Bon alors, je vous dis bon voyage et j’espère que vous pourrez aider Séverine à passer ce moment douloureux.
Il prit son père dans ses bras et le serra fort.
Tout le monde sourit, surtout Mathilde dont la bouche qui, plus qu’un heureux sentiment, exprimait une épiphanie.
Le réveillon de Noël se passa à merveille, tous les invités partirent repus et heureux. Leur oncle emmena leurs parents avec lui, car il habitait non loin de l’aéroport. Lorsque Mathilde ferma la porte sur ses parents au bord des larmes, elle se tourna vers son frère.
— Tu auras ton cadeau demain, dit-elle.— Je me disais aussi que tu ne m’avais rien offert, dit-il, rassuré. Mais cool, moi aussi je t’ai prévu un petit quelque chose pour le matin Noël.— Oui, mais comme je n’ai qu’un seul cadeau, je préfère te le donner demain, répondit-elle avec le rouge aux joues, on va dire que l’on se rejoint vers 11h sous le sapin.
Matthieu fut surpris, mais hocha la tête.
— OK.
Il marcha vers la salle à manger pour récupérer ses cadeaux.
— C’est cool que tout le monde ait aidé pour la vaisselle, comme ça, on a qu’à se coucher.
Il éteignit le sapin, attrapa ses paquets et monta l’escalier. Sa sœur fit de même et le suivit en éteignant les lumières.
— C’est clair, en plus le repas s’est trop bien passé, je ne savais plus où me mettre avec tous les compliments que j’ai eus.— C’est sûr qu’avec du sport régulier, tu es devenue canon, la complimenta-t-il d’une voix fatiguée.
Il ouvrit sa porte le premier dans le couloir, et se pencha pour l’embrasser. Sans réfléchir, elle posa ses lèvres sur les siennes. Le baiser fut rapide, mais sur la bouche, ils rougirent et se souhaitèrent bonne nuit. Chacun alla se laver les dents, mais ils firent bien attention à ne pas se croiser.Le lendemain matin, le réveil de Matthieu sonna un peu avant 11h. Il ouvrit les yeux avec difficulté.
— J’ai bien fait de mettre mon réveil sinon je ne me serais jamais réveillé.
Il bâilla, s’étira, enfila son haut de pyjama et attrapa le paquet pour Mathilde. Il se sentit comme un petit garçon lorsqu’il descendit l’escalier pour voir le cadeau de sa sœur. Il vit que le sapin était allumé alors qu’il l’avait éteint avant d’aller se coucher.
— Elle voit les choses en grand. Ça me rappelle quand on était gamin et que les parents préparaient notre arrivée le matin de Noël.
Il entra doucement dans la salle à manger avec un sourire d’enfant, mais ce que Matthieu vit, ne le fit pas sentir comme un petit garçon, seulement comme un homme avec des besoins et un cadeau pour les assouvir.Mathilde était à genoux devant le sapin, dans une tenue très sexy, du papier cadeau couvrait sa poitrine, un gros ruban rouge l’entourait au bas-ventre et venait se terminer sur un superbe nœud qui retombait sur ses fesses. Elle était bien maquillée et même mieux coiffée que pour la soirée précédente. Elle portait un petit chapeau d’elfe de Noël et avait des bas épais rayés rouge et blancs, qui lui montaient jusqu’à mi-cuisses. Il banda si rapidement que cela fut douloureux.Elle commença à se lever, mais il l’arrêta.
— Ne bouge pas, je viens.
Il se mit à genoux devant elle et posa son cadeau sous le sapin.
— Joyeux Noël, Matthieu, dit-elle d’une petite voix.
Il vit à quel point le sport l’avait changée. Son corps était sublime, pas beaucoup de formes, mais le tout était parfaitement harmonieux et bien dessiné. Sa peau lisse couleur albâtre et satinée lui donna des envies de sexe sauvage. Son visage doux imposa à son esprit des images de sperme étalé dessus.
— Joyeux Noël aussi, petit elfe.
Il la prit dans ses bras et se leva comme si elle ne pesait pas plus lourd qu’un oreiller de plume. Sa sœur le regarda en se mordillant la lèvre inférieure.
— Il est fort comme un bœuf... et il en a la queue...
Il s’assit sur le canapé. Elle se mit en amazone sur sa cuisse droite, ses jambes pendantes vers l’entrejambe de son frère.
— Le matin de Noël, commença-t-elle avec un sourire mutin, tu as le droit de déballer tes cadeaux.
Il tira sur le nœud qui se défit sans forcer. Il laissa apparaître un fin string rouge sombre en fine dentelle. Puis il s’attaqua au papier cadeau qui couvrait la poitrine. Il commença à le déchirer doucement et quelque chose d’entre les seins de sa sœur chuta. Il rattrapa l’objet et vit en y regardant de plus près que c’était un tube de lubrifiant décoré, pour l’occasion, avec un petit sapin et des étoiles. Le reste du papier chuta et laissa voir la petite, mais si mignonne, poitrine de Mathilde. Ses seins pointaient vers l’avant, les aréoles de ses tétons, d’un rose pâle, étaient des cibles de rêve pour ses lèvres, il n’avait qu’une envie, les sucer. Les tétons se durcirent sous son regard, il haleta. Elle attendit qu’il termine son exploration visuelle et lui dit en le regardant dans les yeux :
— Pour ton Noël, tu peux avoir tout ce que tu veux et en plus, t’as aussi le droit...
Elle se rapprocha, écrasant sa poitrine contre le torse de son frère, pour lui susurrer à l’oreille,
—... de sodomiser ton petit elfe de Noël.
Beaucoup de choses auraient pu lui passer par la tête, mais la seule discernable pour son cerveau fut :
— Ah, le tube de lubrifiant s’explique.
Ils s’embrassèrent à pleine bouche. Elle passa ses bras derrière sa tête alors que lui parcourut le corps de ses mains. Il la repoussa pour lui sucer rapidement les seins avant de se déshabiller, sa queue tendue apparut devant les yeux de Mathilde la faisant loucher, sa mâchoire se décrocha. Après un moment, elle releva les yeux et chuchota en haletant :
— Elle suinte, c’est terriblement érotique.
Il finit de retirer son haut.
— J’ai trop envie de la sucer, continua-t-elle.
Un quart de seconde plus tard, une goutte tomba de l’urètre sur ses bas. Un long fil visqueux les reliait.
— Oh mon Dieu ! cria-t-elle en se jetant dessus.
Son frère fut surpris de la force avec laquelle elle aspira sa verge.
— C’est bon, c’est si bon, répondit Matthieu aux coups de langue de sa sœur.
Ses jambes tremblèrent, elle le força à s’asseoir sur le canapé. La verge s’échappa de sa bouche.
— Non ! dit-elle en la rattrapant de sa main droite et en la frottant sur son visage. J’adore ta queue, elle m’a tellement manquée.— Tu lui as manqué aussi.
Elle continua de frotter le frein le long de ses lèvres. Un petit jet éclaboussa sa langue. Elle l’aspira en jetant un clin d’œil gourmand à son frère. Il fit un « oh » quand elle commença une fellation telle une furie.
— Si tu continues comme...ça, je ne vais pas tenir bien longtemps.
Elle le relâcha en ressortant le membre de sa bouche avec lenteur.
— Oh oh oh, fit Matthieu en se retenant d’éjaculer.
Elle rit et lui lança :
— Tu te prends pour le père Noël.
Il pouffa. Elle masturba le sexe et massa les testicules avec douceur. Elle le regarda de nouveau dans les yeux et continua :
— On va prendre notre temps, je veux te sentir jusqu’au plus profond de mon corps.
Elle mit son pouce sur le frein et fit de petits cercles.
— Je veux sentir chaque centimètre de ta matraque me pénétrer avec vigueur, partout où elle pourra entrer.
Le discours et la tension sexuelle dans leurs regards firent exploser Matthieu. Du sperme suinta rapidement à l’urètre. Mathilde sur le qui-vive, se jeta en avant la bouche ouverte. Un puissant jet sortit, tel un volcan en éruption, celui-ci lui cogna directement au fond de la gorge. Elle réussit à ne pas tousser et serra les lèvres autour de gland. Deux autres jets de bonnes puissances explosèrent contre sa langue. Sa bouche se remplit, elle crut devoir finalement ouvrir la bouche, mais heureusement, la source se tarit. Elle essora la verge sous les soupirs de plaisir de son frère.
— Je suis KO, dit-il en laissant tomber sa tête en arrière sur le dossier du canapé. Tu viens d’aspirer ma force vitale.
Mathilde ne répondit pas, elle se leva de sa position à genoux, se pencha vers lui et força son frère à la regarder en le tirant par les cheveux.
— Eh, se plaint-il doucement.
Sa sœur ouvrit et avec sa langue, joua avec le sperme. La mâchoire de Matthieu tomba devant ce spectacle terriblement excitant. Ensuite, elle ferma et avala le tout. Elle frissonna et dit en ouvrant grand la bouche :
— C’n’est pas très bon, tu sais.
Il banda aussi sec.
— Ouh là ! s’exclama-t-elle, déjà prêt pour la suite mon Matt.
Elle se mit dos à lui et commença à baisser son string tout doucement. Il chuta à ses pieds. Matthieu ne put se contenir, il attrapa les fesses, les écarta et plongea le visage sur la fente d’où coulait un liquide clair et visqueux, il y mit un grand coup de langue.
— Wow, fit Mathilde.
Elle trembla sous la sensation et faillit s’effondrer. Matthieu retint sa sœur et l’assit dans le canapé, il échangea leur place. Il lui écarta les jambes et positionna l’encolure du genou gauche sur son épaule.
— J’ai toujours eu envie de te rembourser depuis les pipes de juin dernier, expliqua-t-il. Je te jure que je ne m’arrêterai que quand tu n’en pourras plus.
Elle rougit comme jamais et dit simplement :
— Challenge accepté !
Matthieu passa sa langue sur le sexe. Elle ne put se retenir de lui caresser la tête, elle sentit la bouche contre sa fente lui faire de petits baisers qui l’électrisèrent.La langue de son frère parcourut l’extérieur de ses grandes lèvres, ce fut une torture pour Mathilde, car à chaque fois que le bout pointu de la langue approchait de son clitoris, celui-ci passait au-dessus ou rompait le contact pour reparaître juste après.Matthieu se concentra, il fit tout pour la chauffer sans aller trop loin dans les zones les plus érogènes.
— J’espère vraiment qu’elle prend son pied.
Il resta sur le méat pendant plusieurs secondes, le léchant, le frottant sur ses lèvres et y fit des bisous. Il joua ainsi sur le pourtour du sexe plusieurs minutes.Mathilde supporta très mal ce traitement. Elle ne pouvait s’empêcher de couiner ou de contracter ses jambes sous le petit jeu pervers de son frère.
— S’il te plaît bouffe ma chatte et...— Dis donc, la coupa-t-il, je ne me souviens pas que tu m’as écouté lorsque tu performais ta pipe sur moi.— C’est maintenant que tu t’en plains ? ironisa-t-elle.
Matthieu pinça du bec et répondit avec malice :
— Si tu continues, j’arrête.
Elle leva les yeux au ciel et dit faussement :
— Si tu veux, d’ailleurs, je ne te trouve pas très doux...
Il chahuta rapidement du bout de sa langue le clitoris qui, par son long travail sur le pourtour du sexe, ressortait de son capuchon. Mathilde se tut.
— Alors tu veux vraiment que j’arrête.
Il recommença plusieurs fois.
— Alors, tu ne dis plus rien.
Elle secoua la tête avec dérision et pointa du doigt sa fente, lui intimant de reprendre ce qu’il faisait. Il passa sa langue dans le pli entre les grandes et petites lèvres.
— Ouuuuuh.
La tête de Mathilde retomba sur le canapé, les sensations la privèrent de force. Elle changea la position de ses jambes et posa ses pieds sur les omoplates de son frère. Il embrassa l’intérieur de ses cuisses. Elle entremêla ses doigts dans la chevelure de Matthieu. Il attrapa ensuite dans sa bouche les petites lèvres et les suçota.À chacune de ses actions, sa sœur perdait pied, ce premier cunnilingus l’éprouva au plus haut point. Il attaqua alors le cœur du sexe, il fit pénétrer sa langue d’un centimètre dans le vagin et sentit la chaleur qui s’en dégageait.
— Elle est chaude... j’ai presque cru me brûler le bout de la langue.
Il remonta jusqu’au clitoris et doucement, le chahuta de haut en bas puis de droite à gauche. Mathilde plaqua ses mains le haut de son visage couvrant ainsi ses yeux.
— Il y a quelque chose... de bizarre... je... oh mon Dieu... je... oh putain...
Elle se mit à trembler. Il en profita pour pousser son avantage en faisant de petits cercles autour du clitoris puis à appuyer fort dessus en le frottant en continu du bout de sa langue.
— Non... s’il te plaît, arrête... je vais exploser.
Il sentit les doigts de pied de sa sœur se recroqueviller contre son dos.
— Hum... humrrr... humrrrrr...
Elle commença à avoir des attaques, son corps se contracta violemment, mais il ne lâcha pas l’affaire.
— Oh non non... je vais... je sens...
Sa respiration devint erratique. Matthieu augmenta le rythme qu’il imposait à sa langue malgré la douleur qu’il ressentait en elle.Le corps mince et tendre se tendit d’un coup tel un arc. Les mains de Mathilde l’attrapèrent par les cheveux plaquant son visage contre la fente.Elle va m’arracher le cuir chevelu si ça continue !Une longue plainte sortit de la bouche de Mathilde, elle monta dans les aigus et se finit sur un cri terrible.
— Woooow AAAAAAAH !
Le corps de Mathilde se relâcha. Elle devint toute flasque. Lui, resta la tête entre ses jambes et embrassa la peau douce de l’intérieur des cuisses.
— J’ai l’impression d’être libérée d’un poids immense, je me sens si légère.
Elle caressa le dos de son frère avec ses pieds.
— Tu as fait un travail d’orfèvre et mon clitoris est diamant que tu as bien taillé.
Il rit et attrapa son t-shirt avec lequel il s’essuya la bouche.
— Merci du compliment, ça me fait super plaisir.
Il s’assit à ses côtés, il la souleva pour la poser sur lui.
— On dirait que tu es en chewing-gum.— T’as raison, j’ai l’impression que quelqu’un a coupé les fils qui me permettaient de bouger.— Alors, ça veut dire que tu es à ma merci, petite poupée désarticulée.
Il plaqua le dos de sa sœur contre sa poitrine et l’embrassa dans le cou et pressa les seins à la peau douce. Sa verge qui avait débandé pendant le cunnilingus reprit de la vigueur. Mathilde sentit vivement le dessus du membre dur de son frère se placer contre sa fente, puis elle la sentit pousser vers le haut.Elle voulut se lever à la force de ses bras, mais son corps en pleine overdose d’endorphine, ne l’autorisa pas à bouger. Elle tourna la tête vers Matthieu et lui lança un regard empli de désespoir. Il rit tout en la soulevant sous les fesses, il fit frotter son gland contre la fente puis le fit rentrer de quelques millimètres et le ressortit aussitôt.
— Putain, tout est un jeu pour toi, gronda-t-elle. Arrête de me taquiner et mets-la-moi profond.
Il pouffa avec ironie.
— Bien ! Vos désirs sont des ordres Madame.
Il la lâcha tout simplement sur son sexe tendu et suintant. Mathilde ouvrit grands les yeux puis la bouche, le membre lui en fit voir de toutes les couleurs, elle sentit son vagin s’étirer rapidement pour faire place. Ses jambes tremblèrent et un petit jet d’urine claire jaillit, arrosant le tapis et la table de salon. Après quelques secondes où elle faillit tourner de l’œil, elle siffla entre ses dents serrées :
— Hummmmmrrrr... t’es une brute ! J’ai l’impression d’être une balle de bilboquet.
L’analogie le fit sourire, il attrapa le menton de Mathilde et l’embrassa. Il caressa son corps et pétrit de nouveau la petite poitrine avec délice. Elle posa ses pieds sur les genoux de son frère et commença à se relever.Elle entama une douce remontée, les yeux fermés, elle prit du plaisir. Son corps chauffa puis brûla des sensations provoquées par cette barre dure qui la ramonait.Matthieu pinça les tétons de sa sœur.
— Ils sont superbes... ils m’excitent tellement.— C’est trop bon, chuchota Mathilde. Je veux ton foutre dans ma chatte.
Sa bouche s’ouvrit en grand et de sa langue, elle parcourut ses lèvres de long en large. Une idée vint à Matthieu, il lui mit l’index et le majeur de sa main droite dans la bouche de sa sœur. Elle se mit à les sucer avec force.
— T’aimerais une queue à sucer en plus de celle qui te prend ?
Elle lui envoya un regard salace et continua de sucer ses doigts. Elle ferma les yeux pour s’abandonner complètement au sexe. Au bout de deux minutes, elle dégagea sa bouche et dit :
— J’en peux plus, prends moi en levrette.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Matthieu retourna son amante et la besogna sous les encouragements de celle-ci.
— Défonce-moi ! J’en ai trop envie.
Sa phrase se termina sur une note hystérique.
— Je n’en peux plus... j’ai besoin de sentir son sperme me gicler dessus, dedans partout, oui... partout.)
La verge chauffa du frottement continu, Matthieu décida de lever un peu le pied, et ressortit doucement la verge de cet écrin de chair. La fente de Mathilde resta largement ouverte.
— On dirait que ta chatte est une bête sauvage avec la gueule ouverte, prête à me dévorer la bite.
Elle tourna la tête et lui dit :
— C’est tout à fait ça, alors donne-lui à manger.
Elle recula pour faire entrer l’objet de son désir en elle, mais son frère la bloqua et fit entrer son gland.
— Ça commence à devenir un peu sec.
Elle attrapa le tube de lubrifiant et lui tendit brutalement :
— Il n’est pas prévu pour ce trou-là, mais mets-en un peu pour aider.
Il retira le capuchon et mit une noisette de gel sur son gland. Il l’étala de ses doigts et repartit à l’assaut. La sensation de fraîcheur et de glissement étonna au plus haut point Mathilde qui se mit à gémir sous les coups de boutoir qu’elle reçut.
— Au bordel, c’est bon... continue comme ça... oh putain, cette sensation de glissement je... oh putain... je n’arrive même pas à la décrire.
Il accéléra puis ralentit, changeant de vitesse de façon irrégulière, ses sensations étaient à peu près au même niveau que celle de sa sœur, la peau de sa verge rafraîchie, lui changea ses perceptions.
— C’est bon... je crois que je sens la sève monter.
Il écarta la paire de fesses entre ses mains, il regarda la jolie pastille de sa sœur, il passa le pouce dessus. La réaction ne se fit pas attendre, Mathilde se contracta et eut un souffle court, mais elle ne dit rien.Il mouilla le bout son index et fit le tour de ce cercle parfait avec. Il n’appuya pas, mais resta juste au niveau de la peau. Le sphincter se contracta plusieurs fois.
— Ça te dérange ?— Non...ça... me... gêne... un... peu... mais... continue, dit-elle d’une voix secouée par les coups de reins.
Matthieu sentit ses lèvres devenir sèches, le fait de toucher, caresser cette partie tabou commença à l’hypnotiser. À chaque petit spasme du corps de Mathilde, son scrotum se contractait lui aussi.
— Oh ! chuchota-t-elle tout bas.
Elle essaya de restreindre ses cris, mais la tension montait en elle.
— Oh oui !
Elle serra les dents, mais lorsque son frère enfonça la première phalange de son index, elle ne tint plus.
— OH ! cria-t-elle, sa tête tomba contre le canapé.— OH ! OH !... OH !
Un grand sourire lui dévora le visage. L’orgasme la mit dans le gaz, elle ferma ses yeux et voulut s’allonger, mais son frère était toujours en elle. Matthieu éjacula lui aussi sous le coup de l’émotion. Il prit le temps de reprendre sa respiration.
— On dirait qu’elle a eu son compte... je n’ai pas éjaculé beaucoup... je peux et je vais tenir encore un bon moment... je pense que c’est maintenant ou jamais.
Il se retira doucement sous les soupirs de plaisir de sa sœur. Il attrapa le tube de lubrifiant, en mit une bonne quantité sur son sexe, puis en mit sur son doigt index, celui qui avait déjà engagé une exploration anale.Il étala le gel à l’entrée de l’orifice anal puis enfonça la première...Mathilde ne dit rien.Puis la deuxième...Pas de contestation.Enfin, la troisième phalange pénétra.
— Ouuuuuh ! fit Mathilde, la joue toujours collée du canapé, un gros filet de bave coulant sur le cuir.
Il fit tourner son doigt pour bien lubrifier l’intérieur.
— Ha ha... hi hi hi, rit Mathilde, étonnée de la sensation.— Je pense que c’est prêt, mon doigt est littéralement compressé, la sensation va être intéressante.
Il retira son doigt d’un coup sec.
— Eh ! Remets-le-moi, dit sa sœur en tortillant des fesses. Ça fait beaucoup moins mal, et c’est presque sympa.
Elle sentit quelque chose de dur contre sa pastille.
— Essaye de mettre deux doigts pour que je voie la différen...
Son anus s’écarta pour faire place à quelque chose de beaucoup, mais vraiment beaucoup plus épais qu’un doigt. Elle se releva sur son coude gauche, le front plaqué contre le dossier du canapé, la mâchoire et les yeux fermés. Matthieu pensa :
— C’est absolument énorme, je ne savais pas que ça pouvait autant s’étirer.— Oh putain de bordel ! Tu es en train de défoncer le cul.
Il stoppa son avance, elle put reprendre sa respiration.
— Ça te fait trop mal ? Si tu veux, j’arrête.
Elle répondit avec véhémence :
— Jusqu’ici ça va, alors je pense que ça ira pour le reste.
Il hocha la tête et lui fit une petite remarque :
— OK, mais je n’ai même pas rentré mon gland entièrement.— PARDON... comment ça, même pas le gland ! Putain de merde, si je le laisse faire, il va me fendre en deux. Changement de plan... la sodomie, c’est fini... on verra plus tard.
Elle se releva sur ses paumes, puis se tourna de côté pour repousser son frère de sa main gauche.
— Je crois que... oups !
Elle sentit sa main droite glisser sur la bave gluante qu’elle avait laissée sur le cuir du canapé, elle recula le bassin pour ne pas chuter en avant...
— Bah voilà, constata Matthieu d’une voix enjouée. Là, mon gland, il est entré.
Mathilde se sentit mal, la douleur fusa, mais au bout de quelques secondes, elle commença doucement à refluer. Elle avait senti chaque centimètre passer, elle était sûre de pouvoir dessiner tous les reliefs du gland de son frère. Celui-ci enfonça un peu plus sa verge.
— Merde, c’est tellement serré que je ne sais pas si je vais tenir longtemps ! s’exclama Matthieu.— Le plus dur est... passé, mais je t’assure que je sens bien ton gros gourdin transité dans mon colon.
Matthieu sentit sa verge se faire serrer, il haleta et ferma les yeux, se concentrant pour ne pas jouir trop vite. Il ne releva ses paupières qu’une fois en entier dans sa sœur.
— J’y suis, dit-il à sa sœur.
Mathilde leva les yeux au ciel.
— Et tu crois je ne le sais pas connard.
Loin d’apprécier le ton de sa sœur, il se vengea en lui mettant un petit coup de reins.
— Putain arrêêêêête !
Ses jambes tremblèrent et elle eut grand mal à rester à genoux.
— C’est trop... je le sens jusqu’aux tréfonds de mon être, j’ai mal à des endroits où je ne pensais pas avoir mal un jour... et l’autre demeuré qui me met un coup de reins.)— Espèce de salaud, ne t’avise pas de recommencer, j’arrive à peine à respirer.— Désolé Math, mais c’est vraiment trop bon, j’ai l’impression d’être dans un carcan de chaleur toute lisse...
Il commença à lui masser les fesses et les hanches.
—... J’ai trop envie de bouger.— Espèce de néandertalien égoïste, t’as intérêt à m’obé...
Elle ne peut terminer sa phrase, il lui mit une main sur la bouche et ressortit sa verge en ne laissant que son gland à l’intérieur.
— HuuummmmNooon ! cria-t-elle entre les doigts serrés de son frère.
Elle sut tout de suite ce qu’il préparait et ne fut pas déçue. Matthieu fit de nouveau rentrer sa verge, mais lentement et d’un mouvement continu. Cette fois, fini le petit jet d’urine claire, la vessie de Mathilde se vida entièrement par chance, sur les vêtements de Matthieu qui se sont retrouvés sous eux par leurs déplacements répétés.
— C’est ce que j’appelle une vidange expresse, dit Matthieu qui attrapa son t-shirt et son bas de jogging avec dégout et dit à sa sœur :— Si t’avais envie, fallait le dire tout de suite.
Il les jeta plus loin sur le carrelage.
— Je t’y verrais bien avec un salami dans le cul, s’il ne faut pas faire un peu de place.
Il commença des va-et-vient doux lents et réguliers.
— Ho, ho, ho, ho, ho !
Mathilde se sentit partir, l’excitation et la douleur se mélangeaient dangereusement au plaisir, son esprit fatigué divagua.
— Je me sens bizarre, ça fait toujours mal, mais ce n’est plus comme au début. Maintenant, ça fait tout chaud dans mon ventre... et quand la peau de mes fesses entre en contact avec lui... savoir que sa grosse queue me sodomise... passe dans ma petite pastille... je sens mon sphincter serrer sa verge dure et tendue...— Oh putain, c’est la grosse queue de mon frère qu’est train de trousser le cul ! Le gros nerf de bœuf veineux de Matt est en train d’enculer sa petite sœur chérie.— Ooooh ouuuuh ! souffla Mathilde en relevant la tête.
Celle-ci dodelina de tous les côtés.
— Aaaah ! Je le sens ! Oh oui ! Oh oui, va plus fort !
Matthieu répondit aux suppliques en accélérant ses coups de reins.
— Haaa oui ! Encule ta petite sœur bien fort ! Vas-y, encule-moi ! Défonce-moi !
L’hystérie de Mathilde gagna son frère, il commença à y aller franco. Il sentit l’éjaculation se rapprocher chaque seconde.
— Oh putain, c’est trop bon.— AhaaaAaaaa ! Je le sens venir.
Il fit une dernière poussée avant d’éjaculer. Mathilde se figea comme une statue les yeux exorbités, ses cuisses tremblant sous le dernier coup de boutoir. Elle sentit quelque chose couler sur son méat puis le long de son sexe. Elle regarda vers l’arrière par dessous et vit de sa fente goûter un liquide translucide et épais.
— Fiouh ! J’ai éjaculé jusqu’à la dernière goutte de mes bourses.
Il commença à reculer pour se retirer, mais sa sœur lui agrippa les hanches avec les ongles.
— Oh, oh, oh, oh... qu’est-ce que tu crois faire ?— Bah, je voulais me...— C’était rhétorique, le coupa-t-elle. Au moment où ta zigounette va se retirer, mon sphincter va vouloir reprendre sa taille normale et là... PUTAIN ! éructa-t-elle en sentant une douleur vive monter. Ça fait un mal de chien !
Elle regarda son frère :
— Mais qu’est-ce que tu fous bordel ?
Il la regarda en pinçant les lèvres.
— Bah, je débande moi.
Une puissante douleur amena les larmes au bord des yeux de Mathilde. Quelques secondes plus tard, elle sentit son sphincter expulser le sexe mou de son frère. Elle souffrit en silence, gardant les yeux et les dents bien serrées.Quelques minutes passèrent, la douleur reflua et elle s’autorisa enfin de parler à son frère.
— Espèce d’enfoiré ! T’aurais pas pu garder ton érection plus longtemps... c’était trop demander ?
Matthieu, avachi sur le fauteuil en face du canapé et la tête posée en arrière sur la têtière, pinça du bec et répondit à sa sœur sans ouvrir les yeux :
— Dis donc toi ! J’ai éjaculé quoi ? Deux ou trois fois et j’ai gardé la forme, je trouve que tu te plains rapidement.— Je me plains ? J’ai pris un salami dans le cul donc j’ai le droit de me plaindre !
Elle voulut s’asseoir sur ses fesses, mais sentit que cela n’était pas à l’ordre du jour et se mit sur le côté.
— Va falloir que tu me bouffes la chatte au moins cent fois avant que je parte pour te faire pardonner.— Et il commence quand ton stage déjà ?— Dans un mois, mais je pars un peu plus d’une semaine avant le temps d’aménager et de prendre mes marques.— Donc cent cunnilingus en moins de trois semaines ! Je vais avoir des crampes à la mâchoire.
Mathilde rit et caressa le genou de son frère avec le bout de son pied, ce qui lui rappela qu’elle avait une bonne quantité de sperme dans différents orifices de son anatomie.
— Merde, ça coule de partout ! cria-t-elle en se levant. Je file à la douche avant de recouvrir le sol de la maison.
Elle marcha en canard, la main sous son sexe pour retenir les coulures blanchâtres.
— OK, bonne douche, chuchota Matthieu.
Mathilde prit une longue douche, qui lui fit le plus grand bien. Elle s’habilla avec un vieux jean et un gros pull.
— J’ai passé la matinée à poil ou presque... j’espère que je n’ai pas chopé la crève.
Elle redescendit et trouva son frère endormi comme un bien heureux. Elle le secoua et lui dit d’aller prendre sa douche. Il se leva en maugréant, la démarche incertaine.Elle en profita pour récupérer ses affaires et commencer à nettoyer un peu les dégâts. Dans la demi-heure suivante, elle mit une machine en route avec le pyjama de son frère, plus son costume et nettoya le sol et le tapis devant le canapé.Matthieu arriva frais comme gardon après sa douche.
— Ça va mieux, la douche m’a fait un bien fou.
Il regarda sa sœur et secoua la tête.
— Tu aurais dû m’attendre pour le ménage.— T’inquiète, mais tu peux nettoyer le canapé.
Il s’approcha d’elle et l’embrassa langoureusement, il posa les mains sous ses fesses et les massa doucement.
— Dis donc toi, déjà prêt pour un nouveau round, lui dit-elle avec un sourire en sentant la trique de son frère contre son ventre. Mais non, il n’y aura plus rien, alors nettoie le canapé pour te rafraîchir les idées.
Il hocha la tête et dit :
— Les parents ont des produits pour le cuir sous l’évier.
À eux deux, ils réussirent le miracle de faire disparaître toute trace de leur activité perverse. Matthieu prit son temps pour effacer les traces de salive et autre sécrétion des coussins d’assise.
— Les parents reviennent dans deux jours, dit Mathilde. Tout aura séché d’ici là, mais on va quand même bien aérer la pièce.— Je vais faire à manger, dit Matthieu en partant vers la cuisine.—--------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Les quelques jours suivants furent très calmes, Mathilde se remettant difficilement des multiples pénétrations subies lors de leurs joutes incestueuses, si bien qu’ils ne firent rien de plus avant que leurs parents ne rentrent de voyage. Ceux-ci arrivèrent le vendredi matin, et lorsqu’ils les virent, ils surent dans l’instant que quelque chose n’allait pas.
— Poussez-vous ! cria leur mère.
Ils firent place nette devant la porte, leur père passa devant eux à la vitesse de l’éclair. Il s’enferma dans les toilettes. Matthieu sortit aider sa mère à ramener les affaires.
— Comme vous pouvez le voir, votre père est malade.— Qu’est-ce qu’il lui est arrivé ? demanda Mathilde en plissant le nez au son qui sortait des toilettes.— Il a mangé des acras à un vendeur à la sauvette devant l’aéroport.— De la street-food, avant de prendre l’avion ? s’exclama Matthieu.— Ce n’est pas un truc du même genre qui lui est arrivé la dernière fois aussi, ajouta sa sœur.— Exactement, soupira Karine. Je vais l’installer dans le canapé, elle prit une inspiration et ajouta, de plus, vous deux, ne restez pas là aujourd’hui, votre père va continuer comme ça un moment et moi, je suis claquée par le vol. Allez au ciné ou autre chose et revenez plus tard.— Ça fait une semaine que l’on s’est vu, on peut aider.— On remet ça à demain, répondit-elle à ses enfants, ce sera mieux.— OK.
Mathilde regarda ce qu’il y avait au cinéma et demanda à son frère s’il voulait voir quelque chose en particulier.
— Passenger, je n’ai pas eu le temps de le voir avec les fêtes.— Vendu, dit-elle en prenant ses affaires.
Ils sortirent en faisant un dernier bisou à leur mère. Karine demanda à son mari si tout allait bien, il répondit d’une voix, saccadée par la douleur, que d’ici une heure ou deux, il devrait être mieux.
— On a de la chance que ça ait attendu d’arriver à la maison ! Dans l’avion, les gens t’auraient maudit.— Tu parles, répondit-il. Il m’aurait jeté par la porte.
Il éructa et eut un long soupir, puis éructa de nouveau.
— Je crois en fait, que je vais bientôt crever.— En silence alors.
Elle partit vers le canapé pour le déplier. En s’approchant de celui-ci, elle sentit une forte odeur de produit ménagé. Pris d’un doute, elle vérifia s’il y avait la moindre tâche, mais fut ravie de voir que tout était propre. Elle enleva sur les coussins pour les mettre de côté. Un objet sauta d’entre les coussins, elle n’y fit pas attention et tira sur la sangle pour sortir le lit.
— Tu vas pouvoir venir te mettre dans le lit du canapé, tu seras au plus proche des toilettes.
Pas de réponse. Elle secoua la tête exaspérée. Elle ramassa les coussins et prit ce qui avait sauté du canapé. Elle mit les coussins en tête du lit-canapé et regarda rapidement ce qu’elle avait ramassé.
— Ça doit dater de Noël.
Elle se prépara à jeter le petit flacon, mais sentit que celui-ci était moitié pleine. Elle mit ses lunettes et lit au travers des dessins dessus.
— Manix, lubrifiant consommable...
Elle resta comme deux ronds de flan, complètement perdue.
— Ça... ce n’est pas un jouet de Noël, se dit-elle. Enfin pas un jouet pour enfant.
Elle le mit dans sa poche et se dit qu’elle allait devoir avoir une petite discussion avec ses enfants. Cette fois, la coupe était pleine et le doute, plus permis.
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