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Je suis bloqué

Chapitre 3

Inceste
Début d’année 2017.Matthieu, après son cadeau de Noël un peu spécial, resta rêveur quelques semaines avant que la dure réalité de ses examens ne le frappe. Sa sœur partit à l’étranger pour son stage d’école d’ingénieur, ne reviendra pas avant plusieurs mois et ne pourra donc pas l’aider à réviser. Alors il s’y mit avec forces, mais loin d’être un désavantage, l’absence de Mathilde l’aida à garder l’esprit clair et concentré. Un samedi en milieu d’après-midi, sa mère l’appela dans l’escalier :
— Matt, tu peux venir m’aider avec les courses.
Il rejoint sa mère et ils déchargèrent ensemble les sacs et les vidèrent.
— Au fait mon cœur, j’ai une question pour toi.
Il répondit "oui" du cellier où il rangeait les conserves.
— Tu as reçu quelqu’un pendant les vacances de Noël, quand ton père et moi étions partis.
Matthieu réfléchit bien loin des soupçons de sa mère.
— Non, je n’ai reçu personne.— Et ta sœur ?
Il réfléchit, certains jours il était sorti courir ou randonner, mais rien ne lui vint à l’esprit.
— Je ne pense pas, sinon elle me l’aurait dit.
Il retourna dans la cuisine où sa mère l’attendait avec quelque chose à la main.
— Alors peux-tu m’expliquer ce que faisait ce truc entre les coussins du canapé ?

(Le putain de tube de lubrifiant, je l’avais complètement oublié celui-là.)Il bloqua quelques secondes, détourna le visage et dit :
— Je ne sais pas... non, non, aucune idée.— Tu es sûr, insista sa mère en cherchant à croiser son regard.— Oui, et qu’est-ce que tu veux que je fasse d’un tube de lubrifiant ? demanda-t-il goguenard avec une assurance qu’il ne ressentait pas.
Karine fronça les sourcils et répliqua alors d’une voix dure :
— T’as de bons yeux toi... car moi j’en ai chié pour lire ce que c’est, avec les décos de noël dessus, alors toi qui l’a regardé à peine une seconde et à trente centimètres...
Il commença à suer son peu assurance à grosses gouttes.
— Euh...— Alors maintenant, finies les conneries, je veux savoir la vérité et...
Elle se mit à rire un peu.
—... On sait tous les deux que tu n’es pas très vif d’esprit et c’est pour ça que tu ne sais pas mentir.
Il rougit honteux de ce que venait de dire sa mère et de ce à quoi servit le tube de lubrifiant.(Si seulement Math était là, elle pourrait dégonfler ça en deux secondes....Faut dire elle sait gonfler et dégonfler les choses.)
— Eh oh, on ne se disperse pas, lui dit sa mère en claquant des doigts.
À ce moment-là, son cerveau entra en fusion pour sortir le plus beau mensonge de toute sa vie. Il réussit à monter une histoire que personne ne pourrait prendre en défaut, crédible avec des témoignages et un récit haut en couleur.
— Je ne voulais pas en parler, mais j’ai une copine, qui est venue et...
Sa mère le coupa aussi sec.
— Tu mens et t’as baisé ta sœur.
Il ouvrit la bouche et resta muet. Le pire dans ce genre de situation, qui ne dit rien consent.
— Et faut pas avoir deux de QI, pour se dire que le tube était le cadeau pour la défoncer.
Il plissa les yeux au moment où sa mère le gifla. Puissante, celle-ci lui fit voir du blanc pendant quelques secondes.
— Tu sais que c’est dégueulasse, fulmina-t-elle. Ça fait presque un an que je soupçonne quelques choses, mais là, tout se confirme.
Elle voulut le gifler de nouveau, mais se retint.
— Celle-là, elle est pour ta sœur, dit-elle en lui faisant signe de le suivre, tu vas tout me raconter, je veux tout savoir.
Choqué comme il était, il réussit tout de même à biaiser son histoire en feintant, il expliqua :
— C’est lors la première séance de sport que je l’ai fait jouir... sans le vouloir. Je lui ai fait faire des étirements et ça l’a chauffée et après, elle m’a fait une pipe puis une autre et on a couché ensemble à Noël.
Sa mère l’accepta, mais fut aussi particulièrement choquée. Elle réfléchit et pour l’instant ne vit pas d’incohérence dans l’histoire.
— Si je comprends bien, tu lui as fait voir le poteau sans le vouloir et pour te récompenser elle te suce.
Il tiqua avec les termes un peu crus de sa mère, mais acquiesça. Elle y vit une coquille.
— Tu n’avais pas vu qu’elle avait joui ?
Il fit signe que non.
— Alors elle te l’a dit tout de suite et hop, une petite pipe.
Il fit signe que oui.
— Tu te fous de moi.
Il fit signe que non.
— C’est des conneries.
Il fit signe que non. Elle lui fit les gros yeux, il céda.
— Non, ce n’est pas tout de suite qu’elle m’a... sucé, dit-il d’une petite voix. Le lendemain, elle m’a chauffé et là... elle m’a...
Il laissa sa phrase en suspens. Son récit si clair et limpide dans son esprit devint trouble et épais après seulement deux questions.(Je ne suis pas fait pour mentir. Comme elle l’a dit, pas équipé pour ça.)
— Admettons, dit-elle sans vraiment y croire.
Il fit un "ouf" mental de soulagement.
— Explique-moi comment tu l’as chauffé sans t’en rendre compte.
Il lui raconta l’histoire du banc du coincé et des étirements. Elle retomba sur le canapé et la bouche couverte par sa main droite, elle réfléchit puis secoua la tête, comme si elle avait compris quelque chose.
— T’es une bonne poire, elle s’est juste servie de toi pour se faire dépuceler avant de partir en stage aux States.
(Ce n’est pas ça du tout, mais faisons comme si.)
— Et vu qu’elle n’a pas vraiment d’amis hommes...— Si, elle en a quelques-uns quand même, la coupa-t-il.— Oui, mais pas non plus des bêtes de concours.
Il ne put contrer cet argument.
— Vous n’avez rien fait d’autre ?— Non, on s’était promis, plus rien après.
Sa mère tiqua.
— On s’est promis, tu veux dire.— Euh... oui c’est ça.— Mouais, dit-elle suspicieuse.
Marc, le père de Matthieu entra à ce moment-là. Il regarda sa mère avec supplique. Elle mit un doigt sur sa bouche, il fit de nouveau un ouf.
— Alors vous deux comment allez-vous ? demanda Marc.
Il remarqua la joue de son fils et ajouta :
— Bah fiston qu’est-ce qui est arrivé à ta joue ?— Euh...
Karine répondit pour lui :
— Il s’est cogné.
Matthieu hocha la tête. Elle continua :
— Et en premier, bonjour, mon chéri ! répondit-elle acerbe. En second, tu n’as pas pensé à me dire où tu es parti ce matin pendant que je dormais et tu aurais pu répondre à ton téléphone.
(Le père est dans de sales draps et puis, je l’ai mis déjà de mauvaise humeur alors là...)
— Est-ce qu’excuses ma chérie, mais j’ai pensé à un agencement particulier pour la maison que je fais, qui va être génial.
Karine ferma les yeux d’exaspération, face à un mari qui ne pensait qu’à son travail d’architecte.
— Nous pensions, Matt et moi, aller dans la salle de sport, suer un coup, tu viens ? demanda-t-elle à son mari.— Je vous suis.
(OK d’accord, je crois que je suis bon pour obéir sans vraie liberté pour un moment...)Il monta se changer et descendit dans la salle ouvrir les fenêtres et sortir le banc. Ses parents arrivèrent en même temps, habillés de leur ensemble assorti, pantacourt et veste de jogging, ouverte pour son père et fermée pour sa mère.
— Ça fait un bout de temps que l’on ne s’est pas retrouvé tous les trois pour faire du sport ensemble ! s’exclama Marc.
Il réfléchit et ajouta :
— Ce doit être depuis que Mathilde s’y est mise.
Karine se tourna vers son fils et dit :
— Faut dire, grâce à Matt, elle a été des plus assidues dans la salle de sport.— C’est sûr fiston, tu sais y faire pour donner envie aux gens de faire du sport.— Oh oui c’est plus que sûr qu’il sait donner envie, ajouta sa mère en le défiant du regard.
Il fit le dos rond en attendant que l’orage passe.
— Je vous laisse quelques minutes, j’ai eu une petite idée pour mes modèles de chambre avant de commencer.
Il partit dans son atelier de maison miniature. Karine leva les yeux au ciel, lorsqu’il passa dans la pièce d’à côté.
— Je me mets sur le banc à fessier, dit-elle.
Elle s’installa et tira sur la manette de mauvaise humeur et coinça le tout.
— Eh merde !
Matthieu arriva et leva lui aussi les yeux au ciel.
— T’as encore rien graissé la semaine dernière, dit son fils avec fatalisme. T’es soûlante avec ça, ce n’est pas dur de mettre deux points de graisse pour ne pas bloquer les poulies.
Il commença à tirer sur les câbles et courroies.
— C’est super important de graisser.
Karine, en colère de se faire maintenant sermonner par son fils, lui envoya :
— C’est vrai que tu t’y connais en lubrification de pièce coulissante.
Il s’arrêta et se dit que, maintenant qu’elle abordait le sujet, la position dans laquelle ils étaient tous deux, lui provoqua un sentiment de malaise. Il baissa les yeux et vit que sa mère avait les siens rivés sur son paquet et penchait la tête de droite à gauche en pleine réflexion, le menton calé au creux de sa main gauche.
(C’est drôle, mais je le sens mal, mais vraiment très mal.)Il s’acharna sur une des courroies coincées tout en surveillant attentivement sa mère.Karine regarda les formes évoluées sous le tissu fin du short de son fils.(Alors comme ça, Mathi s’est retrouvé avec ça... collé au visage. Il est bien monté c’est certain, lorsque je l’ai vu sortir de la salle de bain j’ai eu un bon aperçu de sa longueur et de plus elle n’était pas tout à fait en érection.)
Elle remarqua que les pattes du short étaient amples. Elle entendit son mari fermer la porte pour s’isoler du bruit et de Matthieu jurant copieusement.Elle approcha son index du short et essaya de toucher la verge, mais l’entrejambe se déplaça rapidement. Elle se loupa et trouva un testicule sous son doigt. Elle recommença et se rata de nouveau. Cela l’énerva et se dit qu’il pourrait arrêter de bouger comme ça.
Matthieu amplifia justement ses mouvements afin d’éviter de se faire toucher.(Je dois avoir l’air fin à bouger comme si j’esquivais des balles ou encore de faire une flossing dance.)Karine finit par réussir à prendre le rythme et chahuta la verge sous le tissu en faisant des mouvements plus amples du bout de l’index. Elle pouffa à chaque fois qu’elle réussit.Matthieu se crispa, mais fit comme si de rien n’était en se disant qu’elle allait vite se fatiguer et s’arrêter. Après plus d’une minute de touche pipi, elle se fatigua effectivement, mais choisit d’aller plus en avant dans la découverte de l’anatomie de son fils. Elle attrapa entre le pouce et l’index le sexe mou et le roula entre ceux-ci.
(Fais chier ! Elle déconne complet... et je vais finir par bander...)Elle arrêta le roulage puis caressa du plat de la main la verge sur toute sa longueur.(Et voilà je bande.)La verge commença gonfler et à tendre le tissu.
— Ho, mais qui voilà ? demanda-t-elle en l’air.
Elle l’attrapa cette fois à pleine main à travers le tissu, elle serra et répondit à sa propre question.
— C’est l’objet du délit, la matraque de l’inceste, la terreur de l’hymen de Mathilde.— Ma... maman, papa est à côté, s’il te plaît.— Ta... commença-t-elle à dire.
Elle serra fort.
—... Ta gueule... tu la fermes, finit-elle avec un sourire vorace en écarquillant les sourcils.
Matthieu déglutit difficilement et continua :
— Mais... tu ne vas pas... hein... tu ne vas pas me faire le même coup...
Il laissa sa phrase en suspens. Elle leva les yeux vers lui et l’observa sans répondre quelques secondes, les yeux pleins d’innocence, puis continua son activité. Elle glissa la main droite dans le short par la patte gauche. Elle saisit le sexe à nu qui gonfla rapidement entre ses doigts. Hypnotisée, elle ne fit plus attention à son fils qui sifflait vers elle en secouant la tête vers la pièce où était son père.(Elle chaude et douce... agréable au touché.)Elle voulut faire sortir le gland par la patte pour voir ce que ça donnait de près, mais la verge était devenue trop tendue. Énervée, elle descendit simplement le short. La verge jaillit sous les yeux de Karine.
— Non, dit-il dans un souffle. Ça ne va pas recommencer.— Chut, fit-elle en manipulant la verge qui était maintenant en pleine érection.
(Pour une première fois, Mathi a dû la sentir passer.)Matthieu repensa au moment où, fou d’excitation, il avait pris sa sœur par-derrière. La verge reprit deux bons centimètres et commença à suinter.(Et merde, qu’est-ce que ce sont que ces nanas complètement perverses.)Karine massa les testicules et vit un peu plus de liquide sortir. Elle la regarda sous toutes les coutures.
— T’es chaud mon Matt.
(Faut qu’elle arrête... faut qu’elle arrête maintenant.)Elle masturba doucement la verge et observa les petits tressautements de celle-ci avec amusement. Elle caressa de la pulpe du pouce la ligne du frein, une grosse goutte se forma à la sortie de l’urètre. Elle fit un petit bisou sur le bout en souriant. Un fil de présperme relia sa bouche au gland.Devant ce spectacle, Matthieu resta sans voix la bouche ouverte, les yeux exorbités. Sa mère le regarda surprise de son propre geste et avec une moue coupable, lui dit simplement :
— Oups, je n’ai pas pu résister, elle trop attirante.
Elle eut un sourire gourmand, ouvrit grand la bouche et avala le gland et une bonne partie du sexe de son fils.
— Maman, Papa est juste à côté... tu ne peux pas faire et je suis ton... fils.
Elle lui fit un doigt d’honneur et signe de la boucler.(Elle me fait la même, bordel... je... je ne vais quand même pas baiser ma...)Elle le prit par les hanches et le ramena vers elle pour enfoncer le membre en érection plus loin dans sa gorge.(Le même coup de "gorge profonde" !)Elle fit le mouvement inverse quand elle arriva au bout de ce qu’elle pouvait avaler. Elle ressortit le tout puis suça avec passion le gland.
— Merde c’est trop, dit-il dans un souffle. Je vais...
Il ferma les yeux et leva la tête pour ne pas voir la suite des évènements. Du gland jaillit un puissant jet de sperme, mais Karine était prête à le recevoir, elle mit sa langue devant l’urètre contenant ainsi la pression de la semence. Cela ne la protégea pas de la quantité. Sa bouche se remplit, elle commença rapidement à avaler.Matthieu, les yeux fermés, entendit sa mère déglutir doucement. Il ne put s’empêcher de mettre de petits coups de reins dans sa bouche. Quand il eut terminé et qu’il commença à débander, il baissa les yeux.Karine finissait d’avaler et prit un malin plaisir à frotter sa langue de toute sa longueur contre le frein de la verge. Une fois rassasiée, elle leva les yeux en se léchant les lèvres et dit :
— T’as juté et pas qu’un peu... t’es un petit cochon avec ta maman.
Elle lui sourit en faisant des petits bisous sur la verge puis elle demanda :
— Ta sœur a réussi à faire pareil ?— Euh non... je... elle a... tout pris sur le visage.— Hum hum, pouffa Karine, elle a dû être décorée !
La verge de nouveau en bouche, elle suça fort, le membre durcit de nouveau sous la contrainte. Elle décida de changer de position. Elle se tourna pour être dos contre le banc, les talons ramenés contre ses fesses. Avec un grand sourire, elle frotta le scrotum de son fils contre son visage. Les testicules furent bousculés de droite à gauche.
— Faut que tu t’arrêtes maman, dit-il sombrement en se représentant sa mère comme une chatte qui joue avec deux petites pelotes de laine.
Elle lui jeta un regard à défroquer un pape et commença à tirer sur la fermeture éclair de sa veste de jogging, dévoilant ainsi ses seins serrés dans une brassière, qui aurait bien besoin de quelques centimètres de tissus en plus pour vraiment faire son travail.
(On dirait qu’elle avait prévu ce genre d’évènement.)Malgré ses cinquante ans, elle était superbe. Le sport régulier avait façonné un corps musclé à la peau tendue et lisse. Des formes épanouies finissaient de la rendre aguichante.(Mathilde n’a pas hérité de sa poitrine...à vrai dire je n’y avais jamais fait attention avant, mais ça déborde de partout. De plus, elle est vraiment canon... merde, je vais sûrement devoir la baiser.)Cette dernière remarque intérieure finit d’achever l’espoir de s’en sortir sans pécher davantage. Elle lui fit un clin d’œil et écarta les genoux, montrant son entrejambe où l’on discernait distinctement une ligne sombre sur jogging.
(Et bien entendu, elle mouille... je vais passer à la casserole.)Elle sortit le tube de lubrifiant de sa poche, elle l’ouvrit tout en continuant de mettre des coups de langue et des bisous à la verge.(Qu’est-ce qu’elle compte faire avec ça ?)Elle pressa le tube et mit du lubrifiant à la naissance de ses seins. Elle repoussa son fils pour pouvoir positionner le gland sur le pâté de lubrifiant.
— Maman, tu ne vas pas faire ça, chuchota-t-il furieusement.— Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans « ta gueule » ?
Elle sourit et le tira vers elle, la verge coulissa entre ses seins.(Je ne m’attendais pas au coup de la branlette espagnole inversée.)Une fois les testicules de son fils au niveau de sa bouche, elle en goba un et joua avec de sa langue. Elle pressa ses seins contre la verge, puis les fit glisser d’avant en arrière et de haut en bas.
— Merde ! Maman je ne vais pas tenir bien longtemps.
Elle cracha le testicule et dit :
— Tu viens juste de jouir ? Tu ne tiens pas le coup mon chéri, il te faut de l’entraînement.
(Je voudrais bien y voir quelqu’un d’autre dans ma situation s’il tiendrait bien longtemps.)Mais cela se finit plus rapidement que Karine ne le prévoit, elle entendit la poignée de la porte de l’atelier de son mari grincer. Elle repoussa son fils, referma sa fermeture éclair. Elle se remit à plat ventre et regarda son fils.
— Alors, qu’est-ce que tu fous range moi tout ça, lui ordonna-t-elle en tapotant du doigt le gland encore bien dur.
Matthieu était complètement perdu, il remonta son short et s’assit sur le banc à pectoraux.
— Sois mignon et obéissant toute la journée et tu auras un cadeau ce soir.
Elle entrouvrit la bouche et se lécha sensuellement les lèvres. Son fils resta coi la bouche grande ne sachant comment réagir.
— T’as vraiment l’air demeuré comme ça, dit-elle en se tournant et commençant ses exercices.
(Elle se moquait de moi en fait il n’y a pas de cadeau prévu ! Putain... elle est comme Mathilde toujours à se foutre de ma gueule...)Marc sortit enfin de son atelier et se mit sur le vélo. Son fils ne le vit même pas, les yeux perdus dans le vide. Quelques minutes plus tard, Marc posa une question à son fils.
— Alors fiston, tu t’es déchargé sur ta mère ? entendit Matthieu.
La question de son père le choqua et la réponse fut expéditive :
— Quoi ! J’ai rien fait ! C’est elle qui m’a obligé à ça ! répondit-il en haussant la voix.— Oh là ! Ne t’emballe pas fiston, je ne vais pas te punir pour ça, ta mère l’a bien cherché, dit-il en levant en faisant signe à son fils de s’apaiser.
(C’est clair, c’est elle qui doit être punie... faire faire ça à son propre fils.)
— Je sais bien, elle est chiante quand elle s’y met. Elle fait ce qu’elle veut et nous, on doit faire avec.— Pareil que Mathi pas une pour rattraper l’autre, dit Matthieu.
Marc regarda son fils perplexe.
— Je ne suis pas d’accord avec toi, ta sœur est plutôt consciencieuse dans l’entretien des machines.
(Ah... bien sûr, il parlait de ça... comment j’ai pu penser à autre chose.)
— Ah ta mère... quand elle veut quelque chose, elle sait l’obtenir.— C’est trop vrai, répondit son fils.— Si elle sent une faiblesse, elle te mange tout cru.— Ça, je l’ai bien compris.— Fais attention, sa sœur est pareille, et à vrai dire, la mienne est encore pire.— Je ferais encore plus attention maintenant.
Karine releva la tête de sa machine et leur dit :
— Eh oh vous deux ! Assez parlé au turbin !
Marc rit et chuchota à son fils "pas commode".La journée passa tranquillement, Matthieu bossa ses cours et arriva le soir. Il s’inquiéta de ce que lui a dit sa mère. Il décida de la jouer fine et prit l’option de rester avec ses parents à regarder un film et d’aller se coucher en même temps qu’eux. Pour éviter ainsi que son père et lui ne se couchent pas à la même heure.
(De toute façon, demain c’est dimanche les parents n’iront pas se coucher tôt. Ils iront ensemble dans leur chambre qui est en bas... idéale.)Chemin faisant, sa mère ne pourra pas s’en sortir. Il se surprit lui-même de son raisonnement.(Je crois que Mathilde a raison ! Peut-être que le sexe me rend plus intelligent...)Sûr de son fait, il descendit rejoindre ses parents qui bullaient devant une émission quelconque. Lorsque 19h45 arriva, sa mère se leva pour faire à manger, son père la suivit mettre la table et l’aider, il dit à son fils de ne pas bouger et plutôt de se reposer de ses révisions.
(Me reposer... moi ! T’irais moins bosser et tu passerais plus de temps avec ta femme on n’en serait pas là... et de plus, comment veux-tu que je me repose ? Vu que je ne sais pas dans quel traquenard je vais me retrouver... si c’est comme avec Mathilde, je ne vais pas le voir venir et je ne vais rien pouvoir y échapper.)
Leur dîner fut léger, ils discutèrent des prochaines échéances de Matthieu et des nouvelles de Mathilde sur son stage à Austin. Ils débarrassèrent rapidement, Marc s’écroula sur le canapé aux côtés de sa femme et commença à piquer du nez dans la seconde.
Matthieu parla fort pour l’éveiller.
— Vous voulez que l’on mette un film, ils ont ajouté pas mal de choses sur Netflix.— Mets ce que tu veux, dit son père.
Il choisit un thriller avec un peu d’action. Le film commença et au bout de cinq minutes, son père s’exclama :
— Trop compliqué pour moi ce soir ! Bonne nuit, les petits.— Mais Papa... commença Matthieu en cherchant désespérément un argument pour le faire rester.—... On peut le regarder demain ensemble et tout le monde se couche tôt.— Mais non, fiston, regarde donc ton film avec ta maman.
Celle-ci jeta un regard vicieux à son fils, celui-ci regarda de l’autre côté une goutte de sueur lui coulant le long du cou.Karine se leva et Matthieu sursauta. Elle sortit du salon vers la cuisine et une minute plus tard revint avec une bouteille d’eau. Son fils la regarda et pinça les lèvres si fort qu’elles changèrent de couleur.
(Elle n’a plus de soutif ! Je vais passer à la casserole.)Elle enleva le premier bouton de son chemisier. Matthieu, par réflexe, regarda le décolleté. Karine le vit et lui sourit. Il regarda de l’autre côté l’air coupable. Presque une demi-heure de film passa sans évènement particulier, sinon le ronflement de Marc qui débuta dans la chambre parentale.
Karine regarda son fils et se demanda comment celui-ci avait pu croire une seule seconde qu’elle ne découvrirait rien.(Mathilde est intelligente, mais là, elle n’a pas été maligne et puis, nul doute que son pervers de frère a maquillé une partie de la vérité. Je suis sûr que la vérité toute nue est plus surprenante encore. Et qui aurait cru que tous les deux se trouveraient un atome crochu... un crochet de forme phallique.)
Elle posa son pied sur la cuisse de Matthieu, elle le caressa.(J’ai cédé à l’appel de la chaire, et pour ça, sa queue et son corps sont comme un appel de sirène pour un marin en mer depuis deux ans et bien sûr, je n’y ai pas résisté. Je me dégoutte, jamais je n’aurais cru cela possible, mais ça doit faire plus de six mois que je n’ai rien fait et encore...)
De la pointe des orteils, elle appuya sur le paquet de son fils. Une fois, puis une autre fois.(Et voilà que mon fils baise sa sœur et moi qu’est-ce que je fais pour le punir ? Je l’suce. Et bon Dieu que c’était bon de l’avoir en bouche. Oh ! Mais qui voilà qui se réveille.Ouh là ! C’est un réveil brutal ! Elle est déjà si dure.)Matthieu repoussa le pied, mais elle le remit en place aussi sec.(Je m’amuse comme une folle, faut dire je suis un peu folle de faire ça... c’est moi ou il y a une petite tâche sur son pantalon... c’est trop mignon, il mouille pour sa maman.)Karine eut un grand coup de chaud, elle sentit son entrejambe devenir humide. Elle ramena son pied vers elle. Elle se mit à quatre pattes et se dirigea vers son fils tel un félin vers sa proie. Elle posa son index sur la petite tâche, celle-ci enflait à chaque soubresaut de ce qu’il se tendait en dessous.
La chaleur envahit d’un coup Karine telle une fusée qui rentre dans l’atmosphère. Par réflexe, elle se mordit la lèvre inférieure et regarda son fils.Matthieu regardait sa mère jouer avec sa tâche au moment où elle s’est tournée vers lui, il croisa son regard.(Putain de bordel à cul ! Elle est carrément shootée ! Elle a des pupilles de la taille d’un frisbee. En plus, j’ai croisé son regard, c’est dangereux de croiser le regard d’un animal enragé... Elle va me sauter dessus.)
Ni une ni deux, Karine se jeta sur la bouche de son fils, elle l’embrassa tout en défaisant son chemisier. Elle sentit les mains de son fils lui palper les seins et lui caresser les tétons. Surprise du consentement de Matthieu, elle perdit pied.
— Oh ! Oh oui, fit-elle en libérant sa bouche de leur baiser. T’es bon mon Matt, tu viens de me faire jouir sans même m’avoir baisée... alors je n’imagine même pas quand je vais rentrer bien profond ta belle queue.
Lui, les mains en l’air en signe de reddition, regarda sa mère se lever pour finir de se déshabiller.(Qu’est-ce que j’ai fait bordel ? Je n’ai pas voulu ça... mais ses seins m’ont appelé, je n’en ai jamais eu d’aussi gros en main, je n’ai pas résisté et...)Le pantalon de Karine chut à ses pieds.(... Elle est nue, mais elle n’avait pas de culotte. Bravo, mon Matt, après ta sœur, ta mère et les deux peuvent te faire faire ce qu’elles veulent.)Karine s’agenouilla et tira sur le pantalon de jogging de Matthieu, elle lui enleva puis tira sur son boxer, révélant l’énorme érection. Celle menaçait d’exploser une seconde à l’autre. Elle n’attendit de retirer le sous-vêtement. Elle sauta à califourchon et se planta sur la verge. Elle poussa jusqu’à la ressentir entière en elle.(Et voilà, tu baises ta mère.)
— Oh, c’est vraiment le pied ! s’exclama Karine d’une forte d’émotion. Je t’aime et j’aime ta putain de queue.
Elle s’emballa et partit dans un grand rodéo. Matthieu resta très calme, le sexe de sa mère était totalement différent de celui de sa sœur. Moins serré, mais avec bien plus de texture. Il se rendit compte rapidement que quelque chose n’allait pas, les sensations étaient trop fortes, bien trop fortes. Au bout d’à peine trente secondes, il posa ses mains sur les hanches de sa mère poussa dessus tout en contractant ses fesses.(Et voilà, tu viens de jouir dans ta mère.)Un "Humpf" rauque sortit de sa gorge. Sa verge toucha à quelque chose dure au fond de sa mère. Le sperme s’échappa et coula sur ses testicules.Karine, quant à elle, dans un premier instant fut déçue que son fils éjacule si rapidement. Néanmoins, au moment où de force il s’était enfoncé en elle, elle en avait vu de toutes les couleurs.(Il ne s’est pas lâché pour rigoler.)Elle se leva difficilement, ses jambes légèrement tremblantes. Du sperme s’écoula le long de ses jambes.
— Tu as été encore plus cochon que ce matin avec ta maman.
Elle posa son pied sur le genou gauche de son fils, toujours assis dans le canapé. Il put regarder son sperme s’écouler lentement de la fente et le long de la jambe gauche de sa mère.(C’est dingue qu’après ce matin, j’ai eu assez de sperme pour produire ça.)
— Le spectacle te plaît dis donc ! s’exclama-t-elle en voyant la verge doucement se redresser.
(Je n’ai absolument aucun contrôle sur cette partie de mon corps. Je dirais même que c’est elle qui me guide de temps en temps, comme avec Mathilde sur le banc de musculation.)
— Mais tu sais tu vas être puni, dit Karine.
(Hein ?! Comment ça puni. Je n’ai absolument rien fait de mal...à part...à part... jouir en ma mère sans lui demander son avis. J’ai donc... fait quelque chose d’encore plus mal.)
— C’est pour tout ça ? demanda Matthieu en indiquant l’entrejambe de sa mère.— Quoi, dit-elle en regardant vers le bas. Le sperme, non pas du tout j’ai adoré.
Elle en racla un peu à la sortie de son sexe et suçota ses doigts. La mâchoire de Matthieu tomba et sa verge eut un grand sursaut d’énergie.
— Tu as joui trop vite, je n’ai pas eu le temps de jouir avec ta queue, t’es vraiment pas sympa.
En se mettant à quatre pattes sur le canapé pour récupérer ses affaires qu’elle avait jetées de l’autre côté. Puis pour bien marquer sa déception, elle ajouta :
— Tu es un vilain petit garçon, très vilain garçon, qui n’a pas bien fait ses devoirs.
Matthieu, comme au moment où Mathilde avait abusé de lui sur le banc de musculation, prit la mouche. Il se leva, s’étira un peu et attrapa brusquement les hanches de sa mère.
— Eh, qui qu’est-ce que tu crois faire ? s’exclama Karine.
Elle sentit la verge de son fils la pénétrer d’un coup sec.
— Ouh ! Espèce de brute, stoppe ça tout de suite.
Elle sentit les mains de Matthieu se resserrer autour de ses hanches et se dit qu’il n’allait pas s’arrêter. Il mit rapidement quelques coups de reins tapant à chaque fois au plus profond, puis il passa sur des mouvements courts juste à l’entrée du sexe de sa mère.
— Oooh mon chéri, j’adore...
Il reprit un rythme plus soutenu sans aller au plus profond, mais rentrant plus de la moitié de sa verge. Karine subit avec délice cette levrette. Elle sentit un peu de bave couler à la commissure de ses lèvres et sut qu’elle allait voir le bout.
— Oh maman, c’est trop bon, lâcha Matthieu qui sentait déjà la sève monter.
Il décida de changer de nouveau de rythme. Il s’enfonça au plus profond et mit des petits coups de reins très rapides. Il espéra que cela ralentirait un peu son éjaculation.
— Oh Matt, qu’est-ce que tu me fais... c’est trop gros je sens que je... que je...
Histoire d’assurer, le coup Matthieu changea de position. Il attrapa sa mère par l’épaule droite et laissa sa main gauche sur la hanche. Avec cette nouvelle prise, il put y aller un peu plus fort, juste ce qu’il fallait pour Karine.
— HOOOO ! cria sa mère. OH OUI !
Elle sentit du sperme s’écouler de nouveau de sa fente. Ce fut une extase pour elle.
— Oh, mon chéri, tu peux être fière de toi.
Matthieu s’écroula sur son dos, puis glissa le long du dossier du canapé. Karine s’allongea au côté de son fils. Elle attrapa le sexe de celui-ci.
— Il est encore un peu dur.— C’est même un peu douloureux.— Oh mon pauvre bichon, si tu crois que chez moi ce n’est pas un peu douloureux.
La tête s’écroula vers celle de sa mère. Ils s’embrassèrent à pleine bouche, leur langue jouant dans la bouche de l’un puis de l’autre. Sentant des contractions du sexe de son fils, elle relâcha sa bouche et lui dit :
— Attends un peu, je vais te la délasser un peu.
Elle frotta le membre tout gluant contre son visage puis le suça, elle massa les testicules puis les lécha.
— Merci, maman, je crois que ça va mieux.
Son sexe reprit une taille normale. Matthieu attrapa les seins de sa mère alors qu’elle se préparait à se lever. Elle se glissa au-dessus de lui et il les téta avec un plaisir sauvage. Ses mains parcourent le corps musclé et souple de sa mère, il malaxa ses fesses.
— Faut que tu arrêtes maintenant mon chéri.
Elle essaya de se dégager, mais en vain.
— Je pense que tu as eu ton content de câlin maternel alors...
(C’est pas possible... quelque chose frotte contre ma chatte et cette chose... est dure.)Elle joua du bassin glissa le long de l’objet en question. Elle frissonna.(C’est une putain machine à baiser mon Matt, mais je crois que moi j’ai eu mon compte.)Elle fit glisser sa fente sur la verge, elle sentit sa bouche saliver.(Après tout, si elle est là pourquoi ne pas en profiter, mais demain je vais avoir du mal à rester assise.)Alors elle leva plus haut son bassin et sentit le gland de son fils se positionner idéalement. Elle descendit doucement, quand une porte claqua au loin. Matthieu qui n’était plus vraiment éveillé sursauta. Son gland pénétra brusquement sa mère, surprise celle-ci relâcha les muscles de ses cuisses. Elle glissa le long du membre turgescent, jouit et urina.
— Je suis désolé Matt, c’est sorti tout seul.
Il repoussa sa mère.
— T’inquiète, je sais ce que c’est.
Ils levèrent, Matthieu utilisa son T-Shirt pour essuyer les gouttes d’urine et d’autre sécrétion sur son ventre et sur le canapé.
— Passe à la douche avant te coucher, murmura Karine.— Ah bon ! lança-t-il avec sarcasme.— Eh oh, l’interpella-t-elle doucement en lui attrapant le sexe encore tendu.
Elle le masturba en le tirant vers elle.
— Tu parles à ta mère, je te prierais de parler meilleur que ça.
Il se sentit mal.
— Désolé maman.
Elle lui fit un bisou sur la joue, puis un sur la bouche puis un sur le gland. Elle éteignit la lumière en le repoussant. Des bruits de pas arrivaient dans le couloir. Elle s’y dirigea avec la torche de son téléphone.
— Bah mon amour, tu ne dors pas ? demanda-t-elle à son mari qui arrivait tel un fantôme dans le couloir.— J’ai cru entendre un cri.— C’est la télé, on l’a mise trop forte. Désolé de t’avoir réveillé.— Pas de soucis, comme ça tout le monde au lit.— Je pense que je vais prendre une douchette, bien fraîche pour me délasser avant de me coucher.— OK, à tout de suite.
Elle rentra dans la salle de bain, mit son oreille contre la porte. Elle attendit que Marc ferme la porte de la chambre.
— Ouf ! fit-elle dans un souffle.
(Heureusement qu’il faisait noir, et qu’il n’a pas allumé sinon, j’aurais eu du mal à expliquer ça.)Elle avait remis son pantalon, mais celui-ci était dans un tissu vert sombre très fin. De son entrejambe jusqu’à ses chevilles de grosses coulures se voyaient comme le nez au milieu de la figure.Le pire, les élastiques du pantalon aux chevilles étant lâches, le sperme avait coulé au sol à chacun de ses pas, et ce, depuis trois pas après le canapé. Elle prit sa douche, but un grand coup de flotte, mit une culotte avec une serviette hygiénique et sortit faire un grand nettoyage à la lumière de son téléphone.(Ce doit être ma pénistence...)Elle rit en silence.(Pénitence pas pénistence...)Elle s’arrêta de rire.(Je dois dire que ce qui est arrivé ce soir “m’habite”.) Elle rit de nouveau et continua ainsi le temps de retirer toutes les tâches de sperme qui s’étaient échappées d’elle.
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