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Je suis bloqué

Chapitre 4

Pas prévu 1

Inceste
Matthieu avait réussi à esquiver sa mère pendant ses concours. Le dernier avait eu lieu le jour précédent et ceux-ci s’étaient d’ailleurs plutôt bien passés. Le fait que sa sœur ne soit pas à la maison l’avait grandement aidé à garder sa concentration hors de son pantalon, cependant quelque chose restait à faire, la tenir informée des derniers évènements.Comment lui expliquer, tout ce qui est arrivé avec la mère ?Cette question le taraudait depuis un moment déjà. Il prit son courage à deux mains et commença à lui écrire un courriel :"Salut Mathilde,J’espère que tu vas bien et que ton stage est intéressant ? Pour moi, c’est la fin de ma période d’examen et je suis plutôt content de moi. Je te remercie pour ton aide dans mes révisions et j’espère que mes résultats seront au niveau de nos espérances. Tu te demandes bien pourquoi je t’envoie un mail, alors que l’on se contacte régulièrement ? C’est à propos de ce qui m’est arrivé dernièrement avec Maman. Tu sais quand tu disais que les parents ne faisaient plus rien au lit et que c’est pour cela qu’ils s’engueulent tout le temps ? T’avais raison, sauf que maman, maintenant, elle est beaucoup plus détendue. Elle n’a pas trouvé un amant, mais tu vois, elle m’a sauté dessus dans la salle de musculation, un peu comme toi d’ailleurs.T’es choquée ! Moi aussi je l’ai été. En fait, elle a découvert ce qui nous avons fait l’année dernière. Pas la sodomie de Noël, mais elle avait des doutes depuis un moment. Et tu me demanderas avec raison, comment ses doutes ont-ils disparu ? En fait, elle a trouvé le tube de lubrifiant décoré de sapin (oui je sais, je devais m’occuper de le trouver) et m’a interrogé.J’ai résisté du mieux que j’ai pu, mais au final, elle a lu en moi comme dans un livre ouvert. J’ai réussi à éluder le plus salace enfin... j’ai juste réussi à éluder la sodomie, qui est le plus salace.Sinon tu me manques beaucoup, enfin comme sœur, pas comme amante. Mais de temps en temps lorsque je pense à toi, je ne peux pas m’empêcher de revoir tes tétons tous roses, je rêve de les sucer. Je revois aussi ta chatte, que j’ai juste envie de dévorer et bien sûr à ton cul, quand j’y pense, j’ai juste envie... tu vois de quoi j’ai juste envie.Voilà, je te fais des gros bisous sur les joues.@+,Matthieu.PS : Maman m’a mis une méga gifle et elle en garde une en réserve pour toi lorsque tu rentreras à la maison."Matthieu termina son courriel la bouche sèche et en érection.Je me suis un peu laissé aller.Il cliqua sur envoyer et espéra que sa sœur ne lui en voudrait pas trop et que sa mère ne découvrira pas qu’il avait envoyé un tel message.Il prit une profonde respiration, faisant ainsi redescendre la pression et diminuer son érection. Il sortit de sa chambre et commença à descendre dans l’escalier pour prendre son petit-déjeuner et s’arrêta pour écouter la conversation de ses parents pendant qu’ils prenaient le leur.— Oh la la ! Sylvie vient de m’envoyer un long message, dit Karine.— Et que dit-elle ? demanda son mari, sans lever les yeux de son journal.— Elle vient de demander le divorce.Marc avala de travers et aspergea son journal de café.— Wouah, dis-lui que c’est tant mieux pour elle, annonça-t-il gaiement en s’essuyant la bouche. C’était vraiment le dernier des crétins.— Tu pourras lui dire toi-même, elle vient ici pour quelques jours.Marc sursauta et fila à la porte-fenêtre, ses yeux s’agrandirent comme des soucoupes.— Bon Dieu, elle est vite arrivée ! s’exclama-t-il en voyant la voiture de sa belle-sœur tourner au bout de la rue.
Il prit son manteau et sa sacoche.— Je pars jusqu’à vendredi, sur mon chantier à un million.— Pardon ! s’exclama Karine outrée. Comment oses-tu fuir de la sorte ?— Mais pas du tout, la réunion de démarrage a été avancée à ce soir, dit-il en mettant sa veste. Je t’ai même envoyé un mail.J’ai eu la tête en l’air toute la semaine à cause des exams de Matthieu, j’ai dû me retenir de ne pas lui sauter dessus... et ça m’a pris toute ma concentration pour ne pas lui attraper la queue et me la fourrer dans la bouche jusqu’à la glotte... en plus depuis ce matin, le fait qu’il ait terminé ses exams m’a remis en mode chasse... du coup son mail a dû passer à la trappe.Karine se reprit et dit à son mari :— Tu ne peux pas me faire ça, elle va pleurer et s’épancher sur moi, quand tu es là, au moins elle se retient.Matthieu secoua la tête en entendant les paroles de sa mère.Elles s’adorent toutes les deux, si Sylvie n’était pas venue voir maman en première, cela aurait été une crise internationale... surtout qu’elle vit à cinq minutes.— Oui je sais ! s’exclama Marc en boudant, et d’ailleurs j’ai toujours trouvé ça désagréable qu’elle soit si coincée avec moi après tant d’années, c’est comme si je n’étais pas vraiment de la famille.Il prit sa sacoche en bandoulière.— Bisous ma chérie, dit-il à sa femme. Matthieu ! cria-t-il dans l’escalier, où son fils finissait de le descendre les mains sur les oreilles. Ah ! Tu es là, désolé pour le cri, je dois filer, on se voit en fin de semaine bye bye mon fiston.— Bon courage Papa.Marc fit un gros bisou à son fils et courut jusqu’à sa voiture puis partit comme une flèche dans l’allée.— Tu as entendu pour ta tante ? demanda Karine à son fils.— Oui et pas surpris.Il regarda la voiture de son père partir comme une fusée, alors que celle de sa tante entrait dans leur allée, et dit :— Il n’aurait jamais pu l’éviter.Les deux voitures se croisèrent et son père fut contraint d’ouvrir sa fenêtre. Karine, en pleine réflexion, se tourna vers son fils puis regarda par la fenêtre et secoua la tête.C’est maintenant ou jamais ma Karine, Sylvie va être là sûrement toute la semaine s’il ne me trousse pas maintenant c’est foutu... Après tu devras t’occuper de ta petite sœur... en plus, ça me gratte tellement j’en ai envie.— Ça risque de durer un moment, dit-elle plus pour elle-même que pour son fils.Elle se mit à genoux, descendit le short de son fils et goba la verge molle d’un seul trait.— Maman qu’est-ce que tu fais, Sylvie est juste dans l’allée ?Karine fit signe à son fils de la fermer. Matthieu qui, quelques minutes plus tôt, était chaud comme la braise ne discuta pas plus. Sa verge se durcit en un temps record.— Ouh, tu es un amour, dit-elle à son fils. Ta queue est dure comme j’aime et si rapidement... on dirait que quelqu’un avait une grosse envie de sa maman.C’est glauque dit comme ça ! Et puis ce n’est pas vraiment ça, mais on va dire que oui.Elle se releva, baissa son pantalon, il vit des gouttes couler de la fente vers la culotte. Elle s’accouda au plan de travail et continua :— Tu vois à quel point maman a aussi envie de toi.Il déglutit avec difficulté, mais cela lui parut mission impossible dans le temps imparti.— Oui je vois bien, mais on ne va pas le faire ?Il regarda par la fenêtre puis ne put s’empêcher de poser sa main gauche sur les fesses de sa mère et, du pouce, de lui écarter légèrement la fente. La cyprine coula en une énorme goutte poisseuse qui tomba sur le fond de la culotte de Karine qui frissonna de plaisir.Matthieu regarda de nouveau par la fenêtre.— Elle est en train de se garer, dit-il d’une voix stridente.— Alors, excite-toi bordel, lui ordonna sa mère.Elle amena la verge à sa fente et celle-ci entra comme dans du beurre.Matthieu vit rouge, comme souvent dans ces cas-là, et se déchaîna. Il attrapa les hanches de sa mère et lui imposa de puissants coups de reins.— Oh oui, mon chéri ! murmura fort Karine, très surprise des sensations que lui procurait son fils. C’est rapide... et si bon, je crois que je vais déjà...Une grande giclée d’urine claire arrosa les cuisses de Matthieu et la culotte de Karine.La mère était plus que chaude... elle a juté en moins de deux.Karine repoussa rapidement son fils avec un grand sourire gourmand. La verge fut éjectée de la fente au désespoir de Matthieu.— Mais qu’est-ce que tu fais ! cria-t-il à sa mère.— Comme tu l’as dit... on a plus le temps !Elle le poussa un peu plus et continua :— Mais merci, mon chéri, tu te rends compte ? Tu viens de me faire jouir, et pas qu’un peu, en à peine dix petites secondes... t’es un champion, champion ! Oh oui, t’es même un champion orgasmique.Qu’est-ce qu’elle me fait la mère ? Elle débloque ? Elle ne va pas me laisser comme ça.Il regarda la fente, les yeux exorbités.— On ne peut pas arrêter, dit-il d’une voix blanche. Moi, je n’ai pas fini...Karine le regarda avec moue condescendante.— Oh mon pauvre petit cœur, dit-elle d’une voix douce en regardant dehors. Tu sais quoi, tout de suite, tu vas aller aider ta tante avec ses bagages, elle te prend pour son doudou et quand elle est contre toi, elle se sent protégée alors vas la serrer dans tes bras puiss...— Non non non, la coupa-t-il. On se fout dans les chiottes ou autre, mais tu passes à la casserole.— Dis donc toi ! Le houspilla-t-elle. Comment tu parles à ta mère, je t’ai dit de passer en mode doudou avec ta tante et range ton putain de braquemart avant d’éborgner quelqu’un.Matthieu pinça des lèvres en remettant tant bien que mal son short, puis il sortit en ronchonnant sur ce qu’avait dit sa mère :— C’est carrément ça en plus, Sylvie m’appelle "son doudou à elle".Karine regarda autour d’elle, les petites tâches et dit à son fils, avec ironie :— Et puis t’en as foutu par tout. Fais durer les choses avec Sylvie pendant que je nettoie.Matthieu frissonna de colère.Les femmes de ma famille sont affreuses, il n’y en a vraiment que pour elle... je ne jouis pas et je me fais engueuler alors que c’est elle qui a juté partout. Et t’inquiète, si j’avais joui, je peux dire qu’elle aurait eu du mal à tout nettoyer.Il respira en s’avançant vers sa tante et réussit à se relaxer un peu. Son sexe resta dur, cependant moins visible.Heureusement que je porte mon sweat à capuche, je peux cacher ma queue.Sylvie est un peu plus jeune que sa sœur et lui ressemble de visage, mais elle est plus petite, avec des rondeurs et une poitrine généreuse. En le voyant arriver, celle-ci se jeta contre lui et attendit qu’il la serre dans ses bras. Il ne se fit pas prier.— Merci mon doudou à moi, dit-elle d’une voix saccadée, annonçant une crise de larmes proche.— Je suis désolé, dit-il doucement.Ils restèrent ainsi jusqu’à ce que Matthieu remarque qu’il faisait froid en short et que sa verge pulsait contre sa tante.— Il ne fait pas chaud, on va rentrer.Elle hocha la tête et suivit son neveu qui prit ses bagages.— Faudra que tu changes de place ton portable, il m’est rentré dans les côtes.— Je n’ai pas mon port... euh oui, mon portable... dans ma poche OK, OK.C’était mon érection, j’avoue qu’elle est encore bien plus dure que je ne le pensais et elle n’a pas l’air de vouloir redescendre de sitôt.Quand ils entrèrent, Sylvie craqua dès qu’elle vit sa sœur et se jeta dans ses bras. Karine fit signe à son fils de monter les affaires dans la chambre d’amis et de rester un peu haut. Il hocha la tête, mais montra quand même, dans le dos de sa tante, sa verge en érection.Karine lui fit les gros yeux et lui fit de nouveau signe de partir. Dans une gestuelle simple avec ses mains et ses doigts, il montra ce qu’elle devra faire pour se faire pardonner. Elle leva les yeux au ciel, mais finit par lui sourire et fit un geste salace avec sa langue. Content de s’être fait comprendre, il monta.Matthieu se doucha dès qu’il eut déposé les affaires de sa tante, l’eau froide permit à sa verge de se décongestionner. Rapidement, il se rendit compte que son esprit était dérangé.Qu’est-ce que je vais faire maintenant ?Dès que son regard se posait sur un objet, ses idées dérivaient vers du sexe. PC, internet, porno, sexe ; Rubix Cube, cadeau de sa sœur, sœur, lutin, sexe ; linge sale par terre, panier à linge, nettoyer le linge, mère, sexe.Il resta une bonne heure dans sa chambre à regarder le seul mur vierge de sa chambre. Et malgré tout, des images d’orgies sexuelles avec sa sœur puis sa mère, puis les deux à la fois passèrent devant ses yeux. Il ne cherchait même pas à imaginer, mais cela s’imposait à son esprit. Il faut que je jouisse.Cette phrase fut la seule chose cohérente qui réussit à émerger de son esprit.Comment a-t-elle pu me faire cela ? Je devrais descendre et la prendre devant sa sœur.Cette fois, il imagina la scène de lui-même, un sourire de dément illumina son visage. Il banda de nouveau.Je suis sûr qu’elle aurait du mal à expliquer le fait de jouir en quelques secondes avec la queue de son fils dans la chatte.Il réfléchit un peu.Réciproquement, il faudrait que je m’explique sur le fait de prendre ma mère devant sa sœur.Il débanda rapidement. A onze heures, il finit par descendre dans la cuisine où il croisa Karine.— Tiens mon chéri, tu tombes à pique, j’allais t’appeler, dit-elle en lui tendant une liste de courses.— Peux-tu aller à Super U pour prendre quelques trucs à grignoter ?Il regarda la liste et leva un sourcil.— Il y a quand même plus de choses à boire qu’à grignoter.Karine s’approcha et l’embrassa langoureusement et lui caressa le paquet. Il la laissa faire.— Si tu es très gentil et comme peut l’indiquer la liste, j’aurais un peu bu...Elle finit en lui chuchotant à l’oreille.-... Alors ce soir, tu pourras me faire ce que tu veux et... vraiment... tout... ce que... tu veux.Matthieu entra dans un Nouveau Monde de possibilités. Il eut quelques respirations fortement chargées sexuellement.— Alors, sois très mignon.Il fila faire les courses sans demander son reste. Son esprit en fusion ne lui permit pas d’enregistrer tout ce qui se passa pendant sa virée au Super U. Il reprit conscience lorsqu’il était en train de mettre une bouteille de mousseux au frais. Il finit de ranger les gâteaux apéritifs et retourna voir les sœurs.Celles-ci s’étaient changées pour des vêtements décontractés. Sa mère portait un short large avec une paire de grosses chaussettes aux pieds, un débardeur, où l’on devinait facilement par transparence qu’il n’y avait rien en dessous et un gilet. Sa tante était habillée presque à l’identique si ce n’est que le short était loin d’être large et lui enserrait les cuisses et les fesses. Elle se remit un peu plus droite lorsqu’il entra dans la pièce.Elle a soit un string très fin soit elle ne porte pas de culotte.Elle portait aussi des Moon boots aux pieds. Les deux sœurs, habillées plutôt légèrement, donnèrent des envies à Matthieu qui respira longuement pour ne pas succomber à la soif de sexe.— Du coup, mes dames, que voulez-vous manger ? demanda-t-il avec un grand sourire. On a des blancs de poulet, des steaks ou même un petit repas veggi.Elles le regardèrent d’un air méprisant. Il répondit à leur place :— Je peux faire une croix sur le veggi, c’est ça ? Je vous fais un bon steak... avec frites.Sylvie lui caressa gentiment l’intérieur de la cuisse, sans aucune connotation sexuelle.— Merci, tu es un amour.Pas trop de caresse par-là, sinon je ne réponds de rien.Il retourna rapidement vers la cuisine.Je ne sais pas si je vais tenir jusqu’à ce soir... va falloir passer par la case masturbation... peut-être même avant de manger ?Il prit la direction de l’escalier et vit que sa mère et sa tante l’avaient suivi.Merde, je ne vais pas pouvoir m’esquiver.Sylvie reçut un coup de téléphone.— Merde ! C’est le boulot, faut que je réponde.I’m a lucky boy.Elle sortit de la cuisine et s’installa dans le salon. Matthieu sourit à sa mère qui comprit rapidement qu’elle devait fuir. Elle voulut suivre sa sœur, mais se retrouva avec la bouche de son fils sur la sienne à la vitesse de la lumière. Matthieu passa ses mains sous le débardeur de sa mère pendant leur baiser. Il pressa les seins avec délices. Karine, sentant ses tétons poindre et sa résistance, au terrible assaut de son fils, diminuée, décida de se libérer.— Arrête ça, espèces de bête en rut, chuchota-t-elle après avoir repoussé la langue de son fils.Je ne peux que valider le fait que je sois en rut.Matthieu glissa sa bouche dans le cou de sa mère, l’embrassa de nouveau puis la caressa avec sa langue dans les zones sensibles sous l’oreille. Il la repoussait de plus en plus si bien qu’au final, elle dut s’assoir sur le plan de travail.— Oh mon chéri... arrête, s’il te plaît c’est trop...Elle fut coupée en sentant les doigts de son fils passer sous son short et la pénétrer. Il la lutina de son majeur et de son index. Karine en vit de toutes les couleurs. Elle jouit une fois de plus en quelques secondes.— Oh mon cœur... je... oh mon Dieu... je...Ils entendirent Sylvie les interpeller :— Je suis en congé cette semaine, je vais pouvoir...Elle soupira puis reprit en arrivant dans la cuisine :-... Je vais pouvoir me...Elle chercha ses mots et reprit :— ... me remettre, me reposer, me... quelque chose et cela sera grâce à vous.Karine avait filé aux toilettes pour, elle aussi, se remettre. Matthieu, en train de déballer la viande sur le plan de travail et était au-delà de toute excitation et de toute colère.Elle a joui deux fois, deux fois et moi pas une... ce soir, elle va prendre cher... mais cher.Sylvie l’enlaça, son neveu dans son dos pour lui faire un gros câlin. La poitrine, écrasée contre lui, chauffa Matthieu de manière exponentielle.Si je me retourne, il est certain qu’elle ne pourra rien confondre avec un portable. Et si par hasard elle la sent, peut-être qu’elle voudra en faire quelque chose.Karine revint rapidement et comprit le problème de son fils illico.— Laisse donc notre commis faire la popote pendant que nous prenons un apéritif.Sylvie partit vers le salon se poser dans le canapé attendant qu’on la serve. Karine s’approcha de son fils.— Merci encore pour cette deuxième explosion.— Tais-toi, s’il te plaît.— Faut que tu fasses quelque chose pour ton érection et pour ton regard, dit-elle en caressant son paquet. Tu as l’expression d’un fou.Elle prit la bouteille de mousseux et sortit rejoindre sa sœur.— C’est à peu près ça, confirma-t-il dans un murmure.
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