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Chapitre 5

Pas prévu 2

Inceste
Préparer le repas lui fit un bien fou. Seul dans la cuisine, l’esprit occupé, il débanda. Il comprit aussi que ce n’était que temporaire et qu’il se transformerait bientôt en M. Hyde. Il mit la table et finit par les appeler. En voyant sa tante et sa mère, les yeux rougis, il se dit tristement :Avec un petit peu d’alcool, la conversation a attaqué les sujets sensibles.Sylvie tira sur son débardeur, de façon osée, en disant :
— Je commence à avoir chaud.
Les pensées de Matthieu changèrent du tout au tout.Faut que je jouisse.
Il servit les sœurs qui papotaient de tout et de rien. Il n’entendit pas la moitié de ce qu’elles racontèrent.
— Tu vas bien mon doudou ? demanda sa tante.— Euh... je... euh...
Il laissa tomber son regard sur la grosse poitrine de sa tante penchée vers lui.
— Euh...— C’est le stress des résultats, répondit Karine. Hein mon cœur ?— Euh... oui, c’est ça, je... repense à mes réponses aux exams.
Sylvie lui caressa la joue avec douceur.
— Mon pauvre ne te met pas martel en tête, je suis sûr que tout ira bien.
La fin du repas tourna autour de Mathilde et de la fin de son stage au M. I. T.

— J’espère que ce n’est pas trop dur pour elle, dit Sylvie.— Ne t’inquiète pas, dit Karine. D’après ce qu’elle m’a dit, c’est la première fois où elle doit vraiment travailler un peu, alors je pense qu’elle a encore de la marge.— Mais elle est si douce...
Matthieu broncha un peu, faillit rire. Il se reprit et dit :
— Depuis qu’elle fait du sport, elle a plus d’assurance.— Peut-être, mais elle est entourée de beaucoup de garçons, et tu ne pourras pas me dire le contraire... elle est encore bien innocente.
Karine qui buvait, hoqueta et avala de travers. Elle toussa et arrosa son fils de mousseux. Matthieu s’essuya le visage en se disant que la première chose qu’il lui fera ce soir sera une faciale. Il commença à bander rien que d’y penser, et secoua la tête.
— Innocente ? Mathilde ?
Karine qui avait un petit coup dans le nez hurla de rire et ajouta :
— C’est toi qui es bien innocente.— Ah ce point-là, répondit Sylvie face à l’hystérie de sa sœur.
Elles sortirent de table et continuèrent la conversation dans le salon.OK... je suis devenu la bonne de service... faut dire vu le chemin que prenait la conversation, je préfère rester là.Il débarrassa et remplit le lave-vaisselle. Il alla voir les sœurs.
— Qu’est-ce que vous comptez faire cet après-midi ?
Elles se regardèrent et dirent d’une même voix :
— Boire et regarder des films de filles, tout en mangeant des cochonneries.— Oki doki ! Pour ma part, je vais aller courir.
Si je reste... je vais sauter sur l’une des deux... je ne pourrais pas me retenir, surtout si elles ont bu.Karine pouffa et lui dit :
— Ne t’épuise pas trop pour ce soir...— Tu as prévu quelque chose pour ce soir ? demanda Sylvie à son neveu.
Karine se reprit et dit :
— C’est juste que je veux qu’il nous serve jusqu’à ce qu’on aille se coucher.
Sylvie hocha la tête. Matthieu jeta un regard méprisant à sa mère et partit sans un commentaire.Après dix minutes de voiture, il arriva sur un petit parking qui donnait sur un chemin de randonnée.Faut que je jouisse... rien que de les voir sur le canapé à moitié à poil... oh putain, je suis fort de résister.Il sortit de sa voiture, ouvrit le coffre pour prendre ses affaires pour courir. Il retira son t-shirt et entendit des "Ouh ! Ouh !", trois dames d’un certain âge arrivèrent derrière lui pour prendre le chemin de randonnée. Elles lui firent des clins d’œil aguicheurs puis rirent de bon cœur.Il pensa très sérieusement :C’est qu’elles ont le sang chaud les petit’dames ! Je suis sûr que sur le lot, il y en a une qui voudra prendre un petit coup dans les fourrés.Il eut un électrochoc, son cerveau lui permit de sortir de ce cauchemar.
— A quoi je pense moi... mais je ne suis pas bien dans ma tête.
Il mit rapidement ses chaussures et partit en trombe. La vitesse à laquelle il dépassa les femmes ne l’empêcha pas d’entendre leurs sifflets.La course le soulagea grandement et surtout l’air doux presque printanier, lui mit du baume au cœur. La sensation grisante de solitude au milieu de la nature finit de l’apaiser avant d’arriver à sa voiture. Il regarda sa montre.
— Dis donc ! Bon score.
Il regarda autour de lui, vérifia qu’il était seul et se changea rapidement. Il rentra directement et ne pensa même pas au sexe le long du trajet. Il passa le pas de sa porte et frissonna sous le changement de température. Il rangea son blouson et mit son sac dans l’escalier.
— Alors qu’est-ce que vous faites de beau ?
Elles étaient toujours sur le canapé, sous un plaide en train de regarder un film et de siroter une tisane.
— Chuuuuut ! firent-elles en chœur.
C’est cool d’avoir l’esprit clair et de pouvoir leur parler sans arrière-pensée... cette petite course m’a fait une bien fou.Il regarda la télévision et vit qu’elles étaient devant Dirty Dancing.
— Beurk !
Karine fit pause, car un moment clé arrivait.
— On ne te demande pas ton avis, lui lança-t-elle, t’as bien couru mon chéri ?— Oh oui, et ça m’a fait du bien.— Je te préviens, on a décidé de faire une soirée pizza film romantique, dit-elle en prenant la main de sa sœur qui hocha la tête.
Il fit la moue et demanda très justement en montrant la télévision :
— OK et qu’est-ce que vous faites maintenant ?— On fait une après-midi film de danse, répondit Sylvie d’un air suffisant.
Matthieu leva les yeux au ciel.
— On regarde La La Land après, si tu veux le regarder avec nous ?
Sylvie se déplaça sur le côté pour lui faire une place au milieu, se faisant, elle écarta un peu les jambes qui étaient, jusque-là, cachées par le plaide. Le cœur de Matthieu manqua un battement.OK, elle est en string. On dirait que tata a décidé de tomber le bas.Son esprit commença doucement à s’assombrir. Sylvie tapa la place à côté d’elle, lui signifiant de s’assoir. Karine retira le plaid et consentit à s’écarter un peu.OK, la mère est tout à fait la même... OK... O... K.Il sentit se tendre son sexe contre le tissu de son short.Si je reste, je ne tiendrais pas.It’s a trap !J’ai envie de m’assoir entre elles... un sein dans chaque main... il faut que je me cache.
— Je pense que je vais d’abord prendre une douche.
Il partit en direction de l’escalier qui menait à l’étage avec une démarche un gauche.
— Ne... ne m’attendez pas.
Les sœurs le regardèrent partir sans comprendre ce qui était arrivé.
— Tout ça pour ça, fit sa mère en remettant le plaid sur elle et sa sœur.— Il est bizarre aujourd’hui ? demanda Sylvie. Il paraît un peu perdu.
Un peu perdu... je dirai plus qu’il se noie dans un bouillon de testostérone... je pourrais peut-être m’esquiver cinq minutes pour le faire juter dans ma chatte ou ma bouche...Elle réfléchit à l’endroit le plus approprié pour recevoir la semence de son fils.Plus dans ma chatte, parce qu’avec la pression qui doit y avoir dans ses couilles, je risque de m’étouffer.
— Non, il n’est pas bizarre juste... préoccupé, répondit Karine en se préparant à se lever.— C’est de ma faute, s’excusa Sylvie. Je viens vous embêter après sa période d’examens et il n’a pas pu se relâcher.
C’est qu’il aimerait bien se relâcher... je sens déjà sa queue dans ma chatte... bordel maintenant, moi aussi j’ai supé envie...Sylvie choisit ce moment pour craquer. Elle enlaça dans un câlin qui fit plus la sensation d’une prison, Karine dont la fente suintait de plus en plus.
— Ton fils est un amour de s’en faire pour sa vieille tante célibataire.
Karine sut que c’était cuit pour son fils cet après-midi, car elle ne pouvait décemment pas laisser sa sœur pour se faire démonter par son fils.Désolé fiston, ce sera pour ce soir.A l’étage, dès la fin de sa douche, Matthieu se remit devant son mur vierge où rien ne pouvait perturber son regard. Cependant, son esprit embrumé ne le laissa plus tranquille, il essaya de lire, impossible de se concentrer. Il essaya des jeux vidéo, peine perdue.Une larme coula de son œil gauche.Oh bordel, je suis au bord de la déroute... mais je ne masturberais pas... je tiendrais la ligne... et je jure que ce soir, le sperme coulera à flots.Il attendit que sa mère l’appelle pour l’apéro et attendit longtemps. A 19h30, il se décida à descendre. Il trouva les deux sœurs, sous leur plaid, en pleine orgie de gâteaux apéritifs et de kirs pétillants.
— Dis donc, vous auriez pu m’appeler pour prendre l’apéro ?
Sylvie répondit à son neveu, mais fut interrompue par Karine :
— Je voulais t’appeler, mais ta...— Tu nous as dit de ne pas t’attendre, c’est ce qu’on a fait.
Matthieu ouvrit la bouche pour répliquer, mais au vu de la bouteille de mousseux déjà vide, il patienta.Oh toi... tu ne perds rien pour attendre.
— Peux-tu commander une grande pizza là où l’on commande habituellement ? demanda sa mère. Tu seras un amour.— Et qu’est-ce que ses dames veulent sur leur pizza ?— Quelque chose de simple, lança Sylvie.
Karine réfléchit :
— Commande donc une reine.
Matthieu hocha la tête et alla commander dans la cuisine. Il entendit sa mère lui demander une autre bouteille de mousseux.
— Et mets aussi une de Saint-Léger au congèle ! Ce soir, c’est pizza champagne.
Sylvie rit de bon cœur.La mère n’a pas beaucoup l’habitude de boire... elle va être ronflée de chez ronflée.Il passa commande puis rejoignit ses dames avec la bouteille de pétillant. Il les servit avec une liqueur de cassis et lui sec.
— Alors, sur quoi êtes-vous parties comme film pour votre soirée pizza champagne film romantique ?
Elles se regardèrent et dirent en chœur :
— Titanic !
Leur annonce eut l’effet de changer son esprit en rut pour un esprit de fiel.
— Ah ouais... je ne peux plus voir ce film, vous en êtes bien consciente...
Elles lui firent des yeux doux pour l’amadouer.
— Oh, ça ne sert à rien les filles, leur dit-il très sérieusement. Quand Mathilde était petite, j’ai dû me le bouffer une fois par semaine pendant un an et il fait trois heures, c’est long.
Karine prit un air contrit sachant que c’était vrai.
— Et en plus, ajouta-t-il l’air mauvais, il y avait largement la place pour deux personnes sur cette putain de planche de bois.
Les deux ouvrirent grand la bouche, insultée, Sylvie fut la plus rapide :
— Si c’est pour dire de telles âneries, nous ne te retenons pas... Ouste ! Du balai !
Il rit en retournant dans sa chambre avec son verre. Cette incartade lui permit de lire et se détendre. La pizza ne tarda pas à arriver, il descendit rapidement, se doutant que ce ne serait ni sa mère ni sa tante qui irait.Il récupéra la boîte, paya et partit en direction du salon.
— Avant de nous l’amener, ramène donc la bouteille de "Champ".
Il obéit et fut acclamé en arrivant dans la pièce.On dirait qu’elles n’ont plus froid... avec deux bouteilles de mousseux dans le cornet, ça ne m’étonne qu’à moitié...Les deux étaient avachies chacune sur un accoudoir, sa mère à droite du canapé et sa tante à gauche, leurs pieds se mélangeaient au milieu. Il déposa la boîte au milieu de la table basse et s’aperçut de quelque chose.
— Tu gardes ton téléphone près de toi Sylvie, dit-il en la voyant le prendre et le reposer régulièrement.— Oui, répondit-elle la tête basse.— C’est un peu risqué, dit-il en se mettant en face d’elle et se baissant au son niveau. Tu sais quoi, je vais te le prendre et le mettre juste à côté. Cela t’évitera de faire des bêtises.
Elle leva les yeux vers et se pencha en avant pour lui caresser le visage.
— Merci mon doudou.
Au début, tout se passa bien, il la regardait dans les yeux puis ses yeux, justement, descendirent et plongèrent dans le décolleté. Il s’aperçut que le téton gauche sortait complètement du débardeur de sa tante. Un flash érotique le percuta violemment, il commença à tendre la main pour le pincer. Il s’arrêta avant de faire l’irréparable.Étourdies par le choc, sa mère, sa tante et sa sœur toutes mélangées apparurent dans son esprit. Il se releva avec une monstrueuse érection en devenir. Il attrapa une part de pizza, posa le téléphone de Sylvie sur la table de la cuisine et fuit dans sa chambre.
— Il aurait pu rester un peu avec nous, dit celle-ci à son aînée.
N’entendant aucune réponse, elle regarda attentivement Karine qui avait déjà dépassé sa tolérance à l’alcool. Elle rit intérieurement et pensa : "Voilà enfin quelque chose où je la bats".
— Un verre de Champagne, lui dit-elle en prenant la bouteille.
Karine fit oui machinalement et tendit son verre.
Matthieu était de nouveau devant son mur, il avait fini sa part de pizza depuis un moment puis il avait joué un peu. Il regarda l’heure.
— Merde ! J’ai rêvassé pendant plus d’une heure.
Il se leva avec une énergie nouvelle et cette fois, rien n’allait se placer en travers de son chemin.
— Le film doit être terminé ou sur la fin, se dit-il en s’étirant jusqu’au plafond.
Il sentit son short le serrer. Il baissa les yeux, le vit former un chapiteau sur son entrejambe.
— T’inquiète pas, maintenant "It’s showtime".
Il descendit avec un sourire gourmand sur ses lèvres, arriva dans le salon, qui était dans la pénombre, juste éclairé par la télévision.Pas de soucis pour mon petit chapiteau, personne ne le verra.Sa tante pianotait sur son téléphone avec vigueur.La mère n’est pas là... elle doit être aux toilettes.De bonne humeur, il décida de vérifier ce qu’écrivait Sylvie. Il lui piqua son smartphone et lut un très méchant commentaire, en cours d’écriture sous le statut Facebook de son ex qui était passé de "En couple" à "Compliqué".
— Rends-moi mon téléphone mon doudou.— Oh non ! Je te sauve la mise, expliqua-t-il en supprimant le commentaire. Je te rendrai ton téléphone demain.
Bien imbibée, elle tenta de récupérer sa main, n’atteignit pas celles de son neveu, question de taille, mais en la ramenant, elle tapa dans l’érection qui s’agita comme un ressort.Boing ! J’espère qu’elle ne s’est rendu compte de rien.Elle se leva sur ses genoux et tenta de nouveau de récupérer son bien. Matthieu la tint à distance en la poussant à l’épaule, ce qui revenait dans l’état d’ébriété de sa tante, à la frapper avec violence. Elle retomba sur le canapé comme une poupée de chiffon.
— T’inquiète, tu me remercieras demain.
Je pense qu’il est temps de mettre au lit la tata bourrée.
— T’es vraiment méchant, dit-elle en buvant sa coupe de champagne.— Et je pense qu’il est temps d’arrêter la picole aussi.
Il attrapa la flute avant qu’elle n’atteigne sa bouche.
— Alors là, non !
Elle se défendit et le verre s’échappa de sa main en se vidant d’une partie de son contenu sur son top. Matthieu s’écarta de sa tante, si bien qu’elle faillit tomber lamentablement et s’écroula sur lui.
— Ouille ! fit-elle, sa main posée sur son visage. J’ai pris un truc super dur dans l’œil.
Maman m’avait prévenu que je risquais d’éborgner quelqu’un.Il posa le portable de sa tante en hauteur sur la bibliothèque du salon et appuya sur le potentiomètre contrôlant la lumière et le mit sur tamisier. En revenant vers sa tante, il lui demanda :
— Au fait ! Où est la mère ?
Sylvie répondit en se frottant l’œil gauche :
— Elle est morte et du coup, elle est partie se coucher.
QUOI ! Aaaaaaaaaah nooooooooooon ! Je vais exploser et ça va être un massacre.
— D’accord, commença-t-il tout doucement, et elle n’a rien dit sur moi ?
Elle lui a peut-être laissé un message compréhensible de moi uniquement.
— Elle n’a pas trop ouvert la bouche de peur de vomir.
Il fit une moue dégoutée et ferma les yeux, histoire de reprendre le dessus. Son amabilité s’évapora.
— Bon ! Je t’emmène au lit et puis c’est tout.
Il regarda sa tante et vit que son débardeur avait pris le plus gros du champagne, le tissu était devenu transparent. Il déglutit difficilement.
— Attends mon doudou ! Je suis toute mouillée, donne-moi un mouchoir.
Il prit une serviette en papier qu’elles avaient sortie pour l’apéro.Et si, par inadvertance, ma main glissait malencontreusement contre sa poitrine en l’aidant à s’essuyer.
Il se pencha et commença à essuyer son épaule puis descendit sur le dessus du sein droit.Ils sont super tendres.
— T’inquiète mon doudou, je peux le faire.
Et si, par inadvertance, ma main serrait son sein toujours en l’aidant et toujours malencontreusement parce qu’il n’y a pas de lumière.Il glissa la serviette en papier avec la main bien à plat sur le sein, il sentit le téton contre sa paume.
— Arrête, arrête, dit-elle en savonnant et en repoussant sa main avec gentillesse, ne sentant pas le danger. Je peux le faire toute seule.
Matthieu vit que le téton droit avait durci.Et si, par inadvertance et toujours pour l’aider je tirais sur son débardeur, plus pratique pour essuyer en dessous.
Il tira sur le débardeur largement, les deux seins se retrouvèrent à l’extérieur.
— Qu’est-ce que tu crois faire ? demanda Sylvie en repoussant la main.
Une serviette, ce n’est pas pratique pour nettoyer du Champagne... cela va coller... je vais plutôt utiliser ma bouche toujours pour l’aider.Il attrapa le sein gauche avec sa main droite.
— Arrête ça tout de suite, s’écria sa tante qui avait un peu dessoulé. Sinon...
Il attrapa le téton droit turgescent entre ses lèvres coupant la chique à Sylvie. Elle essaya de nouveau de le repousser.
— Attends là, tu ne vas pas me...
Il passa sa main gauche sur le ventre rebondi, palpa les formes et prit le temps de caresser la peau douce, puis la glissa sous le string.
— Non non non...
Elle attrapa le poignet de son neveu, mais trop tard pour l’empêcher de la pénétrer de son index et de son majeur.
— Ouuuh, souffla-t-elle.
Avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, la bouche de Matthieu vint se plaquer sur la sienne. La langue de son neveu joua avec la sienne. Elle remarqua rapidement que son corps imbibé réagissait aux manipulations de son neveu, car ses deux doigts n’eurent aucune difficulté à la lutiner. Ils coulissaient en elle et lui volaient ses forces.
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