Matthieu palpa ses deux énormes seins l’un après l’autre avec délice. La tête de Sylvie lui tourna et elle finit par écarter un peu les jambes. La main de son neveu fut plus à l’aise pour la masturber. Il relâcha la bouche et retourna sur les tétons.— Oh la la ! soupira-t-elle. Cela ne va pas du tout.Son corps fut parcouru de spasmes. Sa tête retomba sur l’accoudoir. Elle lâcha le poignet de Matthieu. Elle lui caressa la tête puis la ramena vers sa bouche. Ils s’embrassèrent de nouveau.Je ne vais pas pouvoir attendre plus longtemps... et elle est plus que prête, je sens de la cyprine me couler entre les doigts.Il se releva et se déshabilla. Devant la verge en érection, Sylvie ouvrit grand les yeux et dit :— Mon doudou, ça va trop loin.Elle était idéalement positionnée, allongée sur le canapé, les épaules contre l’accoudoir et les jambes relevées et écartées.— Arrête maintenant et on oublie tout ce qui est arrivé.Il se mit au-dessus d’elle, son corps prit place comme s’il avait été fait pour ça. Sa verge se colla au string trempé de sa tante, il bougea les hanches. Sylvie releva la tête en sentant le chibre dur comme de la pierre frotter contre sa fente.— C’est pas bien ce que tu fais à ta tata.Elle glissa les mains entre leurs corps serrés. Elle écarta son string et attrapa la verge. Lorsqu’elle fut entre ses doigts et elle posa sa tête contre l’épaule de Matthieu.— Tu ne peux pas faire ça, chuchota-t-elle.Elle tira la verge vers sa fente, celle-ci fut écartée avec douceur.Je ne peux pas ? J’avoue que j’ai peut-être un peu forcé la chose, mais t’es quand même bonne participante.Matthieu la pénétra facilement, sans forcer, tout doucement.Oh putain !!! J’ai failli juter.Il décida de ne pas aller jusqu’au fond. Sylvie passa les mains sur le corps musclé, jamais elle n’avait eu si bel étalon en elle. Elle lui prit les hanches et intima un va-et-vient.— C’est bon, dit-elle avec la voix tendue.Matthieu n’osait plus parler de peur d’éjaculer puis il la vit comme se réveiller.— Oh mon doudou faut arrêter, lui dit-elle avec un regard mouillé.Ce fut trop pour lui, il jouit tout en se retenant de jouir. Cette contradiction l’aida à limiter les dégâts. Elle le regarda en ouvrant grand la bouche. Elle était soufflée.— T’as pas fait ça quand même ?Il finit par s’écrouler sur elle, sa verge la pénétrant presque jusqu’à la garde.— Ça me coule, chuchota Sylvie.Elle se mordit les lèvres en caressant les fesses de son neveu, l’air défait.
— C’est pas bien du tout.Elle passa les mains dans le dos de Matthieu en griffant doucement la peau de ses ongles. Il fut électrisé par la sensation. Il sentit sa demi-molle reprendre de la vigueur.Il passa ses mains sous les genoux de sa tante puis prit appui sur le canapé, les paumes à plat et poussa sa verge jusqu’à la garde d’un mouvement lent et ininterrompu. La tête de Sylvie retomba aussi sec sur l’accoudoir.— OH MON DIEU !Le corps crispé de Sylvie se colla à lui.— Enfin, dit Matthieu en embrassant le menton de sa tante, il est temps de s’y mettre.Il libéra la bête en lui, ses pénétrations furent vives et soutenues. Sylvie y répondit par des cris et râles de plaisirs.— Oh mon Dieu ! Ouh la la ! Non, mais c’est trop !Elle lui prit la tête entre ses mains et l’embrassa.— Tu me baises fort, dit-elle à son oreille. T’es un méchant doudou.Elle prit son sein gauche et le remonta vers le visage de son neveu. Celui-ci prit le téton entre ses lèvres et le téta de tout son saoul. Sylvie commença à avoir des micros orgasmes.— Oh oui oui ouiiiii !La verge pilonnait la fente, elle coulissait, s’y frayant durement un chemin. Matthieu arriva au bout de lui-même, les sensations grisantes le firent jouirent avec délice. Il poussa au fond, relâcha le téton et éjacula.— Humrrrr !Il fut libéré, la sensation si intense, qu’il en hoqueta lorsqu’il reprit sa respiration. L’excédent de sperme gicla sur le canapé qui en avait déjà vu beaucoup.Loin d’être épuisé, Matthieu se remit debout avec une force nouvelle lui parcourant le sang. Lorsque sa verge s’échappa du sexe de sa tante, une grosse coulure de semence blanche s’échappa.— Je suis en vie ! s’écria-t-il.Il regarda sa tante, celle-ci peinait à reprendre son souffle. Sa jambe gauche pendait du canapé et l’autre droite accrochée au dossier. Il l’aida à se relever, mais elle ne réussit pas à rester assise, sa tête chuta sur le paquet de son neveu. Elle attrapa les hanches de Matthieu et commença à lécher le service trois-pièces sans se soucier sur quoi se posait sa langue.— Syl attends, ce n’est pas très... propre.Elle s’en ficha, elle prit un testicule et joua avec dans sa bouche.— C’est trop bon !Elle a une sacrée technique, tantine. Pas étonnant que je bande de nouveau.— Ta queue est de nouveau toute dure doudou.Elle l’avala d’un seul trait et se mit à la sucer à la sauvage.Je la sens toucher le fond de sa gorge... c’est une tueuse !Elle tira sur les hanches pour aller le plus loin possible, mais Matthieu avait envie de plus de confort pour continuer. Il retira sa verge de la bouche de sa tante.— Attends ! Je veux encore te sucer, supplia-t-elle les yeux mouillés.— Allez, dit-il doucement. Viens... on monte dans ta chambre.En se levant, elle se colla à lui et l’embrassa langoureusement tout en le masturbant avec force.Sacré coup de main... elle pourrait carrément me finir comme ça.Il la tourna vers l’escalier et se colla à son dos. Il attrapa les seins laiteux entre ses mains et les massa avec délice.— Ils te plaisent ? lança-t-elle rhétoriquement. C’n’est pas bien, mais tu peux jouer autant que tu veux avec.Il lui pinça doucement les tétons.— Non non non ! Si tu me fais ça, je ne vais pas tenir.Ils marchèrent en maintenant collés leurs corps. Arrivée dans la chambre, Sylvie marcha à quatre pattes sur le lit. Matthieu regarda les fesses rebondies se balancer. Elle vit que son neveu était fasciné et décida l’émoustiller. Elle posa sa poitrine contre le matelas, en gardant les fesses bien en l’air.Oh par dame nature... cette position est tout simplement divi...Ses pensées se troublèrent lorsqu’il vit la main de sa tante glisser le long de son sexe pour écarter sa fente. Matthieu sauta sur le matelas et l’embrocha.— Oh ouffff ! Je sens ta grosse queue et c’est trop bon... même si c’n’est pas bien.Il l’attrapa la paire de hanches et envoya de grands coups de reins sous les cris de plaisir de son amante. Celle-ci se releva en se suçant deux doigts. Elle sortit son index et son majeur de sa bouche puis leur mit des coups de langue tout en regardant son neveu dans les yeux. Il vit rouge et tapa dans le fond comme jamais.Sylvie s’écroula de nouveau en riant :— Ha ha ha... je jouis encore et encore...Pendant qu’il se transformait en marteau piqueur, Matthieu descendit le pouce de sa main droite le long de la raie des fesses. Il s’arrêta sur la pastille et poussa un peu dessus.— Qu’est-ce que tu me fais ? Ne touche pas à ça vilain garçon.Il poussa un peu plus et son pouce rentra sans souci. Il fit des va-et-vient, des soupirs de plaisir s’ajoutèrent aux cris de sa tante.Je vais bientôt jouir, je ne peux pas louper ça.Il se retira.— Joue pas avec moi, s’il te plaît continue, exhorta-t-elle son neveu en se trémoussant des fesses.Il posa son gland trempé de sperme et de cyprine sur la pastille. Sylvie le regarda avec appréhension et n’osa rien lui dire. Il poussa en la fixant dans les yeux. Il les vit s’agrandir à mesure qu’il la sodomisait. Il se posa contre le dos de sa tante avant d’arriver à la garde et mit sa main gauche sur le matelas. De sa droite, il attrapa un sein et se cambra pour pousser enfin au fond. Il vit les yeux de sa tante partir en arrière.— J’peux pas me retenir, dit-elle en urinant à grandes eaux sur les draps. C’est trop bon...Ils s’embrassèrent à pleine bouche. Matthieu pinça avec délice le téton de sa tante qui ronronna de plaisir. Matthieu reprit de la hauteur, à genoux derrière sa tante, il ne put quitter des yeux sa verge disparaissant dans l’anus de sa tante.C’est loin d’être sa première fois... les sensations au niveau de la verge son... je ne trouve même pas les mots tellement c’est bon.Grisé par ses propres pensées, il accéléra sous les hoquets de plaisirs de Sylvie.Celle-ci sentit la verge lui ramoner le colon, elle adorait la sodomie depuis ses premières expériences avec son premier compagnon qui était devenu son mari. Mais jamais, elle n’aurait imaginé prendre un tel pied avec un autre homme. La tête contre le matelas, elle sentit de nouveau les mains de son neveu descendre sur son corps. Il passa les bras sous ses seins et la ramena contre lui.Sylvie faillit défaillir au changement de position. Son dos collé au ventre de Matthieu, la verge la pilonnait toujours autant, mais l’angle avait changé si bien qu’un jet d’urine de quelques gouttes giclait à chaque fois que le membre épais la sodomisait et que le gland venait boxer sa vessie. — Je vais jouir, susurra-t-il à sa tante.— Tu vas jouir...Elle le sentit hocher la tête contre sa joue.-... Dans mon cul ?Il poussa au plus profond et jouit.Oh là ! ça ne s’arrête pas !Le corps de Matthieu se contracta encore une dizaine de fois avant qu’ils ne s’écroulent tous deux. Il se dit qu’ils allaient pouvoir dormir tranquille, mais sa tante sauta du lit au moment où son sexe fut éjecté de l’anus.— Oh merde, dit-elle en courant vers la salle de bain de sa chambre.Il entendit Sylvie tomber sur les toilettes, puis les bruits sortants de la porte entrebâillée lui apprirent que le transit de sa tante était un peu chamboulé par ce qu’ils venaient de faire.Il regarda son service trois-pièces et se rendit compte qu’une bonne douche n’était pas une mauvaise idée.Et je pus la sueur... la mauvaise sueur...Il prit une douchette et sortit de la salle de bain nu comme un vers.— Il faut que je range en bas avant de me poser sinon je n’aurais pas le courage de me relever.Il descendit récupérer leurs vêtements, rangea les verres et essuya le canapé. Lorsqu’il remonta enfin, il aperçut de petites flaques de sécrétion.Et merde !Il prit un rouleau de sopalin et se rendit compte qu’il avait sûrement marché dedans. Il regarda sous son pied.Double merde !Après presque dix minutes de nettoyage, il prit enfin les escaliers. Il lança ses affaires dans sa chambre et entra dans la chambre d’amis. L’odeur d’urine le frappa.Je crois que je vais vomir.Il lança les affaires de sa tante au milieu du lit puis tira sur le drap du dessous et en fit une boule.Ses fringues sont aussi crades.Il défit le drap de la couette et les taies. Il en fit un petit baluchon et descendit lancer une machine. Il mit le retardateur pour amener la fin de la tournée en début de matinée, remonta essuyer l’alaise, qui heureusement, avait protégé le matelas et remit une parure de draps propre. Il s’étira et se demanda ce que faisait sa tante.— Syl ? Tout va bien là-dedans.Il entra dans la salle de bain et la trouva dans le bain, endormie avec le sourire aux lèvres. Il se mit à genoux et lui caressa le bout du nez.— Eh ho ! Il faudrait mieux aller dans le lit, chantonna-t-il. Sinon tu pourrais te noyer.— Mais... que-ce... hum laisse... ouh j’ai froid !Après cette phrase peu compréhensible, elle accepta de sortir du bain. Il tendit une serviette, elle vint s’y nicher. Elle le laissa la sécher, un service auquel il consentit avec plaisir et prit son temps pour bien essuyer les seins, les fesses et le sexe de sa tante.Tel un zombi, elle s’écroula sur le lit, Matthieu, dans sa tenue d’Adam, l’aida à se mettre sous la couette. Une fois fait, elle l’attrapa par la queue et le tira vers elle.— Après tout ça... tu peux bien dormir avec moi.— Pour sûr !Il sortit éteindre le couloir puis se remit sous les draps et coupa le plafonnier.Dans le noir, sa tante l’embrassa et lui massant les testicules, mais rapidement, elle s’endormit et lui en profita pour sucer les tétons des gros obus de sa tante.
