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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Je suis contre ma belle-mère,... tout contr

Chapitre 1

Hétéro
Tout a commencé la veille de mon mariage, il y a cinq ans. Ce jour là je me suis présenté chez ma fiancé pour me voir refuser l’entrée du salon par une des nombreuses tantes ou cousines présentes, au prétexte que je ne devais pas voir la future mariée en train d’effectuer l’ultime essayage de sa robe. J’ai alors manifesté le désir de me rafraîchir et elle m’a expédié vers la salle de bain du premier étage, ravie de se débarrasser de moi. Préoccupée seulement de m’éloigner et obnubilée par la tradition et la superstition cette tante mouche-du-coche ne s’était pas inquiétée de savoir si quelqu’un l’occupait.
Aussi ma surprise fut grande en ouvrant la porte, dont nul verrou d’ailleurs n’ interdisait l’entrée, soit dit à ma décharge, d’y trouver ma belle-mère, elle aussi en plein essayage et qui justement terminait d’enlever la robe de mère-de-la-mariée dans laquelle elle venait de s’admirer devant la glace. Elle m’apparut dans les sous-vêtements également prévus pour la circonstance et ma foi fort affriolants pour une femme de son âge.
Il faut dire qu’à 40 ans elle avait gardé une très belle silhouette et que j’étais bien placé aujourd’hui pour constater que les rondeurs appétissantes qu’elle arborait ne devaient rien à des artifices vestimentaires. Me tournant le dos, penchée sur la robe qu’elle s’appliquait à ne pas froisser, Belle-maman, grâce à la glace qui lui faisait face, exposait à ma vue une paire de seins mis joliment en valeur et en relief par un soutien-gorge de dentelle blanche, à faire saliver tout homme, fut-il jeune, normalement constitué. Ses hanches dodues s’arrondissaient en amphore bordée par le fin liseré en dentelle d’une petite culotte que, sur le coup, je n’ai pas osé trop regarder. Je me souviens seulement qu’elle était blanche comme le soutien-gorge et apparemment faite d’un tissu très fin, presque transparent.
Bredouillant une excuse, je battis en retraite. Mais en refermant la porte, j’osai quand même un rapide coup d’oeil intéressé sur le côté pile de belle-maman et grâce à l’involontaire complicité de sa glace, sur son côté face, pas mal non plus.
Je ne sais pas si ma belle-mère avait vraiment réalisé qui avait ouvert la porte, occupée qu’elle était à disposer soigneusement sa robe sur un porte-vêtements. Mon irruption n’avait duré que quelques secondes et elle devait être loin de s’attendre à ce que ça soit justement moi plutôt qu’une représentante de la tribu qui jacassait au rez-de-chaussée.
Le spectacle de ma belle-mère en petite culotte et en soutien-gorge m’avait produit un effet auquel je ne m’attendais pas tant il est vrai qu’avec la bête ignorance d’un gamin de 20 ans je n’imaginais pas qu’une femme de son âge pouvait avoir gardé un corps aussi agréable à regarder.
Malgré le danger d’être surpris dans ce couloir, je fis alors une chose dont je ne me serais pas cru capable envers elle. Au lieu de refermer complètement la porte, je la laissai un peu entrebaillée, pas trop pour qu’ elle ne le remarque pas, assez pour me rincer l’oeil et, le rouge au front, je me mis à jouer au voyeur comme un vieux vicieux regardant une jouvencelle au bain, sauf que dans mon cas les termes devaient s’inverser, le jeune vicieux regardait la femme mûre !
Pour ma première prestation, le dieu des voyeurs et son âme damnée, la glace, me récompensèrent car, ignorant ma présence et se voyant seule et bien tranquille maintenant dans sa salle de bain, ma belle-mère avait déjà retiré son soutien-gorge et était en train de faire lentement glisser sa culotte sur ses belles hanches rondes, comme pour éviter de l’abîmer avant la cérémonie du lendemain.
J’eus une vision de rêve quand, après l’avoir retirée avec précaution, elle se redressa, exposant à mes yeux qui ne croyaient pas à leur chance les trésors plantureux de sa poitrine et le foisonnant buisson de sa toison qui bouclait entre ses cuisses. Suivie presqu’aussitôt d’un deuxième éblouissement quand elle se retourna vers le même porte-vêtements pour y disposer, bien à plat, sa parure de lingerie, m’offrant ainsi le spectacle somptueux de ses deux splendides fesses auxquelles la culotte du bikini qu’elle portait cet été avaient laissé la blancheur émouvante de la chair nue.
Je n’aurais jamais pensé qu’une femme de l’âge de ma mère puisse être aussi bandante. J’aurais bien continué un moment à l’admirer, ainsi, nue, pour le plaisir des yeux, mais le danger d’être surpris demeurait.
Je me ressaisis à temps pour éviter de me faire pincer en train de mâter la mère de ma future femme, la veille de mon mariage, le scandale !! et je m’éloignai sur la pointe des pieds. J’étais furieusement excité par ces seins et ces fesses pourtant à peine entrevus mais qui m’avaient laissé une impression de plénitude épanouie que je n’avais jamais ressentie devant ceux de ma fiancée. Jeune godelureau imbu des fausses certitudes et des préjugés de mon âge, je venais de découvrir le charme de la maturité épanouie d’un beau corps de femme. De quoi réfléchir !!
Désormais une image m’accompagnait et s’était gravée dans ma mémoire, celle de ma belle-mère debout dans sa splendide nudité, sa culotte à la main.
Le lendemain, j’eus une petite pensée salace en la voyant revêtue de cette robe qu’elle essayait la veille car je savais bien, moi, la jolie lingerie coquine qu’elle portait dessous. Privilège que j’étais seul à partager avec son mari ...et encore?

Puis le tourbillon de cette journée m’emporta, ma fiancée devenue officiellement mon épouse prit facilement la première place dans mes pensées et le soir de nos noces quand je la déshabillai pour la première fois en tant que mari c’est sa fraicheur et sa fougue qui l’emportèrent.
Les jours passèrent puis les mois et les années. Le petit film de ma belle-mère en train de se déshabiller était toujours présent dans ma mémoire mais petit à petit s’était atténué. Je n’étais pas très fier de ma conduite ce jour-là et je m’en voulais d’avoir pris un certain plaisir que je qualifiais de malsain à la regarder. C’était la mère de ma femme, j’aurais dû lui montrer plus de considération. Aussi sans être oubliée, l’image licencieuse avait été reléguée dans un coin discret de ma mémoire. Je me devais de me conduire en actes et en pensées comme le gendre bien élevé qu’elle espérait et que je voulais être.
Jusqu?à ce jour où la visite à Paris d’un roitelet africain ayant mobilisé les forces de l’ordre et rendue presqu’ impossible la circulation, le hasard nous a conduits, après la visite d’une exposition en compagnie de mes beaux-parents, à prendre le métro pour rejoindre la Gare du Nord près de laquelle nous avions laissé notre voiture. Sur le quai, l’affluence est telle que la simple montée dans les voitures va se révéler problématique. Cela ne manque pas, un brusque mouvement de foule nous sépare au moment où nous tentons de pénétrer dans un wagon avant que les portes automatiques ne se referment et quand la rame démarre, j’ai juste le temps de constater que mon beau-père et ma femme sont restés sur le quai. C’est toujours pareil dans ces cas là, tout le monde se précipite, sans s’occuper des voisins. Les gens ne pensent qu’à eux et du moment qu’ils sont bien installés, que les autres se débrouillent !
Ce n’est pas catastrophique c’est juste irritant. Ma femme et mon beau-père prendront la rame suivante et nous rejoindront. Nous n’aurons qu’à les attendre. Heureusement ma belle-mère est restée près de moi. Toute seule, au milieu d’inconnus,elle se serait inquiétée.
La voiture de deuxième classe dans laquelle nous nous trouvons est vraiment bondée. Nous nous retrouvons serrés comme des sardines.Sans l’avoir aucunement cherché, je suis intimement en contact avec la hanche et la cuisse de ma belle-mère. Confus, j?essaie de garder mes distances, mais la foule nous presse l?un contre l?autre. Ma belle-mère, apparemment pour éviter trop de promiscuité avec son voisin, se retourne et me fait face. Cette fois c’est encore plus précis, je sens ses seins qui se pressent contre ma poitrine, son ventre qui se colle au mien. Je suis gêné, elle aussi je pense mais la masse des voyageurs est si dense qu’il nous est impossible de bouger. Nous voila donc contraints de demeurer ainsi, intimement rapprochés. Pour bien faire, les trépidations régulières du wagon, sur ses rails, qui se transmettent à nos jambes, puis à tout notre corps, accentuent encore l’ambiguité de notre position et amplifient les effets de notre contact physique involontaire.
J’ai 25 ans et le sang chaud. Ce corps de femme tiède et tendre tout contre le mien ne me laisse pas insensible. Cela a beau être celui de ma belle-mère, la nature est la plus forte et très vite j?ai une réaction masculine normale, surtout à mon âge et je me mets à bander sans pouvoir me retenir.
Serrés comme nous sommes, elle ne peut l?ignorer, surtout que l’idée de bander contre le ventre de ma belle-mère me fait grossir encore plus que d’habitude, mais elle ne manifeste aucun agacement et n’esquisse aucun mouvement de recul. Moi-même je sens contre mon sexe l?os dur de son pubis. Elle ne l?ignore pas non plus. A intervalles réguliers, le léger sursaut provoqué par le joint de jonction des rails nous amène à mimer, malgré nous, des frottements équivoques qui ne sont pas sans effet sur ma belle-mère..Elle a un gémissement rauque. Ses gros seins s’écrasent encore plus contre ma poitrine, son ventre plaqué au mien me transmet sa chaleur à travers nos vêtements..
La rame s’arrête dans une station, un mouvement de foule nous déstabilise.Dans la crainte irraisonnée de tomber, nous nous attrapons par les épaules et nous restons ainsi, quasiment enlacés. Les nouveaux voyageurs qui sont montés nous empêchent de reprendre quelque distance. Malgré moi, je continue donc à garder ma belle-mère quasiment entre mes bras et à lui imposer, d’une façon encore plus explicite, le contact de ma bite raide et dure. Elle ne peut plus ignorer l’effet qu’elle me fait et cela à l’air de ne pas lui déplaire puisque je sens maintenant son ventre qui s’appuie délibérément sur la protubérance que je frotte contre elle depuis tout à l’heure. Le peu que je peux apercevoir de son visage me confirme ce que je commence à soupçonner. Elle a les yeux fermés et respire difficilement, bouche ouverte.Je parviens à me reculer un peu, pour mieux voir. Elle se rapproche et se colle à nouveau contre moi. La pression de la foule à bon dos !
Eh bien ! Puisque le contact affirmé de mon sexe, en érection manifeste, ne semble pas déplaire à belle-maman autant en profiter. Moi aussi je vais prendre prétexte de la cohue pour me permettre de petites privautés. Je verrai bien quelle sera sa réaction !
De ses épaules, mes mains descendent innocemment le long de son dos comme si les vibrations de la vitre sur laquelle elle s’appuie maintenant en étaient la cause. Elle ne se dérobe pas. J’arrive sur ses hanches, toujours pas de réaction négative. Je profite d’un cahot plus marqué pour les laisser glisser davantage et les poser sur le haut de ses fesses. Sous mes doigts je sens la tiédeur de son corps et je peux suivre le léger bourrelet du liseré de sa culotte qui se devine sous le fin tissu.
Sa culotte !! Le déclic ! L’image que je croyais oubliée depuis cinq ans, abandonnée grise et décolorée au fin fond de ma mémoire, vient de resurgir, intacte, nette, bandante. Le corps dodu de ma belle-mère, ses formes sensuelles, ses seins lourds aux aréoles si larges, ses fesses d’un blanc laiteux sur sa peau bronzée et dont l’arrondi voluptueux avait été si tentateur et, entre ses doigts, le petit chiffon blanc qu’elle venait de retirer devant moi s’imposent à nouveau à mon esprit enfiévré. Je retrouve l’émoi de mes 20 ans, je la vois à nouveau comme je l’ai vue ce jour-là, en train de se déshabiller avant de me laisser découvrir son corps et en même temps je me dis que c’est cette même femme que je tiens, aujourd’hui, étroitement serrée contre moi. Les battements de mon coeur s’emballent. Brutalement je réalise que j’ai envie de ma belle-mère !!
Insensiblement j’ai conquis le terrain et mes mains épousent maintenant carrément l’arrondi de ses fesses. Je ferme les yeux pour mieux conserver et savourer l’émouvante vision retrouvée de ma belle-mère nue tandis que je sens contre ma poitrine, tout contre, le volume tiède et élastique de ses seins et que je me risque à palper, enfin, discrètement d’abord, ce cul magnifique dont je réalise, sans avoir jamais osé me l’avouer jusqu’à aujourd’hui qu’il m’a toujours tenté.
Toujours pas de réaction de belle-maman au contact de mes mains. Pourtant leur position et leur activité sont devenues si délibérément provocantes qu’objectivement et même avec la réserve de sa bonne éducation ....où l’hypocrite dissimulation d’une trouble permissivité inavouée, qui sait ? ma belle-mère ne peut plus décemment faire semblant ne pas réaliser ce qui se passe réellement et feindre de ne pas se rendre compte que son gendre est en train, tout bonnement, de lui peloter le cul !!
Son étonnante inertie au lieu de me freiner, m’excite encore davantage. Qui ne se défend, consent !! Au point où nous en sommes, pourquoi me gêner ? On verra bien !
J?empoigne alors ses grosses fesses à pleines mains et pousse mon bassin vers l’avant pour lui faire sentir crûment l’intensité et le volume de mon désir pour elle. Mon sexe raide comme un bâton est entièrement plaqué contre son ventre et lui arrive au nombril.
Malgré le bruit assourdissant de la rame, je perçois le nouveau gémissement que pousse ma belle-mère et le souffle de sa respiration dans mon cou. Ses hanches commencent à onduler, son ventre, à son tour, avance contre le mien, ....sans qu’il soit besoin, cette fois, d’un cahot complice !
Nous nous frottons l?un contre l?autre au milieu de la foule indifférente, ignorante de notre émoi. Mouvement d?abord lent et sensuel, puis qui devient de plus en plus fiévreux, à mesure que l’excitation nous envahit.. Mes mains, crispées sur les fesses pulpeuses de belle-maman, malaxent avec bonheur sa chair tendre qui ne se dérobe pas. Le plaisir, délicieux, monte en moi. Au rythme de notre coït improvisé, je sens que je ne vais pas tarder à jouir, comme ça, debout !
Ca ne manque pas et je finis par éjaculer dans mon slip tandis qu?elle-même a des spasmes révélateurs.
Faute de pouvoir bouger, nous restons alors étroitement enlacés. Elle appuie son front contre mon épaule, je la sens qui reprend lentement sa respiration. Le bruit nous empêche de parler mais aucun de nous ne semble en avoir envie. L’affluence autour de nous n’a pas diminué. Plaqués, serrés contre la paroi il nous serait bien difficile d’atteindre la porte si nous devions descendre tout de suite. Nous profitons de ce moment où nos deux corps alanguis sont étroitement soudés l’un contre l’autre par la pression d’une foule qui ne sait même pas qu’elle est notre complice.
Deux stations plus loin, le compartiment commence à se vider. Nous perdons notre alibi et nous nous écartons, confus. Tout le monde peut nous voir maintenant, ce qui nous oblige à rester écartés l’un de l’autre. Muette, ma belle-mère fixe le sol devant elle et sort sans me regarder quand nous arrivons à notre destination. Dans le couloir nous ne parlons pas plus, chacun dans ses pensées,...ou dans ses regrets ?.
La gêne s?installe entre nous tandis que nous nous installons dans un salon d’attente de la Gare du Nord en attendant que nos conjoints nous rejoignent. Nos regards se fuient. Pour se donner une contenance, ma belle-mère se plonge dans un magazine et ne relève pas la tête avant l’arrivée de son mari et de ma femme. Nous voila enfermés dans une situation qui n’est certainement pas le meilleur choix, faire comme s’il ne s’était rien passé. Peut-être aurait-il fallu que nous parlions franchement ?
Je n’ai pas osé prononcer la phrase qui nous aurait peut-être débloqués. Ma belle-mère non plus.
Elle doit regretter de s’être laissée aller ainsi, surtout avec moi, son gendre et doit être, rétroactivement, dévorée de honte à cette pensée.
Pourtant, tout à l’heure, ses spasmes étaient révélateurs. Je ne me trompe pas quand même ! Elle a éprouvé du plaisir, elle aussi, c’est sûr ! Et cette façon qu’elle a eu de gémir à mon oreille puis, ensuite, de s’alourdir dans mes bras !
Pour ma part je ne regrette pas, partagé entre la satisfaction béate de l’assouvissement physique et la fierté, inattendue, d’avoir fait jouir ma belle-mère ! La pensée de ma femme et de mon beau-père bloqués sur un quai de métro et qui devaient se demander ce que nous faisions m’a bien traversée, fugacement, mais je l’ai repoussée. Je n’arrive pas à me sentir coupable. Ce qui est arrivé je ne l’ai pas cherché, ma belle-mère non plus ! C’est la nature qui nous a joué un tour......Un beau tour, quand même !!
Mais nous aurons beau ne plus en parler et faire comme si de rien n’était, la réalité, que je ne pourrai pas oublier, est là et bien là.
Tout à l’heure, ma belle-mère et moi , nous avons partagé le même moment de plaisir, bref mais violent ! Nous avons joui ensemble !!
à suivre.......
yann25.11@voila.fr
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