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Je suis devenu Sabrina la putain

Chapitre 2

Travesti / Trans
La bouche ouverte, je fis d’abord pénétrer le gland sur lequel je resserrai mes lèvres. Je remontai puis, arrivé en haut, sans le faire sortir, je redescendis, lentement. J’exécutai ce mouvement quatre fois, et à la cinquième, je descendis ma bouche un peu plus, gobant environ un tiers de cette queue raide et chaude. A l’intérieur, ma langue posée sur le frein le caressait à chaque va-et-vient.
Environ un tiers de cette bite large et dure ? C’était déjà bien pour moi. Ma bouche était remplie et je sentais les premiers signes d’étouffement à chaque descente, mais c’était supportable. Je m’attachai à garder mon rythme, me risquant, à intervalles plus ou moins réguliers, à enfoncer ma bouche de quelques centimètres supplémentaires.
Fière de mes efforts (oui, dorénavant, je parle de moi au féminin), je relevai les yeux tout en continuant à sucer, m’attendant à voir mon vieux pervers prendre son pied. Mais quelle ne fut pas ma déception ! Par-dessus son ventre proéminent, son visage impassible ne montrait aucun signe particulier de satisfaction. Ses yeux fixaient l’écran du portable sur lequel ses doigts boudinés s’affairaient, semblant rédiger un quelconque texte ou message.
— Non, mais... je suis en train de te sucer la bite, enfoiré, pensai-je ! "Et toi, tu textotes, tu emails ?"

Ses yeux s’abaissèrent et son regard croisa le mien. "Continue à sucer, salope ! Je m’occupe de toi dans un instant."(Comment ça, il va s’occuper de moi ? C’est moi qui m’occupe de lui en ce moment, non ?)
Blessée dans mon orgueil (pour autant qu’il me restait de l’orgueil vu la situation dans laquelle je me trouvai), je quittai son regard et redoublai d’efforts. J’accélérai légèrement le mouvement et enfonçai de plus en plus la bête au fond de ma bouche, jusqu’à me provoquer des envies de vomir que je refrénai du mieux possible. Au bout de quelques minutes, les relents de mon estomac se faisaient de moins en moins sentir. "Continue comme ça !" pensai-je. "Tu arrives à en avaler la moitié. Allez, pompe-le bien ! Montre-lui quelle bonne salope tu es."
— Regarde-moi ! ordonna-t-il tout d’un coup, alors que la moitié de son membre était introduit dans ma bouche. Au moment où mes yeux se levèrent, je fus aveuglée par un flash.

Il venait de prendre une photo.
(Merde ! Si ça se trouve, il a aussi filmé.) Soudainement me revinrent à l’esprit tous les récits que j’avais lus sur un site d’histoire de sexe, dans lesquels les personnages se font piéger par leurs partenaires, photographiés et filmés dans des situations similaires, voire pires, que la mienne.
Surprise et énervée, je voulus retirer ma bouche de sa bite, lorsque je sentis immédiatement une main se poser sur le haut de mon crâne.
— Tut-tut-tut ! Tu fais quoi, là? Tu continues.
(Il était costaud le bougre.) Il renfonça ma bouche sur sa queue bandée et la maintint sans faiblir. L’envie de lui faire plaisir m’était passée, mais je ne pouvais me libérer de l’étreinte de sa main. Je gardais la position, respirant par le nez pour ne pas étouffer.
— Bien, je suppose que tu as compris ce qu’il en était désormais ? Je n’ai pas besoin de te faire un dessin. J’ai beau être vieux, je sais exactement, et toi aussi, ce que l’on peut faire grâce à internet et aux réseaux sociaux. Sans entrer dans les détails, je mentionnerai les mots "famille", "amis", "boulot", "voisins". Je continue ?
Affolée, je fis signe que non de la tête.
— Bon, je vais relâcher ta tête, mais je ne veux pas que tu fasses d’esclandre. Tu gardes ta position de chienne, à mes pieds. Tu ne parles pas. Tu m’écoutes et ne réponds que quand je te pose une question. Compris ?
Effondrée, je fis signe que oui de la tête.
La pression de sa main se relâcha, et je pus enfin retirer ma bouche de son mandrin, luisant de ma salive. Je remplis mes poumons d’air, et il commença à parler.
— Je me rends compte que tu n’as pas d’expérience. La pipe que tu viens de me faire était, disons, banale. Pas désagréable, mais banale ; juste bonne à me garder excité, sans plus. Mais le bon côté de la chose, c’est que je vais pouvoir formater ton pharynx et ton larynx. Et je vais y prendre beaucoup de plaisir, car il n’y a pas mieux qu’une gorge étroite que l’on élargit en rentrant de force. Ce sera dur pour toi, pendant quelque temps ; tu auras mal, mais ça passera. Je te promets qu’en seulement quelques jours, tu me mangers la bite entière sans aide extérieure. Et de plus, tu en redemanderas, tu me supplieras de te laisser me sucer. Tu comprends ?
J’acquiesçai d’un mouvement de tête. Il me gifla.
— Tu comprends ?— Oui, Monsieur.— Bien ! Montre-moi ton cul !
Je me retournai, et toujours à quatre pattes, lui présentai mon postérieur. Il posa une main sur chacune de mes fesses, qu’il parvenait à recouvrir entièrement, et les malaxa.
— Hmmm ! Ca, j’adore ! Un bon cul de salope, bien blanc et épilé, petit et ferme à la fois.
Une claque phénoménale s’abattit sur ma fesse gauche. Un son sec et bruyant résonna dans le salon. Une décharge électrique me traversa le corps, et me fis frissonner pendant quelques secondes. (Putatn, ça fait mal !)La douleur n’avait pas encore disparu lorsque je sentis ses pouces se placer de part et d’autre de mon sphincter pour tenter de l’ouvrir. Il tira de chaque côté, et mon trou du cul, entraîné par le gode, ne résista pas. Il réussit sans difficulté à y introduire la première phalange de chacun de ses doigts.
— Oooh ! Je me suis à moitié trompé à ce que je vois. Ton cul a de l’expérience, contrairement à ta gorge. Tu utilises donc un gode ?— Oui, Monsieur !— Et tu te fais des lavements ?— Oui, Monsieur ! Tous les jours !— Bien ! Intéressant ! De quelle largeur est ton gode ?— Quatre centimètres et demi, monsieur.— Voyons voir ça !
Il relâcha mes fesses, et j’entendis le canapé crisser alors qu’il se relevait. Il posa ses mains sur mon dos. Son poids me fis rabaisser les épaules, ma tête touchait presque le sol.
— Relève le menton, comme si tu voulais regarder le plafond, me dit-il.
Les fesses en l’air et les épaules basses, je dus cambrer mon dos au maximum pour lui obéïr.Je sentis soudain son gland se positionner à l’entrée de mon sphincter. Un liquide froid et huileux me chatouilla. Du lubrifiant !
— Tu la fermes. Je ne veux entendre aucun cri.
Je sus en un éclair ce qui allait se passer. J’eus à peine le temps de relâcher mes muscles anaux que son dard s’introduisit dans mon trou, avec une telle force qu’au moins les trois quarts avaient dû y pénétrer.La douleur était immense. Je brûlais de l’intérieur.Je luttai pour ne pas crier, mais mes lèvres ne purent retenir un râle de souffrance. Je fermai la bouche et respirai par le nez. Il ne bougeait pas.
— Sale chienne, je ne comptais pas te casser le cul immédiatement, mais vu que tu étais déjà un peu ouverte, j’ai pas pu résister.
Il retira sa queue jusqu’au gland et la réintroduisit avec la même vigueur.
Et il me pilonna à une allure effrénée. Encore et encore. Ses mains appuyées sur mes hanches, il me labourait le fion comme un dégénéré. La tête relevée et le dos cambré, mes genoux posés au sol me faisaient mal, devant supporter nos deux poids. Mes lèvres étaient closes et ne proféraient aucun son. Mais mes yeux, plissés par la douleur, commençaient à se couvrir de larmes.
— Sale pute ! Tu n’es plus à l’abri derrière ton ordi maintenant, à t’amuser à envoyer des photos en tenue de salope. Je vais te défoncer comme la chienne que tu es. Je vais détruire ton petit cul. Et ensuite, ce sera ta gorge. Tu restes avec moi jusqu’à demain soir, et quand tu repartiras, tu sauras ce que c’est d’avoir ses trous ouverts et béants. Et je te garantis que tu en redemanderas. Crois-moi, tu es destiné à servir de garage à bites. Et c’est ce que tu vas devenir. On est d’accord ?— Hh... Oui... Hh... Oui... Monsieur !— Tu as mal ?— Hh... Oui, Monsieur.— Tu veux que j’arrête ?
Je me mis à pleurer à chaudes larmes et répondis:
— Non, Monsieur ! Enculez-moi ! Je suis qu’une sale connasse de pute. Baisez mon cul ! — Le mot magique ?—..... Encooooore !!!

... A suivre...
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