Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 275 J'aime
  • 20 Commentaires

Je suis devenue l’amie de Magnum et d’Hélène

Chapitre unique

Zoophilie
Magnum a resserré sa prise autour de ma taille et m’a perforée violemment. Il a forcé son nœud massif dans ma chatte étroite, et j’ai senti sa bite gonfler encore plus. Je mordais ma lèvre inférieure pour m’empêcher de crier, à la fois à cause de la vive douleur, mais aussi à cause du vertige de plaisir qui s’abattait sur moi. Une exaltation incroyable faisait frissonner mon corps de façon incontrôlable. La veille, je n’aurais jamais imaginé me mettre volontiers dans cette position obscène.

Je devrais peut-être commencer par me présenter. Sandra, dans ma vingtième année, et ma deuxième année à l’université, 1,67 m, et pas trop mal foutue. Je rentrais chez moi pour le week-end. J’étais en train de décharger mes sacs du coffre de ma voiture, lorsqu’un voisin m’a interpellée :
— Salut, Sandra. Est-ce que tu es libre ce week-end ? me demanda M. Henri Dortan.
M. Dortan était un voisin dans la cinquantaine, plutôt aisé. Lui et sa femme Hélène habitaient dans la même rue, plutôt huppée, que mes parents. Je connaissais sa femme de vue, mais je n’avais jamais échangé avec elle autre chose que les banalités habituelles. Je ne croyais pas qu’il cherchait à me draguer, aussi j’ai répondu sans méfiance :
— Je n’ai rien prévu de spécial, sauf traînasser parce que mes parents sont partis en week-end.— J’ai besoin de quelqu’un pour s’occuper de Magnum, mon chien, pendant que je pars en déplacement ce week-end.
Il a poursuivi en expliquant que son associé était brusquement tombé malade, et qu’il ne pouvait pas honorer ses rendez-vous. Il devait le remplacer, et sa femme était absente pour le week-end. Et il n’aimait pas laisser Magnum dans un chenil.
J’ai accepté de passer chez lui dans un quart d’heure, afin qu’il puisse me montrer ce qu’il fallait faire. J’ai rentré mes sacs dans la maison, mis en marche le lave-linge, et je suis allée jusqu’à la maison des Dortan. Le garage était ouvert, et il chargeait ses affaires dans le coffre de sa voiture.
— Désolé de m’imposer de manière aussi cavalière, mais je suis pris de court. Ne vous inquiétez pas, je saurai vous récompenser.
Il m’a montré le chemin, en passant par la porte du jardin, qui permet d’accéder à leur jardin. Magnum était dans son enclos, et il a aboyé quand nous nous sommes approchés. C’était un beau berger allemand de quatre ans, il était très intimidant, et je suis restée en retrait lorsque M. Dortan a ouvert sa porte. Il était très bien dressé, et il s’est assis au commandement. M. Dortan m’a appelée pour faire connaissance. Je l’ai caressé, et il m’a léché la main. Plus jeune, c’était un chien de concours, et maintenant ils l’utilisaient pour la reproduction.
M. Dortan allait nourrir Magnum avant son départ, cet après-midi, et il aimerait que je vienne le samedi matin pour le nourrir et le laisser courir dans le terrain pendant environ une heure. Il faudrait que je revienne le samedi soir et le dimanche matin pour faire la même chose. Mme Dortan rentrera à la maison dimanche soir, et elle s’en occupera à partir de là. Il m’a raccompagnée devant la maison après avoir remis Magnum dans sa cage.
— N’hésitez pas à utiliser la piscine si vous le souhaitez, et comme je sais que les étudiants sont toujours à court d’argent... m’a-t-il dit en mettant sa main dans sa poche. Il m’a tendu un trousseau de clés, et 2 billets de 50 euros.— Oh, M. Dortan, c’est beaucoup trop !
Il m’interrompit en levant la main :
— Tss, tss ! Vous me rendez un si grand service.— Merci beaucoup, M. Dortan, et je suis rentrée chez moi.
Je me suis réveillée tard, le lendemain matin. J’ai pris un petit-déjeuner rapide, enfilé mon nouveau bikini, un débardeur ample et un short. J’ai fourré dans un grand sac ma serviette de plage, mon attirail de bronzage et un bouquin. Puis je suis partie chez les Dortan.
J’avais remarqué la veille que les maisons voisines de la leur étaient vides. J’ai déverrouillé le portail et je suis entrée. Magnum semblait content de me voir. Je lui ai commandé de s’asseoir avant d’ouvrir sa porte, puis j’ai rempli son bol de nourriture et complété son eau. Il a attendu patiemment que je l’autorise pour plonger voracement sur sa gamelle. J’ai laissé la porte de son enclos ouverte pour qu’il puisse gambader après avoir mangé.
Je suis allée m’installer au bord de la piscine. J’ai mis mon sac sur un transat et ma serviette sur un autre. J’ai retiré mon débardeur et mon short. Un coup d’œil circulaire, et j’ai décidé que puisque les maisons des deux côtés étaient vides, je pouvais bronzer topless. Je venais juste de m’installer quand Magnum est venu bondir autour de moi pour avoir de l’attention. Il s’est tenu près de moi et m’a poussé la main pour quémander des caresses. Je lui ai gratté la tête, et j’ai fait glisser ma main sur son dos plusieurs fois. Puis j’ai défait mon haut de bikini. Il me donna un nouveau coup de museau sous le coude, cette fois avec un gémissement pathétique. J’ai gratté sa poitrine entre ses pattes avant, ce qui lui a fait pencher la tête de côté. Sa mimique était amusante, et l’une de ses pattes arrière a commencé à battre en l’air.
— Ai-je trouvé ton point sensible ? Aimes-tu ça, Magnum ? demandais-je d’une voix enjouée. Il a continué de se gratter aussi longtemps que je lui ai gratté la poitrine. Je m’arrêtais finalement pour défaire les ficelles autour de mon cou. Pendant que je me dévêtais, Magnum me lécha la joue. Je me redressais pour éviter le prochain coup de langue. Il a juste changé de cible et m’a léché le mamelon.
Cela m’a vraiment fait frémir. J’ai toujours aimé que les mecs portent une attention particulière à mes seins. En fait, si mon partenaire était assez adroit, il pouvait me faire jouir juste avec cela. Une sensation de chaleur, un frisson m’a traversée, de mon téton jusqu’à ma chatte. J’ai regardé le chien avec un œil neuf. Magnum a continué ses léchouilles, et j’ai eu la tête frivole.
— Waouh, c’est divin, ai-je pensé, alors qu’il s’amusait avec mon mamelon. Comment ce chien pouvait-il savoir que j’adorais ce qu’il me faisait ? Mon téton devenait dur comme de la pierre. Je pivotais pour lui donner accès à mon autre sein, et il n’a pas failli à sa tâche.
À l’université, les partiels approchaient, j’avais du travail en retard, je n’avais pas le temps de sortir pour draguer, donc j’étais frustrée depuis plusieurs mois. J’ai pensé brièvement qu’un petit câlin ne me ferait pas de mal, puis j’ai vu la bite rouge vif de Magnum sortir de son fourreau. J’étais sidérée par la taille de sa bite. Je n’avais jamais rien vu de comparable, ni en longueur ni en diamètre. J’ai regardé son regard doré pendant qu’il s’appliquait à tourmenter mes seins avides de caresses. C’était si délicieux que cela a déclenché la guerre entre mon cerveau et mon corps. Mon corps voulait s’offrir à cet amant magnifique pour le laisser faire ce qu’il voulait de moi. Et mon esprit me criait : "Arrête ça tout de suite, salope !"
Magnum a dû sentir l’odeur qui émanait de ma chatte trempée, parce qu’il a abandonné mon sein pour fourrer son museau dans mon entrejambe. Sa langue râpeuse a atteint sa cible avec une précision remarquable. Je me suis levée d’un bond en envoyant promener le transat sur lequel j’étais assise.
Le frisson exquis qui m’a traversée, m’a aidée à prendre ma décision. Je regardais Magnum. J’allais laisser ce chien me baiser, mais je ne savais pas comment. La levrette était ma position préférée avec les mecs, donc cela devrait convenir avec Magnum, puisque c’est de là que vient le terme. J’ai regardé autour de moi, et j’ai vu un matelas en mousse. Je l’ai apporté près de Magnum qui est devenu très excité. J’ai quitté mon bas de bikini, et je suis restée là un moment, tandis qu’un doute traversait mon esprit. Pouvais-je vraiment faire cela ?
Mais la langue de Magnum qui s’enfonçait dans mes plis humides m’aidait à prendre ma décision. Lorsque la langue du chien a heurté mon clitoris, j’ai ressenti une faiblesse dans les genoux, et je me suis laissée tomber à quatre pattes sur le matelas en mousse. Mes mains se sont agrippées sur les bords. Mon ventre tremblait d’anticipation, et ma chatte coulait comme une rivière. Magnum n’a pas perdu de temps pour fourrer sa langue dans ma chatte. Mes bras ne me portaient plus, et je me suis effondrée face contre la mousse, pendant que sa langue vigoureuse s’enfonçait profondément dans mon antre humide.
Un gémissement guttural a jailli de mes lèvres entrouvertes. J’étais proche, tout proche d’un orgasme monstrueux, mais il s’est arrêté. Je suis restée dans la même posture, haletante, dans l’attente qu’il finisse le travail, mais il avait autre chose en tête. Soudain, il y a sauté sur mon dos, et ses pattes avant puissantes m’ont emprisonné la taille. Magnum donnait des coups de reins violents à la recherche de mon orifice complaisant. Il a raté ses premières tentatives, heurtant mes fesses au hasard, en m’aspergeant de son liquide pré-éjaculatoire, mais il a ensuite affermi son étreinte autour de ma taille, et m’a pressée contre lui. En changeant de position, sa grosse bite dure a plongé en moi comme une lame brûlante dans du beurre. C’était si fort que j’en ai vu trente-six chandelles.
Je n’ai pas pu résister à l’envie de crier quand il a enfoui son monstrueux morceau de viande jusqu’à la garde dans ma chatte percutée. La gueule de Magnum vint enserrer mon cou par-derrière pour m’apprendre que je lui appartenais. J’étais sa chienne, et il allait m’engrosser. Il me martelait comme un enragé. Je n’avais jamais rien ressenti de tel auparavant.
Je ne parvenais plus à maintenir l’équilibre avec cet énorme chien sur le dos, alors je posais mes épaules au sol en gardant mes hanches levées. Il me baisait comme si c’était la fin du monde, en me donnant l’orgasme le plus intense de ma vie. J’avais du mal à respirer quand les spasmes du plaisir traversaient mon corps et explosaient en moi. Mes orgasmes se succédaient sans interruption. A un tel rythme que je ne pouvais pas distinguer quand l’un se terminait et que le suivant commençait.
Je commençais à croire qu’il était possible de mourir de plaisir, pantelante, à peine consciente. Magnum a resserré sa prise autour de ma taille et m’a percutée violemment. Il a forcé son nœud massif dans ma chatte étroite, et j’ai senti sa bite gonfler encore plus. Je mordais ma lèvre inférieure pour m’empêcher de crier, à la fois à cause de la vive douleur, mais aussi à cause du vertige de plaisir qui s’abattait sur moi.
Une exaltation incroyable faisait frissonner mon corps de façon incontrôlable. D’habitude, j’étais plutôt discrète, mais là, je suis devenue bruyante, commentant à haute voix mes sensations. Je pouvais décrire cette boule gonfler à l’intérieur de moi, et son sperme chaud jaillir dans ma vulve. Magnum a cessé de s’agiter sur moi, tout en maintenant son emprise afin que je reste sa chienne docile. La pression de ses organes sexuels à l’intérieur de moi palpitait contre mon point G, et m’envoyait en spirale dans une nouvelle galaxie de plaisir orgasmique.
Maintenant que nous étions fermement attachés, il relâcha sa prise sur ma nuque et ma taille, et se redressa. Mais ma jouissance ne s’arrêtait pas là, et je secouais mes hanches dans une rémanence d’extases successives. Magnum se contentait de se tenir au-dessus de moi, en laissant sa femelle en rut agiter son croupion, et en pompant sa semence profondément dans mon corps épuisé.
— Est-ce sérieux ?
Mes yeux s’écarquillèrent en entendant la voix d’une femme près de moi. Je tournais la tête pour voir Hélène Dortan, ses escarpins dans une main, vêtue d’une robe de plage très courte. Le fait qu’elle se déplaçait pieds nus, mais aussi la séance que m’avait fait subir Magnum, ne m’avait pas aidée à prendre conscience que j’avais une spectatrice. Mes joues se sont empourprées de honte.
— Mme Dortan ! Je ne m’attendais pas... enfin, je veux dire... je suis désolée...
Je n’avais pas de mots pour expliquer ma situation. Aucune excuse. Elle m’avait surprise en train de forniquer avec son chien, nue comme un ver. Qu’est-ce que je pouvais dire ? Hélène me fixait avec un regard sévère. J’aurais voulu mourir de honte, mais aussi de peur. Peur qu’elle appelle la police pour avoir agressé son chien, ou qu’elle prenne une photo et la poste sur le Net. Et si elle parlait à mes parents ? Comment expliquer l’inexplicable ?
Magnum a décidé, à ce moment-là, de tester la solidité de notre union en tirant dessus. Je suppose que c’était le désir de saluer sa maîtresse, ou simplement la satisfaction du devoir accompli, mais il s’est tourné pour s’échapper de moi. La violence du choc dans ma chatte a déclenché un nouvel orgasme encore plus puissant qui m’a fait perdre momentanément conscience.
Quand j’ai enfin retrouvé mon calme, Hélène s’était assise sur le transat près de moi, et elle me parlait d’un ton neutre :
— Cela ressemblait à un bel orgasme ! L’as-tu apprécié ?
Je n’osais pas bouger, et je détournais mon regard de honte. Je pouvais encore sentir ma chatte défaillir sur la bite palpitante de Magnum. J’essayais de rester immobile pour ne pas provoquer d’autres poussées de fièvre, mais Magnum pouvait facilement contrarier mes plans à tout moment.
— Je t’ai posé une question, jeune fille, ça t’a plu ? répéta-t-elle fermement. Sans la regarder, j’ai hoché la tête.— Mon chien est un maître pour faire jouir une femme ! a déclaré Hélène. Cela m’a fait regarder son visage. Elle avait un sourire coquin et des yeux malicieux. Je réalisais enfin le sens de sa déclaration. Elle s’est penchée sur moi, rapprochant son visage du mien, pour me chuchoter :— Admets-le, c’est le meilleur rapport sexuel que tu n’as jamais eu. Aucun homme ne peut te faire jouir aussi fort ni aussi longtemps.
Hélène s’est tue et m’a laissé absorber cela, puis elle a poursuivi :
— Si j’avais reçu le message de mon mari hier après-midi, tu aurais pu me surprendre dans la même position. Mais mon téléphone était éteint, et je l’ai reçu trop tard hier soir. J’ai décidé de rentrer tôt ce matin. Puis j’ai vu la note sur le frigo disant que tu venais prendre soin du chien.
Elle m’a jeté un regard étrange puis m’a demandé :
— Qu’est-ce que t’a raconté mon cavaleur de mari ? Il a dû s’absenter pour affaires ou quelque chose comme ça ?
J’allais lui répondre lorsque j’ai été interrompue par un autre orgasme déclenché par Magnum qui voulait se libérer. Encore une fois j’étais en plein délire devant Hélène. Les violentes contractions orgasmiques ont eu raison de moi. Je voulais juste m’allonger, mais avec son nœud, Magnum me maintenait fermement en place, ce n’était pas possible.
— Ma pauvre fille, tu as l’air épuisée. Laisse-moi te montrer ce que je fais quand Magnum me garde attachée trop longtemps, m’a-t-elle dit en venant près de moi. Hélène m’a aidée à faire s’allonger Magnum sur le côté, et à m’allonger tout contre lui. J’ai eu un frisson d’orgasme pendant le processus, mais moins fort que les précédents. Tout ce que je voulais, c’était me recroqueviller et dormir, mais Hélène restait là à nous regarder.
Elle enleva sa robe de plage. Son corps était incroyablement sculpté. Elle ressemblait à une déesse grecque. Elle avait le temps et l’argent pour la chirurgie esthétique, les salons de massage, l’épilation au laser, et les abonnements au gymnase. Elle était parfaite. Ma chatte a frissonné en la voyant si belle, et j’ai serré involontairement le sexe de Magnum, le faisant gémir. Elle s’est assise sur le transat en écartant les jambes, et j’ai pu voir sa chatte rasée s’ouvrir comme une fleur humide. Elle était évidemment excitée par ce qu’elle avait vu, et elle a commencé à pincer doucement son clitoris en érection avec ses doigts manucurés.
— Vous aviez l’air tellement sexy, tous les deux ! Vous m’avez excitée. Je pensais rentrer à la maison et m’amuser avec Magnum, mais tu m’as devancée. Maintenant, je dois attendre mon tour, même s’il va redevenir dur rapidement. Il est vraiment doué pour ça !— Depuis combien de temps nous regardais-tu ? ai-je demandé en sentant battre mon cœur.— Depuis que Magnum t’a grimpée dessus, répondit-elle en accélérant sa caresse.— Pourquoi n’avoir rien dit avant ? Pourquoi attendre que Magnum... Enfin, tu sais...— Pourquoi ai-je attendu que tu sois prisonnière du chien ? Parce que j’avais peur que tu t’échappes, et que ça m’excitait de voir une autre femme se faire baiser par Magnum. Je l’ai acheté tout petit. Je l’ai élevé, dressé, je lui ai tout appris. Il n’a jamais connu d’autre femme que moi. Et quand j’ai vu ta réaction positive, j’ai décidé de laisser la nature suivre son cours.
Je sentais le nœud de Magnum me fuir, et même si j’étais gênée d’être exposée ainsi, je ne voulais pas que les merveilleuses sensations s’arrêtent. Magnum s’agitait aussi. Il a levé sa patte arrière pour lécher la jonction de nos corps. Quand sa langue a léché mon clitoris gonflé, j’ai perdu la tête. J’ai joui de nouveau en levant ma jambe pour lui donner un meilleur accès.
Ma chatte trop sollicitée a déversé des litres de liquide lorsque le sexe de Magnum s’est échappé de moi. Je suis restée allongée là, frémissante, pendant qu’il finissait de me nettoyer, puis il s’est désintéressé de moi. Hélène m’a aidée à me relever et m’a conduite au salon, enroulée dans ma serviette de bain. Je suis vautrée sur le canapé, jambes croisées, avec la chatte qui me cuisait horriblement.
Les mains chaudes d’Hélène ont écarté mes cuisses, puis sa langue a glissé dans ma chatte dégoulinante. Je voulais protester, mais je n’avais pas la force et sa caresse était si douce sur mes chairs meurtries. Très vite, elle m’a procuré un nouvel orgasme. Ce n’était pas aussi vertigineux que les orgasmes que j’avais eus avec le chien, mais c’était agréable. Je gardais les yeux fermés pour mieux apprécier sa douceur. J’avais expérimenté avec des garçons, avec un chien, et maintenant avec une femme. Je préférais la langue du chien.
— J’ai beaucoup d’amies, certaines que je connais depuis l’enfance, mais aucune ne connaît mon secret. J’avais le désir de partager ce secret avec quelqu’un, mais j’avais peur de leur jugement. C’est pour ça que j’étais si contente de te voir avec Magnum. Tu connais le plaisir que procure ce chien, et j’ai enfin quelqu’un avec qui je peux partager des confidences.
J’écoutais sa confession les yeux fermés. Elle avait raison. Il y a un sentiment de solitude et d’isolement lorsqu’on ne peut pas partager avec ses semblables. Certaines confidences ne peuvent être racontées. Hélène continuait de lécher mon clitoris avec le bout de sa langue, lorsqu’elle s’est appuyée brutalement sur moi en gémissant.
J’ai ouvert les yeux. Magnum était sur son dos, agrippant sa taille en essayant de s’introduire. J’ai regardé, émerveillée, cette belle femme, le visage enfoui entre mes cuisses, avec son chien qui la convoitait. Hélène creusa légèrement ses reins et Magnum trouva l’ouverture. Elle n’a pas pu retenir un gémissement rauque quand Magnum l’a pénétrée violemment. Puis Magnum a commencé à la baiser durement, et la bouche d’Hélène a quitté ma chatte. Hélène s’est accrochée à moi quand Magnum s’est déchaîné sur elle. Leurs mouvements frénétiques secouaient violemment le canapé.
J’ai senti ma chatte picoter d’envie. Je me doigtais en voyant Magnum saisir la nuque d’Hélène dans sa gueule. Il la remplissait de son nœud et de son sperme, et je savais exactement ce qu’elle ressentait. La pulsation de cette bite merveilleuse, la sensation de chaleur de son sperme envahissant la chatte, et la pression du nœud gonflé scellant leur union. Tout son corps était secoué de tremblements orgasmiques. À ce moment-là, j’ai ressenti un lien fort avec Hélène, une femme que je connaissais à peine. Un lien que seules les femmes ayant expérimenté le sexe canin pouvaient connaître.
J’ai caressé la tête de Magnum. J’avais deux nouveaux amis et j’en étais heureuse.
Plus tard, assise dans la cuisine d’Hélène, je la regardais nous préparer des sandwichs pendant qu’elle m’expliquait sa situation avec son mari. Nous étions toutes deux nues, mais le sentiment de gêne ou d’embarras avait disparu. Je l’écoutais d’une oreille distraite en me remémorant les évènements de la dernière heure. Ma découverte de la bestialité avec Magnum, et le retour inopiné d’Hélène, qui m’avait surprise subissant le joug du chien. Maintenant, j’étais de nouveau émue en revoyant la scène, et ma chatte s’humidifiait. Je regardais le galbe des hanches d’Hélène pendant qu’elle me tournait le dos.
— Sandra !
La voix d’Hélène m’a sortie de mes pensées.
— Quoi ? Désolée, je rêvassais !— Je t’ai demandé si tu voulais de la tomate dans ton sandwich ? Est-ce que tu vas bien ? Tu as l’air un peu groggy, me dit-elle en regardant par-dessus son épaule.— Non, je vais bien... Oui, la tomate, c’est bien.
Mais je n’étais pas d’accord avec elle. Mon esprit était en ébullition. Avoir des relations sexuelles avec un chien me tracassait. Cela allait à l’encontre de mon éducation. Mais j’avais adoré chaque seconde. Magnum semblait aimer cela. Hélène aussi. Cela faisait-il de nous des monstres de perversité ?
— Mange... tu as besoin de reprendre des forces ! me dit-elle en me donnant un sandwich. Elle a terminé son récit sur sa situation conjugale. Pour faire court, Henri n’était que le directeur de l’entreprise. Le véritable patron, c’était le papa d’Hélène. Henri l’avait séduite et épousée quand elle était toute jeune, pour être calife à la place du calife, mais la merveilleuse romance n’avait duré qu’un temps. Henri était un chaud lapin, incorrigible coureur de jupons, qui n’aimait que les femmes jeunes et sexy. Hélène avait beaucoup souffert du désintérêt de son mari, jusqu’à ce qu’elle ait ce chien, ce merveilleux amant qu’était Magnum.
Nous sommes retournées au bord de la piscine avec nos casse-croûtes pour améliorer notre bronzage. J’ai dû m’assoupir, et lorsque je me suis réveillée, l’un des parasols me protégeait du soleil de l’après-midi. Hélène avait dû le déplacer avant d’aller... d’aller où ? J’ai regardé autour de moi. Je ne l’ai pas vue, ni Magnum. C’est alors que j’ai entendu une voix oppressée venant de la terrasse. Je m’avançais silencieusement vers la paroi à claire-voie.
Hélène était allongée sur un canapé bas avec un oreiller sous ses fesses et ses jambes repliées sur sa poitrine. Ses avant-bras derrière ses genoux gardaient ses jambes écartées. Magnum se tenait devant elle, lapant sa chatte exposée. Ses gémissements et ses mots d’encouragement indiquaient clairement qu’elle appréciait pleinement l’ardeur du chien. Je l’ai regardée étreindre ses seins en pinçant ses mamelons durcis. Magnum l’a fait jouir plusieurs fois, et elle l’encourageait pendant les intervalles, louant sa performance, mais ce qu’elle a dit ensuite m’a prise au dépourvu.
— Nous avons besoin de la chatte de Sandra. Elle est délicieuse. Je veux avoir cette chatte.
J’étais désemparée. Je ne savais pas quoi penser à ce moment-là, mais je pouvais sentir un frisson me parcourir. Les paroles d’Hélène, aussi surprenantes soient-elles, ont fait vibrer une corde sensible en moi. J’ai résisté à la tentation de me toucher. Je gardais le silence pour ne pas trahir ma présence.
Hélène a finalement repoussé Magnum loin de sa chatte, et a tapoté son ventre, l’invitant à monter sur elle. Ses pieds posés au sol, elle continua de l’inciter d’une voix douce jusqu’à ce qu’il se conforme à ses désirs. Les grosses pattes avant de Magnum se posèrent sur le siège, à côté des seins d’Hélène. Elle encercla ses flancs poilus avec ses jambes, et elle les utilisa pour le diriger. Je pouvais voir son épaisse tige rouge sortir de sa gaine protectrice.
Je salivais d’envie en voyant le liquide clair apparaître au bout, en préparant le coït avec sa maîtresse. Le bout toucha le clitoris d’Hélène et elle tressauta. Elle souleva légèrement ses hanches, donnant à Magnum un meilleur angle. Je n’aurais cru possible de le faire en position de missionnaire avec un chien. Hélène a gémi tout le long de la pénétration. Magnum est entré lentement dans la chatte d’Hélène. On aurait dit qu’il la respectait. Les bras d’Hélène s’enroulèrent autour de son cou tandis que ses jambes s’enroulaient autour de son dos. Hélène ne devait pas être rassasiée par sa baise précédente. Il avait réussi à se lier avec elle, mais cela n’avait pas duré longtemps.
Hélène est devenue très loquace quand Magnum a poussé son nœud dans sa chatte serrée. Ses membres tremblaient pendant qu’elle gémissait d’extase. Magnum a cessé de la pistonner, et il s’est vautré de tout son poids sur elle. Hélène pantelait en gémissant grave. Elle était clairement en proie à un puissant orgasme. Je pouvais voir ses orteils peints de couleurs vives se recourber. Elle était à la fois au paradis et en enfer.
Je pouvais entendre sa respiration rauque haleter. Elle était emportée par une marée de plaisir. Ma respiration faiblissait et j’avais l’impression que j’allais la rejoindre dans une libération ravissante. Rien que la vue et les sons étaient suffisamment érotiques pour m’attirer au bord du gouffre. Je regardais Hélène, et quand elle s’est calmée, elle m’a regardée droit dans les yeux. J’étais confuse et mes joues devinrent rouges. Mais son grand sourire m’a rassurée. Elle m’a fait signe de la rejoindre.
Je contournais le claustra pour m’approcher d’elle. Les longs cheveux noirs d’Hélène flottaient sur le dossier du canapé et touchaient presque le sol. Magnum s’est levé pour se retourner vers moi. Toujours solidement attaché à sa maîtresse par son nœud, il se tenait debout entre ses jambes écartées. Ce demi-tour à l’intérieur de la chatte maltraitée d’Hélène l’a fait gémir.
Elle avait un sourire malicieux, car elle savait que je la regardais. Elle devait aimer être l’objet de mon voyeurisme. Mes yeux étaient concentrés sur sa vulve bombée. Je ne pouvais pas voir ma chatte quand j’étais attachée à Magnum, mais maintenant je pouvais me rendre compte en voyant celle d’Hélène. Elle était évasée par l’énorme boule de chair bien logée à l’intérieur. Son clitoris se dressait fièrement hors de sa capuche.
Je me suis approchée pour mieux voir, et la large langue humide de Magnum a glissé le long de ma fente dégoulinante. J’ai eu une faiblesse dans les genoux lorsqu’il a lapé mon jus suintant. Hélène me regardait en souriant comme un chat qui vient d’attraper un canari. J’ai ressenti une bouffée d’embarras.
— Approche ce fauteuil et laisse faire Magnum.
J’ai fait ce qu’elle m’a demandé. Je me suis installée en écartant mes jambes pour les placer sur les accoudoirs, et j’ai avancé mes fesses au bord du siège. Magnum a aussitôt enfoncé sa langue agile dans ma vallée humide. En quelques secondes, j’étais prête. J’étais tellement excitée par tout ce que j’avais vu qu’il n’en a pas fallu beaucoup pour me pousser dans le précipice.
J’ai entendu Hélène crier lorsqu’elle m’a rejoint dans l’orgasme. Magnum s’était avancé pour me lécher, et il avait tiré sur sa chatte. Nous avons gémi et nous nous sommes tortillées, submergées de plaisir et reliées par ce chien qui nous baisait toutes les deux.
Magnum nous a fait plaisir pendant longtemps. Hélène jouait avec son clitoris sensible, et la langue de Magnum déclenchait des myriades d’étincelles dans mon système nerveux. Il était incroyable. Quand Magnum s’est finalement libéré d’Hélène, il est parti se nettoyer, nous laissant haletantes et en sueur, couvertes de son sperme et de sa salive.
Hélène s’est levée pour me prendre par la main et m’entraîner vers la piscine. Nous avons nagé et parlé, nous nous sommes embrassées et câlinées le reste de l’après-midi. Hélène m’a demandé de passer la nuit avec elle, ce que j’ai fait.
Ce fut le week-end le plus merveilleux de ma vie.
Notre amitié s’est renforcée au fil des années. Je rendais souvent visite à Hélène, plus encore depuis qu’elle a divorcé d’Henri. Magnum est décédé à l’âge de dix ans et nous étions très tristes, mais Hélène a adopté un grand danois nommé Goliath qui porte bien son nom. Il est énorme. La première fois qu’il m’a prise, nous sommes restés liés si longtemps, et j’ai joui si fort que j’ai perdu connaissance.
Avec mon emploi du temps chargé, et tous les déplacements que je fais pour le travail, avoir un chien à moi ne serait tout simplement pas possible. Je fais donc tout mon possible pour me rapprocher d’Hélène et de Goliath. Je suis si heureuse d’être leur amie.
Diffuse en direct !
Regarder son live