Tel que promis, je suis de retour pour vous raconter la suite de mes aventures de soumise devenue pute pour faire plaisir à mon amant. Suite à ma première expérience de pute de rue, mon amant a cessé pour un bout de me prostituer. Il préférait que je reste à la maison pour m’occuper de son fils et lui. Mais ça me manquait. J’ai alors décidé d’y aller un soir, sans lui dire. J’aime tellement m’habiller en pute et marcher en me dandinant le cul ! Le premier client est reparti quand il a vu que j’étais un travelo. Mais le deuxième était très intéressé. Il m’a payée et m’a emmenée dans un parc pas loin. Il m’a mise dos à un arbre et s’est approché de moi pour m’embrasser et mettre sa langue dans ma bouche. Il était très tendre. Il m’a retournée et s’est agenouillé pour manger mon anus. Il était très doué et forçait sa langue dans mon petit trou de pute. Ensuite il s’est relevé et m’a enculée comme un pro pendant une bonne vingtaine de minutes avant de sortir de moi juste à temps pour que je puisse me retourner et mettre sa queue dans ma bouche pour qu’il vide toute sa bonne décharge. Le lendemain je suis retourné chez mon amant sans parler de ma sortie de la veille. À mon arrivée, il y avait plusieurs personnes. J’ai voulu m’en aller mais mon amant m’a dit de ne pas m’inquiéter, que ces gens étaient des amis de son fils et qu’ils savaient tous que j’étais un travesti. Il y avait un autre homme en chaise roulante, un peu plus vieux que le fils ainsi qu’un aveugle, assis au fond du salon avec son chien guide. Dès mon arrivée, le fils me dit : « nous t’attendions avec impatience ! Déshabille-toi que mes amis voient ta lingerie. ». Je m’exécutai et leur montrai mon soutien-gorge rouge en dentelle assorti à mon g-string. Je portais également des bas filet. Tous exprimèrent leur satisfaction. Mon amant me dit ne pas oublier l’ami aveugle, qui ne pouvait profiter du spectacle. J’allai donc près de lui pour qu’il puisse s’imaginer ce que je portais en le laissant toucher. Ses mains se baladèrent sur moi pour découvrir ma lingerie. Il en profitait pour me peloter les fesses et ma queue. Il me faisait vraiment bander ! Ce n’était pas mon habitude mais cette fois-ci, c’est moi qui me suis fait sucer car il s’est avancé pour me faire une super pipe ! Je n’ai pu tenir longtemps et je me suis vidé dans sa bouche. Il me fit signe de m’avancer et me roula une pelle en poussant mon propre sperme dans ma bouche, que j’avalai avec un étrange plaisir. Mon amant me dit de m’approcher ensuite du nouvel ami en chaise roulante pour le sucer. Celui-ci dit qu’il avait hâte mais qu’il devait d’abord aller à la salle de bain. Le fils de mon amant lui expliqua alors qu’il n’avait pas besoin, que je fus assez salope pour m’occuper de ça. J’allai donc me mettre à quatre pattes devant lui. Je sortis sa queue de son pantalon. Elle était encore au repos. Je l’ai mise dans ma bouche et attendis. Elle commença à grossir mais au même moment, je sentis un liquide chaud et salé envahir ma bouche. Mon amant s’en rendit compte et m’avertit qu’il ne voulait pas en voir une seule goutte par terre. J’avalai donc toute la pisse de mon nouvel ami et j’étais fière de ne pas en avoir manqué une seule goutte. En même temps qu’il finissait d’uriner, j’ai commencé à le sucer bien à fond. J’aimais le goût de sa queue devenue salée par son urine. Pendant que je me régalais, je sentis une drôle de sensation sur mon dos, comme deux petits morceaux pointus et velus en même temps... Je voulus me retourner mais celui que je suçais mit sa main très fort derrière ma tête en m’ordonnant de ne pas bouger. Je me rendis compte que c’était le chien guide qui était grimpé sur mon dos. Tous rigolaient et l’aveugle dit que son chien aussi avait les besoins d’un mâle. Malgré ma crainte, je n’ai pas eu d’autres choix que de le laisser forcer mon cul. Je suis très ouverte d’esprit mais les animaux, ça n’a jamais été mon truc. Mais j’avoue qu’après les premiers coups passés, j’ai pris plaisir à sentir cette queue longue et fine m’enculer à cette vitesse et pour la première, mon cul a été inondé de sperme de chien pendant que celui que je suçais emplissait ma bouche de foutre au goût maintenant devenu habituel pour moi.
