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Je suis devenue une vraie chienne

Chapitre 1

Mon maître me contacte

Travesti / Trans
Mon maître me contacte. Devenir sa propriété

Je m’appelle Eva, travesti de 54 ans.Plutôt grande et fine, je dirai que mon style vestimentaire est "salope bourgeoise".Très soumise, j’aime être totalement dévouée à un homme.Nous sommes en fin d’année 2022, les fêtes se préparent.La semaine de vacances qui s’annonce me donne beaucoup d’envies… des envies d’être une vraie chienne docile pendant une semaine.Je suis prête: Robe léopard mi-cuisse, décolleté plongeant, perruque blonde, maquillage.Parfaitement épilée, dessous chics et sexy (soutien-gorge, string et porte-jarretelles noirs, bas couleur chair), talons hauts de circonstance.Je me connecte sur un tchat de rencontre, les contacts sont nombreux, mais je cherche un vrai mâle.
Après quelques minutes, un homme me contacte… je le connais. Il m’a déjà baisée et j’avais adoré. Il est viril, endurant et bien monté. Il adore me traiter de chienne, de pute, etc.Nous échangeons quelques messages aimables, puis il m’ordonne d’être prête pour 15h00. Je dois l’attendre dans la position habituelle: A genoux, les yeux bandés, les mains dans le dos. Il m’indique que j’aurai une jolie surprise et je sais qu’il a envie de me prêter à d’autres hommes.J’ai coupé le tchat et je me suis préparée. Mon cœur battait très fort et j’étais à la fois impatiente et un peu inquiète.
Il est 15 heures. je suis dans la position imposée. La porte d’entrée s’ouvre et j’entends les hommes entrer. Après quelques secondes, j’entends mon maître :
— Alors salope, prête à te faire défoncer ? me dit-il.
Je réponds par un "Oui maître", timide et j’entends alors : "Ta gueule, sale pute" de la part d’un des hommes. Le ton est donné.J’entends les hommes se déshabiller. Je suis immobile et attends les ordres, je ne vais pas attendre longtemps. Mon maître m’ordonne d’ouvrir la bouche, et je sens sa queue entrer entièrement dans ma bouche et remplir ma gorge.
— Alors les gars, je vous l’avais dit, c’est une bonne pute, dit mon maître.
Les deux hommes se placent de chaque côté de moi, et m’ordonnent de les branler pendant que je suce mon maître. Les mots très crus et insultes sont nombreux. Les hommes changent de place et je les suce tour à tour. Ma bouche dégouline déjà de bave, ce qui fait rire mes trois amants.Je sens une main soulever ma robe et aller directement à ma petite chatte. Comme me l’avait demandé mon maître, je suis ouverte et lubrifiée.Je suis relevée et placée sur le canapé, jambes écartées. Mon cul est à la bonne hauteur et ma bouche est disponible. Mon maître m’encule en premier (je reconnais sa queue et sa façon brutale de me prendre). Un autre se met devant ma bouche pour que je le suce. Les trois hommes échangent leur place assez souvent. Cela dure une quinzaine de minutes, je suis comme une folle, j’ai toujours une queue en moi.C’est alors que je sens une main qui fouille ma chatte.
— On va lui défoncer son cul à cette pute, un bon fist va lui faire du bien ! s’exclame mon maitre.
J’ai déjà été fistée une fois, mais j’appréhende.Je ne sais pas qui me fiste, mais c’est assez brutal même si je suis déjà bien ouverte. A ma grande surprise, ce n’est pas douloureux, et même assez agréable. Sa main est entièrement dans ma chatte et il commence à aller et venir, je gémis comme une véritable traînée. Quand il ressort sa main, j’ai l’impression d’avoir un trou béant.
On me relève, et je reste debout pendant quelques minutes. J’entends les hommes discuter entre eux, mais je ne comprends pas ce qu’ils disent. Je suis debout au milieu du salon, robe relevée, string sur les genoux.
Un homme me prend par le bras et me dirige vers le canapé. J’ai compris, je dois m’empaler sur un des hommes déjà installé, ce que je fais sous la direction de celui qui me tient.Sa queue entre facilement dans mon cul, et, de suite, je sens des mains me prendre par la taille et une queue qui touche mon cul. Je vais avoir droit à ma première double pénétration.Après quelques secondes, l’homme réussit à entrer dans mon cul, j’ai deux queues dans la chatte ! Ce n’est pas douloureux, mais j’ai l’impression d’être totalement remplie. Commence alors un va-et-vient irrégulier. Mon maître se place devant moi : "alors la pute, tu es bien défoncée ?" me dit-il. Avant que je réponde, il m’enfonce sa queue dans la bouche. Je suis totalement sous leur emprise.
Après une dizaine de minutes, les trois hommes décident de se retirer. Je suis épuisée et j’ai l’impression de n’être qu’un trou.Je suis remise à genoux au milieu du salon. Mon maître m’ordonne de sucer les trois bites. Un homme dont la queue est assez longue adore me la fourrer dans la gorge. Je reçois des gifles et des crachats sur le visage. J’entends des "pute", "salope", "trou à jus".
Un premier homme se décharge dans ma bouche, il m’ordonne d’avaler. J’avale le sperme, et il en profite pour me cracher au visage. Le second arrive juste derrière lui pour m’asperger le visage de son sperme. Il a une éjaculation très abondante et pousse un grand râle en jouissant.
Je dois encore sucer mon maître pendant quelques minutes avant qu’il se décharge dans ma bouche, je suis épuisée.
C’est alors que j’entends les hommes déplacer quelques meubles. Je suis toujours à genoux au milieu du salon. J’ai du sperme partout sur le visage et dans la bouche.
— Alors les gars ? Sympa cette pute, non ? interroge mon maitre.— Putain oui, elle encaisse bien la salope! Jai envie de pisser, pas vous? répond un de ses amis.
Les trois hommes sont autour de moi. Un premier jet de pisse va sur ma robe puis sur mon visage. Je sens ensuite d’autres jets chauds sur le visage et sur ma robe, je suis humiliée.Quand ils ont fini, cela va assez vite. Je reste à genoux, dégoulinante de sperme et de pisse. Les hommes plaisantent en me voyant et j’entends des bruits dans la salle de bains.Mes tortionnaires se rhabillent et mon maître m’oblige à m’allonger dans la pisse sur le sol.Les deux hommes repartent et mon maître s’adresse à moi :
— C’est bien salope, tu ne pas m’as fait honte, je te recontacte ce soir à 19 heures ! me dit-il sans attendre ma réponse.
Toujours allongée dans la pisse, j’attends que tout le monde soit parti pour me relever et enlever le bandeau que j’avais sur les yeux. Il y a de la pisse partout. Je me regarde dans la glace de la salle de bain : mon maquillage est détruit et je suis couverte de sperme, je sens l’urine. Je vais devoir prendre une bonne douche et nettoyer le salon.Après avoir fait le ménage et pris une douche, je mets mes vêtements à laver et je vais me changer : jupe, haut noir, bas et porte-jarretelles noirs. Je mets une perruque rousse et je me maquille. Je suis de nouveau en femme, ou plutôt en chienne.
Il est 19 heures et je me connecte sur le tchat.Mon maître est là et il me contacte aussitôt :
— Rebonjour ma salope, comment vas-tu ? Mes amis sont satisfaits et ils veulent te revoir ce soir. Nous passerons te prendre chez toi vers 21 heures, m’écrit-il.
Je lui réponds que je suis assez fatiguée mais il insiste et je cède à sa demande. Je serai prête pour 21 heures.
Je quitte le tchat et j’avoue être assez inquiète. Ils viennent me chercher ? Cela veut dire qu’ils vont m’emmener quelque part. Chez l’un d’eux ? En extérieur ? Dans un club ? J’espère que ce ne sera pas dans un lieu de rencontre en extérieur, il fait assez froid.
Il est 21 heures et j’entends une voiture se garer, je suis prête. J’attends debout les mains dans le dos qu’on vienne me chercher.Mon maître entre seul. Il est satisfait de me voir l’attendre dans la position qu’il m’avait indiquée. Il me lie les mains dans le dos et me dirige vers la voiture. Il prend mes clés et ferme la maison.Je suis placée à l’arrière de la voiture à côté d’un des hommes de l’après-midi. Nous roulons une bonne demi-heure, je pense. Les hommes discutent entre eux et font comme si je n’étais pas là, mais je comprends qu’ils m’emmènent sur une aire de repos. Je vais servir de trou à bites à des inconnus. L’un des hommes parle des préservatifs en se demandant s’il y en aura assez ! Je suis un peu anxieuse, mais j’ai confiance!
La voiture s’arrête, les hommes descendent et me sortent du véhicule. Il fait froid et je grelotte un peu.
— Ne t’inquiète pas, tu vas être bientôt réchauffée ! se moque mon maitre.
Je suis placée entre deux hommes et je pense être promenée au milieu des véhicules présents. Nous marchons ainsi une bonne dizaine de minutes. J’ai l’impression d’être exhibée avant l’abattage.
Je suis emmenée aux sanitaires et placée à genoux. Le sol est froid.Après quelques minutes, j’entends des hommes parler, mais je ne sais pas qui ils sont.Je comprends vite que je vais être la vide-couilles du soir.Je vais sucer et avaler trois hommes dont je ne verrai jamais le visage ni la queue.Un homme demandera à me baiser, mon maître l’autorisera à m’enculer :
— Vas-y, défonce-la, elle adore ça cette pute! ricane un des hommes présent.
Mon maître et ses deux amis en profiteront pour me baiser et pour cracher leur sperme sur mon visage.Je pense être restée environ deux heures sur l’aire de repos.
— Il n’y a plus personne, on peut rentrer, on va la mettre dans le coffre pour ne pas salir les sièges ! dit celui que je pense être le chauffeur.
Je suis placée dans le coffre, il fait très froid, on me couvre d’une couverture et on ferme le coffre. La voiture démarre et nous rentrons. Je suis devenue une chienne qu’on transporte !
La voiture s’arrête et mon maître me sort du coffre. Il me conduit vers la maison, ouvre la porte :
— C’est bien salope, tu as bien travaillé, me félicite mon maitre.— Va te laver et repose-toi. Je reviendrai demain, continue t il.
Quand j’entends la porte se fermer, je me détache les mains et enlève mon bandeau.Je suis dans un sale état et je vais me doucher.Je suis devenue une véritable pute.
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