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Je suis devenue voyeuse

Chapitre 2

2

Voyeur / Exhibition
Je suis devenue voyeuse (2)
Là, je vais continuer à vous raconter l’évolution de ma sexualité. Tout a été déclenché lorsque mon mari m’a trompée. J’avais toujours refoulé ma tendance à aimer regarder des bites. J’ai commencé par Internet, mais une occasion m’a fait passer du virtuel à la réalité.
Une fois Bertrand, mon mari, parti avec mes fils, je me décidai à retourner au bord du lac. Je me disais que peut-être je verrais à nouveau le jeune homme dont j’avais pu observer les attributs la veille. J’étais un peu gênée parce que je savais qu’il m’avait repérée au point d’écarter l’élastique de son maillot de bain. J’étais portée par deux pulsions : le besoin de me venger de mon mari et la très forte envie de regarder des sexes d’hommes, ce qui me provoquait des orgasmes.
Ce jour-là, il ne faisait pas beau et je pensais que je ne verrais personne sur la plage. En effet il n’y avait personne, mais alors que je retournais à notre bungalow, j’aperçus au loin le jeune homme que je nommerais un peu exhibitionniste. Il me reconnut immédiatement. Alors que nous allions nous croiser, je me demandai ce que j’allais faire. C’est lui qui prit les choses en main en me demandant si je voulais bien le suivre, car il avait quelque chose à me montrer. J’étais tout hésitante, mais je m’entendis dire : « pourquoi pas ? », j’eus immédiatement conscience que quelque chose de nouveau commençait pour moi. « Qu’allait-il se passer ? », il m’emmena dans une maisonnette et me rassura en me disant qu’il était le seul occupant. Il s’appelait Andréa. Il vint s’asseoir près de moi sur le canapé. J’étais à la fois excitée et pas rassurée.
Il était direct. Après trois ou quatre paroles banales, il baissa son bermuda. « Je crois que vous aimez regarder. Allez-y ! Régalez-vous ». Il exhibait un sexe raide. Il était entièrement épilé. Les yeux devaient me sortir de la tête. Je matais son service trois-pièces. Une expression me vint à l’esprit : manche de pioche. C’était ça : du solide, bien large. « Allez-y, Isa, n’hésitez pas, touchez-vous sans retenue en matant ma bite ».
Je ne me retins pas et je baissais aussi mon bermuda. Il m’observa quand j’enlevais ma culotte. « Ho, La belle touffe ! Vous arrivez à trouver votre bouton du plaisir là-dedans ? Vous pouvez me tâter le bâton et les boules, mais attention, faut pas branler. Sinon excité comme je suis quand une femme me regarde, je n’arrive pas à contrôler ma queue et elle crache la purée en trente secondes ». Voilà, ce qu’il me disait et ses paroles ne me laissaient pas de marbre. J’étais en train de rendre la monnaie de sa pièce à mon salaud de mari et cela finissait de me convaincre que j’avais bien raison de me laisser aller et d’en profiter. Ce jeune homme était sans doute un peu cochon, mais je me disais que je l’étais sans doute aussi un peu depuis que je me laissais aller à la pulsion de mater les sexes d’hommes. D’ailleurs, merci Internet sans lequel je n’aurais pas découvert véritablement ce penchant.
Nous étions assis tous les deux entièrement nus. À un moment, il se mit devant moi comme pour me faire une démonstration. Il plaça ses mains derrière le dos et commença à remuer des hanches. C’était magnifique. J’étais très tentée de mettre la main pour sentir la rigidité de son manche. Il s’arrêta puis d’un doigt, il abaissa son membre et le relâcha. Le bruit de sa queue contre son ventre me fit mouiller un peu plus, d’autant qu’il recommença cette opération plusieurs fois, sentant que j’étais sensible et que j’appréciais beaucoup. Il s’approcha un peu plus et d’un doigt désigna ses boules. J’étais d’accord pour les prendre dans la main. Trop excitée, je ne me rendis pas compte que je les serrais fort.
Il me lança un « Hé, doucement, faut pas les écraser, madame ! » Je ne résistai pas à saisir la colonne de chair. C’est sûr que c’était du costaud. Je commençai doucement, ça va faire quelques mouvements de va-et-vient et manifestement, cela ne lui déplaisait pas. Il me gratifia de quelques « Oui, c’est bon ! » je sentis tout de suite qu’il était près de l’explosion. J’allais tout doucement. À un moment donné, il m’ordonna de m’arrêter et de profiter du spectacle « vous qui aimez ça » ajouta-t-il. Je ne lâchai pas son bâton, mais j’arrêtai de le secouer. Et pour la première fois de ma vie, j’assistai en voyeuse au spectacle d’une belle queue en train d’envoyer sa purée. Trois giclées sortirent et après il coula sur ma main. C’était à mon tour d’être prête. L’orgasme montait et j’étais emportée par des spasmes de jouissance. Je me pliai plusieurs fois, le regard fixé sur ma main dégoulinante de sperme. Andrea me regardait en se frottant le sexe.
J’avais encore le doigt sur mon sexe quand il vint s’asseoir à côté de moi. On était tous les deux en extase. Il alla chercher à boire dans la cuisine et quand il revint, je constatai qu’il n’avait pas complètement débandé. Son sexe était courbé, mais gardait une belle taille.
Il me dit que lui aussi, il aimait bien regarder. Je fis la femme surprise. « Vous m’avez bien maté la queue, tant mieux, surtout qu’on a eu du plaisir, mais je voudrais bien voir votre chatte. » Alors, j’écartai les cuisses. « Il y a des poils, mais vous avez une chatte magnifique. » Il était planté devant moi. Ma pulsion me revenait. J’avais les yeux fixés sur son sexe. « Et les fesses ? » Je n’hésitai pas à me lever et à me tourner. « Waouh ! les belles joues ! Elles sont bien rondes. Votre mari doit bien s’amuser quand il vous prend par-derrière. » Je ne lui dis que mon mari était un connard qui m’avait trompée. Je me retournai vers lui. On se rassit avec notre verre à la main. Un regard vers son entrejambe m’engagea à observer son sexe en train de grossir. Il me dit que c’était à cause de mes belles fesses qu’il rebandait. C’était super excitant et je savais que j’allais me laisser aller à nouveau. Son manche de pioche atteignait son nombril.
Je me serais bien assise dessus, mais j’étais certaine que j’allais bien mieux jouir en le regardant. Nous nous mîmes à nous masturber en nous regardant mutuellement. C’était super jouissif. Il me demanda de lui montrer à nouveau mes fesses. Je me mis sur le côté sans m’arrêter de me frotter la chatte.
Je partis en premier. Il me fixa et se secoua fort. Quand je fus un peu remise, je lui tins les couilles et il se finit. J’en pris encore plein les mains. Quelle chance j’avais eue avec ce jeune homme qui aimait jouir comme ça !
Il me fit la bise. « C’est quand vous voulez. »De retour au bungalow, je restai vague sur mon activité de la journée tout en me disant que je pourrais tout raconter à mon mari, histoire de me venger.
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