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Je suis devenue voyeuse

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Après cette première expérience de voyeurisme, la reprise du travail a été le signal à un retour à la normale. Enfin, la normale ; pas certain qu’on puisse dire cela. Je ne garde presque qu’un souvenir de ses vacances : celui d’Andréa exhibant son sexe dressé devant moi, me provoquant un formidable orgasme. Pendant au moins trois mois, je n’ai fait que continuer ma vie sexuelle, disons normale. Bertrand, mon mari me baisait environ une fois par semaine. Je le laissais faire, mais, même s’il m’arrivait de jouir, cela ne me provoquait les super orgasmes qui m’emportaient lorsque j’étais dans la position de voyeuse. Heureusement qu’il y a des sites pour adultes. Tous les trois ou quatre jours, je sens le besoin de regarder un site où je vais pouvoir assouvir mes désirs. Je lance toujours la même recherche : solo mâle. Et cela ouvre des pages et des pages d’hommes en train de montrer leur sexe et de se masturber.
Si au début je partais au bout de quelques minutes à la vue d’une queue, aujourd’hui, je me contrôle beaucoup mieux et j’arrive à faire durer le plaisir parfois plus d’une heure. Je suis devenue plus exigeante. Je m’arrête sur de belles queues, mais je regarde surtout celle où on voit le mec en entier. J’aime bien voir leur visage au moment où il largue leur jus. Il y en a qui ont les yeux qui leur sortent de la tête, d’autres ouvrent la bouche comme pour chercher de l’air. Et d’autres râlent, gémissent ou même se mettent à gueuler. Ceux qui m’étonnent le plus sont les hommes qui larguent sans que rien ne montre leur jouissance. Ils sont impassibles. Ils se soulagent et puis c’est tout.
Mais maintenant que j’avais vécu une expérience de voyeurisme in vivo, mes séances devant l’écran de l’ordi me semblaient un peu pâle. Disons que je ne crache pas dessus, mais je me transpose dans le réel en imagination et que c’est très agréable, mais aussi un peu frustrant. Il y a bien Bertrand, mon mari, mais sa queue ne m’excite pas plus que ça. Encore que depuis qu’à mon tour, j’ai cette activité sexuelle hors couple, il y a du mieux. Tout s’était éteint lorsque j’avais appris qu’il me trompait. Hier soir, il est venu se coller à moi quand je lui ai tourné le dos pour dormir. J’ai senti son sexe contre moi. Je l’ai laissé faire. Il m’a bien bourrée, cramponné à mes hanches. J’ai joui et il s’en est aperçu. Il était content de lui. J’avais bien sa bite dans la chatte, mais ce n’était pas sa bite que j’avais en tête. Pendant tout le temps où mon mari m’a ramoné la chatte, j’ai eu le film d’un homme qui s’est exhibé sur Internet. C’était un jeune mec d’environ vingt-cinq ans.
La scène se passe en plein air ; il n’y a aucune parole. On le voit torse nu en short bleu. Quand j’ai démarré cette vidéo la première fois, j’ai immédiatement regardé la déformation du short. J’ai pensé : « il y a un beau morceau là-dedans. » L’homme a passé la main dans son short et a positionné son sexe dans la manche du short. J’ai vu apparaître le gland. Après, il a baissé son short et a un peu branlé. Ça m’a super excitée de voir sa belle colonne. Au bout d’une ou deux minutes, il a remis son sexe dans son short. Le gland est ressorti. J’ai serré les jambes. J’ai lâché un « Je vais jouir. Et je suis partie à jouir au moment où le gland envoyait la purée sur sa cuisse. »
L’idée d’assouvir mes envies ne me quittait pas, mais je gardais bien en tête qu’il fallait que je ne devienne pas la salope du coin qui mate les hommes. Je devais être discrète. Internet, c’est bien pour me faire jouir, mais ça manque un peu de piquant. C’est alors que j’ai pensé à Jules. Je rencontre cet homme plus âgé que moi de temps en temps. Je suis allée deux ou trois fois boire un verre avec lui. Il m’aime bien : j’en suis convaincue. Alors un jour du mois de mai, je l’ai invité à venir profiter de notre piscine. Trois semaines plus tard, il m’a demandé quel jour il pouvait venir. Je choisis un jour où j’étais seule. Lorsqu’il est arrivé, nous avons un peu discuté avant d’aller dans l’eau. Manifestement, il n’avait rien d’extraordinaire dans son maillot de bain. J’avais quand même remarqué qu’il n’avait pas ses yeux dans sa poche. Je suis passée devant lui et je me suis retournée ; il avait les yeux fixés sur mes fesses.
Quand je me suis allongée, j’ai bien vu que ça bougeait dans son maillot. Voilà à peu près ce qu’ont donné nos échanges.
— Ce sont mes fesses qui te font cet effet ?— Elles sont bien rondes et elles font des vagues quand tu marches ; ça me fait grossir le sexe. Tu veux voir ?— Oui, vas-y Jules ; sors-la. J’adore regarder un sexe d’homme en train de grossir.
À ce moment, je lui ai expliqué qu’on pouvait se faire plaisir, mais pas plus. Il a tout de suite compris. Il était d’accord pour s’exhiber devant moi. Il s’est mis debout. Son membre est sorti de son slip comme un diable de sa boîte. Et direct à la verticale ; c’était super. Il était de taille raisonnable et c’était du raide.
— Voilà, Isabelle, tu peux mater tant que tu veux. Elle n’est pas près de redescendre. Est-ce que tu veux bien me montrer quelque chose ?— Hum, dis-moi, les seins les fesses ?— Non, je préfère regarder ce que tu vas toucher pour te faire jouir.— Ha, carrément, tu veux voir ce que j’ai entre les jambes.
J’ai baissé mon bas de maillot. À ce moment, il s’est mis à se déhancher, genre danse, tout ça pour me montrer les mouvements de sa queue. Ça m’a super excitée et j’ai baissé ma culotte. J’ai immédiatement mis la main sur mon clitoris. Il avait le gland hyper-luisant. Dès qu’il a vu ma chatte poilue, il avait les yeux qui lui sortaient de la tête. Il s’est attrapé les couilles et les a secouées. Sa queue dansait et moi je me branlais le clito.
— Si je branle, je jute.— Vas-y parce que je ne vais pas tarder. Je suis toute mouillée.
D’un geste évocateur des deux mains, il m’a montré qu’il voulait que j’écarte plus les cuisses. Il s’est approché. J’avais sa queue toute proche. Je l’ai touchée ; elle était super raide. Ça m’a fait partir. « J’arrive, j’arrive ! » Il se l’est secouée à toute vitesse. Je jouissais encore quand deux giclées ont atterri dans mes poils. J’avais les yeux fixés sur sa queue qui coulait par terre. On est resté un assez long moment, tout pantelant. J’étais encore sous l’étonnement de sa grosse jutée. Il n’est pourtant pas costaud, mais il a un bel instrument et quel gicleur !Le soir, mon mari m’a sautée et j’ai joui en pensant à la trique de Jules et à ses giclées sur ma chatte.
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