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Je suis devenue voyeuse

Chapitre 4

Ils m'ont fait jouir

Avec plusieurs hommes
Ma quasi-obsession de regarder des sexes d’hommes m’interroge : est-ce normal docteur ? Et puis lorsque j’allume mon ordi pour aller sur un site, je n’ai plus de question, mais que de l’excitation. Et depuis que Jules vient s’exhiber devant moi, je suis comblée. J’ai des orgasmes très fréquents, très variés et très forts. Ce matin, j’ allume mon ordi et je ne peux m’empêcher d’aller sur un des grands sites de vidéos x. En tapant solo mâle, j’ai d’abord vu beaucoup de bites : ce n’est pas mal, mais on ne voit pas les visages. Les bites c’est bien, mais le mec en entier, c’est mieux. Surtout lorsque leur visage se déforme quand il jouit. Le grand classique, c’est la bouche ouverte. Et puis il y a les gueulards. Ça m’impressionne d’entendre le mec gueuler alors que je regarde sa queue envoyer une belle giclée en l’air. Ce matin, je suis toute seule chez moi et je regarde Internet. Je visionne une vidéo où l’homme se masturbe dans sa voiture.
Il a dû placer sa caméra (plutôt qu’un portable, car les images sont de très bonne qualité) au niveau des pédales. Je vois en premier plan sa bite de belle taille, pas longue, mais très trapue avec des veines très saillantes. Derrière je peux observer sa tête. C’est un homme dans la force de l’âge, aux cheveux et à la moustache grisonnants. Lorsqu’il  commence à être près de la fin, il s’anime. Il branle, il s’arrête... Il fait durer. À un moment donné, je vois sa respiration se bloquer  ; des pensées excitantes commencent à me traverser l’esprit : « il va jouir dans sa voiture le cochon ! Il a des belles couilles ! Elles doivent être dures et bien pleines !» J’ai la main dans ma culotte. Je mets sur pause. Je finis par enlever mon pantalon et virer ma culotte. Je suis beaucoup plus à l’aise. Lorsque je remets en route, il est mûr et commence à parler de plus en plus fort en anglais : « Yes ! Yes ! I come ! Spunk ! Spunk ! » Je vois une belle giclée partir à la verticale et atterrir sur son tee-shirt. Il crie fort un son bizarre du genre ; « Euh AAAAAAHH ! EUH ! Euh ! » Une autre giclée  arrive sur son siège. Excitée comme je suis, je me vois nettoyer son siège de voiture ; il doit être bien taché, car il doit se branler souvent en voiture. « Je suis cochonne. » Voilà ce que je conclus, juste avant de jouir en voyant sa bite continuer à envoyer le sperme qui coule le long de sa queue avant de s’étaler sur ses couilles.
Un vendredi matin, je me prépare à une belle journée de farniente quand Jules m’appelle. « Est-ce que je peux aller profiter de ta piscine ? »
— Viens en fin de matinée, on mangera quelque chose ensemble.
— J’aurai une petite surprise.
Tout de suite, je comprends le domaine de la surprise. « Il ne va quand même pas venir avec un copain à lui ! » Je ne dis pas non, mais je n’en mène pas large lorsque j’entends la sonnette du portail.
— On vient se baigner avec toi. Je te présente Clément, un ami de longue date.
Jules me mets la main au cul ; ça ne me plaît  pas trop. Mais je suis curieuse de ce qui va se passer. Nous échangeons des banalités. Clément est un homme costaud. Je marche derrière lui et je vois qu’il a des fesses bien rondes qui ont l’air bien musclées. Ce n’est pas pour me déplaire. Il a aussi un assez gros ventre.
— Je suis venu avec Clément ; il met toujours de la bonne humeur partout où il va. Je t’explique : dès que je lui ai parlé du plaisir que tu avais à regarder des sexes d’homme, il a tout de suite été intéressé. Pas vrai Clément ?
Nous nous mettons tous les trois en maillot de bain et Jules et Clément se débrouillent pour se placer juste en face de moi. Évidemment, tous les deux portent des maillots de bain très moulants. J’ai un deux-pièces.
— On fait du naturisme ? demande Jules.
— Pourquoi pas ? ai-je répondu.
Immédiatement, Clément baisse son maillot. Je le fixe et j’observe qu’il bande déjà. Jules aussi.

— Attendez Madame, me dit Clément. Vous permettez que je vous aide ?
Il s’avance vers moi sans attendre ma réponse et me dégrafe le soutien-gorge. Ensuite il s’accroupit devant moi. Sa tête est au niveau de mon ventre. Il passe deux doigts dans l’élastique de mon maillot et le baisse lentement. Me faire baisser la culotte par un homme que je ne connais pas il y a quinze minutes me fait très bizarre ; mais ce n’est pas désagréable. Il a le nez tout près de mon entrejambe. Et c’est un bavard.
— Ah j’aime ça, c’est super agréable surtout de découvrir une belle touffe noire comme vous en avez. Vous me faites bander madame.
— Elle s’appelle Isabelle, fait remarquer Jules… Isabelle, tu vas pouvoir mater tant que tu veux en te faisant plaisir ; on est là pour ça.
— Oui, surtout qu’on est en état de satisfaire votre fantasme : on l’a raide tous les deux.
J’observe surtout Clément. Il en a une pas très longue, un peu recourbée et épaisse. Lorsqu’il s’allonge, sa queue est dressée au milieu de son ventre et je remarque qu’il a les couilles très poilues : beau spectacle ! Je préfère les hommes natures Je n’hésite pas longtemps avant de mettre ma main entre mes jambes. Tout de suite, ils font la même chose et mon excitation monte d’un cran.
— Vous ne me connaissez pas Madame, mais je peux vous dire quelque chose qui va vous intéresser. Dans la vie, il y a des sportifs lanceurs de poids, lanceurs de disque, ou lanceurs de marteau. Moi dans mon genre, je suis aussi un lanceur, mais je suis un lanceur de sperme. Vous allez voir ça tout à l’heure.
Il a de l’humour le Clément, mais ce n’est pas ce qui m’intéresse. Les deux hommes me fixent ; je les fixe. Jules y va lentement et sûrement, un peu comme moi. Je vois Clément fouiller dans son sac et sortir un tube.
— C’est de la vaseline. Comme je vois qu’on a tous les trois très envie de ne pas se précipiter ; je vous le dis par expérience : faut pas astiquer à sec.
Il s’approche de moi.
— Donnez vos mains.
Mais il se ravise.
— Si vous le permettez, je vais faire moi-même... Montrez-moi votre clitoris, que je lui donne sa dose pour le protéger.
Sans me poser de question, je m’écarte les lèvres. Sans lâcher sa bite des yeux. Il faut vraiment que je sois excitée pour faire ça. Finalement, je peux remercier mon mari de m’avoir trompée. Sans le désir de me venger, je ne serais pas en train de découvrir ces aspects de ma sexualité. J’ai un petit geste de recul quand il verse la vaseline ; c’est froid. Il étend la vaseline. Largement d’ailleurs, très largement.
— Les poils, ça en prend beaucoup.
— Vous en profitez.
Et en effet, il en profite ; il en étale partout. Un doigt sur le clitoris, puis la main à plat sur la chatte. Et enfin, les lèvres une par une. Il ne se gêne pas, mais il se montre très délicat. Il me pelote carrément la chatte. Il replace le tube dans une sorte de petite valise.
— Ça vous tente que j’augmente votre plaisir ?
Je ne réponds pas. Je suis  surprise.
— Vous allez monter vers un orgasme puissant avec ces outils.
Il me montre un vibromasseur d’une vingtaine de centimètres terminé par une boule. Je l’écoute tout en n’oubliant pas de lorgner sur l’entrejambe des deux hommes.
— Tu te laisses caresser la chatte ? Tu m’as dit que tu préférais éviter les contacts, me fit remarquer Jules.
Je ne réponds pas, car je me sens prête à me laisser aller avec ce type. De temps en temps, Clément se prend les couilles et tire dessus ; ça fait délicieusement vibrer sa queue. Il me met l’engin en haut de la chatte et écarte mes lèvres pour libérer mon clitoris. Je comprends tout de suite pourquoi Clément a parlé d’augmenter mon plaisir. C’est en effet beaucoup mieux que mon doigt.
— Je me sers, dit Jules en me prenant un téton entre le pouce et l’index.
Clément me demande si j’ai des éjaculations quand je jouis. J’ai vu ça sur Internet, mais sans vraiment m’arrêter là-dessus. Il a l’intention de me faire éjaculer avec son vibro. Jules est tout près et j’ai son membre proche de mon visage. Mon plaisir monte, c’est très agréable. Sans réfléchir, d’un geste vif, je prends son membre en bouche.
— Elle me suce, elle me suce ! Isabelle me suce !
— Tu as de la veine ; moi, je vais la faire jouir, mais elle ne me suce pas. Pourtant, Isabelle si vous voulez voir beaucoup de jus sortir de ma teub, c’est ma meilleure méthode.
Moi, ça me suffit de voir son membre costaud sous son gros ventre. Et puis, je ne suce pas à la première rencontre. Je sens un doigt posé à l’entrée de mon vagin.
— Je peux vérifier où vous en êtes ?
Je lâche un "Oueu !". J’ai la bouche pleine. Il me demande mon consentement ; ça vaut un bon point. Je suis encore plus relâchée, plus à l’aise. Il a aussi le doigt trapu ;   je  le sens son doigt dans ma chatte. Il fouille le bougre et pas qu’un peu.
— Mais c’est trempé là-dedans ! Tiens, Jules touche. Vous allez jouir. Pas trop vite, madame, pas trop vite. Contrôlez-vous. Un peu, plaisante l’homme.
— Je peux ?
Je suis d’accord. Et Jules tâte délicatement mon intérieur. Il se penche sans sortir de ma bouche. Je l’observe. Il a un air réjoui, peut-être un peu béat. Pour le moment, tout me fait du bien ; c’est parfait. Je ne veux rien changer. Je vois Jules mettre son majeur dans la bouche. Il  tourne autour de mon entrée puis je sens son doigt me pénétrer dans le vagin et faire des va-et-vient. À ce moment, je reçois un gros bouillon dans la bouche. Jules m’envoie tout. C’est la deuxième fois de ma vie que cela m’arrive. La première fois, c’était avec mon mari au début de notre relation. Je n’avais pas aimé le goût. Après sa deuxième giclée, je sors le  membre de Jules et je regarde le sperme continuer à couler le long de sa queue. Ce n’est pas bon, mais j’avale quand même tout. Jules il continue à me tripoter les tétons. Je vois sa queue diminuer de taille. Une goutte pend encore à son gland.
Je suis au comble de l’excitation. Aujourd’hui, je dépasse largement le simple voyeurisme.
— Vous y êtes Isabelle.
— Oui, je suis prête à partir ; c’est bon.
— Non, non ! Faut rester comme ça le plus longtemps possible. Je suis au même point. Je suis sur le fil. Tenez regardez, me dit-il en me montrant son gland au bout duquel perle une goutte transparente, j’ai le précum qui sort ; c’est que je suis sur le point d’éjaculer, mais je vais faire durer. Surtout il ne faut pas me toucher la queue, sinon ça gicle. Vous avez, vous aussi, du jus dans votre chatte.
Il retire le vibro et le pose à côté. Et là, il me met son pouce et son index dans le vagin, remue un peu et les ressort. Il nous montre, à Jules et à moi, le liquide qu’il a au bout des doigts. En collant les deux doigts puis en les écartant lentement, il se met à jouer avec les fils qu’il arrive à former avec mon liquide.
Clément joue carrément avec moi. Il me remet le vibro. Cela monte fort à nouveau pour moi. Mais il m’enlève l’appareil juste avant que je parte. Je suis  tombée sur un homme qui sait  y faire en matière de plaisir de femme.
— Vous devez être dur.
— Oui, mais pas touche pour le moment. Tiens Jules, viens voir. Je remets un coup de vibro. Excusez-moi, Isabelle, j’explique à Jules et ça pourra vous servir quand il sera tout seul avec vous. Tu vois Jules, Isabelle a les lèvres poilues, mais on voit quand même qu’elles sont rouges. C’est qu’elle est très excitée. Vous permettez que je montre votre intérieur à Jules ?
Je suis tellement prête à jouir qu’en guise de réponse, j’ouvre un peu plus mes cuisses. Clément m’écarte les lèvres.
— Tu vois tous ces organes de la chatte sont dilatés. Ils baignent dans la cyprine. Ça, c’est le trou à pipi, mais tout à l’heure, elle va éjaculer par là. Je la sens prête à devenir fontaine aujourd’hui.
Moi aussi, je sens que le plaisir va être plus profond que d’habitude. D’ailleurs lorsque Clément enlève le vibro, je continue à garder mon excitation en me contractant. Lorsque Clément lance : « Maintenant il faut y aller ! », je me lâche avec le vibro bien collé à mon sexe. Clément m’offre son sexe que je me mets à serrer fort et à secouer. Je me casse en deux par la violence du début d’orgasme. Puis ce sont les spasmes. Je sens ma chatte se contracter et faire beaucoup de liquide.
— Regarde, regarde Clément, tu la fais éjaculer. C’est magnifique.
Moi, je suis au paradis, mais je tiens toujours le membre de Clément. Mon regard va de sa queue à son visage. Il est en apnée. Je jouis encore quand il largue au moins sept ou huit belles rasades de sperme. J’en ai partout. Jules m’essuie délicatement. Il rebande déjà le queutard.
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