Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 88 J'aime
  • 0 Commentaire

Je suis devenue voyeuse

Chapitre 5

le rasage

Avec plusieurs hommes
Jules et Clément sont déjà installés au bord de la piscine. Ils ont gardé leur maillot de bain. Je vais me payer un bon moment de voyeurisme et aussi un peu d’exhibition. J’arrive en maillot deux pièces. Comme d’habitude, ils me regardent autant que je les regarde.
— Oh la la, il ne faudrait pas que j’aille à la plage comme ça ; j’ai plein de poils qui dépassent.— J’ai un copain coiffeur, Léo, qui pourrait vous rafraîchir la touffe. Il est homo jusqu’au bout des doigts, propose Clément sous les yeux brillants de Jules.
Mon sang ne fait qu’un tour. Décidément depuis que mon mari m’a trompée et que j’ai décidé de me libérer. Et cette idée de me faire faire le maillot m’excite pas mal.Et trois jours après, je dois retrouver Jules, Clément et son copain Léo, le coiffeur. J’ai pensé à ça toute la nuit et maintenant, je regarde un site porno pour me chauffer avant qu’ils arrivent. Je me livre à mon activité de voyeuse sur écran avant de voir Clément et Jules in vivo. Je vois un homme dans sa douche ; il bande. Il joue des hanches et fait danser sa queue. Il commence à se branler, mais je ne vais pas plus loin, car la sonnette du portail d’entrée retentit. J’éteins mon ordi et je regarde l’écran de la sécurité. Les trois hommes sont là. Je leur ouvre et leur dis par la fenêtre d’aller au bord de la piscine. Je passe mon deux pièces et je les rejoins. Jules et Clément sont déjà à poil. Le coiffeur est resté habillé. On échange quelques mots. Sa façon de parler et ses gestes me confirment qu’il est bien homo.
— J’ai apporté mes outils ; vous me dites ce que vous voulez et j’exécute le travail. Je peux aussi épiler autour de la coupe si besoin ... pour un meilleur rendu.
Et on bavarde de choses et d’autres.
— Bon, Léo, tu vas te mettre au travail ; tu n’es pas venu pour la discute.— D’accord, je fais ça dans les règles.
Jules m’invite à aller à la douche de la piscine pour mouiller les poils. Je ne suis pas gênée quand j’enlève le bas de maillot.
— Il faut faire un shampooing comme chez le coiffeur. Vous m’excuserez si vous me sentez malhabile, mais c’est la première fois que je vais m’occuper des poils du sexe d’une femme. Il y a du travail, remarque Léo en professionnel. Je peux même vous faire des frisettes si vous voulez les garder.— Me rafraîchir la touffe va suffire. Vous laissez un gazon.
Le coiffeur me fait un shampoing.
— Il ne faut pas que tu oublies les poils qui sont entre ses jambes. Faut aussi faire la raie parce que j’ai remarqué que c’était garni de poils jusqu’autour de l’anus... Vous pouvez vous tourner Isabelle ?
Je me place comme il demande et aussitôt les mains de Clément m’écartent les fesses. Clément bande comme un taureau. Sa queue recourbée lui touche presque le nombril. Il en a plein les yeux. Je me demande ce que pense le coiffeur homo.

— En effet, il y a des poils. Elle en a jusqu’en haut de la raie et plein autour de l’anus, comme un homme poilu. Je ne savais pas que c’était possible.
Après m’avoir lavé le devant, les mains de Léo me lavent la raie. Il est très délicat ; c’est agréable. Je me laisse faire. Me sentir manipulée par ces hommes commence à m’exciter. Je me sens bien. Je suis déjà tout entière dans l’orgasme qui va m’emporter à un moment. Je vais le retarder au maximum. J’ai confiance dans ces trois hommes. Je suis persuadé que Clément sait y faire en matière de sexualité féminine. Léo m’accompagne me rincer et me réinstalle sur le transat.
Je me laisse guider. Clément me fait allonger sur le transat Bain de soleil qu’il a mis dans la position allongée. Je me mets une petite serviette sur la figure, bien décidée à me laisser faire. Je me dis que culotte enlevée devant trois hommes est très étonnant pour moi. J’en viendrais presque à remercier Bertrand, mon mari de m’avoir trompée et de m’avoir ainsi engagée dans une vengeance qui me révèle. Je suis une vraie voyeuse. Grâce à Bertrand et Jules, mon amant, l’intensité de mes orgasmes a nettement augmenté. Le coiffeur me brosse et me peigne la touffe puis prend mes poils entre deux doigts et commence la coupe. N’importe quel homme en profiterait pour me toucher la chatte, mais pas Léo, trop homo pour ça. Je sens Clément au plus près de l’action : c’est-à-dire de mon entrejambe.
— Je vais garder la forme générale du triangle, mais je vais la réduire et je vais faire une coupe à moins d’un centimètre.
Il me brosse la touffe. Puis, j’entends le cliquetis des ciseaux. Il me frôle pour chasser les poils coupés. Puis un petit coup de brosse. Et il recommence. Il me propose de m’épiler les bords du triangle.
— J’ai des bandes de cire froide. Cela convient.— D’accord.— Après, je ferai les retouches pour que ce soit joli.
Il a le geste juste parce que je n’ai presque rien senti. Je sens les trois hommes autour de moi. Je lève un coin de la serviette qui me couvre le visage. J’ai la bite de Jules sous les yeux. Elle est raide. Il se touche les couilles.
— Alors, les hommes, qu’est-ce que vous pensez de mon travail ? — Je trouve ça magnifique. Et vous Isabelle qu’en pensez-vous ?
Je retire ma serviette et je regarde mon bas du ventre. Il a bien travaillé. C’est net, court comme je souhaitais. En même temps que Jules que m’aperçois que Léo a une bosse à son pantalon.
— Hé, mon cochon, ça te fait bander aussi de voir une chatte, lance Jules.— C’est pas ça, mais c’est de voir vos queues. — T’es vraiment homo jusqu’au bout. Allez, à poil comme nous.
Léo ne se fit pas prier. Je le regarde. Il a un beau corps. Et il est bien monté.
— Vas-y finis le travail ; il te reste la raie de madame.
Toujours très prévenant, Clément me demande s’il peut me mettre en position. Et je me retrouve sur le côté, les jambes un peu repliées avec Clément qui m’ouvre les fesses. Je me remets la serviette sur la tête, mais je vois une partie de la scène. Je les regarde en biais et je vois trois têtes penchées. Les sentir fixées sur ma raie m’excite.
— Vous avez un anus magnifique, madame, et je m’y connais en anus, me gratifie Léo.
Jules m’explique le travail de Léo. « Il dégage l’anus et coupe de façon régulière. Il épile pour bien finir ». Soudain, Léo s’exclame. : « Regardez, il y a du liquide qui sort ! »
— Forcément, ça lui plaît que tu lui soignes le shneck. Comme tu es délicat, elle mouille, c’est normal.
Lorsque le coiffeur me fait voir mon entrejambe avec son miroir, sa queue appuie sur ma fesse et cela fait monter mon excitation d’un cran. Et je suis bien décidée à jouir de ce moment particulier. Léo prend une serviette et m’essuie, ce qui fait beaucoup rire Jules et Clément.
— Enlève plutôt la serviette du dessous, elle pleine de poils. Et donne-moi en une poignée pour ma collection.— Je ne savais pas que Clément, le mâle de ces dames, était un cochon.— Je ne te permets pas, je ne suis pas un cochon, je suis un collectionneur.— Et maintenant, tu vas voir cher coiffeur ; on va donner du plaisir à Isabelle. Voir des hommes se branler lui provoque des orgasmes.— Je peux rester ? Moi aussi j’aimerais me masturber. En fait j’en peux plus ; j’en ai plein les couilles.
Je me dis que c’est parti. Tout s’enchaîne. Ils me demandent s’ils peuvent gicler sur ma chatte « pour l’inaugurer ». Je sens que ça monte. Les trois mecs sont devant. Je regarde leur sexe et leur visage. Léo est déjà en apnée. Il râle ; une puissante giclée s’envole et tombe dans la piscine. « Il m’a ratée. » Je suis prête. Je m’enfonce deux doigts dans la chatte là ou ça fait du bien. L’autre main me secoue le clitoris. Du sperme m’arrive sur le ventre et sur les mains. Ça fait floc dans ma chatte. Et c’est l’explosion, je jouis et j’envoie un jet. C’est Léo qui prend tout. Je suis secouée et je largue encore.Après on est tous bien devant notre bière. Léo en a appris sur les femmes.
Diffuse en direct !
Regarder son live