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Je me suis fait sauter par mon médecin

Chapitre 1

Orgie / Partouze
JE ME SUIS FAIT SAUTER PAR MON MÉDECIN
Cette histoire bien réelle racontée par Josette, petite jeune femme blonde de trente six ans assez jolie, s’est déroulée l’année dernière. Nous sommes dans un endroit assez retiré de la campagne charentaise ou la jeune femme s’occupe avec son mari d’une petite exploitation ou se pratique l’élevage des bovins.
En début de semaine, ayant quelques problèmes féminins, j’ai décidé de prendre rendez-vous chez mon médecin qui s’avère selon ce que m’a dit sa secrétaire, être en vacances. J’ai quand même tenu à avoir une consultation avec son remplaçant car je ne suis pas très bien, d’autant qu’en ce moment le travail ne manque pas à la ferme.
Lorsque je me suis rendue à mon rendez-vous j’ai eu un choc en voyant le médecin qui le remplaçait et j’ai bien failli faire demi-tour. C’était un homme assez jeune, noir et assez grand, bien baraqué qui me regardait avec un petit sourire… J’étais très troublée et honteuse et avais du mal à exprimer mes problèmes qui se situaient entre mes cuisses. Je ne pouvais m’empêcher de penser comme on le dit assez souvent à la grosseur du membre qu’il devait avoir entre les cuisses. Il m’a demandé de me déshabiller entièrement et de m’allonger sur la table de soin. Je me suis dévêtue lentement devant cet homme qui semblait apprécier cet effeuillage, j’étais rouge de honte et un peu tremblante quand je me suis présentée devant lui dans le plus simple appareil.Je me suis installée sur la table, et j’ai placé mes pieds dans les étriers métalliques prévu à cet effet. J’étais donc complètement nue, jambes grandes ouvertes devant les yeux de cet homme que je ne connaissais pas. J’étais très mal à l’aise, de me montrer ainsi à un inconnu, même si je me disais qu’il avait bien dû en voir d’autres de par son métier… Le médecin s’est placé devant moi, après avoir revêtu des gants et bien lubrifié mon minou, il a enfoncé un puis deux doigts dans ma chatte. Je n’en revenais pas, pendant qu’il me pénétrait, j’étais en train de vivre un de mes vieux fantasmes : me faire toucher par un noir, j’étais au septième ciel. Il a rajouté un doigt qu’il a fait allez et venir. Ma tête tournait, je transpirais et poussais quelques petits cris, ses doigts glissaient tout seuls dans mon intimité, tellement j’étais trempée. Il a accentué ses coulissements à l’intérieur de mon vagin, j’avais très chaud, il me parlait mais je n’entendais rien, je pensais au plaisir que je prenais sous ses doigts. Soudain, ne tenant plus, je me suis mise à me tortiller en touts sens, je me suis lâchée et j’ai joui comme une cochonne, envoyant de grands jets de mouille sur les mains de l’homme. Décidément ce médecin était habile de ses mains, en peu de temps il m’avait fait jouir, j’avais la figure en feux et n’osais pas regarder le docteur qui devait me prendre pour une belle salope de paysanne...
Lorsque mon corps a cessé de trembler, m’étant un peu calmée, je l’ai vu enlever ses gants, il a baissé son pantalon qui est tombé à ses pieds. Je regardais sa queue qui était à l’horizontale, elle était aussi longue, grosse et dure que ce que j’avais entendu dire et rêver, je me suis tournée vers lui, j’ai saisi délicatement le membre qu’il me présentait. Je l’ai tout d’abord fais coulisser dans ma main, dont je ne faisais pas le tour, puis approchant un peu hésitante mes lèvres, je l’ai fait glisser lentement jusqu’à le faire disparaître partiellement dans ma bouche. Le médecin a attrapé ma tête entre ses mains et m’a imposé un rythme lent au début puis plus rapide. Il me baisait la bouche, il enfonçait sa tige jusqu’au fond de ma gorge tout en caressant mes seins ainsi que mon entrecuisse que je sentais fondre. Je hoquetais, je bavais devant cette bite qui me remplissait entièrement la bouche, j’ai adoré sentir la chaleur et le goût de sa queue sur ma langue.
Après m’avoir longuement fait sucer son sexe, il s’est positionné entre mes cuisses qui tremblaient, il a fait glissé sont membre sur ma fente tout en appuyant légèrement comme pour me pénétrer.
Je me demandais ce que j’étais en train de faire, et à la fois j’avais envie de sentir cet aussi gros membre coulisser et investir l’intérieur de mon ventre. Il a poussé un peu plus fortement et m’a pénétré lentement, je sentais cette bite aller et venir en moi, elle me remplissait totalement, ma tête tournait, je couinais sous les coups de queue du docteur. Quelle salope j’étais, il avait suffi qu’il me touche pour que je m’abandonne et me laisse tringler par cet inconnu, que devait-il penser de moi ! Après m’avoir bien labouré le minou, s’étant retiré, il a repositionné sa table, mes jambes étaient bien relevées presque à la verticale, mes fesses bien ouvertes étant en évidences, il devait avoir mon petit trou devant ses yeux. En pensant à çà, je fus prise de tremblements et sentis la chaleur envahir de nouveau ma figure. Qu’avait-il l’intention de me faire, je n’ai pas eu longtemps à attendre. Il écarta les globes de mes fesses avec ses mains et après avoir enfoncé son index dans mon minou, il le planta dans mon anus que j’ai assez étroit car j’interdis à mon mari de l’utiliser. Je poussais un cri en tortillant mes fesses pour me soustraire à cette pénétration anale qui me faisait mal tant j’étais contracté. — non je ne veux pas dis-je en criant. Coulissant plusieurs fois, je sentais son gros doigt fourrager mon étroit canal, quand il me sentit prête il présenta son gland à l’entrée de mon anus, tout en ouvrant mes fesses en grand avec ses grosses mains. Il a appuyé son gland mouillé de cyprine sur ma petite rondelle, et s’est inséré doucement dans mon petit trou, je criais et gesticulais sous la douleur que cette pénétration me procurait. Il n’avait que faire de mes états d’âme et de mes cris, il a fait quelques lents allers et retour en allant de plus en plus profond et quand j’ai été bien ouverte, il a commencé à me sodomiser en donnant de violents coups de reins qui se répercutaient dans tout mon corps. La douleur s’est très rapidement transformée en plaisir, j’avais toujours un peu mal, mais mes cris n’étaient plus les même… Il a plaqué l’une de ses mains sur ma bouche pour atténuer mes cris en me disant de me taire qu’il y avait du monde à coté, tandis que l’autre tenait fermement mes hanches. J’avais envie de hurler, tellement la grosse bite bien dure du médecin remplissait mon petit cul bien serré tout en me donnant une sensation de bien être jamais ressenti auparavant. C’était bon, je sentais mon entrecuisses couler, je poussais de petits cris, annonciateurs de jouissance. C’est pas vrai pensais-je, je ne vais pas me lâcher une deuxième fois sous les coups de bite de cet homme que je ne connais pas…
Pour augmenter mon plaisir, j’ai réussi à glisser une main jusqu’à mon ventre et je me suis doigté pendant que mon amant me sodomisait. Je sentais ma mouille dégouliner le long de mes cuisses. Prise des deux côtés je transpirais et jouissais comme jamais.En poussant un léger râle mon partenaire s’est lâché bien au fond de mon cul, j’ai senti plusieurs jets tapisser l’intérieur de mon étroit boyau. Quand il a retiré sa pine de mon fondement libérant à la fois ce qu’il venait de me mettre, j’ai senti une longue traînée de sperme couler sur mes cuisses. Tout fonctionne bien me dit-il avec un petit sourire alors que je lui tendais un billet pour le régler. Non gardez, ce fut un plaisir de vérifier le fonctionnement d’une aussi jolie femme que vous, j’envie votre mari…
Après m’être rhabillée, je suis sortie du cabinet. Les personnes dans la salle d’attente semblaient ne pas avoir entendu mes cris pourtant assez fort. J’étais confuse et honteuse en rentrant chez moi, je n’ai rien dit à mon mari, si ce n’est que mon problème était résolu ! J’espère que si vous devez prochainement aller chez votre médecin mesdames, vous penserez sûrement à ce qu’il m’est arrivé ce jour là !!!
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