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Je suis un jouet entre ses mains

Chapitre 6

Chacun son tour

Hétéro
Lorsque je quitte la chambre d’hôtel, la violence des sentiments qui m’assaillent n’a pas diminuée.Je pense surtout à Thomas. Mon pauvre Thomas, mon Thomas si parfait. Lui qui est toujours prévenant, toujours là pour moi. Et je l’ai trompé. J’ai beau me dire que j’ai été forcée, manipulée, je sais au fond que c’est faux. J’aurais dû refuser dès le début plutôt que rentrer dans ce jeu. Pourquoi je ne l’avais pas fait ? Parce que ce jeu m’excitait, la voilà la vérité.Mais surtout, je n’avais pas le droit de ressentir tout ce plaisir, tout ce désir. Que se serait-il passé s’il m’avait obéit ? Je lui ai demandé de me faire l’amour. A lui, un inconnu.
C’est moi qui lui ai demandé. Moi seule. S’il l’avait fait, cela aurait été à ma seule initiative. J’ai donc bien trompé Thomas.De nouvelles larmes roulent le long de mes joues. Je ne comprends pas ce qui a pu se passer en moi. Et que va-t-il se passer maintenant ?Pour le moment, je dois retourner au boulot - il est plus que l’heure - et ne plus réfléchir. Pour le reste, on verra plus tard.C’est donc ce que je fais. Je suis presque déçue, en arrivant au bureau, de ne pas trouver de nouveau mail. Tout l’après-midi, je guette ma boîte mail, mais rien. Le soir, c’est donc presque un peu frustrée que je rentre chez moi. Non mais ça va pas ? Je deviens folle ?
En arrivant, je n’ai la tête à rien, je m’assieds donc sur le canapé du salon et je commence à réfléchir. Comme il fallait s’y attendre, mes pensées commencent à divaguer, puis à se diriger vers le souvenir de la mi-journée. Rien que le fait d’y repenser me met dans un état d’excitation incroyable.Je glisse ma main dans mon pantalon - exercice facilité par mon absence de culotte – puis je commence à me caresser. Tous mes doutes, toute ma honte, sont oubliés.Il ne reste plus qu’un océan de désir.Lorsque Thomas rentre, quelques minutes plus tard, il a à peine fermé la porte que je suis accrochée à son cou. Je l’embrasse sauvagement, commence à retirer ses vêtements.
— Attends que je pose au moins mes...
J’attrape le sac dont il s’apprêtait à me parler et le jette au sol. Son T-shirt et son pantalon subissent rapidement le même sort. Dès qu’il est en caleçon, je commence à me déshabiller à mon tour.
— Je ne sais pas ce que tu as aujourd’hui, mais j’adore ça ! me lance-t-il.
Évidemment, il n’est pas habitué. C’est vrai que j’ai une libido assez faible en temps normal, il me le reproche d’ailleurs parfois.
Mais là, il va en avoir pour son argent.Avant qu’il n’ait pu réagir, je suis totalement nue devant lui. Je me jette sur lui, l’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent, nos mains parcourent nos corps.Il me repousse légèrement, mais m’attrape par la main et m’entraîne dans le couloir.
— Viens, me dit-il, allons dans la chambre.
Je retire ma main de la sienne, lui saute dessus de nouveau.
— Fais-moi l’amour là, tout de suite.
Il capitule, recommence à me caresser. Je descends son caleçon et m’empale directement sur son sexe dressé. Il ne peut retenir un petit cri, surpris par la soudaineté de l’assaut.A ça non plus, il n’est pas habitué.Je m’accroche à son cou et je donne des coups de bassin, comme si c’est moi qui le pénétrais. Ou bien ça l’excite, ou bien il n’aime pas ne pas contrôler, mais il me plaque vivement contre le mur d’en face et se met à me limer à son tour.Il est vif, mais tendre ; comme s’il cherchait à se faire pardonner sa brutalité d’hier. Peu m’importe, je sais ce qu’il aime au fond.Je le repousse donc et me retourne face au mur. Mes fesses lui sont offertes, car il adore me prendre ainsi, par derrière. Il se colle à moi, me caresse les seins, les hanches, le ventre, les cuisses, comme si tout en moi était devenu érogène. Puis il s’insère de nouveau, lentement.
Le sentir en moi comble un besoin, un vide, un manque. Il se remet à me faire l’amour et j’adore ça, même si je n’ai pas beaucoup de sensations dans cette position.Qu’importe ! Je l’entends gémir derrière-moi, et le simple fait de lui procurer tout ce plaisir me remplit de joie et m’excite. Je fais alors une chose que je n’ai encore jamais faite : je me caresse pendant qu’il me prend. Mon Dieu que c’est bon !Le sentir aller-et-venir en moi tandis que je m’occupe de mon clitoris est un bonheur que je me reproche aussitôt de ne pas avoir expérimenté avant.Il ne lui faut que quelques minutes pour atteindre l’orgasme, et je suis à deux doigts de jouir tandis qu’il se répand en moi. Je le sens se calmer, il s’affale un peu contre moi. Il va bientôt se retirer... Non !
Je ne m’en étais pas rendu compte, mais je suis toujours en train de me caresser. Son sexe est encore dur à l’intérieur du mien, je n’ai pas envie d’arrêter maintenant.
— Caresse-moi les seins ! lui ordonné-je en redoublant mes propres attouchements.
Il comprend, reste en moi. Ses mains attrapent de nouveau mes seins, qu’il malaxe. Il joue avec les tétons, il m’embrasse dans le cou... Il me rend folle.Je jouis. Mon corps se crispe tandis que j’atteins les sommets du plaisir. Encore une fois.Lorsque c’est passé et que nous nous rhabillons, j’ai un peu honte de m’être laissé allée à me caresser alors qu’il avait fini. Mais après tout pourquoi me priver, alors que ça m’a permis d’atteindre l’orgasme ?Quant à ce que pense Thomas, je sais au fond que les hommes n’ont pas nos complexes à ce niveau, et qu’ils adorent au contraire nous voir nous caresser.
Donc déstresse Justine, apprends à te lâcher, à te faire plaisir.Pour apprendre, en ce moment, j’apprends !Je passe encore une nuit à me poser plein de questions, mais étrangement au matin je suis presque excitée d’aller au travail. Mais qu’est-ce qui m’arrive ?Je dis bonjour à tout le monde puis je m’installe à mon bureau. Dès que mon ordinateur est allumé, j’ouvre mes mails. Il y en a plusieurs, mais je repère immédiatement celui qui m’intéresse. Celui qui est de lui.« Même heure, même endroit. »
On ne pourrait pas faire plus concis. Qu’est-ce qui peut bien m’attendre cette fois ?Maintenant que l’excitation de la veille est retombée, je suis de nouveau paniquée à l’idée de me rendre dans cet hôtel. Ce que j’ai fait hier me dégoutte, surtout mon abandon final, lorsque je l’ai supplié de me faire l’amour. Et s’il m’avait prise au mot ? Si c’est cela qu’il attendait, maintenant ?Quoi qu’il m’ait concocté, je n’y peux rien. Je ne peux qu’attendre...Lorsque l’heure arrive, je suis presque aussi terrifiée que la veille. Je ne cesse de regarder par-dessus mon épaule en me rendant à l’hôtel, de peur que quelqu’un ne me surveille pour voir où je vais. Il n’y a pas de raison, je le sais bien, mais c’est instinctif.
En entrant dans la chambre, je tremble carrément. Qu’est-ce qu’il va exiger de moi ?Je sursaute en réalisant qu’il est là, au milieu de la pièce. Il a de nouveau sa tenue de motard, des bottes au casque, ce qui le rend impossible à identifier. Il était là avant moi alors que je suis partie la première du bureau, ce n’est donc pas un collègue.Ou alors, un collègue de l’étage ? Il est vrai que je ne surveille pas leurs mouvements, à eux.Alors que je suis perdue dans mes pensées, il me fait signe d’approcher. Docile, je m’exécute. Il me tend alors un papier sur lequel sont écrit les quelques mots suivants :
« Déshabille-toi entièrement. »Je n’ai déjà pas aimé être nue devant lui, mais me déshabiller pendant qu’il me regarde est encore pire. J’enlève mes vêtements, un par un, sans essayer de faire quoi que ce soit pour rendre la chose sexy. Mais de toute façon on dirait qu’il s’en fiche. Comment peut-il déjà me dominer ainsi ?C’est vrai que je suis complètement coincée. J’en suis réduite à obéir à chacun de ses désirs, en me disant que de toute façon il finira probablement par aller trop loin un jour et qu’il me faudra donc reprendre ma liberté. Et tout perdre.Quoi que je fasse, je perdrai tout de toute manière. Alors pourquoi ne pas arrêter tout de suite ? Par peur ? Pour faire durer les moments où je pourrai encore être heureuse avec Thomas ? Ou pour autre chose ?
Plus le temps de me poser des questions, je suis nue devant lui. Il m’observe, puis me fait signe de m’accroupir. Là encore, je m’exécute sagement, sans un mot.Il passe alors derrière-moi et m’attache les mains ensemble, dans le dos. La position n’est pas très confortable, mais elle n’est pas douloureuse non plus. Puis il me cache les yeux, comme hier.Le manège semble reprendre, je l’entends se déshabiller. Mais cette fois, c’est contre mes lèvres que je sens quelque chose. Son sexe ! Bien sûr, il veut une fellation !Vu la position qu’il m’a fait adopter, je me demande comment j’ai pu ne pas y penser avant. Problème : je ne supporte pas ça. Même Thomas n’y a pas droit !Je sens le bout de son pénis se promener le long de mes lèvres, que je tiens hermétiquement closes.
Non, ça je ne peux pas.Il force, il insiste. Je repense alors au chantage qu’il exerce sur moi, à Thomas. Je ne veux pas tout perdre !Alors j’entrouvre les lèvres.Son gland coulisse à l’intérieur, doucement. L’odeur est toujours aussi déplaisante que dans mes souvenirs. Le lubrifiant qu’il sécrète n’a vraiment pas un goût agréable, et il en dépose au passage sur mes lèvres et dans ma bouche.Décidée à en finir le plus vite possible, je suçote son gland, écœurée. Mais cela ne lui convient pas. Il pousse encore, et son sexe commence à entrer plus largement. Je dois en avoir la moitié dans la bouche maintenant. Même si je ne connais pas la taille de son pénis !
Bizarrement, je préfère ça. Mes lèvres se referment maintenant sur sa hampe et non sur son gland, je n’ai donc de dépôts de lubrifiants. J’en sens encore le goût, surtout qu’il continue d’en sécréter, mais c’est déjà plus léger.J’aurais l’instinct de porter une main sur la base de son sexe - pour le masturber en même temps - mais je ne peux pas, puisque mes mains sont attachées ! Alors je le laisse aller-et-venir légèrement entre mes lèvres.Tant qu’il n’est pas violent ça va, mais le goût reste relativement désagréable. Soudain, une idée me vient : plutôt que d’éviter le contact avec son liquide intime, autant régler le problème une bonne fois pour toutes !Je pompe alors littéralement le bout de son sexe - ce qui le fait gémir de plaisir - allant jusqu’à glisser le bout de ma langue dans l’urètre. Parallèlement, je me lèche les lèvres pour récupérer ce qui s’y trouve. C’est déplaisant sur le moment, mais ça marche !Passées les premières minutes, son sexe ne sécrète effectivement plus suffisamment de lubrifiant pour qu’il ne soit pas immédiatement dilué dans ma salive, au point d’être quasiment inodore.Et alors tout change !
La fellation ne devient pas agréable en soi, mais elle ne me répugne plus. Elle n’est plus déplaisante, ce qui est beaucoup. Sans compter qu’il commence à gémir, à me caresser les cheveux... ce qui m’excite !Je ne souhaite plus seulement qu’il me libère les mains pour le masturber... mais aussi pour me masturber, moi !Je me mets alors à gémir, comme si le fait de le sucer me procurait du plaisir. J’entreprends de plus grands mouvements, du gland jusqu’à la base. Ou tout du moins jusqu’au plus loin possible, car son sexe butte au fond de ma gorge avant que je ne puisse entièrement le prendre en bouche.A force de gémir et de lui donner du plaisir, je finis par vraiment en ressentir. Je n’ai même pas besoin de mes doigts pour me rendre compte que mon sexe est trempé. Comme j’aimerais qu’il me caresse ! C’est une sorte de retour des choses : hier, il m’a donné du plaisir, aujourd’hui je lui en donne.Et demain ?Soudain, il se retire. Je suis presque déçue, ce qui m’étonne. Jusqu’à ce matin, je ne supportais pas les fellations !
Il n’est toutefois pas parti très loin. Il se réinsère, faisant progresser son sexe dans ma bouche de nouveau, lentement. Il me tient la tête, comme pour me signifier que c’est lui qui commande. Peut-être ai-je été trop entreprenante pour lui ?Mais non, c’est autre chose. Car à force de s’enfoncer, il butte de nouveau au fond de ma gorge. Mais il continue à pousser ! Et il avance... Car son pénis se plie légèrement, épouse la forme de ma gorge. J’ai l’impression d’étouffer, aussi je me concentre pour bien respirer par le nez ! Enfin, il se retire.Je crachote un peu, et j’aspire de grandes bouffées d’oxygène. Autant j’ai presque commencé à apprécier la fellation, autant ça je n’aime pas du tout !
Mais ce n’est pas moi qui décide, et il revient déjà. Son sexe reprend sa route, butte au fond, continue. De nouveau, j’ai l’impression d’étouffer. Il progresse pourtant, lentement mais sûrement.Et soudain, mes lèvres butent contre son pubis. Il l’a rentré entièrement !Il pousse un râle de satisfaction, reste en place quelques secondes et se retire enfin, me laissant de nouveau reprendre mon souffle.A ma grande surprise, je ne me sens ni salie, ni souillée... mais fière de moi ! Oui, j’ai réussi à le prendre en bouche entièrement. Et ce n’était pas une mince affaire...Heureusement, il souhaite manifestement repasser à des jeux plus traditionnels. Je le reprends alors en bouche, une minute ou deux, puis il se retire et attrape mon visage entre ses mains. Il m’embrasse sur le front, ce qui me surprend, avant de poser ses doigts autour de mes lèvres, comme s’il voulait les forcer à se fermer. Elles le sont déjà, non ?
Mais son sexe se présente à nouveau. Je ne comprends vraiment pas. Veut-il que je les ouvre ou que je les ferme ? J’entrouvre alors mes lèvres pour engloutir son pénis, mais une fois qu’il est à l’intérieur il force de nouveau sur mes lèvres pour les fermer au maximum.Soudain, je comprends. Je ne suis pas sûre que je vais beaucoup aimer ça...Mais encore une fois, je n’ai pas le choix. Dès qu’il s’est assuré que mes lèvres sont bien closes au maximum autour de son sexe, il commence à réaliser des va-et-vient de plus en plus rapides. Il soupire de plaisir, de plus en plus fort, et bientôt c’est comme s’il me baisait la bouche : son sexe coulisse à toute vitesse entre mes lèvres, que je serre autant que possible.
Soudain, je le sens venir. Son sexe se gonfle, il tressaute, puis des torrents de sperme se répandent dans ma bouche.C’est chaud, c’est gluant, et ce n’est pas bon.Je veux recracher mais il m’en empêche, me maintenant toujours la tête avec son sexe à l’intérieur. Il finit de décharger en moi puis m’assène, presque méchamment :
— Avale, salope !
Profondément dégoutée, mais soucieuse de ne pas détruire ma vie, je m’exécute de mauvaise grâce. Le goût âcre et puissant de son sperme m’écœure, le fait qu’il soit chaud et poisseux ne m’aide pas. Je déglutis pour le faire descendre dans ma gorge, mais j’ai un haut-le-cœur au moment de l’avaler. J’y parviens pourtant, mais par contre je n’arrive pas à lui donner l’air d’aimer ça. J’espère donc que ça ne faisait pas partie du contrat !
Mais non, il a l’air satisfait puisqu’il me donne un nouveau baiser sur le front.Comme c’est devenu presque habituel, je l’entends se rhabiller tandis qu’il me laisse en plan, attachée. Puis, dès qu’il a fini, il me libère enfin.Je trouve un nouveau papier sur le lit une fois que j’ai retiré le bâillon qui m’obstruait la vue :
"C’était une bonne séance, tu apprends vite.
Vivement la suite ! PS : il y a de quoi te nettoyer, tu as l’air d’une traînée."
Je me précipite alors dans la salle de bain pour me nettoyer, et je constate qu’un filet de sperme est figé sur mon menton. Je me passe le visage sous l’eau pour le retirer, mais je ne peux pas me départir d’un sentiment étrange. Quoi que je puisse être d’autre, je suis bien d’accord avec lui : j’ai l’air d’une traînée.Et je crois que j’aime ça.
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