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Je suis un jouet entre ses mains

Chapitre 10

Exhibition

Avec plusieurs hommes
Le lendemain matin, j’ai la très bonne surprise au réveil de voir que Thomas m’a préparé mon petit-déjeuner. Il est agréable, prévenant, à tel point que ça m’inquiète. Prépare-t-il encore un coup comme la veille ? J’ai bien peur que oui.
Depuis hier, je n’arrête pas de me poser des questions : et si mon mystérieux maître chanteur n’était autre que Thomas ? Je sais que c’est tiré par les cheveux, mais après tout, il n’a pas l’air de prendre si mal la nouvelle et il a habilement su en tirer avantage. Tellement habilement que c’en est suspect.
Pourtant un détail pose problème : il devait être au travail pendant les événements de la semaine dernière. Déterminée à m’en assurer, j’ai envoyé dès mon réveil un texto à Chloé, une de ses collègues que je connais, et j’attends impatiemment sa réponse. Je lui ai simplement demandé s’ils ont bien mangé au Cosy’s mardi dernier, puisque c’est là qu’ils mangent tous les mardis. Si elle me dit oui, alors ça ne pouvait pas être lui dans cette chambre d’hôtel. Sinon...
Pendant que j’ingurgite mes tartines en réfléchissant, il insiste pour sortir ; je me dépêche donc de me préparer dès que j’ai fini, mais cela ne lui convient pas : il a en effet préparé une tenue pour moi. Pour être exact, il en a même préparé cinq.
— Choisis celle que tu veux, me dit-il. À chacune d’elles correspond une épreuve que tu devras bien sûr réaliser pour passer à la suivante. Si tu réussis toutes les épreuves, je considérerai que nous sommes quittes et je te pardonnerai.
J’acquiesce. Que puis-je faire d’autre ?Les cinq tenues qu’il me présente appartiennent toutes au registre des fantasmes masculins, évidemment. Il y a l’écolière coquine, la policière salope, une autre que je n’identifie pas bien, mais qui m’évoque plus ou moins une prostituée, une tenue de joggeuse à moitié déchirée (???) et une dernière d’infirmière. Puisque je dois me résoudre à un choix qui de toute façon ne m’appartient pas, je choisis la première. Je me prépare pendant une dizaine de minutes, et jouant le jeu jusqu’au bout, je me fais des couettes pour les assortir à ma minijupe, à mon chemisier attaché juste en dessous des seins, et à ma cravate.
Je m’attends à ce qu’il me saute dessus lorsque je sors de la salle de bain, mais pas du tout : il se contente de m’observer avec un sourire satisfait et m’entraîne dehors. Nous roulons jusqu’au centre-ville ; là, Thomas se gare et m’ordonne de sortir. Évidemment, l’idée me gêne : je suis habillée comme la dernière des allumeuses ! Je m’exécute néanmoins. « Suis-je en position de négocier ? »
Nous nous baladons quelques minutes dans les rues du centre, et bien entendu, les regards se font nombreux et insistants sur diverses parties de mon anatomie. Lorsque nous nous dirigeons vers le parc, j’entends même quelques sifflets de la part d’une bande de jeunes. « Si je croise quelqu’un que je connais, ma réputation est fichue ! » Arrivés au parc, Thomas m’attire légèrement à l’écart du chemin, dans un coin un peu plus reculé, mais largement visible à un œil attentif ; or, j’ai l’impression que tous les yeux du parc sont braqués sur moi.
Il se glisse alors entre deux buissons... puis baisse son pantalon et son caleçon ! Son sexe jaillit devant moi, bien dressé, prêt à l’emploi.
— À genoux ! m’ordonne-t-il.
Il est malin. Là où il est, on ne le voit pas. Moi, en revanche, tout le monde me verra accroupie, habillée comme une salope, et devinera très bien ce que je suis en train de faire.Humiliée, mais totalement soumise, je m’exécute néanmoins. Je suis terrassée par la honte en m’accroupissant devant lui, mais je n’ai guère le choix. Thomas passe alors une main dans mes cheveux et l’utilise pour m’attirer à lui. Il guide ainsi mon visage jusqu’à son sexe, sans violence, mais sans tendresse excessive, et m’impose d’entrée de jeu une fellation. J’ai certes vaincu ma quasi-phobie de ce type de rapport buccal, mais ce n’est a priori pas un plaisir non plus. Surtout que je suis totalement paralysée par la honte d’être livrée ainsi à tous les regards.
Thomas, lui, ne semble pas embarrassé par de telles considérations. Il prend son pied sans se préoccuper de ce qui se trouve autour de lui. Il gémit à chacun de mes mouvements, guidant parfois ma tête pour m’enfoncer son membre plus loin ou plus rapidement au fond du gosier.

Je jette parfois des coups d’œil furtifs autour de moi et constate que plusieurs personnes m’observent, excitées ou indignées (selon leur sexe). Or, si cela me gêne toujours atrocement... cela m’excite aussi de plus en plus ! « Regardez-moi ! Regardez comme je suis une cochonne...»
Ma main se glisse sous ma jupe, écarte ma culotte et commence à caresser mon clitoris. À ma propre surprise, je suis trempée ! Mon corps réagit promptement aux caresses. Des décharges électriques me parcourent déjà des pieds à la tête. Je suis presque déçue de n’avoir qu’une main de disponible, puisque l’autre est sur la hampe de Thomas, accompagnant ma fellation de légers mouvements masturbatoires. Mais j’apprends à utiliser au mieux celle qui me reste.
Je glisse mon index et mon majeur dans mon vagin tandis que je continue à me titiller le clitoris à l’aide de mon pouce. Je commence à gémir à mon tour.
— Tu aimes ça, hein ? me demande Thomas en attrapant mes couettes.— Oui... gémis-je comme la petite traînée coquine et obéissante qu’il attend que je sois. J’adore ça...
Mes paroles l’excitent ; il accélère le rythme en guidant ma tête qu’il tient toujours par les couettes.
— Tu veux que je te baise, là, devant tout le monde ?— Oh oui, prends-moi... gémis-je comme je peux, ma bouche étant obstruée par son sexe.
Il me prend au mot et se retire. Il me fait me relever ; je suis une marionnette entre ses mains. Il me retourne puis me pénètre sans plus de manières, par-derrière. Il a encore joué finement : là encore, on ne voit que moi, pas lui. Je vois des gens porter leur main à leur bouche, en un geste évident de consternation. Des femmes pressent le pas tandis que leurs maris s’attardent négligemment. « Combien d’hommes, ici, rêveraient d’être à la place de Thomas ? Combien rêvent de me prendre ? À peu près tous, sans doute. »
Je les regarde. Il y a peut-être une dizaine de personnes qui observent la scène. Certains par des coups d’œil négligents, faisant mine de ne pas voir (mais néanmoins sans en perdre une miette), d’autres avec un filet de bave aux lèvres, ou peu s’en faut. « Ils me désirent, ils me veulent...» Un ado s’est même un peu rapproché et en profite pour se masturber en nous regardant, dissimulé par les buissons. J’espère au moins qu’il est majeur ! Je pense que oui, mais de justesse. Me savoir ainsi convoitée m’excite comme jamais. J’ai pourtant toujours été assez timide, introvertie, presque prude. Mais la situation est en train de me rendre folle de désir et de plaisir...
Soudain, presque avec brutalité, l’orgasme me saisit. Je n’ai pas le temps de le sentir venir, et donc de m’y préparer. Il est pourtant long, intense, profond. Incapable de me retenir, je pousse de grands cris de plaisir. Je hurle ma jouissance alors que de nombreux regards sont braqués sur nous. « Si une seule personne dans le parc ne nous avait pas vus, maintenant, elle sait ce qui se passe. »
Lorsque je me calme, je sens Thomas se répandre en moi. Il est plus discret, heureusement, mais son orgasme ne me semble pourtant pas moins intense. Les jets de sperme chaud qui m’inondent le vagin sont nombreux, longs, abondants.
Lorsqu’il a fini et qu’il se retire, je sens même un filet de sa semence qui me dégouline le long de la cuisse. Je veux le retirer, mais il m’en empêche.
— Tu vas le garder jusqu’à ce qu’on soit dans la voiture : il faut que tout le monde sache qui tu es.
La honte me submerge. Pas seulement pour ça, mais pour tout ce qui vient de se produire. Je suis devenue folle ! Dire que j’ai ressenti du plaisir à être ainsi observée en train de faire l’amour devant tout le monde... Maintenant, les regards que je croise me dégoûtent, qu’ils soient indignés ou excités. « Ce n’est pas moi ! » ai-je envie de hurler, mais ce serait peine perdue, car c’est bien moi.Nous sortons alors des buissons, Thomas me tenant par la main. À ma grande surprise, il ne se dirige pas vers la sortie... mais vers l’ado qui se masturbe toujours en me regardant ! Il est livide quand nous arrivons à sa hauteur et se dépêche de tout ranger.
— Je n’ai rien vu ! dit-il bêtement, nous offrant ainsi un aveu involontaire.— Bien sûr que si, ricane Thomas. Mais Justine ne serait pas sympa de te laisser comme ça.
Je le regarde avec colère, choquée.« Que veut-il dire ? »
— Elle va finir le travail, précise-t-il au cas où l’un de nous n’aurait pas bien compris. Mais je voudrais d’abord que tu me montres ta carte d’identité.
Le jeune s’exécute, bien qu’il semble trouver la demande un peu inutile.
— Tu sais, même si je n’étais pas majeur, ce ne serait pas interdit ! lance-t-il.— En effet, acquiesce Thomas après avoir vérifié sa majorité, mais la charte du site est plus stricte : l’auteur préfère donc s’assurer que l’histoire passe la validation.
Le jeune l’observe avec des yeux ronds, ne comprenant pas plus que moi la remarque de mon amoureux, mais son hésitation n’est que de courte durée puisqu’il baisse de nouveau son pantalon, ne croyant manifestement pas à sa chance. Son sexe est plus petit que celui de Thomas, mais il l’exhibe pourtant fièrement, très heureux à l’avance du traitement qu’il s’apprête à recevoir. Je m’accroupis alors de nouveau, ne songeant même pas à résister aux désirs de mon copain, et je commence à le masturber. Il apprécie, basculant la tête en arrière.Au bout de trente secondes, je sens qu’il n’est déjà pas loin de l’orgasme. Je le comprends : j’imagine que la situation est très excitante pour lui !
— La bouche, s’il te plaît... râle-t-il.
« Quoi ? Ce merdeux n’est quand même pas en train de réclamer une fellation ? »Mais si, et Thomas prend évidemment sa défense.
— Suce-le ! m’ordonne-t-il avec poésie.
Là encore, je ne songe même pas à discuter et m’exécute docilement. « Mais qu’a-t-il fait de moi ? » Le garçon n’a toutefois guère le temps d’en profiter : à peine mes lèvres se sont-elles resserrées autour de son membre qu’une puissante éjaculation vient me maculer le palais d’un sperme épais. Je tente de me retirer, pas très désireuse de devoir en plus avaler sa semence, mais le petit salopard me retient la tête avec sa main. Lorsque j’arrive à me retirer, tout a déjà presque fini dans ma bouche. Un dernier jet vient s’écraser sur mon menton.
— Avale ! m’ordonne alors Thomas.— Mais...
Ma tentative de résistance est d’autant plus inutile que j’ai la bouche pleine de sperme, et qu’il m’est donc difficile de parler. Vaincue, je m’exécute une fois encore.Il me retient également la main lorsque je veux me nettoyer le visage.
— Maintenant, nous allons à la voiture, m’apprend-il. Et en ce qui te concerne, tu iras avec du sperme sur le menton et le long de la cuisse. Il ne faut pas mentir aux gens ; or, qui es-tu ?
Pendant une seconde, je m’apprête naïvement à répondre « Justine Essiau », mais je sais bien ce qu’il attend. Aussi, je lui donne plus intelligemment la réponse souhaitée :
— Je suis une salope, murmuré-je.— Voilà, déclare Thomas, satisfait. Tu vois quand tu veux !
Il n’oublie pas de taper dans la main du jeune avant de partir. Celui-ci se croit d’ailleurs obligé de lancer :
— Merci, Madame ; ce fut un plaisir de vous rencontrer.
« Tu m’étonnes, petit con ! »Je prends le temps de jeter un coup d’œil à mon téléphone en regagnant la voiture, désormais à peu près sûre que mon maître chanteur est bien Thomas. La situation lui sourit un peu trop !Un message de Chloé vient pourtant subitement mettre fin à mes spéculations :#Bien sûr, comme tous les mardis ! Tout va bien toi sinon ?#Je peine à masquer ma déception.
« Mais alors qui est-ce ? »
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