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Je suis un jouet entre ses mains

Chapitre 15

The Gang Bang Théory

Orgie / Partouze
Le samedi suivant, Thomas est encore réveillé avant moi et il semble tout excité. Je sais qu’aujourd’hui sera une journée à thème, et je sais qu’il n’en reste plus qu’un. Je suppose que pour le dernier, mon surprenant petit ami n’aura pas gardé le plus light, d’autant plus que les habits de jogging déchirés n’indiquent à priori pas une étreinte passionnée. Va-t-il faire semblant de me violer ? Ce serait perturbant, mais après tout peut-être excitant…
— J’ai essayé de te faire découvrir plusieurs aspects un peu trash de la sexualité, m’explique-t-il durant le petit déjeuner. Je pensais que tu te fixais plein de limites et d’interdits, et que tu passais à côté d’un tas de choses formidables.— Je sais, je te remer…
  Il lève le doigt pour m’interrompre, il veut apparemment poursuivre son petit speech jusqu’au bout.
— J’avais peur que certains thèmes ne te plaisent pas, ça aurait après tout été tout à fait possible. On ne peut pas tout aimer. J’ai pourtant été très surpris : jamais je n’aurais cru que tu puisses être aussi salope, même dans mes rêves les plus fous. Pourtant, il te reste encore des choses à essayer.
  Il marque un petit temps d’arrêt, peut-être pour accentuer le suspens, je ne sais pas. C’est vrai que ce petit discours d’avant match me colle quelques frissons. Que me prépare-t-il pour avoir besoin de me mettre en garde ainsi avant ?
— Je ne pensais pas que nous irions si loin, je suis ravi. Mais j’ai peur aussi. Peur que ce que je m’apprête à essayer constitue ta limite. Dans tous les cas, je pense que nous avons désormais dépassé le stade du jugement. Je ne jugerais pas ce que tu aimeras ou pas, et je te demande de ne pas juger ce qui peut m’exciter.— Comme de me voir me faire baiser par d’autres hommes ?
  Je l’ai interrompu sans réfléchir, et je m’en veux aussitôt. Va-t-il m’en vouloir ? Non, il sourit.
— Oui, par exemple. J’aime vraiment beaucoup voir d’autres hommes te baiser. Mais revenons à aujourd’hui.
  Il croise les bras devant sa poitrine et se penche en avant, ce qui lui donne un air sérieux des plus inquiétants.
— J’ai organisé un petit scénario qui, je pense, va énormément m’exciter. Mais l’important est ce que nous ressentons tous les deux, je veux donc que tu saches que tu n’es obligée à rien.
  Je hoche la tête en signe d’approbation.
— Le problème, c’est que si ce scénario te convient et que nous l’appliquons, il ne sera pas simple de savoir ce que tu veux ou pas. Car je compte sur toi pour rentrer dans le personnage.
  Il m’inquiète de plus en plus, mais je suis en même temps très curieuse.
— Donc si tu veux que nous arrêtions tout, il suffira que tu dises : "banane flambée", ce sera le mot de passe.
  Je fronce les sourcils, intriguée.
— Pourquoi ne pas plutôt dire : "arrête" ?
  Il sourit, mais son sourire est aussi gêné qu’amusé.
— Parce que j’espère bien que tu vas hurler "arrête" bien des fois aujourd’hui…
  Il me sourit de nouveau, ce qui accentue ma boule à l’estomac. Il ne va quand même pas me faire mal ? Veut-il mettre en place un jeu sado-maso ? Je ne suis vraiment pas sûre que j’aimerais ça, je suis plutôt douillette…
— Rappelle-toi : à tout moment tu peux crier : "banane flambée". N’hésite pas dès que tu en ressens le besoin.
  J’acquiesce, ce qui accentue son sourire. J’ai l’impression de toucher là un de ses fantasmes les plus profonds, puisque même s’il semble craindre ma réaction, il rayonne visiblement de plaisir.  Soudain, la porte d’entrée de l’appartement est ouverte brutalement et j’entends des personnes qui rentrent. Est-ce l’épreuve de Thomas ? Je n’en suis pas certaine, il a l’air paniqué.
— Reste derrière moi ! me lance-t-il.
  Ne sachant pas s’il s’agit d’un jeu ou non, je m’exécute sans broncher. Trois hommes font alors irruption dans notre salon, et je réalise vite que je n’en connais aucun.
— Qu’est-ce que vous voulez ? demande Thomas.
  Ils ne répondent même pas, mais deux d’entre eux l’attrapent et le plaquent au sol. Tandis qu’ils le traînent jusqu’à une chaise, sur laquelle ils entreprennent de l’attacher, le dernier se jette sur moi. Je tente de me débattre en hurlant, mais aussi en essayant de me cacher autant que possible. Je porte en effet toujours la tenue que Thomas m’a fait enfiler ce matin, celle des affaires de sport déchirées.  J’ai un trou dans mon T-shirt au niveau de la poitrine, ce qui rend un de mes seins largement visible. J’en ai d’autres dans mon jogging, ce qui dévoile une partie de mes cuisses, quasiment jusqu’à mon sexe, et presque toutes mes fesses. D’autant plus que Thomas a évidemment insisté pour que je ne mette pas de sous-vêtements ce matin.
— Bouge pas ou je te cogne ! me lance l’homme qui me tient.
  Il doit avoir dans les quarante ans et il est assez massif pour m’impressionner et me faire redouter l’application de ses menaces.
— On t’a vu faire ton jogging ce matin, tu nous as trop fait bander salope ! Agiter ton petit cul comme ça devant nous… et tu pensais peut-être qu’on ne dirait rien ?
  Ces propos me rassurent : je ne suis pas allé courir ce matin, alors oui c’est bien d’un « jeu » dont il s’agit. Mais jusqu’où ira ce jeu ? J’en ai une petite idée, et j’avoue que pour le moment ça me terrifie plus que ça m’excite.  Pourtant, je sais que deux mots peuvent tout arrêter. Paradoxalement, ça m’incite à ne pas les utiliser. Je me dis que je peux bien attendre encore un peu, voir venir. Si vraiment les choses vont trop loin, alors à ce moment-là j’arrêterais tout.  Tandis que les deux compères terminent d’attacher Thomas sur sa chaise, le géant me colle une de ses énormes paluches sur les fesses. Il me les presse comme un animal, tâtant la marchandise pour l’évaluer.
— Putain c’est de la bonne came qu’on a là ! Tu vas prendre cher, petite…— Je vous en supplie, non ! imploré-je, sans croire un instant que cela puisse servir à quoi que ce soit.— Ouais supplie-moi, j’adore ça ! lâche le type qui me tient en riant grassement.
  Il me projette alors contre la table de salon, sur laquelle je m’affale à moitié. Je tente de me relever, mais il est plus rapide : il me maintient en place d’une poigne de fer. Une de ses mains m’appuie dans le dos pour m’immobiliser, tandis que de l’autre il me saisit déjà un sein, celui qu’il peut atteindre par la déchirure de mon T-shirt. Il me le presse sans pitié.
— Je vais bien m’amuser avec toi, petite cochonne ! me lance-t-il.
  Pendant ce temps, ses deux acolytes qui ont terminé d’attacher Thomas nous observent d’un œil pervers. Il est évident que, s’ils attendent leur tour pour le moment, j’aurais droit à leur visite d’ici peu…  Thomas se dandine sur sa chaise, il tente de se libérer comme il peut. Le jeu aurait-il dépassé sa volonté initiale ? Soit les choses sont réellement en train de déraper, soit il est très bon comédien.
— Arrêtez ! supplie-t-il à son tour. Laissez-la, ne la touchez pas !
  Ses suppliques ne provoquent qu’un éclat de rire chez nos agresseurs, le géant accentue même sa pression sur moi. Sa grosse main quitte mon dos pour se poser sur mes fesses. Mais au lieu de les caresser comme je le pensais, il fait carrément descendre mon jogging d’un geste brusque. Le salopard, je me retrouve avec les fesses à l’air devant mes tortionnaires ! Elle s’il n’y avait que mes fesses…
— Regardez-moi cette petite chatte de pucelle ! commente-t-il en passant ses énormes doigts sur mes délicates lèvres vaginales. Ça doit être étroit là-dedans, j’ai hâte d’aller y faire un tour !
  Nouvelle salve de rires gras.
— Je vous en supplie ! tenté-je de nouveau en pleurant, incapable de me retenir.— Ta gueule, petite chienne ! éructe le géant en me claquant les fesses avec force.
  Je gémis légèrement de douleur, mais je parviens à ne pas crier. Je ne tiens pas à leur faire ce plaisir, même si une nouvelle larme roule sur ma joue.
— Elle parlera peut-être moins avec ma bite dans la bouche, ricane un de ses comparses en sortant son sexe.
  Il se place devant moi, sa queue bandée à l’extrême à quelques centimètres de mon visage.
— Bouffe-ça, salope ! lâche-t-il en se saisissant de mon crâne et en m’enfournant son membre turgescent dans la bouche.
  Je n’ai pas d’autre choix que de subir ses assauts, préférant jouer le jeu en faisant courir ma langue dessus. Mon calcul est simple : plus vite je les ferais jouir, plus vite ce cauchemar se terminera. Mais c’est plus facile à dire qu’à faire : le sexe qui va-et-vient dans ma bouche manque de m’étouffer à chaque passage, l’absence de tendresse de mes agresseurs ne me facilite pas vraiment la tâche !  Pendant ce temps, l’autre s’introduit en moi sans plus de manières et me ramone à grands coups de rein sans aucune considération pour ce que je peux bien ressentir.
— Ta meuf est vraiment bonne, je suis sûr qu’elle est pas habituée à se faire prendre comme ça ! lance-t-il d’ailleurs à Thomas.
  Mon copain n’en mène vraiment pas large, je pense de plus en plus que le « jeu » a dépassé sa volonté. Ça me fait peur, mais je réalise que je commence à apprécier ce qui m’arrive. Être utilisée sans pitié par plusieurs inconnus, dont un au moins pourrait être mon père, devrait me terrifier et me fermer totalement. Pourtant je suis toute mouillée et follement excitée. Des clapotis se font même entendre tandis qu’il me baise comme une chienne, signe que ma vulve dégouline de cyprine. « Ce n’est pas possible, qui suis-je ? »
— Attendez les mecs, je veux en profiter aussi ! lance le dernier, celui qui se contentait jusqu’ici de nous regarder.
  Le gros derrière moi se retire, si bien que je manque de m’affaler par terre quand il me lâche. Heureusement que la table est là pour me retenir, car mes jambes refusent de me porter, paralysée que je suis par la peur !  L’autre se retire de ma bouche à son tour, bien à contrecœur, le temps de me repositionner comme ils le veulent. Celui qui nous observait m’attrape par-derrière, il s’assoit sur la table et me positionne au-dessus de lui. Avant que je ne puisse comprendre ce qu’il fait, il commence déjà à s’introduire lentement dans ma rondelle, qui n’est pas encore habituée à ce traitement !  Je crie de surprise et de douleur, mais cela n’a pour effet que de faire redoubler les rires de mes bourreaux. Il ne tarde pas à être au fond de moi, si bien que je suis aussi dégoûtée par son contact que déchirée par son membre. Et ce n’est pas fini, puisque le gros se positionne face à moi et glisse à son tour sa bite entre mes cuisses. « Ils ne veulent quand même pas me prendre par les deux côtés à la fois ? »  Et bien si. Il s’insère doucement en posant ses grosses paluches sur ma poitrine, puis il termine en me pilonnant d’un puissant coup de rein. J’ai deux bites en moi, ce qui me fait ouvrir la bouche en un hurlement de douleur silencieux !
  Cruelle erreur, puisque le troisième en profite pour me coller de nouveau sa queue dans la bouche. Ils me tringlent dans tous les sens, par tous les trous, je ne suis plus qu’un objet livré à leur perversité. Et mon Dieu qu’ils sont pervers !  Pauvre jeune fille innocente que je suis, j’ai l’impression que la jeunesse et la douceur de mon corps ne font qu’accentuer la noirceur de leurs pensées et de leurs actes. Loin de les arrêter ou de ralentir leurs ardeurs, ça ne fait que déchaîner leurs plus viles pulsions. « Une jeune femme innocente ? Chouette, massacrons-la ! »  Les monstres me démolissent dans tous les sens, ils me font me retourner, m’insultent, me giflent et me crachent dessus, ils se moquent de Thomas… Et bientôt ils se retirent pour se masturber sur ce qu’il reste de moi.  Je les observe du coin de l’œil, déjà un peu ailleurs, jusqu’à ce qu’un jet de foutre brûlant vienne m’asperger le visage. « Le salaud ! »
  Il ne s’agit absolument pas « d’un » jet de foutre, surtout que ses comparses se mettent rapidement de la partie. Je finis recouverte de sperme, comme la dernière des traînées, mais pourtant ce n’est pas encore le pire. Quand ils me traînent devant Thomas, qui semble effaré par la scène hallucinante qui vient de se jouer sous ses yeux, ils continuent à rire en se moquant de nous :
— Dis à ton copain ce que tu ressens en ce moment ! ricane le gros en passant ses doigts sur mon visage couvert de foutre.— J’en veux encore… parvins-je à articuler d’une voix empâtée par l’épreuve.
  C’est la stricte vérité. J’ai la chatte en feu, mais désireuse d’accueillir encore des queues. J’en ai des fourmillements de plaisir ! Même ma langue aimerait encore s’enrouler autour d’une bite bien dure… « Mais qu’est-ce qu’ils ont fait de moi ? »  Bien entendu ils explosent tous de rire et Thomas se lève, le visage déformé par un désir que je ne lui ai encore jamais connu. « Il n’était donc pas vraiment attaché ? »  Mon copain se masturbe à son tour devant la loque qu’est devenu mon corps, totalement dévoré par un plaisir venu des tréfonds de ses pires pulsions.
— T’es vraiment la plus grosse salope que j’ai jamais vu… me dit-il avec amour. Il n’y a rien qui t’arrête, t’es magnifiiiiiique !!!
  C’est sur ce râle devenu strident que les derniers jets de sperme, ceux de mon copain, viennent achever de recouvrir mon visage.  Effectivement, je pense que cette fois c’est désormais officiel : je suis une salope.
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