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Je me suis laissé pièger

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je me suis laissé piéger.
Je joue à la pétanque tous les mardis soir.Alors que j’attends mon tour pour lancer ma boule, l’homme assis à mes côtés me dit :
— Vous avez de très belles sandales.— Merci.— Où les avez-vous achetées ?— C’est ma femme qui me les a achetées.— Vous accepteriez de me les laisser essayer ?— Ici ?— Non, chez moi après la partie.— Vous vivez seul ?— Oui, dans un appartement de trois pièces et demi situé au septième étage de la phase deux.— Je préférerais me rendre chez vous, demain en milieu d’avant-midi.— Trop tôt pour prendre une consommation ?— Non, si vous m’en offrez une.
À chaque fois que je me lève pour aller lancer ma boule, je sens que sa jambe gauche effleure ma jambe droite.Ça m’excite et je ne fais aucun mouvement pour éviter ce contact au point qu’il porte l’audace devant tous les autres joueurs à ce que cet effleurement soit de plus en plus pressant.À la fin de la partie, nos yeux se croisent et il me dit :
— Je vous attends demain vers dix heures trente.— Je serai chez vous à cette heure : vous voulez que je porte mes sandales ou vous préférez que je vous les apporte ?— Portez-les, elles sont si belles et elles rendent vos pieds très excitants.

Le lendemain matin, alors que ma femme était à la piscine, comme elle le fait tous les jours, je prends ma douche et je m’habille en court avec mes sandales aux pieds.J’écris à ma femme que je suis parti prendre une marche et je descends au septième étage de mon immeuble où réside l’homme qui m’a invité chez lui.Je frappe à sa porte et il m’ouvre.Il est vêtu d’une robe de chambre qui lui descend à mi-jambes et il porte des mules.
— Merci de venir vous livrer à moi.— C’est ce que vous attendez de moi ?— Votre attitude m’excite.— Je l’ai constaté par les gestes que vous m’avez fait subir hier soir devant tout le monde.— Vous avez aimé ?— J’aurais souhaité être seul avec vous.— Et moi, donc !— Je peux vous tutoyer ?— Oui, mais moi, je préférerais continuer à vous vouvoyer.— Tu me sembles être un homme aux hommes ?— Je ne suis pas homosexuel, mais oui, quand l’homme avec qui je suis me plaît.— C’est le cas avec moi ?— Oui !— Suis-moi au salon.
Tout en me dirigeant vers le salon, je passe devant sa chambre à coucher : la porte est ouverte et je peux apercevoir que des cordes et certains appareils sont disposés sur le lit.Je me doute que ces appareils ne sont pas disposés à cet endroit pour rien et j’en éprouve des frissons que mon hôte remarque.
— Tu es contre ce genre d’appareils que tu vois sur mon lit ?— Absolument pas !
Il me tend une consommation :
— Je te demanderais de tout avaler.
Je ne suis pas dupe de son intention, et j’avale le tout.Je me sens drôle presque immédiatement : je me doute que je vais être incapable de faire le moindre geste de défense. Je suis à sa merci et je l’accepte.Il m’escorte dans sa chambre à coucher : il se place derrière moi et il se colle à mon dos. Il déboutonne le second bouton de ma chemise et il dégage le collet de mon cou. Il m’embrasse dans le cou. Je frissonne de bien-être.
— Tu sens bon.— Je me suis rasé et mis de l’after-shave en pensant à vous.— Tu aimes te faire embrasser dans le cou ?— Ouuiiiiii !— Tu bandes ?— Ouuiiiiii !— Moi aussi je suis bandé.— Tu en veux plus ?— Ouuiiiiii !— Tourne-toi.
Je me toune. Il approche son visage du mien.
— Tu as déjà été frenché par un homme ?— Non !
Il approche sa bouche de la mienne. Je sens son haleine qui est fraîche et excitante.
— Tu veux que je te frenche ?
Comme toute réponse, je passe ma langue sur mes lèvres et j’entrouvre ma bouche.
— Tu m’excites.
Il passe sa langue sur ses lèvres et les colle contre les miennes. Nos langues se cherchent et se touchent. Je m’abandonne à ce baiser lascif que je souhaite depuis tellement longtemps. Il passe ses mains derrière ma tête et nos deux bouches se fusionnent pour n’en faire plus qu’une alors que nos salives s’entremêlent pour n’en former qu’un seul nectar qui se transfère d’une bouche à l’autre et que nous avalons.Alors qu’une main est toujours posée derrière ma tête, son autre main glisse sur le léger tissu de ma chemise et s’arrête à la hauteur de mes pectoraux. Elle se pose sur mon mamelon gauche qui est en pleine érection. Ses doigts le titillent pendant quelques secondes par-dessus le tissu de ma chemise avant de le pincer avec force. Je me raidis et j’écarte les jambes.Nos bouches s’écartent l’une de l’autre et il approche sa bouche de mon oreille et il me murmure :
— Tu en veux plus, hein, mon petit cochon ?— Je suis à vous : faites de moi ce que vous voulez.— Tu pourrais le regretter de t’abandonner totalement à moi ?— Je m’en doute, mais je l’assume.— J’adore le type d’homme que tu es !
Ses doigts quittent mon mamelon gauche et sa main progresse en direction de mon nombril puis s’arrête sur la braguette de mon short. Ma queue est bandée à l’extrême.
— Tu es prêt à abandonner ton corps à mes fantasmes ?— Faites-en selon vos désirs.— Même si tu vas devoir souffrir ?— Oui, même si je vais devoir souffrir !
Du bout des doigts, il descend le fermoir éclair de ma braguette et il glisse sa main dans l’embrasure de mon short. Puis, je sens ses doigts agripper et baisser le haut de mon caleçon jusqu’à ce que sa main puisse s’introduire entre l’intérieur de mon caleçon et ma queue. Sa main va-et-vient sur mon organe puis elle se referme sur ma queue et elle commence à me masturber.
— Ne me faites pas éjaculer tout de suite.— Je me réserve ton sperme pour la fin, mais pour le moment, je vais regarder et examiner ton organe avant tout. Il dégage mon pénis bandé à l’extrême de mon caleçon et il constate qu’il est circoncis.— Ça fait longtemps que tu es circoncis.— Depuis mon enfance.— Il est plus que tentant : tu t’es déjà fait sucer ?— Oui.— Par un homme ?— Par un homme et par des femmes.— Par qui as-tu préféré te faire sucer ?— Par un homme : les sensations sont beaucoup plus fortes.— Tu as déjà éjaculé dans sa bouche ?— Oui.— Tu as déjà sucé un homme ?— Oui.— Tu l’as fait éjaculer dans ta bouche ?— Oui.— Tu as avalé son sperme ?— Oui,— Tu as aimé le goût de son sperme ?— Oui, beaucoup.— Tu t’es déjà fait mordre le gland ?— Non, jamais.— Tu t’es déjà fait transpercer le gland par une aiguille ?— Non : vous me posez ces questions parce que vous avez l’intention de......?— Oui, j’ai l’intention de te mordre le gland avant de le transpercer avec une et même plusieurs aiguilles : tu te sentirais capable de supporter la douleur ?— Oui, si c’est vous qui me torturez.— Laisse-toi faire que je te retire tes vêtements.
Il s’écarte un peu de moi et il commence par déboutonner ma chemise et il la dégage de mes épaules. Il la laisse choir par terre. Il s’agenouille devant moi et il dénoue ma ceinture, puis le bouton du haut de mon short qui choit par terre à mes pieds. Alors que ma queue toujours à l’horizontale est sortie de mon caleçon, il tire sur le bas de mon caleçon qui choit par terre. Mon gland se retrouve à quelques centimètres de sa bouche.
— Ma queue vous appartient : faites-en selon vos volontés.— Bien sûr, mais pas pour le moment : je me la réserve pour plus tard.
Je dégage mes pieds de mon linge.
— Étends-toi de dos sur son lit.
Je lui obéis.
— Relève tes bras et place-les de chaque côté de ma tête.
Ce que je fais.Il s’agenouille de chaque côté de mon thorax puis il se penche par en avant et il place ses mains sur mes épaules. Il est bandé. Il ouvre le devant de sa robe de chambre et il commence par passer sa queue contre mon front, mes yeux, mon nez, l’intérieur de mes narines et finalement sur mes lèvres. Sa queue sent bon.
— Ouvre ta bouche.
J’ouvre ma bouche.Il pose son gland sur mes lèvres et je commence à le lécher, puis à introduire le bout de ma langue dans son méat avant de le sucer sans y mettre trop de pression.Je sens à sa respiration et ses mouvements que ça l’excite. Je passe ma langue sur toute la longueur de sa queue pour bien la lubrifier.Je sens qu’un peu de liquide préséminal sort de son méat et je le lèche.
— Mouille tes lèvres pour que ma queue glisse dessus en même temps qu’elle glisse sur ta langue.
Je passe ma langue sur mes lèvres et j’y dépose le plus de salive possible.Sa queue pénètre de toute sa longueur dans ma bouche alors que mes lèvres l’effleurent et il commence à faire de très longs et très lents mouvements de va-et-vient.Il se met à émettre de longs murmures de jouissance et sa queue devient de plus en plus grosse et raide jusqu’au moment où de puissants jets de sperme atteignent le fond de ma gorge.J’appuie fermement mes lèvres contre sa queue pendant qu’il éjacule : j’avale le tout.Quand je sens qu’il veut se retirer, je lubrifie à nouveau son membre avec ma langue et je le laisse retirer son membre pendant que mes lèvres sont contre son pieu et que je recueille dans ma bouche ses restes de sperme.
— C’est la première fois que je reçois une telle fellation : c’est à mon tour de m’occuper de toi. Retourne-toi sur le ventre et relève ton derrière.
Je m’exécute.Il place un oreiller sous mon ventre et il me demande d’écarter mes jambes.J’écarte mes jambes.
— Tends-moi ton poignet gauche.
Je lui tends. Avec une corde, il me l’attache à un barreau de la tête de son lit. Il en fait de même avec mon poignet droit. Avec une troisième corde, il attache ma cheville gauche à un crochet fixé sur le côté du lit puis il en fait de même avec ma cheville droite. Je suis à la merci totale de cet homme.Il s’agenouille entre mes jambes et il écarte mes fesses.
— As-tu pris une douche avant de venir chez moi ?— Oui, j’ai pris une douche et en plus je me suis donné un Fleet.— Tu pensais m’offrir ton cul ?— Si vous me le demandiez. — Tu t’es déjà fait manger le cul.— Non.— Sodomiser ?— Non, jamais !
Tout en maintenant mes fesses écartées, je sens qu’il approche sa bouche de ma raie à cause du souffle chaud que je ressens sur cette partie de mon corps.Sa bouche se colle contre ma rosace et il la pompe avec force. Il me mord : je me raidis.Je sens sa langue pénétrer et se retirer de mon cul en de lents mouvements de va-et-vient.Ma respiration se saccade et le bas de mon corps entre en transe.Le bout de sa langue force mon sphincter et pénètre de plus en plus profondément dans mon intestin.Jamais, au grand jamais, la langue d’un homme ou d’une femme n’avait vaincu à ce point la résistance de mes muscles pour pénétrer aussi loin dans mon intestin.Alors qu’il me pompe avec force, je sens qu’un corps étranger pénètre dans mon intestin je devine que c’est un doigt et probablement son majeur parce que la pénétration est profonde.Tout en continuant à me pomper le cul, il plie le bout de son doigt de sorte que mon intestin s’élargisse.Après un long moment, il retire son doigt et il pose ses mains fermement contre mes hanches. Je sens le gland de sa queue contre ma rosace.
— Tu veux que je t’encule d’un coup sec pour te faire souffrir le plus possible ou que j’y aille lentement ?— D’un coup sec : je sais que ce que vous voulez c’est de me faire souffrir !
Je sens son gland vaincre la résistance de mon sphincter et pénétrer dans mon anus. Il garde la position.Il pose l’intérieur de ses mains contre le matelas, il raidit ses jambes pour se soulever au maximum, sans que son gland ne sorte de mon cul, puis il propulse violemment son engin en entier dans mon intestin.
— Haaaaaaaaaaaaaaaaa !
Je ne peux réprimer un hurlement de douleur, mais je voulais connaître depuis longtemps, cette sensation de me faire enculer de façon sauvage.Il me pistonne pendant un long moment avant d’éjaculer une seconde fois, mais cette fois, c’est dans mon intestin.Après être demeuré appuyé sur mon dos pendant quelques secondes, il se retire de mon cul, il se lève et il approche sa queue de mon visage.
— Tourne ta tête vers moi.
J’obéis.
— Ouvre ta bouche.
J’ouvre ma bouche. Il approche sa queue souillée de sperme et il la fait pénétrer dans ma bouche.
— Lèche ma queue, mon cochon et suce-la.
Je m’exécute : je lèche et suce sa queue.
— Tu fais ça très bien : on dirait que ce n’est pas la première fois que tu suces une queue après t’être fait enculer. Une vraie pute ne ferait pas mieux. Maintenant, passons aux choses sérieuses. Avant de te dilater le cul avec un dildo extrême, je vais te le fister avec mon poing. Ton cul a déjà été fisté ?— Non, jamais.— Ça va être très douloureux.— Je suis là pour vous.
Soulève un peu ton ventre que j’y place un second oreiller.J’obéis.Je vais mettre un gant et je vais le lubrifier avant d’en faire de même avec ton cul.Je sens un liquide visqueux couler dans ma raie alors que sa main non gantée écarte ma fesse gauche.
— Ton cul m’excite : tu vas souffrir.
Je sens deux doigts pénétrer lentement dans mon cul puis s’y retirer.Je suis toujours bandé.
— Ne contracte pas tes muscles.
Ma respiration commence à être haletante.Je sens maintenant trois doigts forcer et vaincre la résistance de mon sphincter.Alors que ses trois doigts sont légèrement entrés dans mon cul, je sens que mes chairs s’écartèlent et que son pouce et son auriculaire se joignent aux autres doigts.Mes chairs s’écartèlent de plus en plus alors que mes bras et mes jambes sont d’une rigidité cadavérique.Il pousse : sa main progresse.Il pousse encore plus et les cinq phalanges de ses doigts forcent mes muscles à s’élargir encore un peu plus.
— Ton cul saigne un peu, mais pas suffisamment pour que je m’arrête : tu es d’accord ?— Oui.
Sa main en entier est dans mon intestin.Ça me force vraiment dans le ventre.Il referme son poing.
— Je vais dilater ton intestin pour que mon immense dildo puisse entrer dans ton cul.
Je sens ses doigts se refermer et son poing pénétrer de plus en plus profondément avant de sentir de violents coups de poing en mouvements de va-et-vient.La douleur est extrême, mais je l’endure.Je sens que ses ongles griffent l’intérieur de mon intestin : j’ai peur des conséquences.Les coups de piston entrent de plus en plus profondément dans mon organe au point de commencer à paniquer.
— Ne bouge surtout pas : mon bras est rendu dans ton intestin à la hauteur de mon coude.— Vous me faites affreusement souffrir.— Je le sais et ça ne fait que commencer.
Les mouvements de va-et-vient continuent dans mon intestin au point que la douleur m’empêche de respirer librement.
— Arrêtez, je vous en supplie.
Il retire lentement son bras de l’intérieur de mon intestin.
— Tu as aimé ?— Ouuuiiiiiii.— Même si je t’ai fait extrêmement souffrir ?— Ouuuiiiiiii.— La prochaine fois que tu vas venir chez moi, je vais t’introduire mon immense dildo.— Il est plus gros que votre poing ?— Beaucoup plus gros.— Je vais me laisser faire.— Tout comme aujourd’hui, tu vas être attaché.— J’aime être attaché.— Tu accepterais que je te fouette.— Il ne faudrait pas que je porte des marques.— Elles ne paraîtront pas : je vais te fouetter la queue, te mordre les testicules, et te torturer le dessous des pieds en y introduisant des épingles. J’adore tes pieds.— Des épingles sous mes ongles ?— Oui, et d’autres tortures dont je me réserve le secret.— Je vais attendre votre invitation pour revenir vous voir.
Il me détache les poignets puis avant de me détacher les chevilles, il se penche vers mes pieds et il embrasse mes chevilles et il les lèche...
— Elles me font bander, elles m’excitent.— Depuis que je suis jeune que j’entretiens mes pieds pour satisfaire un éventuel fantasme d’un homme qui adore les pieds.
Je me lève du lit : il me rend mon linge et je me rhabille. Je quitte son appartement avec la ferme intention d’y revenir dès la prochaine invitation.
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