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Je suis maman... et un peu salope

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Chapitre 2 : Répétition et exhibitionLe lendemain matin, alors que son père est déjà parti travailler et qu’elle s’apprête à mettre ses chaussures pour prendre son car, je retiens ma fille. Aujourd’hui, elle n’ira pas en cours, j’appellerai le lycée pour la faire porter pâle. Nous n’avons que deux jours pour qu’elle mémorise toute sa chorégraphie, nous ne pouvons perdre une seule journée !
— Aujourd’hui, c’est moi ta prof ! Il n’y a pas une minute à perdre ! Je veux qu’à la fin de la journée, tu saches correctement te dénuder en musique ! Tu es d’accord avec ça ? Alors, on y va !
Après avoir fait de la place dans le salon, Élodie revient de sa chambre vêtue de son costume de scène. Je lance la musique et lui indique les pas. Ce n’est pas gagné, ma fille bute sur les enchaînements, elle s’effeuille de façon trop saccadée. Elle a à peine retiré son petit boléro qu’elle s’exclame :
— Ah, putain, c’est mort, j’y arriverai jamais !— Allons, allons, soit pas défaitiste, on va reprendre depuis le début ! C’est pas compliqué, allez, recommence !— C’est pas compliqué, c’est pas compliqué, c’est facile à dire pour toi, tu l’as déjà fait ! J’débute moi ! Tu voudrais pas me montrer plutôt, j’comprendrai peut-être mieux !— Hahaha, mais dis-moi petite coquine, ce serait pas une excuse pour voir ta mère toute nue quand même ? Hahaha ! Oh, je rigole, fais pas cette tête ! Bon, allez, je veux bien te montrer comment faut faire... Allez, assois-toi confortablement et ouvre grands tes yeux !
Je démarre la musique et commence à effectuer les pas de danse que je lui avais préparés. La musique étant rythmée, il n’est pas facile de lui expliquer et réaliser les enchaînements en même temps. Mais elle est attentive et n’en perd pas une miette ! N’étant pas en costume comme elle, je me retrouve vite en petite culotte et soutien-gorge ! Voici venu le moment d’enlever le haut ! J’adresse un large sourire à ma fille, je retiens par mon avant-bras le corsage que je dégrafe de mon autre main. Les bretelles tombent sur mes épaules, je retire mon soutien-gorge de ma poitrine toujours masquée par mon avant-bras, le brandit bien haut de la main droite puis, après un temps, libère enfin mes seins en faisant de même avec le bras gauche. Mes lourds nénés battent maintenant l’air énergiquement, ma fille est en admiration : elle frappe des mains en rythme en se trémoussant sur sa chaise. Je lui jette mon soutien-gorge qu’elle attrape au vol.
— Ouais ! Vas-y Maman ! T’es la meilleure ! Youhou, youhou ! Excellent !
Encouragée par ma fille et la chanson approchant de son terme, je me dirige vers mon grand final. Je me rapproche au plus près d’elle, fais volte-face et abaisse mon buste, les bras tendus sur mes genoux. Elle ne peut maintenant ne voir de moi que deux jambes bien jointes où culmine mon petit derrière charnu, caché, plus pour très longtemps, par le tissu de mon slip en coton. Je dandine des fesses un moment, puis tout en gardant le mouvement, j’abaisse lentement ma culotte. Je la sens se décoller de ma vulve... Ça y est, ma fente est dégagée. Je me penche maintenant au maximum afin que le geste écarte mes fesses et que mon petit œillet brun puisse lui aussi être exposé à sa vue. Elle siffle d’admiration ! Je fais rouler mes fesses devant son nez pour lui faire apprécier le spectacle et, avant qu’elle ne se rende compte que mon entrecuisse s’humidifie, je me redresse la culotte à la main, me retourne et salut mon public. Élodie est surexcitée :
— Alors, ma fille comment tu m’trouves ? T’es contente ? Tu vois comment faut faire maintenant ? Ça y est, ta maman s’est mise à poil ! Pas trop choquée ?— Ah non alors, pas choquée du tout ! Whoua, Maman, c’était trop bien ! T’es trop belle ! Tes seins, ils sont trop beaux, t’es trop une pro ! Alors là, bravo ! C’est délire de te voir toute nue, j’aime trop ! Tu danses trop bien !— C’est vrai t’as aimée ? Merci ma chérie, mais tu me diras, c’est un peu facile quand on fait ça 2 - 3 fois par an !— Hein ? Comment ça 2 fois par an ? Tu continues de danser pour Papi ?— Ben oui, comme je t’ai dit, c’est le cadeau préféré de ton Papi, pourquoi je l’en priverais ? Tu ne t’en es jamais rendu compte, mais après les anniversaires qu’on fête tous ensemble avec lui, je retourne toute seule chez Papi pour lui offrir son vrai cadeau ! Hihihi ! Pareil pour la fête des Pères. D’ailleurs cette choré à la base, c’était pour lui ! Hihi !— C’est pas vrai ! Trop drôle ! J’en reviens pas ! J’imagine pas l’truc... Mais... tes poils... c’est lui qui ?
— Mais non bêtasse, c’est ton père qui préfère quand c’est lisse ! C’est plus doux pour les câlins ! Bon, allez, trêves de bavardages, t’as vu comment faut faire, on reprend ! A toi maintenant !
Le reste de la matinée fut consacré aux répétitions. Je m’étais rhabillée et guidais Elodie qui était désormais plus assidue pour exécuter la danse aussi bien que moi. On était sur la bonne voie, elle avait réussi deux fois l’enchaînement complet. Il est maintenant midi, je lui propose une pause déjeuner. Elle accepte avec joie, mais me demande si elle peut rester toute nue pendant le repas, soi-disant pour s’habituer au maximum à la nudité. N’y voyant pas d’objections de ma part, elle rajoute :
— En fait, c’que j’aime bien aussi, c’est d’être toute nue et pas toi... Ça fait bizarre, j’aime bien !— Ah, ça ma cocotte, je sais ce que c’est ! En fait, c’est que tu es un peu exhib ! Je ressens la même chose avec Papi ! Comme quoi, les chiens ne font pas des chats ! C’est faire quelque chose d’un peu interdit qui est excitant ! Si tu veux, on peut essayer un truc qui va peut-être te plaire ! Tu veux qu’on fasse un jeu rigolo ?— Euh, oui... Enfin c’est quoi ?— Eh bien, pour midi, je commande une pizza et c’est toi qui ouvres ! Comme ça, à poil, sans rien sur toi... Devant le livreur !— Toute nue devant lui...— Oui... et peut-être même que des passants te verront... Alors ? Qu’est-ce que t’en dis ? Partante ?
Elle réfléchit un instant.
— Oh yes, Maman... partante... carrément !— Bien, alors... Qui c’est qui va montrer ses petites fesses au livreur ?— C’est moi !— Et qui c’est qui va montrer ses petits seins au livreur ?— C’est encore moi ! hihi !— Et qui c’est qui va voir ton tout petit minou ?— C’est le livreur ! Haha ! Et les voisins aussi !— Haha, oui bien sûr, ma chérie les voisins aussi !
Nous avions déjà une relation très complice toutes les deux, mais le fait qu’aujourd’hui nous nous étions mises à nues physiquement avait renforcé encore plus nos liens. L’euphorie de ma fille étant communicative, je m’empresse de commander la pizza. A peine raccroché, je la vois qui se dandine.
— Oulala, oulala, j’suis trop stressée, j’vais m’faire pipi dessus-là ! Oulala, vite, faut que j’aille au petit coin !— Tiens, et pourquoi tu n’irais pas dans le jardin ? Il fait si beau aujourd’hui ! lui dis-je malicieusement, la coupant net dans son élan.— Dans le jardin ? T’es sûre ? Et le vieux grincheux ?— Eh bien ? C’est un voisin lui aussi ! C’est pas toi qui parlais d’eux à l’instant ? Et puis ça lui apprendra à toujours zieuter chez nous ! Si ça se trouve, ça va lui plaire ! Alors chiche ?— Chiche, j’y vais !
Je la regarde prendre bravement la direction de l’escalier menant au sous-sol. Notre maison de type années 60 se compose d’un rez-de-chaussée faisant office de garage / buanderie et d’une partie habitation / terrasse située au niveau supérieur. Notre voisin le plus proche est un retraité acariâtre qui a la fâcheuse habitude d’épier nos moindres faits et gestes dès que nous nous retrouvons à l’extérieur. En effet, nos maisons sont quasiment identiques et symétriques par rapport à sa haie, si bien que lui comme nous avons une vue plongeante sur nos jardins et terrasses respectifs. Une vingtaine de mètres nous sépare de ses fenêtres et nous le surprenons souvent écarter ses rideaux pour nous surveiller.
Je me poste à la fenêtre pour voir ma fille faire son entrée sur la pelouse. Son allure est bien différente que lorsqu’elle m’a quittée ! A l’affut du moindre mouvement, elle parcourt la distance qui la sépare du centre de la pelouse d’un pas mal assuré, les bras bien serrés contre sa poitrine. Elle se fige un moment, se retourne dans ma direction : son regard croise le mien. Je lui adresse un petit coucou de la main. Elle esquisse un demi-sourire et s’accroupit cuisses ouvertes tournées vers la façade de notre voisin. Son visage est tendu vers la fenêtre de celui-ci. Elle scrute les rideaux, toute son attention est portée sur cette maison, mais évidemment cela la déconcentre dans la réalisation de son défi...
Le temps passe, sa tête soudain se penche vers son entrecuisse et je comprends alors que la délivrance va arriver. Ça y est, son jet a dû démarrer, car elle reprend sa position initiale juste à temps pour percevoir le mouvement d’un rideau au niveau de la baie vitrée du vieux grincheux.
De ma position, je ne vois que le dos et les fesses de ma fille, mais pour notre « très cher voisin » cela doit être totalement différent ! Il ne doit pas en perdre une goutte ! Sa miction finie, ma fille se redresse rapidement et court plus qu’elle ne marche vers l’escalier extérieur qui mène à la terrasse de notre étage. Alors là, elle m’épate ! J’avais pensé qu’elle aurait pris le même chemin qu’à l’aller, mais non, elle préfère s’exposer un peu plus ! Je lui ouvre bien vite la porte et elle s’engouffre aussitôt.
— T’as vu, t’as vu ! T’as vu, il était là ! Oh putain, t’as vu ! La vache, comment j’ai eu peur ! Oh Maman, c’est terrible, oh la vache !— Oh oui, chérie, j’ai vu, j’ai tout vu ! Je suis très fière de toi ! Dis donc c’est qu’elle est vraiment courageuse ma petite chérie ! Il a du bien se rincer l’œil le vieux grincheux ! — Il a tout vu ! Il a pas bougé ! Whoua, la folie ! C’est la première fois que j’fais pipi devant quelqu’un ! Ohlala, la honte ! Les boules quand je vais le revoir !— Faut pas ! Surtout pas, tu vas voir, c’est lui qui ne saura plus où se mettre ! Attends... Calme-toi un petit peu, regarde, t’en as partout sur les cuisses ! Tiens, prends ce mouchoir en papier et essuie-toi un peu, le livreur va pas tarder !— Ah oui t’as raison ! Whoua, la vache...
Je regarde ma fille qui, tout en essuyant les gouttelettes qui avaient coulé le long de ses cuisses, me fait part dans les détails des sensations qu’elle a ressenties. Pas de doute, elle va vite devenir accro ! Elle est intarissable, au début, elle avait eu froid et peur d’être vue, puis quand elle a commencé à pisser, elle n’avait qu’une envie au contraire c’est que quelqu’un la voit. Quand elle s’est rendu compte que le vieux la regardait, elle s’est imaginée à sa place, voyant distinctement l’urine sortir de sa vulve et là, elle a commencé à avoir très très chaud... Elle était au final très contente d’avoir été surprise dans cette position indécente ! Elle avait hâte maintenant de recevoir le livreur de pizza ! Pour amplifier ses émotions, je la titille un petit peu :
— Imagine, si ça s’trouve le livreur... tu l’connais ! Il est peut-être en terminale comme toi et il bosse pour se faire de l’argent de poche !— Oh les boules ! tu crois ? Ah non, c’est pas possible, tu m’charries là, on a cours le vendredi ! Ouf !— Ou alors, c’est une copine à toi qui va sonner avant pour te passer tes cours...— Ah non, arrête Maman !— Oulala, en tout cas qui que ce soit, il va être tout près de toi ! Il va avoir une belle vue sur ta petite chatte ! Pas le droit de la cacher, hein ! Tu l’promets ! Si ça se trouve, il va vouloir la toucher ou pincer tes petits nénés ! Haha ! — Arrête Maman, j’ai peur maintenant ! Tu restes pas loin, hein ?— Mais oui ma chérie, je serai pas loin ! Dans le canapé, ça te va ?
Dim-Dam, Dim-Dam ! La sonnette retentit. Élodie reste interdite. Dim-Dam, Dim-Dam.
— Ben alors ma chérie, ça sonne qu’est-ce que t’attends ? On veut plus montrer son minou ? C’est dommage pour ton public ça ! Hihi ! — Carrément que si ! Tu vas voir !
Après avoir pris une forte inspiration, elle se dirige d’un pas décidé vers la porte, pose la main sur la poignée, prend un temps d’arrêt puis ouvre grand la porte. Le jeune homme en face d’elle en est resté sans voix. Un accueil comme celui-ci, il ne doit pas en avoir souvent ! Elle est la première à parler et d’un ton assuré, commence par lui demander de vérifier si les parts ont bien été découpées. Le garçon bafouille quelques mots, s’empêtre avec l’ouverture de la boîte. De loin, je propose à ma fille de le faire entrer pour qu’il soit plus à l’aise sur une surface plane. Le jeune homme la suit le regard rivé sur ses fesses comme hypnotisé. Elle part chercher la monnaie pendant qu’il vérifie la commande puis avec prestance, s’assoit sur la table à côté de la pizza et engage la conversation sur son travail et sa vie personnelle. Nonchalamment, elle ouvre ses cuisses et balance ses jambes en rythme dans le vide. Pas de doute, le garçon est gêné.
Son visage s’est teinté de rouge, il articule difficilement et surtout, il ne peut s’empêcher de lorgner vers la toison de ma fille.
C’est alors qu’elle décide de changer d’attitude: sans cesser de parler, elle ouvre et ferme lentement ses cuisses, ce qui répercute le mouvement sur sa vulve. Le jeune homme est totalement scotché par la vision de sa fente qui s’entrouvre.
— Ohoh ! Je t’ai parlé, tu m’écoutes ? C’est ça ? Ça fait bien 12 euros ?— Euh, oui, oui, c’est ça... 12 euros...— Tiens, ah merde, c’est tombé !
A-t-elle fait exprès de faire tomber la pièce ? J’en jurerais ! Le pauvre garçon se penche immédiatement pour la ramasser, mais remonte doucement pour ne rien rater ! Il est si près du sexe de ma fille qu’en plus de la vue, il doit en sentir l’odeur ! Ma fille saute alors au sol et le raccompagne à la sortie. J’aperçois une dernière fois le visage cramoisi du garçon dans l’embrasure de la porte lorsqu’elle referme celle-ci sur ses charmes.
— Hahaha, t’as vu comment je l’ai scotché ! Pas un mot !— Sûr, il va bien dormir cette nuit ! Tu m’impressionnes chérie, plus je te regarde, plus ça me rappelle ma jeunesse... quand Maman et moi... — Quand Mamie et toi quoi ?— Rien, rien chérie, oublie !— Oh ben, non ! T’as commencé, tu finis !— Quand... on se déshabillait n’importe où et n’importe quand ! On s’amusait à se lancer des petits défis pour... pour repousser nos limites !— Délire, vous deviez bien vous marrer !— Disons que cela nous a mis quelques fois dans des situations plus qu’inconfortables, mais en même temps, c’était le but recherché ! Mais, quand on est deux gentilles jeunes femmes qui plus est toutes nues, on se sort toujours de l’embarras ! Haha ! — C’est quand même triste que Mamie ne soit plus là !— Oui, ma chérie, c’est triste, elle aurait adoré te voir ainsi ! Allons, souris un peu, qu’est-ce que tu dirais si on mangeait cette pizza au soleil sur la terrasse ? Ah, je savais que ça te ferait sourire ! Par contre, Maman a bien envie de profiter du soleil elle aussi ! Et le vieux grincheux, maintenant qu’il a vu la fille, sera peut-être content de voir la mère ! Ça le déridera peut-être ! Tu veux bien que j’me déshabille avec toi ? — Cool ! Il va pas savoir où regarder le vieux ! Il va faire une attaque devant nos paires de fesses !— Oh j’espère pas ! Il y a bien plus de choses à voir que nos fesses, faut pas qu’il claque avant ! Hihi !
Nous convenons que je sortirai la première histoire d’attirer à nouveau son attention, puis ma fille fera son entrée. Je sors donc sur la terrasse, toujours habillée, et commence à déplacer la table et les chaises de jardin afin de les disposer au plus près de la terrasse d’en face. Nos rambardes respectives étant constituées de deux traverses horizontales, rien ne s’opposera aux regards indiscrets de notre voisin. D’ailleurs, celui-ci a entrouvert ses rideaux sur un bon mètre, ce qui me permet de le voir distinctement passer et repasser le long de sa baie vitrée. Après son troisième passage confirmant sa curiosité, j’appelle ma fille :
— Élo chérie ! Tu viens mettre la table s’il te plaît !— J’arrive, j’arrive ma petite maman !
Ma fille apparaît alors, tenant les assiettes et couverts contre son estomac. Tout en discutant, elle s’affaire à dresser la table. Notre voyeur est apparu dans le renfoncement de son rideau. C’est à moi de jouer. Prétextant la chaleur du jour et vantant la bonne initiative de ma fille, je décrète haut et fort que je devrais en faire autant. Joignant le geste à la parole et pendant qu’Élodie est rentrée chercher la pizza et les boissons, j’entreprends de me libérer de mes habits. Je le fais de façon nonchalante sans chercher à sexualiser ma mise à nue. Je suis désormais en culotte, l’air extérieur raffermit mes seins et je sens les aréoles de mes tétons se rétracter. Ces derniers pointent fièrement...
Je retire alors négligemment mon slip et sens la chaleur du soleil irradier mon pubis dépourvu de tous poils. Quelle douce sensation que la caresse du soleil ! Je m’étire pour profiter au maximum de ses rayons. Je jette un coup d’œil à notre voisin qui n’est plus vraiment caché et lui adresse un petit coucou de la main accompagné de mon plus beau sourire. Cela a dû le surprendre, car il a bien vite disparu dans l’ombre de sa tenture. Je ne suis pas déçue, car je sais qu’il ne va pas tarder à réapparaitre. Son intérêt pour nous ne fait plus de doute.
Nous nous installons tranquillement de chaque côté du guéridon qui nous sert de table, le corps tourné vers l’habitation proche et commençons notre déjeuner. Nous sommes désormais totalement décomplexées l’une vis-à-vis de l’autre et bavardons de tout et de rien comme à l’accoutumée. Tout à coup, ma fille m’interrompt :
— Maman... Maman, je crois qu’il nous prend en photo !
Je regarde discrètement et remarque très clairement le long canon d’un objectif dépasser de la baie ouverte. Toutes à notre discussion, nous n’avions pas remarqué que notre voyeur en avait profité pour améliorer son angle de vision afin de pouvoir profiter pleinement de notre exhibition.
— Oh, mais c’est que notre vieux grincheux s’enhardit ! Eh bien, ma chérie, je crois qu’on va être immortalisées ! Ça me donne une idée, tiens !— Qu’est-ce que tu vas faire, Maman ?— Tu sais, ta petite maman a toujours rêvé de poser sous les projecteurs ! Et, qui dit téléobjectif, dit gros plan ma chérie ! ! Hihi, ma petite minette va avoir droit à son moment de gloire ! Haha !
Et devant ma fille ébahie, j’ouvre largement les cuisses face à l’appareil photo de notre voisin. Je sens mes lèvres s’écarter, puis, à la fin de mon mouvement, c’est au tour de mes petites lèvres de se décoller l’une de l’autre. J’ai la chatte totalement ouverte à la pleine lumière du soleil !
Je suis complètement désinhibée. C’est la tempête dans ma tête. Des pensées me tiraillent de parts et d’autres. L’inquiétude tout d’abord quant à l’utilisation que ce vieux pervers pourrait faire des clichés qu’il prend. S’il venait à les diffuser sur le Net, n’aurai-je pas entraîné ma fille sur une pente un peu trop glissante ? Mais à l’inverse, je suis énormément excitée : tout au fond de moi se forment les images de mon voisin se masturbant frénétiquement devant les photos de ma fille et moi. J’imagine son sperme gluant s’étaler sur ma chatte imprimée en grand sur papier glacé. Je retiens ma main qui a furieusement envie de soulager ma fente qui s’humidifie progressivement. Ma fille me sort alors de mes pensées.
— Attends, Maman, qu’est-ce qu’il va faire des photos ? S’il les montre à des gens qu’on connaît !— Ne t’inquiète pas ma chérie... Il connaît personne, il est toujours tout seul ! On n’aura qu’à aller le voir pour lui demander de pas le faire ! — Hein ? Ça va pas ! Il fait peur, on dirait un vieux pervers !— Oui, un peu, mais tu ne veux pas voir les photos ? Comme ça au moins on sera sûr qu’il ne les diffusera pas !— INTERNET ! Oh putain, j’ai oublié internet !— Ne t’inquiète pas j’te dis, il est tellement vieux qu’il doit pas même pas savoir c’que c’est ! Et c’est dans son intérêt de ne pas le faire s’il veut continuer à profiter de la vue ! Je prendrai le temps d’aller le voir si tu veux ! Y a pas de soucis à se faire.— T’es sûre, parce que là, je suis plus trop rassurée...— No problemo, Élo, Maman gères ! Profite, et puis tu sais, ça fait partie du jeu... S’il n’y a pas de dangers, y a pas d’plaisirs ! Hihi.
Du plaisir, c’est sûr que j’en prends en ce moment ! Le risque est gros de se faire photographier ainsi, mais qu’est-ce que c’est euphorisant ! Je la sens tout de même beaucoup moins détendue qu’en début de repas, car elle s’est rapprochée de l’ombre du plateau de la table et se voute beaucoup plus au-dessus de son assiette. Sa posture désormais refermée détonne à côté de la mienne bien trop lascive. Tant pis, cela fait tellement longtemps que mon petit chaton n’a pas pris le soleil que je veux lui en faire profiter au maximum... Mes seins cuisent, mon abricot luit, mon voyeur me canarde, le pied quoi !
La fin du repas arrivée, ma fille débarrasse rapidement la table et file à l’intérieur de la maison. Je ramasse tranquillement mes effets restés au sol puis regagne le salon. Avant d’entrer, je me retourne et adresse un dernier petit signe de la main à notre voisin qui par sa présence m’a procuré beaucoup de plaisir. Au fond de moi, je pense que je ne pourrai pas en rester là. Mais pas maintenant, plus tard, il est temps de retourner aux répétitions.
Je retrouve ma fille au salon aussi motivée que ce matin, ouf, je suis rassurée. Quand il s’agit de faire un strip pour son père, elle retrouve son sourire ! Nous enchaînons dans la bonne humeur la chorégraphie. Pendant les trois heures de l’après-midi, elle s’est entraînée et réalise désormais à la perfection son numéro. Mon mari ne va pas tarder, elle file se doucher pendant que je me rhabille et remet un peu d’ordre au salon.
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