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Je suis maman... et un peu salope

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Chapitre 3 : Le grand jour (matin)Il est tôt ce dimanche matin, jour de la fête des Pères, et je suis déjà réveillée depuis une bonne demi-heure. Je ne cesse de me tourner dans le lit à la recherche d’une position confortable. Je suis trop obsédée par la pensée du cadeau de ma fille à son papa. Je regarde mon homme qui dort encore à poings fermés : il ne sait pas ce qu’il l’attend ! J’ai le choix, soit le réveiller par un petit câlin crapuleux ou bien alors lui préparer un copieux petit-déjeuner. J’opte pour la seconde solution, c’est la journée des Papas, ce serait dommage de fatiguer celui-là dès le matin...
Je me lève sans un bruit, enfile ma robe de chambre que je noue sur ma taille nue et me dirige à pas feutrés vers la cuisine. Je me verse une tasse de café et j’ouvre les volets. Je remarque à ce moment que ceux d’en face sont déjà grands ouverts et les rideaux également. Mon voisin a l’air aussi matinal que moi, car je le vois déambuler en peignoir devant sa fenêtre. Je suis alors prise d’une irrépressible envie de rejouer avec lui.
Je sors sur la terrasse et me dirige directement vers la rambarde. Je m’appuie des avant-bras sur elle et gonfle ma poitrine afin de libérer mes seins de la chaleur du coton. L’air matinal est vivifiant, mes mamelons sont parcourus de frissons, j’inspire en grand pour m’acclimater à la fraicheur. Ma poitrine monte et descend au rythme de ma respiration. Comme ce vendredi avec ma fille, il n’a pas fallu longtemps pour capter l’attention du vieux grincheux ! Il ne se cache plus derrière les plis des rideaux. Non, sa silhouette se découpe entièrement derrière sa baie vitrée qu’il est en train de coulisser afin que l’on se retrouve complètement face à face dans la clarté du matin. Le petit bedonnant tient lui aussi une tasse dans une main tandis que l’autre est plongée dans la poche de son peignoir. Les mouvements réguliers de celle-ci ne laissent pas beaucoup de place au doute : le monsieur est en train de se caresser la verge !
Je lui souris, lui faisant ainsi comprendre que j’apprécie son attention. Je regarde une dernière fois par-devers moi pour vérifier que personne n’est encore levé, et je me redresse de la balustrade. Je pose les mains de chaque côté de ma robe de chambre, tortille un peu des fesses pour faire durer le suspense, lui fais un petit clin d’œil et écarte doucement les pans de mon habit. A nouveau, j’ai la chatte à découvert devant mon vieux pervers qui a accéléré la cadence de sa masturbation. Le déshabillé qui ne couvre plus que mon dos est simplement retenu par mes épaules et par la ceinture en tissu qui me barre les hanches. Ça m’excite de le voir se branler devant moi. Une de mes mains remonte le long de mon ventre pour attraper le galbe de mon sein, le caresse lentement pour en jauger la fermeté et monte à mon téton. Je le pince si fort que je dois serrer les dents pour étouffer un geignement. Mon autre main n’est pas inactive non plus, elle se dirige vers mon entrecuisse.
Arrivée aux abords de ma grotte, je commence à me masser doucement la vulve du bout des doigts.
Je sens ma chatte se liquéfier sous l’effet combiné de mes caresses et de mon exhibition. Face à face à nous branler, je laisse mon imagination délirer. Je me vois m’agenouiller entre ses cuisses, lui pomper le nœud avec gourmandise, lui réclamer de me baiser comme une traînée et de me remplir la chatte de son jus épais...
Mes caresses deviennent plus marquées. Sur ma fente, mon doigt s’enfonce petit à petit dans la chaleur de mon antre, mes yeux commencent à se révulser lorsque mon voisin disparaît précipitamment derrière ses rideaux. J’ai le réflexe de rajuster rapidement mon décolleté en rabattant les bords de ma robe.
— Chérie, t’es là ? T’es déjà debout ? Ben dit donc, t’es réchauffée pour être dehors à cette heure-là !
Mon mari vient d’arriver sur la terrasse. Je remets rapidement mes idées en place et me retourne pour l’accueillir.
— Bien dormi mon amour ? Moi pas trop, je prenais l’air, j’arrivais plus à respirer, j’étais comme oppressée à l’intérieur...— Ah, et ça va mieux maintenant ?— Oui, oui Chéri, ça va mieux maintenant, c’est passé... On déjeune dehors ?— Ici ? Il fait pas un peu frisquet, non ? Et puis le vieux d’en face...— Allez, Chéri, s’il te plaît, le soleil commence à chauffer... Et puis le vieux, le vieux... On fait ce qu’on veut quand même ! C’est pas lui qui va nous dicter sa loi !— Oui ben tu vas voir qu’on va encore voir sa tête à ce con-là!
— Oh laisse-le, si ça lui fait plaisir de mater chez nous ! C’est qu’il ne doit rien avoir de mieux à faire ! Il me ferait presque de la peine, tiens !— Ma chérie qui s’inquiète du vieux voisin, on aura tout vu !
Nous voilà donc installés devant nos bols de café à bavarder sur la journée qui s’annonce et nos projets futurs. J’observe discrètement la fenêtre voisine. Je sais qu’il est là, à l’affut de nos gestes. Nous avons été coupés par l’arrivée de mon homme, mais mes pensées restent tournées vers mon voyeur...
— Chéri, tu peux aller chercher la confiture en bas, s’il te plaît ? Je crois qu’il n’y en a plus dans le frigo...— Pfff... Eh, je te signale que c’est ma fête aujourd’hui ! En principe, c’est moi le roi !— Oh oui c’est vrai, mais ne t’inquiète pas, haha, quand Élodie sera levée, tu auras le droit à une journée digne d’un prince ! Haha !— Ouais, c’est qu’on dit, c’est qu’on dit...
A peine a-t-il disparu dans la pièce que je m’avachis sur ma chaise en ouvrant largement les cuisses pour bien dégager la vue sur mon sexe. Mon voyeur réapparait de suite. Des deux mains, j’écarte les lèvres de ma chatte pour qu’il puisse en contempler les replis. Il a une vue parfaite sur mes petites lèvres et mon petit bouton rose niché tout en haut. Je ne perds pas une seconde et le titille du bout du doigt. J’humidifie régulièrement mon index dans mon antre et accélère progressivement son frottement sur mon clito... Mon voisin n’en perd pas une goutte, dans sa poche, sa main remue à toute vitesse. Mes yeux sont maintenant mi-clos... Ça y est, je me sens partir... La jouissance est venue vite, irradiant mon bas-ventre et coupant ma respiration. Mes cuisses se sont refermées fermement sur ma main poisseuse, l’emprisonnant de telle sorte que je ne peux plus la bouger. Je ne sens plus mes jambes, je plane un temps sur mon petit nuage lorsque mon mari revient.
— Tiens tu vois ! Qu’est-ce que j’avais dit, j’ai vu le vieux se planquer !— Oui, t’as raison, il doit vraiment rien avoir à foutre de ses journées ! Dis-je ironiquement après avoir repris promptement ma posture d’avant son départ. — Qu’est-ce qu’il doit se faire chier ! Il aurait bien besoin d’une femme celui-là !
Ou bien d’une chienne pensais-je en moi-même. Au rythme où vont les choses, je ne me surprends même plus à penser que je pourrais très bien faire l’affaire... Dans des moments comme celui-là, je me sens capable de tout ! Ma petite exhibition m’a tellement excitée que je ne sais pas très bien si je pourrai résister avant de recommencer ou pire, avant de passer à un niveau supérieur... J’aime de tout cœur mon mari, mais l’aventure m’a toujours attirée. L’éducation particulière de ma mère y est certainement pour beaucoup. Le petit duel entrepris avec le vieux grincheux réveille en moi cet appétit que j’avais enfoui depuis le décès de ma maman il y a plus de 10 ans.
Je passe le reste de la matinée à effectuer machinalement mes tâches habituelles dans un état semi-conscient auquel me maintiennent mes fantasmes. Élodie n’est toujours pas levée. Comme bon nombre de jeunes de son âge, elle a encore dû traîner tard sur les réseaux sociaux ou bien elle a regardé en continu une de ces séries débiles à la mode. Tant pis pour elle, il est bientôt 11H00, il est temps qu’elle se prépare. J’entre sans bruit dans sa chambre, j’entrevois sa forme sous la couette, je me rapproche de son oreille et lui glisse :
— Aujourd’hui est un grand jour : aujourd’hui, ma jolie petite fille va montrer sa jolie petite chatte à son gentil papa chéri !— Mmmh, Mmmoui, aujourd’hui, c’est la fête à Papa ! Et j’vais lui offrir un beau cadeau : il va voir mes p’tits seins, mes p’tites fesses et ma p’tite zézette ! Oh, mais il est déjà tard ! Maman, pourquoi tu m’as pas levée ? Faut que j’me grouille maintenant !— Eh dis donc jeune fille, t’es grande maintenant et puis t’étais si impatiente que j’pensais que tu serais levée dès l’aurore ! D’ailleurs si tu l’avais fait, t’aurais vu ta maman sympathiser avec le vieux grincheux ! Hihi !— C’est pas vrai, t’as continué ? Qu’est-ce t’as fait ?— Je te dirai plus tard, allez dépêche-toi, je vais préparer le terrain !
Pendant qu’elle file à la douche, je fais de la place dans le salon pour la représentation sous l’œil ahuri de mon mari qui se demande à quoi je joue. Je le laisse mariner, faisant la mystérieuse. Nous entendons bientôt la voix enjouée d’Elodie en provenance du couloir :
— J’suis bientôt prête, Maman !
Je m’adresse à mon homme :
— Allez, Chéri ! Installe-toi bien confortablement dans le fauteuil, aujourd’hui c’est ta fête et ta fille a un très joli cadeau à t’offrir ! Elle y a mis tout son corps, euh pardon tout son cœur ! Tu vas pas en croire tes yeux ! Ça va être un régal !
Faisant fi de sa mine incrédule, j’attrape la télécommande de la chaîne HiFi et m’assois prestement sur ses genoux. Il ne faudrait pas que dans un excès de pudeur, il se décide à interrompre la représentation de sa fille. Elle a travaillé trop dur pour ça !
Je démarre la lecture du titre. Les premières notes résonnent et accrochent l’attention de mon mari. Ma fille déboule alors éblouissante dans le salon : Elle est vêtue d’une chemise de bucheron à carreaux qu’elle a nouée au-dessus de son nombril et d’un boléro à frange assorti à sa jupe en daim. De dessous son chapeau s’échappent deux longues tresses encadrant malicieusement son visage. Des bottines rouges à talons et une ceinture à deux colts factices complètent sa panoplie. L’espace d’un instant, je crois voir Jessy, la cow-girl du dessin animé Toy Story.
Pas de réaction pour le moment de la part de mon mari. Il commence à devenir un peu plus intrigué quand il voit sa fille effectuer un tour de piste d’un pas bien cadencé. Arrivée au centre de la pièce, elle commence son effeuillage en faisant tournoyer son gilet au-dessus de sa tête en lançant des « Youhou ! Youhou ! ». Mon homme vient de comprendre et essaye de se relever en grommelant, mais je pèse de tout mon poids sur lui et le réprimande :
— Tutututut ! Monsieur, ta fille te fait un spectacle pour ta fête, tu te tais et tu regardes ! Youhou, youhou, allez ma chérie !
Je le sens fléchir, pas encore sûr de ce qu’il puisse arriver. Je frappe des mains pour encourager ma fille qui vient de déboutonner sa chemise. Son joli corsage blanc apparaît. Ça y est, elle est en soutif. Mon mari ne bouge plus, paralysé... Médusé de voir que sa première impression était la bonne. Notre fille enchaîne deux trois levées de jambes et se déleste maintenant de sa jupe à frange, laissant place à un mini-string moulant généreusement son pubis. Je commence à sentir un léger renflement contre ma cuisse. Mon homme ne peut pas mentir, son corps parle pour lui : il commence à apprécier le spectacle ! Je lui souffle dans l’oreille :
— Elle est belle notre fille quand même ! Tu n’crois pas que c’est le plus beau cadeau qu’une fille puisse faire à son Papa ? T’es vraiment gâté sur c’coup là !
Il acquiesce lentement sans détourner le regard du spectacle qui s’offre à lui. Les nénés d’Elodie sont sur le point d’être découverts ! Je me dandine sur ses cuisses de gauche à droite tout en frappant des mains en rythme avec la musique. Nous sommes tous les deux en admiration devant notre fille. Ses petits seins libérés, notre belle nous lance d’adorables sourires rieurs. Mains sur les hanches, elle lève et descend ses genoux à la manière d’un french cancan, ce qui fait tressauter sa jolie poitrine et nous subjugue par la même occasion.
La bosse contre ma cuisse enfle de plus en plus... J’en connais un qui doit regretter d’être resté en pyjama pour la représentation ! Mais au vu de l’intérêt qu’il porte à la chorégraphie de sa fille, je pense que sa principale préoccupation en ce moment est de voir voler le petit tissu blanc qui s’agite sous son nez ! Cela ne saurait tarder, la fin de la chanson approche et notre fille s’est positionnée de dos à nous. Elle remue les fesses... mais ne baisse pas son string. Non, elle a changé la chorée... Elle retourne son buste dans notre direction et d’un doigt, fait signe à son père de se rapprocher...
— Ouh ouh, je crois que s’est à toi de lui enlever mon chéri !— Hein, mais... mais c’est notre fille ! J’vais pas...— Allez, t’en meures d’envie ! Et je crois qu’elle aussi ! Allez, dépêche-toi ou tu vas la vexer !
Sacrée Elodie, elle apprend vite, très vite même ! Je me suis levée de la cuisse de mon mari qui, désormais libéré, s’avance limite chancelant vers le cul de sa fille. Il s’agenouille, la tête au niveau de ses fesses. Ses mains s’approchent maintenant des hanches, saisissent le string de chaque côté, hésitent un instant et le font rouler le long de ses cuisses. L’image est belle : un père découvrant fébrilement le cul nu de sa fille.
La culotte à ses pieds, Elodie lui laisse le temps d’admirer les deux globes surmontant les lignes de sa fente. D’ailleurs, celles-ci me semblent plus nettes, plus distinctes. Rapidement, elle se retourne sur elle-même les deux mains sur le sexe, en enlève une, puis la seconde et sa vulve entièrement dépourvue de poils apparaît au grand jour. La coquine s’est rasée tout le minou ! Adieu le fin duvet ! La verge de mon mari déforme son pantalon. Le connaissant, cela doit être tempête dans sa tête pour se retenir de ne pas déposer un baiser sur ce coquillage si accueillant ! Il adore tellement sucer mon minou tout lisse !
Moi-même je dois dire que je glisserai bien la langue dans cet abricot qui respire la fraicheur ! Je ne me suis jusqu’à présent jamais sentie attirée plus que cela par les sexes féminins, mais à cet instant précis, j’ai envie de découvrir la saveur de ma fille. Inconsciemment, je me mords les lèvres à l’idée de pouvoir la déguster. Elodie, ma fille, un jour Maman se désaltérera à ta source... Et j’espère bien que ton papa m’accompagnera !
La fin du numéro me tire de mon trouble. Elodie se recule de son père, sort les deux pistolets de leurs étuis, vise son géniteur et mime le tir. La musique s’arrête, elle souffle sur les armes, les fait tourner sur ses doigts et les rengaine. Je l’applaudis de toutes mes forces pour lui montrer combien elle a réalisé à la perfection son numéro. Son père, encore un peu hébété et plié en deux, est retourné sur le fauteuil et frappe lui aussi des mains. Elle lui saute au cou :
— Bonne fête des Pères, mon Papounet d’amour ! T’as aimé, c’était bien ?— Euh, oui, c’était... surprenant ! lui répond-il sans trop savoir où poser ses mains.— Oh, mince j’croyais que t’aurais aimé plus que ça ! — Non, non, c’était super ! Vraiment ! T’es vraiment très jolie ma chérie ! j’ai vraiment de la chance d’avoir une fille comme toi !
Ça y est, mon mari reprend de l’assurance. Je les écoute commenter sa prestation pendant que j’observe ses mains se poser sur la croupe de notre fille. Il caresse tendrement ses formes, montant et descendant doucement le long de ses fesses. Elle, est à califourchon sur ses genoux et oscille imperceptiblement du bassin en parlant. S’il n’y avait pas un pantalon entre les deux, je crois que la tige de mon mari serait déjà bien au chaud dans l’antre de sa fille ! L’idée me plaît !Avec joie il lui donne son plein accord pour toutes ses futures représentations : anniversaires, noëls, réveillons, Pâques, 1er mai, 14 juillet... Je crois qu’on n’a pas fini d’admirer sa jolie petite chatte ! Je me sens coupable de devoir interrompre leur belle entente pour passer à table. Quand mon mari se lève, je distingue une tache humide sur son pantalon :— Dites-moi mon beau Monsieur ! Cette tache est-elle de vous ou de Madame votre fille ? Haha ! Allez, dépêche-toi d’aller te changer, ta journée n’est pas finie !
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