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Je suis resté bouche bée

Chapitre 1

Zoophilie
Je m’appelle Sofiane, j’ai vingt-cinq ans et je travaille pour mon compte dans le nettoyage de terrasse, de piscine, et quelques fois, je nettoie les vitres chez des particuliers.
Aujourd’hui, en ce mardi matin, j’ai rendez-vous dans une maison bourgeoise en périphérie du centre-ville. C’est une cliente régulière qui me demande d’effectuer des prestations tous les mois, je ne la connais pas vraiment, car lors de mes interventions, elle n’est pas présente. Il n’y a que sa gouvernante, et quelque fois sa fille de dix-neuf ans qui est dans le domicile. Mais je ne la vois que très rarement.
Il est neuf-heure, je sonne à l’interphone, puis je rentre avec mon véhicule de société. Je salue Monique la gouvernante. C’est une femme plutôt belle, elle doit avoir la cinquantaine, toujours bien habillée, et maquillée. Elle porte souvent des chemisiers ou des hauts qui montrent le haut d’une poitrine généreuse. Elle est attirante, mais sans plus.
Soudain dans l’ombre, je vois une masse noire s’approcher de moi, c’est un jeune griffon de deux ans, il est un peu tout-fou, et me fait un peu peur à vrai dire. Je lui tends la main, il ne semble pas très agressif, mais je me méfie quand même. Monique me dit de ne pas m’inquiéter, car c’est le chien de Valentine, la fille de la propriétaire des lieux.
Celle-ci sort précipitamment de la chambre, vêtue de son pyjama, il est assez classique d’ailleurs, puisqu’il s’agit d’un jogging, et d’un débardeur un peu ample. Elle tente de calmer la bête, et à ma grande surprise, elle embrasse le chien sur la bouche, ce dernier ne se prive pas pour lui rendre la pareille avec des coups de langue désordonnés. Je trouve ça dégoûtant au point d’en avoir des nausées.
Monique me propose de boire un café avant de démarrer ma prestation, par politesse, je ne refuse pas, puis après cinq minutes de discussion, je me presse pour effectuer la prestation du jour. Il faut nettoyer la terrasse de la piscine.Je prépare mon matériel, et comme d’habitude, la gouvernante va effectuer du repassage. Elle semble dépiter par la répétition de son activité, mais c’est la vie comme elle le répète souvent.
De mon côté, je prépare mon appareil, qui est un nettoyeur haute pression, je fais mes branchements électriques, et d’eau. Je me mets en claquette puis je commence mes allers-retours sur les planches. Au bout de deux heures, je me pose cinq minutes sur une des chaises du salon d’été, fume ma cigarette, et jette un regard sur les vitres du grand salon afin de voir si elles sont sales.
Et je manque de m’étouffer en voyant ce que je vois. Valentine est posée sur le canapé, joue avec son chien, et quelques fois l’embrasse sur la bouche. Celui-ci ne se fait pas prier puisqu’il renvoie cet amour à sa manière. Visuellement, je vois aussi qu’il prend beaucoup de plaisir puisque son membre est en érection.
Dans un premier temps, je me dis que les caresses sont d’une douceur extrême d’où cette réaction. Mais je suis vite sorti de cette utopie, lorsque la jeune fille prend en main le sexe de son chien et commence à le masturber.
Je reste, bouche bée, c’est la première fois que je vois un acte, disons-le de zoophilie. Je continue de regarder à travers la vitre, mais d’une manière un peu plus discrète, et surtout dans un coin un peu plus clair. Valentine continue de masturber son chien, elle alterne entre mouvements rapides et lents à la fois.
Celui-ci semble prendre du plaisir, je l’entends couiner. Je me dis clairement, que ce dernier va jouir et l’affaire sera terminée. Mais une fois de plus, je me trompe totalement, puisque la jeune femme enlève son jogging. Apparaît alors un sexe complètement épilé. Je reconnais qu’elle est très belle nue.
D’ailleurs, ma verge ne se trompe pas en voyant cette image puisqu’elle commence à prendre forme dans mon pantalon. Pendant ce temps, le griffon glisse sa tête entre les jambes de Valentine, elle doit prendre énormément de plaisir. De là où je suis, je vois clairement la langue du chien parcourir les lèvres de ce vagin.
Les coups sont saccadés. La jeune femme se relève, elle positionne le chien sur le côté, et lui fait une fellation. Il semble juter à chaque va-et-vient ce qui ne semble pas dégoûter sa partenaire. Après avoir pratiqué cette activité, Valentine se positionne à quatre pattes sur le canapé, remue un peu ses fesses tout en se caressant le clitoris.
Le griffon positionne sa tête entre ses fesses, donne deux trois coups de langue puis monte sur sa partenaire d’un coup. Il essaye d’entrer dans le puits du plaisir, ses gestes sont désordonnés, c’est alors que la jeune femme saisit le membre de l’animal pour le positionner à l’entrée du vagin. Il donne un premier coup de bassin, et perfore les entrailles de Valentine qui pousse un cri strident dans la pièce.
Le chien reste bloquer comme ça pendant dix minutes, puis entreprend de faire des va-et-vient dans le vagin cette dernière. Sans doute inquiète par le bruit, Monique est arrivée dans l’entrée de la pièce, et a fait demi-tour quasiment aussitôt en voyant le spectacle qui lui était offert. D’ailleurs, personne ne s’est aperçu de sa présence.
Toujours est-il que le griffon continue de bourrer ce puits d’amour avec passion. La jeune femme continue de prendre du plaisir, son visage est rouge écarlate, et son vagin crache à chaque coup de butoir une sorte de liquide blanchâtre. J’ai des hauts le cœur en voyant ça.
Après une bonne demi-heure, l’accouplement se termine, le chien s’allonge sur le tapis, et la jeune femme lui offre une dernière fellation d’anthologie puisque ce dernier gicle une quantité incroyable de sperme. En se relevant, je croise le regard de Valentine, ses yeux semblent sortir de leurs orbites, et pose son doigt sur la bouche en me demandant de faire le silence.
Quand tout à coup, j’entends un bruit de pas sur la terrasse de la piscine, c’est Monique qui vient à ma rencontre. Elle pose sa main sur mon épaule, je sursaute, et manque presque de tomber. J’essaye de retrouver mes esprits, malgré une érection bien visible. Le silence est pesant, je ne sais pas quoi dire, ni quoi faire. Puis je bégaye, disant que je suis désolé, que je n’aurais pas dû.
Elle pose sa main sur ma bouche, et me dit le plus tranquillement du monde que ce que je viens de voir ne doit pas être raconté à qui que ce soit. Toujours en bégayant, je lui dis qu’il n’y a aucun souci.
Cette dernière m’offre un baiser langoureux, nos salives se mélangent, nos langues jouent, je suis surpris de ma réaction, mais je me laisse malgré tout emporter dans cet élan de tendresse. Elle me propose de revenir le lendemain, et s’expliquera avec son amie, la propriétaire des lieux, sur le pourquoi du comment…
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