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Je suis resté bouche bée

Chapitre 3

Zoophilie
Nous bégayons, nous essayons de trouver des excuses toutes les plus ridicules les unes que les autres. Mais rien n’y fait, le regard de la jeune femme est assez noir, elle nous passe un savon.
Elle nous dit que ce comportement est inadmissible, que l’on n’a pas à se comporter de la sorte sur son lieu de travail. Monique a les larmes qui lui montent aux yeux, tente de lui expliquer son vide sentimental, qu’elle s’est laissé embarquer sur le bateau du désir et de l’envie, que cela faisait cinq ans qu’elle n’avait pas ressenti autant de plaisir.
Valentine comprend, elle le dit, mais trouve honteux de faire ça ici. À mon tour, j’interviens, je lui dis que nous l’avons vu l’autre jour avec son chien en train de faire un acte de zoophilie, et que nous devons faire un pacte du silence. Cette dernière me lance un regard interrogateur qui veut tout dire.
Elle me fait clairement comprendre qu’il n’y a pas de négociation possible, et qu’elle va organiser avec ses parents un repas pour régler cette affaire au plus vite. Je ne sais pas où me mettre, j’essaye de consoler Monique, mais rien à faire la tension est palpable, au point même que le chien grogne un peu.
La jeune femme s’éloigne, dans ce laps de temps, on essaye de se rhabiller tant bien que mal. Monique a peur, et je dois avouer que je ne me sens pas forcément bien non plus. Après un quart d’heure, Valentine revient d’un pas décidé, elle nous informe que nous aurons rendez-vous demain soir à dix-huit heures trente, ici même dans la maison bourgeoise.
Avec Monique, nous sortons de la maison, personnellement, j’ai un goût amer dans la bouche, et une boule dans l’estomac. Je propose à cette dernière de la ramener chez elle, et lui demande si j’ai la possibilité de me doucher avant de retourner à mon domicile. Elle ne refuse pas.
Après une demi-heure de route, nous sommes arrivés à sa maison. Nous prenons un rafraîchissement, puis nous nous douchons ensemble. Nous nous caressons, nous nous embrassons, mais nous n’irons pas plus loin. Il est aux alentours de quatorze heures, je vais faire mon deuxième chantier de la journée, puis je vais rentrer à la maison.
J’ai donc fait les vitres de la petite dame. L’esprit troublé. Puis je suis rentré à la maison. Anissa est rentrée comme d’habitude à dix-sept heures trente, nous nous sommes embrassés, puis nous avons passé une soirée très calme.
Pendant la nuit, je me suis demandé comment j’allais sortir de cette histoire, j’ai eu du mal à m’endormir.
Il est maintenant sept-heures du matin, le réveil sonne, je bois mon café, et part faire mon chantier du matin. Je prends ma pause déjeuné, puis je termine ma journée sur un nettoyage de vitres dans une agence bancaire. Je rentre aux alentours de seize-heures, m’apprête de façon à être le plus présentable possible pour le fameux repas, puis envoi un message à Anissa pour lui dire que ce soir je suis en négociation pour un contrat avec un client.
Elle me répond qu’il n’y a pas de souci. Il est dix-huit heures, je propose à Monique que l’on se retrouve ensemble devant le portail de la maison bourgeoise, comme ça nous entrons ensemble. Elle accepte. Nous sommes pile-poil à l’heure, je sonne. Et nous entrons dans le jardin en direction de la maison.
La propriétaire des lieux nous attend sur le perron de la maison. Elle nous tend la main pour nous saluer, puis nous invite à la suivre dans son bureau. Son mari est présent, en compagnie de Valentine. On pourrait se croire au tribunal. Madame De Gonzac prend dans un premier temps la parole, et cite les faits qui nous sont reprochés.
Nous acceptons sans sourciller les remarques, puis nous présentons nos excuses. Monique explique brièvement son attitude, elle avait le besoin de ressentir de la passion, du désir, de l’envie. Monsieur m’interpelle quant à lui sur l’utilité de mon acte, je bafouille quelques mots, lui expliquant que le désir était très fort et que j’ai eu du mal à résister. Il me balance alors une réflexion troublante, en m’indiquant qu’avec une compagne comme Anissa, je ne devrais pas forcément être attiré par une autre femme, que cette dernière est resplendissante. Je lui dis qu’il n’en sait rien, qu’il ne connaît pas ma vie, puis me répond avec un sourire narquois qu’il connaît très bien le salon d’esthétisme dans lequel elle travaille. Qu’il s’est renseigné avant d’organiser cette réunion.
Je rougis, et dans un élan de colère lui balance que sa fille couche avec le chien. Qu’elle a effectué un échange corporel avec celui-ci devant nos yeux sans demander son reste. Et sa réponse me glace tout autant, en m’indiquant qu’elle est chez elle, et qu’elle fait ce qu’elle veut avec qui elle veut.
Madame De Gonzac apprenant la nouvelle balance à sa fille qu’elle doit tout de même se tenir beaucoup plus correctement lorsque des prestataires de service sont présents dans, ou autour de la maison. Elle prend alors une décision qui va me surprendre, puisqu’elle ne sanctionne ni Monique, ni moi-même. Elle fait savoir à son mari, qu’il y a des choses qui ne peuvent pas sortir des murs de cette maison.
Celui-ci accepte, je perçois cette nouvelle comme une petite victoire, je suis plutôt rassuré. Puis, nous nous dirigeons en direction du fameux salon ou tant d’histoires ont eu lieu. Je fais par la même occasion, un sourire forcé à Valentine qui se retrouve humilié par la décision de sa mère.
Nous prenons un apéritif, puis nous dînons ensemble. Les discussions vont bon train, Monique semble aussi rassurer, puis nous voyons arriver non pas un, mais deux griffons. Celui qui a deux ans, le fameux, puis un deuxième qui doit avoir six ans. Monsieur De Gonzac est excédé par cette apparition. Il se met dans une colère noire expliquant que les animaux n’ont rien à faire autour de la table.
Madame, quant à elle, réplique en disant qu’eux au moins sont fidèles à leurs maîtresses. Cette phrase crée un choc dans ma tête, je crois comprendre le pourquoi du comment, et en regardant Monique dans les yeux, elle semble avoir le même avis.
Son mari qui semble être un sanguin, sort de la pièce, et claque la porte. Les deux femmes de la maison s’excusent de ce comportement. Valentine va chercher le dessert dans la cuisine, et le jeune griffon ne manque pas de la suivre à chaque pas, voir même à glisser sa truffe sous la jupe de cette dernière.
A ce moment-là, je sens quelque chose qui me fait des chatouilles au tibia, dans un premier temps, je regarde Monique, qui réplique par une interrogation. Je fais de même avec Madame De Gonzac, ses yeux sont fermés, et elle se mord la lèvre inférieure.
Discrètement, je glisse la tête sous la table, et je m’aperçois que le griffon qui a six ans est la cause de cette réaction. Sa tête est entre les jambes de cette dame, et doit certainement laper les lèvres de cette dernière. Je me redresse au-dessus de la table et vois la présence de Valentine. Elle me dit de ne pas me gêner. Madame De Gonzac ouvre alors les yeux, me regarde avec un sourire, et me demande si je veux voir de plus près.
Sa fille grogne de colère, mais se fait aussitôt calmer par sa mère. J’essaye de faire le mec confus, mais je sais très bien au fond de moi que je veux désormais voir une scène zoophile de plus près. Elle se lève, par en direction du canapé, s’assoit en soulevant sa jupe, puis invite le chien a continué ses préliminaires.
Celui-ci n’hésite pas une seconde, et va chercher le jus du désir. Avec Monique, nous nous asseyons sur les fauteuils qui font face à cette scène. La femme semble prendre un plaisir énorme, et nous invite à nous rapprocher. Ce que nous faisons d’un pas hésitant.
Effectivement, la langue du chien entre dans le puits d’amour avec une aisance incroyable. Ce dernier est en érection, Madame De Gonzac s’en aperçoit, et l’invite à monter sur le canapé. Il se met sur le dos, et elle lui fait une fellation. Le chien couine, semble heureux de sentir ce désir, ce plaisir.
De son côté Valentine est rouge de colère, elle grogne, souffle, mais sait bien que cette scène lui fait des picotements de désir dans le bas de son ventre. Dans le même temps, le griffon qui est plus jeune, a déjà la truffe sous sa jupe. D’ailleurs, ses jambes vacillent, elle est obligée de s’asseoir sur le fauteuil, elle écarte les jambes, et ce dernier plonge la tête la première en direction de son vagin qui n’était pas protégé par un sous-vêtement visiblement.
Avec Monique, nous sommes là, entre ces deux scènes extrêmes. Madame De Gonzac a enlevé sa jupe, et son bustier, elle est entièrement nue, elle est d’ailleurs très belle, comme sa fille. Elle se positionne dans un premier temps sur le dos, le chien glisse une dernière fois sa langue entre les lèvres de cette dernière, puis se positionne pour la pénétrer.
Il semble beaucoup plus expert dans cette pratique, il fait des mouvements saccadés, puis commence à gicler une espèce de liquide blanchâtre. La femme se positionne à quatre pattes et le griffon connaissant visiblement très bien cette action se prépare à monter sa partenaire. De son côté, Valentine est déjà en train de se faire saillir par le jeune chien. Cette dernière ne semble pas satisfaite du traitement qui lui est réservé et m’invite à la rejoindre. Je refuse, je ne veux pas la pénétrer de la sorte alors que l’animal vient de déverser sa semence.
Monique essaye de m’attirer vers elle, caresse ma verge qui est dure comme de la pierre à travers mon pantalon, qu’elle enlève assez rapidement. Elle m’offre une splendide fellation dont elle a le secret. J’en ferme les yeux, au moment de les ouvrir, je vois une autre paire de lèvres s’activer sur mon membre.
Elles appartiennent à Valentine. Elle suce divinement bien. Monique de son côté, fait de même avec le jeune chien qui reprend vite de la vigueur, je suis surpris par son action, et elle me renvoie un clin d’œil malicieux.
Mon membre est à l’apogée de sa forme physique, et dans un élan de perversité, je soulève Valentine, la penche en avant sur la table du salon et commence à lui faire une levrette. Je la prends sauvagement, je ne ménage pas mes efforts. Madame De Gonzac de son côté, vient de se faire saillir par le chien qui est plus âgé, celui-ci s’allonge dans le fauteuil libre, et commence à ronfler comme un cochon.
Elle nous rejoint sur la table, et tend ses fesses. C’est à ce moment-là, que le mari de cette dernière entre dans la pièce, manque de s’étouffer devant la scène qui s’offre à lui. Il est dans une colère monstrueuse, me regarde droit dans les yeux, et me dit que la vengeance sera terrible.
Sa femme se redresse, lui administre une claque monumentale, et lui dit d’aller retrouver ses chiennes, ce sont ses propres mots. Visiblement, ce dernier a tendance à tromper cette dernière. On entend alors une voiture partir en trombe en direction de je ne sais où…
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