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Je suis soumise et ça m'attire des problèmes

Chapitre 2

Comment ma vie a changé

Trash
Salut à tous, je suis de retour ! Je tiens à vous dire que les situations que je décris sont évidemment du domaine de mon fantasme. J’aimerais les vivre au fond de moi, mais j’ai la tête assez sur les épaules pour évaluer le danger qu’elles pourraient représenter à plusieurs niveaux, et je me contente donc de vous les relater en y prenant au moins la moitié du plaisir.
—-------
Bon, maintenant que vous me connaissez, j’ai énormément de choses à vous raconter. Mais il faut que je commence par vous parler de l’événement qui a définitivement changé ma vie il y a de ça un peu plus de deux ans.A cette époque, j’avais 26 ans et j’étais déjà dans la police depuis 4 ans. En toute honnêteté, je pense qu’à part quelques débordements, je faisais bien mon boulot. Cela dit, je ne pouvais pas être certaine que ce n’était que grâce à ça que j’avais eu mes quelques promotions. Je sais bien que mon chef appréciait la manière dont je l’appelai "Monsieur le commissaire", mais il devait aussi être bien satisfait par mon travail. Bref, cela m’avait permis de sortir un peu du quotidien des patrouilles, contrôles, interventions... J’assistai un inspecteur sur certaines enquêtes lorsqu’il en avait besoin.
Ma vie personnelle était épanouie sur tous les points, ou presque. Mon mari Sylvain, que j’avais épousé très jeune malgré ses 6 ans de plus, m’offrait une vie plus que parfaite. Seul bémol, s’il en est, il était beaucoup trop gentil. A tel point que même s’il ne savait rien de mes aventures, je crois que s’il venait à l’apprendre, il ne m’en voudrait pas. Ca m’allait, évidemment, mais j’avais besoin d’autre chose et je le sentais. La vie qu’il nous offrait ne m’aurait jamais été permise avec mon modeste salaire, certes, mais ça avait un prix sur sa présence au quotidien.
Bref, revenons-en à nos moutons. Si ma vie a changé drastiquement à cette période, c’est à cause d’un événement vraiment inattendu. Il était presque minuit et alors que je rentrai d’un shift de nuit, je fus surprise par la présence de mon homme à la table de la cuisine, l’air accablé.
— Bonsoir mon chéri, tu ne dors pas ?— J’ai reçu une nouvelle et j’ai du mal à dormir, je t’attendais...
Alors qu’il finissait sa phrase, il tourna l’ordinateur portable posé sur la table face à moi, un e-mail ouvert sur l’écran :
"Monsieur Sauthier,comme vous le constaterez en annexe, nous avons été mis au courant de différents agissements répréhensibles de votre part ces dernières années. Aussi, dans le but de vous épargner une bonne quinzaine d’années de prison ainsi que d’innombrables peines autour de vous, nous vous demandons d’assurer le respect des règles ci-dessous :1/ Gardez cet e-mail à votre seule connaissance, sans quoi nous ne pourrions garantir le secret de ces informations.2/ Ne répondez pas3/ arrangez-vous de la manière que vous le souhaitez pour que votre femme, Alexandra Sauthier, se rende au "Casino Central" demain à la fin de son horaire de travail que nous savons être 23h. Seule, elle demandera à rejoindre la partie privée "Cours du soir".
Si ces trois points n’étaient pas scrupuleusement respectés demain à minuit, nous ferons suivre les documents en annexe à qui de droit.
Dans l’attente, meilleures salutations..."

La simple lecture de ce mail m’avait fait frissonner. Une demande aussi aimablement maquillée restait un ordre et cela avait le don de me toucher immédiatement. Plus encore lorsqu’il me concernait.
En pièce jointe, j’ouvrai rapidement plusieurs documents qui ressemblaient à des transferts bancaires et à voir la tête de mon mari. je n’avais pas besoin de mener l’enquête pour comprendre qu’ils étaient extrêmement problématiques pour lui et donc pour moi.
— Ce sont des vieilles histoires... et...— Tu n’as pas besoin de m’expliquer, j’irai régler cette plaisanterie demain soir.
Je fermai le laptop sèchement et tournai les talons. Il était déjà minuit et après quelques banalités pour éviter de parler du "problème", nous allions nous coucher.
La journée du lendemain se déroulera aussi normalement qu’une journée de travail pouvait se dérouler. La seule différence notable fut à l’heure de la fin de mon service où j’allai me changer. Au lieu de partir en jeans et baskets comme à mon habitude, j’avais dû opter pour une tenue plus adéquate pour le Casino Central, une robe de soirée rouge serrée, pas décolletée du tout, mais plutôt courte et des talons de 12 bons centimètres. Mon look me valut les remarques attendues des quelques derniers collègues du commissariat qui faisaient la nuit à mon départ.
— Bonne soirée, les gars, ne vous endormez pas !
Je me rendis sans attendre jusqu’au casino, je savais que j’avais un compte à rebours enclenché et je ne voulais rien risquer. A l’entrée, personne n’attendait devant moi et je pus présenter mes papiers immédiatement.
— Bonsoir Monsieur, voici...
(Quel sentiment étrange, moi qui avais l’habitude de demander des identités plutôt que de présenter la mienne...)
— Ah, Madame Sauthier, on vous attendait. Vous avez une soirée prévue, c’est exact ?— Tout à fait, j’ai un cours du soir"..." lui souriais-je calmement.— Suivez-moi, Madame.
Accompagnée du gars de l’accueil, je traversai une bonne partie du casino... machine... table de jeu... jusqu’à un couloir en fond de salle avec différentes salles fermées. L’homme frappa à l’une d’elles et m’entrouvrit la porte avant de rebrousser chemin.
— Excellente soirée, Madame.
Je poussai légèrement la porte et m’engagea. Mon premier pas dans cette salle romput le silence par l’impact de mon talon sur le sol, alors que je m’avançais doucement pour prendre la mesure de mon environnement. Il s’agissait d’un luxueux salon avec une table de roulette à laquelle seul un croupier se tenait, attendant d’éventuels joueurs. De l’autre côté à quelques mètres, une table basse entourée de deux fauteuils et un canapé. Un homme se tenait dans un fauteuil, dos à moi, alors que deux autres se trouvaient sur le canapé, directement en face de l’entrée, et me fixait. Une bouteille de whisky à moitié entamée et les trois verres posés sur la table en verre étaient le signe que l’apéro ne m’avait visiblement pas attendu.
L’homme dans le fauteuil finit par se déployer avant de se retourner vers moi. Il devait bien faire 2 mètres et sa carrure en se relevant m’avait quasiment subjuguée. (Mon Dieu !) Je ne mis qu’une seconde à me rendre compte que je le connaissais quand il se retourna vers moi.
— Brigadière Sauthier, je vous attendais ! Venez seulement...
Dans le même temps, il faisait un signe de tête aux deux hommes sur le canapé, qui se levèrent aussitôt avant de filer discrètement. Serait-ce le mal alpha ?
— Venez, venez... continuait-il en sortant un verre du tiroir sous la table basse, le remplissant à un tiers de whisky avant de me le tendre.— Merci...— Je sais, je sais, vous me reconnaissez et vous devez enfin vous imaginer pourquoi vous êtes là...— A vrai dire... non.
J’en profitai pour m’asseoir sur le canapé après avoir contourné la table, puis croisé mes jambes par réflexe.
Il faut que je vous en parle maintenant, ce mec était Igor Krechko. Un type "connu" pour être à la tête d’une organisation pas très recommandable. Au boulot, on n’avait jamais eu moyen ni de l’accuser de quoi que ce soit, mais encore moins de le prouver, raison pour laquelle il était tranquille. Seul problème pour lui, un concours de circonstances dans une affaire d’accident de la route l’avait fait virer en enquête criminelle. J’avais été mise sur le coup et j’avais participé à lui faire écoper de 2 ans de prison en prouvant son implication... qu’il n’a évidemment pas purgée au prix d’une belle caution.
— Tu sais, tu m’as coûté cher, Alexandra.
Il commençait à me tutoyer et semblait bien me connaître, ce qui était doublement mauvais signe.
— D’abord pour sortir... puis pour te retrouver.— Mais quel est le rapport avec moi, ou mon mari ?— C’est simple, je vais me rembourser. Tu m’as couté près de 4 millions avec nos petits démêlés, et je te fais grâce des frais pour te trouver. Je suis un homme d’affaires, il faut que j’y trouve mon compte.— Quatre mill...—... Millions oui. Sachant que ton mari ne les a pas, même avec ses magouilles, et toi encore moins... il va falloir que tu bosses.— Je bosse ?— Tout à fait, et vu ton passif, tu vas devoir empiler les jobs.— Mais vous rêvez, je vais pa...— Ta gueule ! Tu crois qu’on fait affaire ? T’as l’argent là? Non ? Alors tu écoutes, tu exécutes, tu la fermes...
(Oh... vous m’imaginez dans la situation...)
—... Tu as déjà de la chance, tu peux être utile. Si tu es efficace et obéissante, tu m’auras remboursé dans une quinzaine d’années. Mais pour ça, il faudra que tu y mettes du cœur et que tes informations soient utiles. T’utiliseras ton boulot pour me renseigner quand j’en aurai besoin. On se verra aussi souvent que nécessaire... Oh, et tu seras ma pute.— Ma pu...— Ma pute, ouais. Ma chienne. T’as pas compris quelque chose ?
Je restai stupéfaite par sa manière de dire les choses, bouche bée...
— Mais... vous êtes dingue, jamais je...— Jamais ? Jamais quoi ? Je peux te jurer que tu vas faire tout ce que je te demande à tous les niveaux. Tu vas d’ailleurs prouver ton obéissance maintenant même, en descendant du canapé et en venant jusqu’à moi à genoux, n’est-ce pas ?
(Ma parole, comment c’était possible d’être autant excitée dans une situation pareille, j’en avais vraiment envie...)
— Oui, Monsieur Krechko, bien sûr... lui dis-je doucement tout en me mettant à genoux pour le rejoindre à quatre pattes.
Arrivée à son niveau, il me regarda de haut. Même assis dans son fauteuil, il m’était imposant. Là, il se pencha pour attraper son verre sur la table et posa son autre main sur ma tête.
— C’est très bien ma petite, tu es magnifique comme ça, dans ta position naturelle.
Effectivement, ainsi à quatre pattes devant le fauteuil d’un homme assis, un verre à la main, je devais vraiment envoyer une image représentative de ce que j’étais au plus profond de moi. D’ailleurs, je constatai du coin de l’œil que le croupier, toujours présent à sa table de roulette, n’en ratait pas une miette.
— Voilà ce qui va se passer Alexandra : ouvrir mon pantalon, sortir ma queue et me pomper jusqu’à en avoir mal à la mâchoire. Quand tu n’en pourras plus, je vais te baiser la gorge jusqu’à éjaculer directement dans ton estomac pour marquer mon territoire. Quand tu auras fini, tu pourras partir directement.
(Oh que ce programme me plaisait, j’espère que c’est bien ce qu’il va faire !)
Comme seule réponse, j’ouvrai sa braguette, selon sa demande. Je crois qu’il voulait me vexer, malgré la situation, il bandait à peine. Heureusement, d’ailleurs, car son engin était proportionné au bonhomme: impressionnante. J’avais l’air petite à côté de sa bite à moitié au repos. Peu importe, je m’empressais de commencer à lui lécher le gland, le regardant d’en bas. Il grossissait doucement et avant de ne plus le pouvoir, je tentai de le rentrer dans ma bouche. Igor en avait profité pour sortir son téléphone portable et le pointait vers moi, je ne savais pas s’il filmait ou prenait des photos, mais il valait mieux que je ne dise rien. A la place, je tentai d’enfoncer plus profondément son membre dans ma gorge, mais c’était physiquement impossible de lui faire passer ma luette, alors je commençais des mouvements de va-et-vient sur sa tige désormais dure, mais à peine un tiers dans ma bouche.
Après plusieurs minutes de séance photos, je commençais effectivement à avoir mal à la mâchoire et je baissai de rythme. Il le remarqua et se leva de son fauteuil, alors que j’étais toujours à genoux. Sa queue pendante était impressionnante et dans cette position, je pouvais constater qu’il avait de quoi me baiser jusqu’à l’oesophage tellement il était gros. Ainsi debout, sa cuisse était quasiment de la taille de mon torse, c’était saisissant. A nouveau, il pointait le téléphone vers moi.
— Dis bonjour, présente-toi et explique ce qui va se passer maintenant.
Je souriais à la caméra, à genoux devant lui, toujours vêtue de ma robe de soirée et mes talons.
— Je suis la brigadière Alexandra Sauthier, la petite pute d’Igor Krechko. Je viens à l’instant de le sucer du mieux que je le pouvais jusqu’à n’en plus pouvoir. Maintenant, il va me baiser la gorge jusqu’à marquer sa petite salope comme son territoire définitivement.
D’une main, il me fit pencher la tête en arrière et tirer la langue. Avec quelques difficultés, il entra son gland dans ma bouche jusqu’à bloquer et fit quelques mouvements de va-et-vient. Il semblait découvrir les lieux, chercher son passage préféré. De mon côté, je le sentais s’impatienter et ses mouvements devenaient moins maîtrisés. J’avais quelques difficultés à retrouver mon souffle quand tout à coup, il réussit à forcer le passage, traversa ma gorge et m’empala jusqu’à la garde. J’étais tellement surprise que je n’eus aucune réaction. Jamais je n’avais été ainsi traversée. Ses couilles frottaient mon menton et j’avais l’impression que son gland était au niveau de mon nombril. Il me sourit, l’air satisfait et jeta le téléphone sur le fauteuil pour libérer sa seconde main. Ainsi, il me saisit bien la tête et ressortit doucement. Après quelques secondes, il entra à nouveau brusquement au fond de son passage nouvellement découvert.
Sans autre forme de procès, il entama des mouvements sauvages d’aller-retour calés entièrement dans ma gorge. Je n’avais même pas la place de déglutir ou de m’étouffer tant il occupait de place. Jamais je n’avais eu ce sentiment aussi exquis d’appartenir à quelqu’un. Il était à mon sens parfaitement normal qu’un homme tel que lui puisse se servir d’une femme comme moi à sa guise. Le croupier, qui regardait toujours la scène du coin de l’œil, pouvait en témoigner de son point de vue. Une femme se faisait littéralement ouvrir en deux par la gorge devant lui et il ne bougeait pas, il faisait partie des gens qui comprenait la logique des choses. De mon côté, je ne pouvais plus du tout respirer dans cette position, mais heureusement, ce rythme démesuré ne dura qu’une vingtaine de secondes avant que je le sente véridiquement exploser en moi dans des râles d’un monstre agonisant. Son sperme se logea directement en moi et je le sentais couler à l’intérieur, c’était démentiel.
Une fois vide, il se retira entièrement de moi et je pus enfin reprendre de l’air, toussant difficilement. J’étais marquée. Et à lui.
Alors qu’il tomba en arrière dans son fauteuil, je me relevai. Après quelques réajustements d’usure, je devais encore probablement avoir mauvaise mine, mais je traversai la pièce jusqu’à la sortie. En ouvrant, je me retournai vers le croupier qui tentait de rester impassible.
— Bonne soirée, Monsieur.
Je traversai le casino ainsi, espérant que rien ne soit remarqué par personne alors qu’au fond de moi, je sentais encore le sperme chaud de mon maître, qu’il avait décidé par lui même de loger directement dans mon ventre. Personne ne le savait, mais moi si. Arrivée à ma voiture, je fis rapidement le chemin jusqu’à chez moi alors qu’il était déjà presque une heure du matin. Je m’apprêtai à sortir de la voiture lorsque mon téléphone vibra:

[SMS, Numéro Inconnu]— Cette nuit quand tu rentres, allonge-toi directement contre ton mari et dors profondément Alexandra. Quand tu te réveilleras demain matin, tu devrais sentir comme un petit goût dans ta bouche, celui à qui tu appartiens. Tu réveilleras doucement ton mari et tu l’exciteras au maximum. Lorsqu’il sera très très excité, tu t’arrêteras, et tu lui montreras la vidéo. Attention, si tu ne le fais pas, je le saurai. Bonne nuit.
[SMS, Numéro Inconnu]— video.mp5
J’ouvris la vidéo rapidement, vous vous doutez bien de ce que c’était.
Merde, dans ces conditions, ça allait rapidement devenir compliqué. Heureusement, la nuit porte conseil. Je rentrai le plus discrètement du monde à l’intérieur de la maison et me contentai d’ôter ma robe et mes talons, avant de me glisser sous les draps, seulement vêtue de mes sous-vêtements rouges assortis.
Ma vie avait définitivement changé ce soir et elle dure depuis deux ans maintenant, mais il faut que je vous explique ce qu’il s’est passé entre temps pour en être où j’en suis. Et tant d’autres choses... Bref. Je fais ça aussi vite que possible, mais il faut absolument que je vous quitte maintenant, je suis déjà en retard pour mon rendez-vous chez le gynéco.
Alexandra
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