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Je suis timide, mais je me soigne

Chapitre 6

Orgie / Partouze
En attendant la fin de semaine prochaine, nous rentrons à la maison.  Valérie, maman et moi passons toutes nos nuits ensemble à faire l’amour. Elles ne se lassent pas de ma queue, elles ont toujours envie de l’avoir en elles.  Quelques fois maman ou Valérie me présente une « amie » pour faire une partie à trois. Souvent ces amies reviennent  avec leurs filles, après leur avoir dit : 
- Tu connaitras rarement des bites aussi grosses. 
Je baisse les mères pendant que maman ou Valérie prépare les filles à recevoir une queue de bon diamètre, elles n’ont pas de mal car dans la plupart des cas les filles se sont données à leur mère avant de venir me voir.  Il m’est arrivé d’en dépuceler, mais c’est très rare que les filles n’aient pas gouté quelques bites avant. Un soir Valérie, alors que nous étions que tous les deux (cela arrive, maman devait être occupée avec un amant), sort son Smartphone pour faire une photo de ma queue bien grosse et raide en me disant : 
— Je vais la montrer à mes amies, certaines seront intéressées. 
La fin de semaine arrive et nous nous retrouvons à l’auberge, nous arrivons les derniers, une bonne vingtaine de personnes sont déjà là.  Lucienne et Maurice nous reçoivent, évidemment Valérie et maman se sont mises en robes, bas et porte-jarretelles puisqu’elles savent pourquoi elles ont été invitées.  Maurice vérifie néanmoins qu’elles n’ont pas de culotte et comme maman en a mis une, elle est vite retirée.  La moyenne d’âge de personnes invitées est sensiblement de l’âge de ma mère, c’est-à-dire du double du mien environ quarante ans, à part certaines femmes qui sont plus jeunes.  L’apéritif ait servi par Aurélie, elle n’a pas mis de soutien-gorge (elle n’en a pas besoin), les hommes ne se gênent pour lui caresser les fesses à chacun de ses passages. 
Nous sommes tous debout, je prends un whisky et me trouve à côté  d’une femme qui pourrait être ma grand-mère, mais cela ne me dérange pas pour lui passer la main aux fesses sous sa robe, elle écarte les jambes pour me laisser  caresser sa chatte qui est déjà toute trempée. Visiblement son mari s’en est occupé et elle est là pour baiser.  Le diner se passe bien, je devrais plutôt dire le buffet, des tables à notre disposition mais nous devons aller nous servir.  Les femmes passent à tour de rôle sous les tables pour sucer toutes les bites sorties, nous ne savons pas qui nous suce mais cela fait grossir nos queues.  Le dîner se termine et enfin nous baisons. J’ai remarqué une fille d’environ mon âge, tout naturellement je la drague en sachant pourquoi elle est là. Elle est très jolie, à mon avis elle ne doit pas manquer d’hommes, bien faite avec une belle poitrine, nous nous asseyons pour flirter un peu avant de baiser, nous nous embrassons, sa bouche s’ouvre pour répondre à mon baiser et j’introduis ma langue à la recherche de la sienne, que je trouve sans difficulté.  Je caresse sa poitrine d’une main, je la trouve très ferme, la pelote sans aucune résistance, ses mains sont plus entreprenantes que les miennes et sont déjà sur mon pantalon. 
Tout en flirtant, ma main passe sous sa jupe, bien sûr comme toutes les femmes elle n’a pas de culotte, mais une grosse queue, c’est un travesti, je m’en étais pas aperçu, mais pas très surpris. A ce moment, elle me dit : 
— Lucienne ne m’a pas menti tu en as vraiment une grosse. 
Je réponds : 
— Lucienne ne m’a pas prévenu, mais tu n’es pas mal monté aussi. 
J’appelle Valérie et maman pour leur montrer ma découverte, elles se mettent à rire. Maman sort ma queue et la  prend dans sa bouche alors que Valérie suce la queue de mon flirt.  En voyant nos énormes queues, toutes les femmes veulent nous sucer,  nous prennent dans leur bouche à tour de rôle.  Les hommes ne sont pas en reste, Maurice montre le chemin en mettant son sexe, déjà bien raide, dans ma bouche, alors qu’il passe dans la bouche de ma « copine », je prends une autre bite dans ma bouche devenue libre. Je suce toutes les bites les unes après les autres. 
Mais toutes les femmes, ma mère et Valérie comprises, veulent nos queues dans leur chatte et les hommes veulent nous baiser, il y a deux femmes de plus.  Enfin ma « copine » goute à ma queue et moi à la sienne.  La soirée n’est pas finie, Aurélie nous a regardés nous enfiler mais n’a toujours pas baisé, Maurice l’a fait pencher en avant et nous fait signe de la prendre, elle s’attend à nos grosses bites et ne bronche pas quand nous la prenons par le cul. Maurice n’a pas assisté au spectacle, il s’est absenté pendant qu’Aurélie se faisait baiser et enculer, il revient accompagné d’un gros chien.  Aurélie, en bonne experte, passe sa main sur le bas ventre du chien, il a l’habitude, se met sur le dos écarte bien les pattes arrière, nous voyons tous la queue du chien, toute rouge, sortir de son fourreau de poil.  Je suis surpris par la grosse boule qu’il a à la base de son sexe, ma « copine » m’explique que ça sert à se verrouiller à la chienne, afin que son sperme ne puisse pas couler au dehors. Lucienne dit : 
- Ce soir nous avons deux nouvelles chiennes parmi nous, elles n’ont jamais goûté à la bite d’un chien mais je suis sûre qu’elles se débrouilleront très bien. 
Je comprends qu’il s’agit de Valérie et de ma mère.  Ma « copine » me dit : 
— Ne t’inquiètes pas, à voir ce que tu leur donnes, tu es mieux monté que le chien. 
Lucienne place maman à genoux pour être à la hauteur du chien, la chatte toute coulante de ma mère est prête à recevoir n’importe quelle bite, mais Lucienne y glisse sa main toute entière, pour s’en assurer.  La robe de maman est vite levée, le chien comprend ce que l’on attend de lui et se met sur le dos de maman pour la prendre en levrette comme il l’aurait fait à un chienne.  Aurélie aide le chien à trouver le passage, une fois la bite bien entrée, elle serre la base de la boule pour que le chien pense l’avoir entrée, le chien déverse une quantité de sperme comme jamais maman en a reçu, puis elle dit à Aurélie : 
— C’est trop bon, lâches la boule pour qu’il la rentre en moi. 
Aurèlie lâche le sexe du chien qui entre sa boule dans maman, je ne l’ai jamais vu jouir autant, Valérie, qui n’a rien manqué du spectacle, attend son tour. Le chien veut se retourner et trainer maman comme il le fait avec une chienne, heureusement que Maurice à garder la laisse. Au bout d’une bonne dizaine de minutes, la boule du chien commence à diminuer de volume, il peut la sortir de maman qui n’a pas vue le temps passé, elle a tellement joui.  Le chien sort sa bite du vagin de maman avec un bruit de ventouse, il la lèche pour faire bien entrer tout son sperme dans le ventre comme il le fait avec ses chiennes pour bien les engrosser.  Valérie s’est mise à côté de maman dans la même position, elle désire être prise pour une chienne, elle aussi, surtout quand elle a vu la jouissance que cela procurai à maman.
Mais le chien, pour reprendre quelques forces, la délaisse un peu. Ce n’est que de courte durée, puisque moins de cinq minutes après, il est derrière Valérie pour l’enfiler à son tour, aidé par Aurèlie.  Je me suis fait enculer par ma « copine », qui goutait dans son cul  la bite de Maurice. A tour de rôle tous les hommes présents nous ont enculés devant les yeux de leur femme.  Nous regagnons nos chambres très tard dans la nuit, épuisés mais contents. Après une bonne fin de nuit, une grasse matinée bien méritée et avant le déjeuner, nous décidons Valérie, maman et moi de faire un tour dans la forêt toute proche pour prendre l’air et finir de nous reposer. 
Nous prenons la voiture pour faire les quelques kilomètres, nous stationnons dans un petit parking dans le bois en retrait de la circulation pour marcher un peu.  Après s’être aéré, nous reprenons notre voiture et rejoindre l’auberge pour déjeuner.  Sur le parking, une voiture à côté de la nôtre remue anormalement et attire notre attention, Valérie jette un coup d’œil à l’intérieur et voit un couple à moitié nu, elle en dessous, les jambes écartées, lui sur le dessus, ils font l’amour, Valérie appelle maman pour regarder un peu quand la fille les aperçoit, pas gênée pour autant continue sa baise et leur lance un baiser avec sa bouche.  A ce moment l’homme les voit et les invite à venir s’amuser avec eux, je n’ai rien perdu de la scène et j’ai sorti ma grosse queue pour me masturber, étant un peu en retrait, le couple ne m’a pas vu.  Maman ouvre la porte de la voiture pour se joindre à eux, c’est à ce moment que la fille aperçoit ma grosse bite, voyant les dimensions, demande à son ami d’y gouter. Maman à l’idée de les emmener à l’auberge et profiter de notre chambre.  
Nous rentrons à l’auberge et Lucienne et Aurélie nous disent : 
- Amusez-vous bien mais surtout gardez en un peu pour ce soir. 
Valérie et maman goute à une nouvelle queue, alors que moi, ayant bien sucé une jeune, belle chatte. La fille, après avoir sucé ma grosse queue (elle a réussi à me faire entrer entièrement dans sa bouche), s’assoit dessus pour se faire baiser.  J’apprends qu’elle baise avec ses parents, qu’elle baisait avec son père quand nous les avons surpris  que sa mère le sait puisque régulièrement elle partage leur lit.  Nous nous quittons et nos nouveaux « amis » nous demandent si nous sommes là tous les week-ends : 
— Seulement le samedi soir 
Et ils nous répondent : 
— A samedi. 
Nous regagnons la salle de restaurant sous les regards de Lucienne et Aurélie, qui nous disent : 
- Vous avez intérêt à vous reposer pour ce soir. 
Après le déjeuner, en attendant le soir,  la sieste pour tout le monde.  En fin de diner, maman dit à Lucienne : 
- Surtout n’oubliez pas le chien.
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