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Je suis une MILF soumise, même très soumise

Chapitre 8

Ma nouvelle poitrine 110cm G

Lesbienne
Maintenant je rentre vraiment dans ma vie de salope et de soumise.
Après mon opération d’augmentation mammaire, je dois mettre pendant trois semaines des soutiens-gorge postopératoires qui me compressent énormément la poitrine. Ma nouvelle poitrine fait un bon 110 avec des bonnets G. Je suis fière et honteuse à la foi ... Je découvre les inconvénients de vivre avec une énorme poitrine. Je ne vois plus mes pieds lorsque je me tiens debout. A table je dois faire attention à bien me tenir droite sur ma chaise, sinon mes seins reposent sur la table.Bien entendu je dois changer ma garde-robe, elle est devenue trop juste pour ma nouvelle poitrine. Sur ordre de Jay, Carole m’emmène chez une corsetière spécialisée dans les soutiens-gorge pour très fortes poitrines. Madame Clarisse a son atelier dans un appartement près de l’Etoile. Elle est une jolie femme d’âge mûr, très élégante et glamour. Madame a deux jeunes assistantes très mignonnes. Carole commande des soutiens-gorge de posture qui mettent en valeur ma poitrine, la remonte. Certains avec les bonnets ouverts pour laisser mes tétons nus. En écoutant cela, je pense à la gêne que je risque d’avoir lorsque mes tétons seront annelés. Madame Clarisse me demande ou plutôt m’ordonne de me déshabiller du haut. Je cherche du regard un endroit où le faire. D’un ton autoritaire elle m’ordonne ...
— Déshabille-toi devant nous. Les salopes comme toi doivent savoir s’exhiber et être obéissantes.
 Être docile est ma nouvelle vie, m’exhiber devant des inconnus aussi. Je réponds servilement en baissant les yeux. J’enlève mon chemisier et l’affreux soutien-gorge beige postopératoire que je dois porter. Tout cela avec la honte qui m’envahit. Cette honte me donne aussi du plaisir je sens ma chatte se mouiller.
— Oui Madame— Tu as une très belle poitrine, Jay doit être fier de toi. Tu vas pouvoir exciter beaucoup de monde ma chérie.
A ma surprise elle soupèse mes deux nichons comme si j’étais une chose, un animal à la foire aux bestiaux, roule entre ses doigts mes pointes. Cela m’excite de plus en plus, mes pointes durcissent. Elle mesure mes seins et mon tour de taille avec son centimètre, ordonne à l’une de ses assistantes d’aller chercher plusieurs modèles. Je les mets, Madame me demande de me pencher en avant pour bien laisser pendre mes grosses miches, comme elle les appelle, afin qu’elles rentrent bien dans les bonnets, ensuite je dois me redresser pendant que l’une des assistantes agrafe le soutien-gorge dans mon dos. Carole ordonne plusieurs modèles, certains avec de long bustier en blanc en noir et beige. Madame Clarisse conseille que les bretelles soient plus larges que la normale, avec un petit rembourrage pour m’éviter d’avoir mal aux épaules. Elle recommande aussi que certains soient renforcés dans le dos pour m’aider à maintenir ma posture droite et redresser mon torse. Je suis touchée par tant de gentillesse de Madame Clarisse. Une fois les essayages terminés, Madame Clarisse demande à Carole si je me gouine. Elles parlent de moi en m’ignorant encore une fois, comme si j’étais un objet ... je sais que je dois m’habituer à subir tel traitement, que cela à devenir mon quotidien, le quotidien d’une soumise ... mais j’ai du mal à accepter ma déchéance totalement volontaire.
— Oui Clarisse, elle est initiée depuis peu, Jay veut que Liz devienne une vraie Lesbienne, l’industrie du porn paye mieux les scènes entre femmes. Mathilde et moi l’avons gouinée, je ne sais pas si elle aime vraiment ça, mais elle apprend vite cette petite salope, répond Carole.— Alors nous allons voir si tu es une bonne gouine, me dit Clarisse avec son superbe et sensuel sourire.
Carole acquiesce en ajoutant que Jay sera content. Clarisse prend place dans un large divan remonte sa longue robe, laisse apparaître ses jambes et sa chatte recouverte d’une très belle culotte gainante.
— Je suis curieuse de voir comment tu utilises le piercing de ta langue. Elle m’ordonne de me mettre à genoux face à elle, je lui enlève doucement sa gaine. Les deux assistantes et Carole nous regardent avec intérêt. Ma poitrine nue balance entre mes bras. Je me penche sur la chatte glabre de Madame Clarisse et la prends goulûment en bouche. Elle n’est pas très longue à jouir en me tenant la tête. Après l’avoir fait jouir, je me relève en cherchant à m’essuyer le visage de sa mouille. Carole regarde les deux assistantes corsetières. — Voulez-vous que la Bourgeoise vous suce aussi, comme elle vient de la faire avec votre patronne ?— On peut Madame ? Demandent-elles à l’unisson en regardant Madame Clarisse.

Je me retrouve encore une fois à genoux avec le goût de Madame Clarisse plein la bouche, à lécher et à faire jouir l’une après l’autre les deux assistantes. Je ne sais pas leurs noms. Je me sens traitée comme une traînée, je commence à adorer cela. Je les prends l’une après l’autre. Mes gros seins ballottent, pendant que j’en lèche une, l’autre tient et caresse mes seins. Pendant que je m’affaire avec ma bouche sur leurs chattes, de mon autre main elles me demandent chacune à leur tour de les enculer avec mes doigts. L’une après l’autre finissent par jouir. Je suis pleine de leurs jus, mon maquillage a coulé. Là je me rends compte que Carole a une caméra à la main, elle vient de me filmer en train de gouiner trois femmes l’une après l’autre.Clarisse reprend la situation en main, pendant que ses assistantes se réajustent, elle me dit
— Je sais que tu es venu pour tes soutiens-gorge, mais je vais t’offrir un Corset pour accentuer ta soumission. Les filles, aller chercher un corset à sa taille. De quelle couleur le veux-tu ?
Je regarde Carole en l’interrogeant du regard
— Un corset de couleur rose pour cette vieille gouine répond Carole
Je me retrouve harnachée dans un corset en coutil rose. Avant, je dois enfiler à même la peau un protège corset en tissu fin, puis elles tirent sur les lacets. Il me coupe le souffle, arrive sous les seins qu’il fait relever un peu. C’est la première fois que je suis corsetée. Je me retrouve compressée avec mes énormes seins ballants. J’ai gardé ma jupe, mon porte-jarretelles et mes bas. Je ne porte pas de culotte, j’ai l’impression de sentir ma mouille dégouliner le long de mes jambes. Je suis totalement excitée et frustrée de ne pas avoir pu me caresser et ne pas avoir eu du plaisir.Carole me prend par surprise dans ses bras, m’embrasse fougueusement sur la bouche, nos langues s’entremêlent.
— Maintenant Liz tu vas me lécher, nous allons peut-être demander à ces Dames de te faire jouir pendant ce temps-là !— Oh Oui Mademoiselle Carole, je n’en peux plus d’excitation. — Vous deux faites jouir Madame Liz pendant qu’elle léchera Mademoiselle Carole. Ordonne à ses assistantes Madame Clarisse.
Je me retrouve à quatre pattes sur le sol en train de lécher la chatte lisse de Carole lorsque les deux couturières commencent à me caresser, sucer et tripoter mon minou. Elles jouent avec mes anneaux vaginaux et clitoridiens. Elles m’enfoncent un leurre dans mon cul et un vibromasseur dans mon vagin. J’explose de plaisir en même temps que Mademoiselle Carole jouit dans ma bouche en me tenant la tête contre son entrejambe. Serrée dans mon corset je suis près de la suffocation, de m’évanouir par manque d’air, heureusement Madame Clarisse s’en rend compte et relâche les lacets.Je viens de faire jouir quatre femmes. Nous allons aux toilettes avec Carole. Elle m’enlève tendrement toute la mouille que j’ai reçue sur mon visage. Elle retouche mon maquillage de pute. Resserre mon corset, je la supplie d’être gentille et de ne pas le serrer fort, gentiment elle s’exécute en me disant que cela ne sera sûrement pas la dernière fois que je suis corsetée. Elle m’aide à remettre l’ignoble soutien-gorge postopératoire qui tient ma poitrine endolorie, celle-ci a été mal traitée et ballottée pendant toute l’après-midi à force d’avoir été pendante lorsque j’étais à genoux ou à quatre pattes en train de lécher et sucer tous ces minous.Une fois à la maison, Carole m’aide à prendre un bain pour effacer les traces de cette longue journée. Ce bain me détend. Mathilde me maquille, me demande de remettre mon corset qu’elle serre. Elle fait la remarque que ce corset n’est pas très sexy, car c’est un vrai corset de posture, en coutil avec des baleines en acier. Elle m’enfile mes bas, car une fois corsetée je n’y arrive plus, les fixe à mon porte-jarretelles. Je dois mettre les longs gants blancs en satin ainsi que mon déshabillé vaporeux tout cela perchée sur mes habituelles mules de putes de 15 centimètres.Lorsque Monsieur Jay arrive, en me voyant corsetée, il dit à Carole qu’il faut effectivement ne pas oublier les Corsets et les Gaines de grand maintien dans mes parures ... Je ne sais pas ce que sont ces dernières mais je sens que je ne vais pas tarder à le savoir. Mes seins sont toujours soutenus par un soutien-gorge de maintien le temps de la convalescence, celle-ci, heureusement, touche à sa fin. Jay me demande de le sucer, je m’exécute avec délectation et soumission. Il éjacule dans ma bouche, me demande de ne pas avaler tout de suite. Je dois ouvrir ma bouche pour lui montrer sa semence, ensuite l’avaler et puis l’ouvrir a nouveau en sortant la langue pour bien lui montrer que j’ai docilement avalé toute sa liqueur. Mon Maître me dit que je devrai faire cela à chaque fois que je sucerai un homme, il rajoute que je ne dois pas oublier, sous peine d’être punie.
Monsieur me demande de lui raconter avec les mots qu’il veut entendre de ma bouche, ce que j’ai fait aujourd’hui.
— Votre soumise a pris dans sa bouche et fait jouir avec sa langue percée Madame Clarisse, ses deux assistantes et Mademoiselle Carole. J’ai dû mettre ma langue de salope dans leurs cons respectifs. Elles m’obligèrent à les lécher et ensuite elles me gouinèrent en m’enculant avec un leurre en tirant sur les anneaux de ma grosse chatte. — Bien me dit-il, tu apprends vite ma chère Liz, demain ton entraînement annal va commencer. Viens dormir avec moi
Je suis tellement heureuse d’avoir le droit de me coucher avec mon Maître. L’anxiété de devenir une enculée m’empêche cependant de trouver rapidement mon sommeil ...
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