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Je suis une salope...

Chapitre 2

Tout m'échappe !

Erotique
Mon entrecuisse et le bas du dos maculés de sperme, mon pyjama trempé, mais surtout la tête pleine d’étoiles... je reste couchée encore un long moment entre maman et son amant. Je me demande d’ailleurs si cette dernière s’est aperçue de quelque chose, si elle a réalisé que je branlais son homme contre mon cul avec ma main jusqu’à le faire exploser de jouissance ?! Je suis tellement honteuse de lui avoir fait ça, à ma maman chérie... ce qui ne m’empêche pas pour autant de vouloir qu’une seule chose maintenant, de sentir cette putain de queue au fond de mon petit cul encore vierge. Manu, depuis qu’il a éjaculé sur moi et remonté mon bas de pyjama juste après, ne semble pas avoir bougé de sa position, et il est resté complètement muet. Que doit-il penser de moi d’ailleurs, même pas un jour après avoir fait ma connaissance ? Que je suis une vraie salope ?! Forcément... En tout cas, je risque d’avoir beaucoup de mal de les regarder l’un et l’autre dans les yeux, ces prochains jours. De nombreuses pensées confuses se bousculent dans ma tête...
Alors que ma mère vient de se retourner pour poser son téléphone portable sur sa table de nuit et le mettre en charge, j’en profite pour sortir rapidement du lit en enjambant son compagnon et pour filer en direction de la salle de bain, en espérant qu’elle ne s’aperçoive pas de l’état de mon pyjama. — Tu ne voulais pas que je te masse le dos, ma chérie ? — Non non, maman... c’est bon ! Je viens de dépasser le seuil de la porte et ne suis donc plus dans leur champ de vision... Je baisse mon pantalon de pyjama sans attendre pour constater qu’effectivement celui-ci est tout tâché de foutre. Je me fais d’ailleurs la réflexion que j’adore cette sensation d’être souillée comme une petite chienne qui vient de se faire saillir par tous les clébards du quartier... Je m’apprête à remonter le bas de mon pyjama pour aller prendre une douche quand je sens une main ferme - forcément celle de Manu - arrêter mon geste, son autre main venant se plaquer sur ma bouche alors que son souffle chaud électrise mon cou... Un long frisson traverse mon corps... je passe une main derrière moi et constate qu’il est nu, en tout cas pour ce qui est de son sexe et ses fesses. Il est fou... et moi d’autant plus excitée par la situation que ma mère pourrait nous surprendre à l’instant même où elle sortira de la chambre ! Avec ma main droite, je retire délicatement la sienne de ma bouche et me retourne face à lui... — J’ai encore envie de toi, Manu... j’ai envie que tu me baises comme si j’étais ta petite pute soumise ! Je me colle à lui, mon corps en fusion contre son torse velu, ma bouche essayant d’atteindre la sienne pour lui voler un fougueux baiser... J’ai agrippé son sexe avec l’une de mes mains et tente de l’aiguiller vers ma chatte brûlante de désir. Je veux qu’il me prenne là, au milieu du couloir ! — Non, Laura, il ne faut pas aller plus loin ! Je n’aurais pas dû faire ça tout à l’heure... — Mais si, Manu... je sais que tu en as envie autant que moi ! Je suis toute à toi, mon amour ! — Laura, je ne suis pas ton amour mais celui de ta maman... — Non, tu es à moi ! Alors que j’essaye toujours de faire rentrer son gros gland couleur cramoisie dans ma petite chatte toute liquoreuse, il réussit pour l’instant à me maintenir à distance pour que je ne puisse pas m’empaler sur son sexe. Tout mon corps tremble tandis que mon cœur bat la chamade... — Laura, arrête de jouer la gamine ! Si je te dis non, c’est non... Tu cherches quoi, à insister comme ça ? À ce que ta mère me foute dehors alors que nous commençons à peine notre histoire elle et moi ?! — Tu lui as dit ?!? — Quoi ? — Pour nous deux !? — Oui... — J’te crois pas ! Je continue à me coller contre lui et à lui tenir la bite tout en la frottant contre ma petite touffe pubienne toute ébouriffée. Je n’ai jamais eu autant envie d’être baisée...
— Elle t’a vue partir avec ton pyjama tout tâché... et je lui ai donc dit que je m’étais masturbé contre tes fesses et que j’avais éjaculé sur toi. — Ce n’est pas vrai... tu ne lui as rien dit ! Allez, baise-moi maintenant ! — Demande-lui si tu ne me crois pas !? Alors que j’essaye une fois de plus de l’embrasser sur la bouche, je croise furtivement le regard de Manu et comprends qui ne cédera pas à mes avances, avec ce terrible sentiment qu’il dit la vérité, qu’il lui a effectivement tout raconté. — Tu mens ! Je te déteste... Je relâche d’un coup mon étreinte, remonte mon bas de pyjama et pars en pleurant vers ma chambre. Jamais je ne me suis sentie autant humiliée...
Je ne sais pas combien de temps je suis restée prostrée sur mon lit, la tête sous un coussin et les yeux baignés de larmes. En tout cas, je voulais à cet instant ne jamais être venue voir ma mère et son nouveau compagnon, mais surtout disparaître à tout jamais ! Je n’entends d’ailleurs pas la porte de ma chambre s’ouvrir, ni quelqu’un y entrer... C’est donc seulement quand je sens quelque chose m’effleurer le bas du dos et le matelas légèrement s’affaisser, que je comprends que je ne suis plus seule dans ma chambre. Mon premier réflexe est de vouloir retirer l’oreiller qui recouvre ma tête pour voir qui de ma mère ou son amant est là, mais il y a comme une force invisible qui le retient au-dessus de moi. Ça ne peut être que Manu, surtout que sa main commence à faire glisser mon bas de pyjama pour découvrir mes fesses et que ses doigts charnus me font frissonner d’excitation au contact de ma peau. Je me cambre donc davantage pour l’inciter à me déshabiller complètement... — Hmmm ! J’ai alors un bref moment d’effroi quand j’ai l’impression qu’il se lève du lit, comme s’il allait partir de la chambre... Pour autant, ma crainte est de courte durée. Je sens de nouveau le matelas s’affaisser mais cette fois-ci, c’est semble-t-il à califourchon au-dessus de mes cuisses et mes fesses qu’il vient se positionner. Tout en restant toujours allongée à plat-ventre, je chuchote quelques mots... — Manu, encule-moi ! Je veux sentir ta grosse queue en moi ! L’amant de ma mère reste silencieux mais il commence à remonter mon haut de pyjama et m’invite à le retirer complètement. Sans sortir la tête de sous l’oreiller, je réussi néanmoins à faire glisser le vêtement. Je suis toute à lui, offerte à sa virilité... — Je t’en supplie, Manu... prends-moi, baise-moi ! — Arrête de bouger, Laura ! Laisse-toi aller ! Il prend mes deux bras pour me les faire replier vers ma tête... puis, délicatement, il se met à masser mon dos, partant du haut de mes hanches pour remonter parfois jusqu’à mes épaules, parfois vers mon cou. Ses gestes sont lents mais appuyés... mon corps s’électrise un peu plus à chaque nouvelle caresse. — Hmmm... oh oui !!! — Tu aimes ça, Laura ? — Oh que oui, mon amour ! Continue !... Fais-moi jouir ! — Laura... Non, rien... Je l’entends soupirer mais ses mains poursuivent leur chantier, élargissant à chaque fois un peu plus leur champ d’action sur mon corps brûlant de désir. Alors que celles-ci s’aventurent de plus en plus souvent le long de ma taille jusque sous mes bras, je me redresse légèrement sur les coudes dans l’espoir que ce vieux cochon s’occupe de mes seins... ce qu’il fait presqu’immédiatement. — Hmmm... j’adore ! D’un seul coup, comme par magie, nous passons dans un autre registre de plaisirs sensuels, bien au-delà du simple massage. Manu s’étant repositionné différemment, je sens maintenant son torse électriser mon dos, son souffle chaud dans mon cou, mais surtout sa bite bien dure et gonflée d’excitation contre mes fesses. Qu’étions-nous en train de faire, lui la cinquantaine et moi du haut de mes dix-neuf ans ?! Nous restons un long moment dans cette position animale, sans bouger l’un et l’autre, hormis ses deux mains qui pelotent mes deux petits mamelons. Était-il en pleine réflexion comme moi, pris de doutes alors que nous étions sur le point de franchir ce Rubicon de la moralité ? — Manu, tu n’as pas envie de moi ?! Prends-moi, s’il te plait ! Toujours la tête sous mon oreiller, je prends volontairement cette voix de la jeune femme à qui on ne peut rien refuser, prononçant ces quelques mots avec le plus d’érotisme possible. Tant pis pour l’interdit et pour ma mère ! J’ai vraiment trop envie de cette queue qui ne demande qu’à pénétrer dans mes orifices. Alors qu’il reste silencieux et immobile au-dessus de moi, poursuivant néanmoins son jeu avec ses doigts et mes tétons, je tente de forcer sa décision, m’avançant très légèrement sur le lit et remontant mon cul pour qu’il n’ait plus qu’à glisser son sexe bandé à l’intérieur... — Aaah ! Oh oui !... — C’est plus fort que toi, Laura... tu ne peux pas t’empêcher d’essayer !? Il se retire immédiatement de ma chatte mais j’avais parfaitement réussi mon coup, mon sexe ayant avalé le sien lors d’un subtil mouvement de recul de mon bassin. Plaisir furtif mais tellement intense que je savais maintenant que mon nouvel amant ne pourrait pas résister plus longtemps à la tentation... — Prends-moi vite, Manu ! — Laura, il faut savoir... — Maman !?! Je retire le coussin et tourne la tête... elle se tient là, debout à côté de mon lit et à contre-jour par rapport à la lumière du dehors. Elle caresse de la main droite le haut du crâne de Manu tout en me souriant. D’ailleurs, elle ne semble pas plus énervée que ça par la situation... ce qui me met encore plus mal à l’aise. Elle n’est vêtue que d’une longue chemise blanche entrouverte sur le devant... tout en étant nue en-dessous de celle-ci. Mes yeux s’adaptant progressivement à la lumière ambiante, je contemple maintenant son sexe glabre et aux lèvres légèrement plus foncées, qu’elle ne semble même pas vouloir me cacher. Quant à Manu, même s’il s’est redressé, il est toujours à califourchon au-dessus de mes jambes, lui pour le coup complètement nu et son énorme pénis tendu droit comme un i vers l’avant. — Ma... maman... tu es là depuis le début ? Tu as... tout entendu ce que je disais à Manu ? — Oui, ma chérie. C’est même moi qui lui ai demandé de venir te masser... Son homme décide d’ailleurs de reprendre son massage à ce moment-là, m’invitant à me remettre à plat-ventre et à me détendre. Ma mère en profite pour s’asseoir au niveau de ma tête et se met à me caresser les cheveux avec beaucoup de douceur. Je suis quant à moi complètement déboussolée par la situation... — Alors, comme ça, tu aimes me mater quand je fais l’amour avec mon homme ? Je me retends comme une arbalète, ne m’attendant pas du tout à celle-là ! — Mais ?!... Qui t’a dit ça, maman ? Ma... Manu ? — Ma petite chérie... tu as oublié le miroir juste au-dessus de mon lit ou quoi ? Nous t’avons tout simplement vue au fond de la chambre en train de te masturber quand Manu me prenait comme une chienne. Je revois d’un seul coup le fameux miroir qui a toujours été là depuis que je m’en souvienne. Je me sens encore plus honteuse, même si l’un et l’autre semblent le prendre avec le sourire... — Maman, il t’a dit pour ce matin dans le lit ? — Oui, Laura, il m’a tout raconté... Je dois dire que tu lui as fait de l’effet, à ce vieux cochon pervers ! — Mais... — Détends-toi, Laura ! Laisse-toi aller ! Manu m’oblige à me réallonger dans la position où j’étais. J’entends ma mère et son amant rire... je ne comprends plus rien ! — Tu as envie de prendre la bite de mon homme dans ta belle bouche gourmande, ma petite chérie ? — Maman ?!? Je ne sais plus où me mettre, tellement j’ai honte de la situation que j’ai engendrée... mais d’un autre côté, celle-ci m’excite comme jamais je ne l’avais été de toute ma vie. Ils n’allaient quand même pas oser faire ça ?!
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