Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 269 J'aime
  • 6 Commentaires

Je suis une salope...

Chapitre 5

Orgie / Partouze
J’arrive dans le salon avec une légère boule au ventre mais surtout un sentiment d’excitation indescriptible, que j’essaye bien sûr de cacher au maximum. Ils sont déjà plusieurs à être là, debout autour de la grande table en chêne, la plupart avec un verre à la main. Je balaye rapidement du regard toutes les personnes présentes. Il y a bien sûr ma mère et Manu, ainsi que monsieur Petitjean... mais également un couple qui semble avoir facilement la cinquantaine, une jeune femme à qui je donne au maximum vingt-cinq trente ans, un vieux tout chauve et un autre homme à qui je n’arrive pas à donner d’âge même s’il doit au moins avoir la trentaine. La première chose qui attire mon attention, c’est que ma maman chérie comme les deux autres femmes portent toutes les trois des tenues hyper-sexy, qui n’ont absolument rien à envier à la mienne. Je n’avais d’ailleurs jamais vu ma mère habillée avec une robe, aussi expressive et aguichante...
Tous se tournent dans ma direction à mon arrivée.— Ma plus jeune fille, Laura. — Bonjour...— Elle joue sa grande timide... mais, vous verrez, une fois qu’elle parle, on ne l’arrête plus !— Maman !?!En lui répondant, je m’aperçois que ma mère porte un collier du même genre que celui que m’a offert Manu, mais de couleur grise et avec un petit anneau au niveau de la nuque. Intriguée, je jette un regard en direction des deux autres femmes pour constater qu’elles-aussi en porte un, seul la couleur et la forme de l’anneau les différenciant les uns des autres. Instinctivement, je passe une main dans mon cou et sens avec mes doigts une boucle en métal accrochée au collier. Je suis encore plus troublée que je ne pouvais l’être, et n’entends d’ailleurs pas ce que dit le compagnon de ma mère alors qu’il parle a priori de moi...— … présentations, n’hésitez pas à rajouter un petit mot !— Tu es avec nous, ma petite chérie ?— Hein ?!... Oui... maman... tu disais quoi ?— Non, rien, ma chérie.Elle se met à rire, délicieusement. Je sens que je m’empourpre et j’ai honte, ce d’autant plus devant tous ces inconnus. Manu, quant à lui, enlace ma mère de ses bras et l’embrasse dans le cou...— Après la fille, voici la maman, Julie... qui est surtout mon amour adorée. À part toi, Christian, je ne vous l’avais pas encore présentée et c’est maintenant chose faite, bien que je ne doute pas que vous ferez chacun plus ample connaissance avec elle ce soir.
Après quelques échanges de sourires et de politesses entre les uns et les autres, Manu se tourne vers le couple qui se tient en l’occurrence toujours la main... — Marc et Sophie, des amis de longue date, toujours partants pour une agréable soirée !— Surtout quand tu es le maitre de cérémonie, mon cher Emmanuel...— Enchantée... aux plaisirs, messieurs dames !Je n’arrive pas à détacher mes yeux de Sophie ; elle est vraiment sublime avec ses cheveux blonds coupés courts et mettant en valeur son visage aquilin, un chemisier blanc très léger qui laisse deviner deux magnifiques seins bien plus gros que les miens, une jupe courte en dentelle noire en-dessous de laquelle on peut apercevoir de belles jarretières finement ciselées... Elle me fait penser aux belles femmes des années 1900, de celles que l’on voit dans les films.Je me fais d’ailleurs la réflexion que j’aimerais vraiment être aussi belle et attirante qu’elle quand j’aurai son âge !...
Manu continue son tour de présentations... — Christian, émérite professeur de l’université de Besançon, à la retraite depuis peu ; celui qui m’a débauché quand je n’étais qu’un jeune homme sans expérience, et qui est toujours partant pour de belles et trépidantes aventures, à bientôt soixante-dix ans...
— N’exagère pas, Manu ! Tu n’étais pas si innocent que ça, quand j’ai fait ta connaissance. Veux-tu que je rappelle à ton entourage les circonstances de notre première rencontre, dans un amphi de fac de droit ?— Non, inutile... Mon ami, je te laisse présenter la charmante jeune femme qui t’accompagne !— Pas de problème, Manu ! Pour commencer, je voudrais excuser ma femme que certains d’entre vous connaissent, car elle aurait aimé se joindre à nous ce soir... mais elle a des petits soucis de santé et a préféré rester tranquillement à la maison pour se reposer. Aussi, je remercie Marine, une ancienne de mes étudiantes, qui a accepté au pied levé de changer son programme pour être avec nous, après que ma très chère lui ait proposé de la remplacer ici-même...Putain, j’hallucine... ce vieux porc se tape une jeune femme à peine plus âgée que moi !? C’est la première pensée qui me vient à l’esprit alors que je regarde simultanément le vieil homme et cette grande brune aux jambes interminables, avec une silhouette de mannequin. Comment cette bombe atomique, qui pouvait sans aucun doute avoir tous les mecs qu’elle voulait juste avec un claquement de doigts, acceptait de coucher, de se faire peloter, de sucer... et même de se faire baiser par ce petit vieux trapu et tout ridé ? Un frisson de dégoût me traverse le corps, face à cette horrible image issue de mon imagination...
Encore une fois, l’amant de ma mère me tire de mes pensées et me ramène à la réalité, alors qu’il parle de monsieur Petitjean... — Je vous présente André, notre voisin. Nous nous sommes dit, avec Julie, que nous pouvions l’inviter à notre soirée, surtout que Laura a joué avec son cœur cet après-midi en allant...— Non, Manu, s’il te plait !?— Ma puce, c’est gentil...— Oui, Laura est juste allée porter les poubelles jusqu’aux moloks en petite culotte et les seins à l’air !— Maman !!! T’es une salope !...— Il n’y a rien de méchant, de rigoler un peu sur ça, ma chérie.Je reprends un fard alors tout le monde autour de moi rigole à chaude voix. Monsieur Petitjean, lui, me fixe d’un regard lubrique qui me provoque de nouveau un trouble et des picotements dans le bas ventre... mais le pire, ce sont mes seins qui se mettent à pointer d’excitation, l’un de mes tétons s’échappant d’ailleurs de l’étroite bande de tissu qui le cachait. La honte !?!— Putain, elle est chaude comme la braise, ta belle-fille, pa’ ! Une vraie petite salope !— Ah oui, j’avais oublié de vous présenter mon fils... ou plutôt le fils aîné de mon ex, avec qui j’ai gardé d’excellentes relations malgré ma séparation avec sa mère. Arnaud, ne mets pas mal à l’aise Laura avec tes propos graveleux, s’il te plait !— Ouais pa’...Ce n’est pas vrai !? C’est quoi, ce débilos profond ? Je m’apprête à le remettre en place avec une réplique cinglante dont j’ai le secret, mais Manu me coupe dans mon élan...— Approche, Laura !Surprise par sa demande et surtout par le ton impérieux employé, je regarde ma maman chérie pour savoir ce que je dois faire. Elle me sourit et hoche de la tête comme pour me signifier de faire confiance à son amant...Dans le même temps, Manu attrape un objet mais je n’arrive pas à discerner ce que c’est. Je décide néanmoins de m’approcher doucement de lui.Alors qu’il se penche vers moi pour me chuchoter à l’oreille, j’ai l’impression que Marc accroche quelque chose au collier de sa femme. Je cherche de nouveau maman du regard et... le choc ! L’autre trou du cul d’Arnaud la tient au bout d’une laisse de chien et la tire vers le bas pour l’inciter à se baisser...
— Laura, ce soir tu seras la petite chienne d’André... et tu devras bien écouter ton maitre ! — Maman !?!— Mais, ma petite chérie, ta maman est aussi une chienne en chaleur qui n’a que foutre de tes états d’âme. Regarde !Il prend mon menton avec sa main et m’incite sans ménagement à regarder sur le côté. Ma mère, mais aussi Sophie et Marine, sont toutes les trois à quatre-pattes sur le grand tapis ou le plancher du salon, chacune tenue au bout d’une laisse par un des hommes présents.Je comprends au même instant que Manu vient de clipper quelque chose à mon collier, sans doute aussi une laisse de clébard. Je le fixe droit dans les yeux...— Et si je refuse ?— Rappelle-toi ce que tu m’as dit ce matin ! Que tu étais une chienne en chaleur comme ta maman chérie... alors écoute gentiment ton maitre !Sans attendre ma réponse, Manu tend ma laisse à ce vieux pervers de Christian, qui s’empresse immédiatement de me tirer vers lui pour me faire rejoindre les trois autres femmes dans leur position de soumission.— Allez, petite chienne ! A quatre-pattes comme les autres !— Oui, mon maître...
Dans un état second, je me baisse et me mets à genoux sur le plancher. Je ne peux m’empêcher de regarder autour de moi les scènes incroyables qui sont en train de se dérouler...
Ma mère est devant monsieur Petitjean qui est assis dans un fauteuil... et elle a déjà sorti la bite de son nouvel amant. Elle s’apprête d’ailleurs à le sucer sans se soucier du reste. Le sexagénaire, aux anges, a semble-t-il glissé ses paluches dans le décolleté de ma propre maman et il lui pelote allègrement ses jolis nichons.Marine est, quant à elle, juste derrière ma maman chérie, ses mains relevant la robe de cette dernière pour découvrir son sublime cul. D’où je suis, elle semble résolue à embrasser et lécher l’intimité de ma génitrice. Elle-même a sa propre robe retroussée au-dessus de ses fesses au teint hâlé, offertes aux regards de tous. Seul un très discret string cache le sexe de la belle brune même si Marc, debout à côté d’elle, s’amuse à tirer dans tous les sens la ficelle du fragile sous-vêtement.Enfin, Sophie, à genoux juste à côté de moi, s’affaire à branler et pomper la queue de l’autre jeune trou du cul d’Arnaud, à l’instant rejoint par Manu. Ce dernier présente lui-aussi sa verge gonflée de sang devant la bouche gourmande de la sublime blonde, qui s’empresse de le sucer...

Tout parait irréel... une odeur de sexe baigne déjà le salon... des gémissements de plaisir et autres bruits de succion ont remplacé les paroles...Dire qu’il y a moins de deux jours en arrière, ma propre expérience sexuelle se limitait qu’à quelques rares rapports des plus classiques avec mes petits copains successifs... et là, je suis à quatre-pattes et tenue en laisse comme une chienne en chaleur, avec à l’autre bout de la laisse un vieux pervers plus âgé que moi d’une cinquantaine d’année. Je me tourne vers Christian qui me surplombe de toute sa hauteur, et le regarde en attente d’instructions. Même si j’ai honte intérieurement de ce que je suis en train de faire, mon excitation est encore plus forte...— Gros cochon vicieux, je veux que tu fasses de moi ta petite pute soumise... et je ferai tout pour toi !— Ok Laura...— Aïe !!! Ça ne va pas !?Il me fouette violemment la fesse avec le bout de la laisse...— Première règle... une chienne bien dressée ne parle pas sans que son maitre l’y autorise ! Compris ?!— Oui, maitre...— Voilà, c’est mieux comme ça ! Maintenant, tu vas me montrer que tu es une gentille chienne. Relève ta robe pour me faire voir ton putain de petit cul, puis tu lècheras le petit œillet de Sophie pour le préparer à accueillir une belle bite !Je le regarde de nouveau, interloquée par ce qu’il venait de m’ordonner de faire... mais, le voyant impassible, je jette un œil en direction de ma maman chérie en espérant qu’elle me porte secours.— Maman !?!...Ma voix est à peine audible... je suis complètement scotchée par ce que je vois ! Elle est toujours à quatre-pattes devant monsieur Petitjean et elle le suce avec application et vigueur, mais ce salop de Marc est maintenant debout juste derrière elle, et il lui défonce le cul à grands coups de bite tandis que la jeune brune, Marine, allongée sur le dos la tête entre les cuisses de ma mère, lui bouffe la chatte !Elle n’entendra rien !Je regarde de nouveau furtivement Christian puis retrousse ma robe, dévoilant mes fesses à ce vieux pervers...
Après un court instant d’hésitation, je me penche du côté de la belle blonde qui s’active toujours sur les deux queues qu’elle tient entre ses doigts... Je l’invite à se redresser un peu sur ses genoux afin qu’elle m’offre son superbe cul... Elle s’exécute sans la moindre réticence... Mes mains qui glissent sur son corps chaud et doux, qui s’immiscent sous les fines dentelles de ses habits... J’approche mon visage et m’enivre de son envoûtant parfum... fais glisser sa petite culotte en soie... Ma langue sur ses petites lèvres... puis je remonte très lentement, très sensuellement... jusqu’à atteindre son petit œillet, après l’avoir incitée à écarter encore davantage ses fesses !
C’est la toute première fois que j’embrasse une autre femme comme ça, sur les parties les plus intimes de son corps... et j’aime ça ! 
Diffuse en direct !
Regarder son live